YESTERDAY'S NEWS |48
- Celeste MillsI'm a Mother Fucker
-
Dollars : 2052
Messages : 190
Date d'inscription : 05/07/2018
Avatar : Magdalena Zalejska
Crédits : cosmic light (avatar) old money (signa)
Autres comptes : Aeddan Barclay
Âge du personnage : Vingt-trois ans
Nationalité(s) : Amércaine
Signe astrologique : Taureau
Mon personnage, en 5 mots : Rebelle - Orpheline de mère - Photo - Urbex - Etudiante
Quartier de résidence : Dans la banlieue de Los Angeles
Carrière, métier ou job : Ingénieure
Études (passées ou en cours) : Ingénierie biomédicale
Hobby : L'urbex - la photo
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : C'est ... compliqué
&
moi
Face à face, duel familial
Qui a bien pu lui mettre en tête que le restaurant était une bonne idée pour renouer avec toi ? Ca te fait lever les yeux au ciel rien de repenser à la veille quand il t’a proposé de t’emmener manger dehors. Au moins il a fait l’effort de trouver quelque chose pour sortir en famille… Du moins, avec ce qu’il en reste de ta famille… Juste un père alcoolo et au chômage. Enfin, tu en sais trop rien là-dessus mais vu le nombre de fois où tu l’as vu affalé dans le canapé, tu te doutes qu’il ne doit pas faire grand-chose de ses journées. Devant ton miroir, tu soupires un grand coup, encore perplexe de cette proposition que tu n’as pas pu refuser au final. Il est tout de même ton père et tu ne pouvais pas décliner. Cependant, tu es bien décidé à le faire morfler, à lui faire comprendre qu’il est en train de tout faire foirer. Ouais, c’est ton père mais en ce moment, il te donne l’impression d’être un boulet. Heureusement que tu as dix neuf et que tu sais te faire à manger. Tu termines de te préparer, mettant une plombe pour l’impatienter. Bien fait pour lui, il aurait du trouver autre chose qu’un simple déjeuner au restaurant.
Tu descends les marches à reculons, n’étant pas assez prête pour affronter ce moment. Cela fait bien longtemps que tu n’as pas mangé en face à face avec ton père et tu sens déjà que cela va être un calvaire. Pour lui, comme pour toi. Vous ne saurez surement pas quoi vous dire et tu imagines déjà une ambiance glaciale durant tout le repas. La journée va être vraiment sympa. Une fois arrivée en bas, tu regardes la porte d’entrée avec l’envie de fuir, de t’échapper. Nan, tu n’as vraiment pas envie de manger avec ton paternel. Pas aujourd’hui. Tu voudrais qu’il redevienne comme avant : souriant. Et peut-être que là, tu accepterais qu’il te prenne dans ses bras. Tu jettes un coup d’œil à l’homme qui faisait tant d’effet aux femmes avant qu’il ne décide de se marier : lui aussi est prêt, tu as même l’impression qu’il t’attend. Tu espères alors qu’il ne fera pas de remarque sur le temps que tu as mis pour te préparer et au pire s’il le fait, tu trouveras toujours de quoi le rembarrer.
"On y va ?" que tu lances froidement sans le regarder. A ce moment là, ton chien apparait de nulle part, pensant que vous allez vous balader. Tu t’accroupis pour l’enlacer et lui murmurer, assez fort tout de même "On se baladera plus tard… Je dois aller à un rendez-vous que j’aurais préféré éviter…" Petite pique lancée à ton père, tant pis s’il le prend mal, tu es prête à encaisser toutes les engueulades.
Tu descends les marches à reculons, n’étant pas assez prête pour affronter ce moment. Cela fait bien longtemps que tu n’as pas mangé en face à face avec ton père et tu sens déjà que cela va être un calvaire. Pour lui, comme pour toi. Vous ne saurez surement pas quoi vous dire et tu imagines déjà une ambiance glaciale durant tout le repas. La journée va être vraiment sympa. Une fois arrivée en bas, tu regardes la porte d’entrée avec l’envie de fuir, de t’échapper. Nan, tu n’as vraiment pas envie de manger avec ton paternel. Pas aujourd’hui. Tu voudrais qu’il redevienne comme avant : souriant. Et peut-être que là, tu accepterais qu’il te prenne dans ses bras. Tu jettes un coup d’œil à l’homme qui faisait tant d’effet aux femmes avant qu’il ne décide de se marier : lui aussi est prêt, tu as même l’impression qu’il t’attend. Tu espères alors qu’il ne fera pas de remarque sur le temps que tu as mis pour te préparer et au pire s’il le fait, tu trouveras toujours de quoi le rembarrer.
"On y va ?" que tu lances froidement sans le regarder. A ce moment là, ton chien apparait de nulle part, pensant que vous allez vous balader. Tu t’accroupis pour l’enlacer et lui murmurer, assez fort tout de même "On se baladera plus tard… Je dois aller à un rendez-vous que j’aurais préféré éviter…" Petite pique lancée à ton père, tant pis s’il le prend mal, tu es prête à encaisser toutes les engueulades.
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- InvitéInvité
Il y a un proverbe qui dit que c'est dans nos moments les plus sombres que nous devons nous concentrer pour voir la lumière. C'est ce que j'ai fait et ça a marché. Ce nouveau poste au sein du FBI n'était vraiment pas quelque chose qu'on pouvait prévoir. En temps normal, on n'aurait jamais dû me rappeler. En plus d'avoir assassiné un homme de sang-froid, j'étais ce qu'on pouvait appeler un alcoolo. Mais j'avais accepté. C'était l'occasion de rebondir, de me sortir de ce cercle vicieux. Je faisais tout ça pour ma fille. À la mort de sa mère, j'étais tombé tellement bas que je l'avais totalement délaissé. Elle m'en voulait bien entendue et pire encore elle me reprochait sa mort. Je voulais arranger les choses. C'était la seule famille qui me restait et si j'ai une chance de me rattraper il fallait que je la prenne.
Le premier jour de ma rédemption commençait bien, car je devais manger ce midi avec ma fille. Certes elle ne cachait pas le fait qu'elle venait en traînant les pieds, mais qu'elle accepte, c'était vraiment important pour moi. Je voulais lui montrer que je n'étais plus le même. Puis je voulais lui annoncer la nouvelle moi-même. Qu'elle soit la première à l'apprendre. Je suis tout excité quand je sors de la maison pour l'attendre sur le palier. Je me suis rasé et habillé avec classe pour cette occasion. Décontracté, t-shirt à manche courte et simple pantalon en toile. Je me suis même parfumé, ce que je ne fais jamais d'habitude. J'étais vraiment de bonne humeur, et même de voir ma fille tirer la tronche ne suffira pas à changer ça. Bien entendu, j'entends ce qu'elle dit au chien quand il débarque, mais je ne dis rien, je me contente de faire un sourire et je viens caresser le chien, avant de le ramener dans la maison. Je ferme la porte derrière lui. « Oui, tu pourras le promener en rentrant. », dis-je simplement, sans aucun reproche dans la voix. « Allons-y ! », lance-je à la cantonade, une fois revenu vers elle.
Il ne nous faut pas plus de dix minutes pour arriver devant le restaurant. J'ai garé la voiture à quelques rues d'ici histoire de marcher un peu dans le quartier. « Manger chinois, ça te conviens ? », dis-je à son attention en arrivant devant le Ramen Champ, un resto familial très sympa où on mange très bien. « Il paraît que leurs ramens sont vraiment bon ! », lance-je avec entretien. Je souriais à ma fille, même si elle, tirait la tronche depuis le début. Je faisais de gros efforts pour ne pas lui faire une seule remarque...
Le premier jour de ma rédemption commençait bien, car je devais manger ce midi avec ma fille. Certes elle ne cachait pas le fait qu'elle venait en traînant les pieds, mais qu'elle accepte, c'était vraiment important pour moi. Je voulais lui montrer que je n'étais plus le même. Puis je voulais lui annoncer la nouvelle moi-même. Qu'elle soit la première à l'apprendre. Je suis tout excité quand je sors de la maison pour l'attendre sur le palier. Je me suis rasé et habillé avec classe pour cette occasion. Décontracté, t-shirt à manche courte et simple pantalon en toile. Je me suis même parfumé, ce que je ne fais jamais d'habitude. J'étais vraiment de bonne humeur, et même de voir ma fille tirer la tronche ne suffira pas à changer ça. Bien entendu, j'entends ce qu'elle dit au chien quand il débarque, mais je ne dis rien, je me contente de faire un sourire et je viens caresser le chien, avant de le ramener dans la maison. Je ferme la porte derrière lui. « Oui, tu pourras le promener en rentrant. », dis-je simplement, sans aucun reproche dans la voix. « Allons-y ! », lance-je à la cantonade, une fois revenu vers elle.
Il ne nous faut pas plus de dix minutes pour arriver devant le restaurant. J'ai garé la voiture à quelques rues d'ici histoire de marcher un peu dans le quartier. « Manger chinois, ça te conviens ? », dis-je à son attention en arrivant devant le Ramen Champ, un resto familial très sympa où on mange très bien. « Il paraît que leurs ramens sont vraiment bon ! », lance-je avec entretien. Je souriais à ma fille, même si elle, tirait la tronche depuis le début. Je faisais de gros efforts pour ne pas lui faire une seule remarque...
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Âge du personnage : Vingt-trois ans
Nationalité(s) : Amércaine
Signe astrologique : Taureau
Mon personnage, en 5 mots : Rebelle - Orpheline de mère - Photo - Urbex - Etudiante
Quartier de résidence : Dans la banlieue de Los Angeles
Carrière, métier ou job : Ingénieure
Études (passées ou en cours) : Ingénierie biomédicale
Hobby : L'urbex - la photo
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : C'est ... compliqué
&
moi
Face à face, duel familial
Quand ton père est apparu devant toi hyper bien sapé, tu t’es demandé si aujourd’hui était un jour vraiment spécial. En réalité, il l’est puisque tu vas manger en tête à tête avec ton père. Mais toi, tu le vois plutôt comme un calvaire. Il t’a rejoint avec le sourire et ça t’a agacé, alors tu l’as ignoré. Du moins, jusqu’à ce qu’il te prenne pour une enfant. "Comme si j’avais besoin de ton accord pour le faire…" marmonnes-tu alors que tu abandonnes ton chien pour minimum deux bonnes heures. Tu lui lances un petit regard noir puis files dehors pour trouver ta place en voiture. Eternité, c’est le mot qui définit le mieux le voyage de chez toi au restaurant. Pas de musique, pas de conversation, juste du silence qui en disait long sur la situation. Tu n’es clairement pas prête de renouer avec ton père et de retrouver ces discussions que vous aviez avant la mort de ta mère. Alors durant tout le trajet, tu n’as fait que regarder les bâtiments qui défilaient tout en espérant que ce resto ne durerait pas trop longtemps.
La voiture qui s’arrête enfin et tu sors aussi rapidement que tu es montée. Une grande inspiration pour te préparer à vivre un long moment de ta vie. Tu n’es pas vraiment prête de te retrouver face à l’homme qui t’a éduqué. Il est clair que tu n’as plus l’habitude des petits repas en famille et autres événements de ce genre. Vous n’avez plus vraiment de choses en commun avec ton géniteur si ce n’est un deuil qui ne s’efface pas malgré le temps. Ton père tente de détendre l’atmosphère en te parlant du resto dans lequel vous vous rendez. Tu n’es pas idiote, tu as bien deviné où est ce que vous alliez… Ce n’est pas comme si le quartier était une réplique même la capitale chinoise. "Ouais, ça ira." réponds-tu froidement. T’façon que tu manges chinois, italien ou français, ça sera la même ambiance pourrie alors peu importe le restaurant. "Tant mieux, tu pourras te régaler." Tu lèves un peu les yeux au ciel face à cette joie de vivre qui t’écœure. Pourquoi sourit-il ? Que vaut cette bonne humeur ? Ouais dans le fond, ça te questionne pas mal de voir ton père réagir de cette façon malgré ton caractère de cochon.
Vous rentrez dans le restaurant et on vous place à une table. Tu gardes le silence jusqu’à ce qu’on vous apporte la carte. A ce moment là, tu fais des commentaires sur tous les plats proposés. En fait, tu n’as pas vraiment faim. A croire que ce face à face te stresse et tu aimerais bien qu’il se termine rapidement. "Pourquoi ce resto ?" demandes-tu soudainement à ton père. Autant jouer carte sur table et commencer à tout vous dire maintenant parce que cette conversation va surement durer longtemps.
La voiture qui s’arrête enfin et tu sors aussi rapidement que tu es montée. Une grande inspiration pour te préparer à vivre un long moment de ta vie. Tu n’es pas vraiment prête de te retrouver face à l’homme qui t’a éduqué. Il est clair que tu n’as plus l’habitude des petits repas en famille et autres événements de ce genre. Vous n’avez plus vraiment de choses en commun avec ton géniteur si ce n’est un deuil qui ne s’efface pas malgré le temps. Ton père tente de détendre l’atmosphère en te parlant du resto dans lequel vous vous rendez. Tu n’es pas idiote, tu as bien deviné où est ce que vous alliez… Ce n’est pas comme si le quartier était une réplique même la capitale chinoise. "Ouais, ça ira." réponds-tu froidement. T’façon que tu manges chinois, italien ou français, ça sera la même ambiance pourrie alors peu importe le restaurant. "Tant mieux, tu pourras te régaler." Tu lèves un peu les yeux au ciel face à cette joie de vivre qui t’écœure. Pourquoi sourit-il ? Que vaut cette bonne humeur ? Ouais dans le fond, ça te questionne pas mal de voir ton père réagir de cette façon malgré ton caractère de cochon.
Vous rentrez dans le restaurant et on vous place à une table. Tu gardes le silence jusqu’à ce qu’on vous apporte la carte. A ce moment là, tu fais des commentaires sur tous les plats proposés. En fait, tu n’as pas vraiment faim. A croire que ce face à face te stresse et tu aimerais bien qu’il se termine rapidement. "Pourquoi ce resto ?" demandes-tu soudainement à ton père. Autant jouer carte sur table et commencer à tout vous dire maintenant parce que cette conversation va surement durer longtemps.
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- InvitéInvité
Tout au long du trajet, je sens cette atmosphère froide, glaciale rester et s'installer durablement entre moi et ma fille. Je dois vraiment aller chercher des trésors de patience pour ne pas m'énerver contre elle. Je fais de gros effort pour me rapprocher d'elle, pour rattraper le temps perdu. Elle me reprochait justement de la délaisser et maintenant que je cherche à changer ça, elle est pas contente. Cette foutu gamine pourrie gâtée m'irrite déjà, mais je ne montre rien. Je reste calme et j'insiste en montrant un visage lumineux et souriant. Je veux qu'elle voit que je ne suis plus le même. Je ne suis plus cet alcoolique. Ça fait déjà plusieurs jours que j'ai arrêté l'alcool, que je me rends aux alcooliques anonymes. Je veux lui en parler pendant le repas aussi. Je veux tellement lui faire partager ma joie de pouvoir avoir un nouveau départ que je suis prêt à passer outre son sale caractère durant le reste de la journée si ça me permet de lui faire comprendre que j'ai changé. C'est ma fille après tout et je l'aime. C'est aussi pour ça que je décide de ne pas répondre à ses réponses cinglantes. Je ne tomberais pas dans le piège, je ne rentrerais pas dans son jeu. Donc je rentre en compagnie de ma fille dans le restaurant chinois. On est dirigé vers une petite table excentré. C'est face à face que le serveur nous amène la carte.
Mais le fait qu'elle soit pas contente d'être là est toujours palpable. D'ailleurs les commentaires sur chacun des plats en est la preuve. Je ne dis toujours rien, je ne dois pas perdre mon calme. Elle est vraiment énervante et j'ai beau faire des efforts pour garder une expression avenante, souriante et surtout heureuse, je sens l'irritation monter. Puis sa question tombe, comme un coup de marteau. Je vois à son regard qu'elle est enfin décidé à jouer franc jeu. Ça me rassure dans un sens mais l'irritation fini malgré tout par prendre le dessus sur tout le reste. Mon sourire disparaît de mon visage et je me tend machinalement à cette question. Je soupir et je fais signe au serveur d'apporter une carafe d'eau, j'ai la gorge qui se serre. Je suis inquiet de voir sa réaction. « Je voulais passer du temps avec ma fille. Je voulais me rattraper des derniers mois. Mais ce n'est pas facile quand cette dernière, ne fais aucun effort pour être un minimum agréable. » dis-je, finalement avec du reproche dans la voix. « J'avais deux bonnes nouvelles à t'annoncer. Je voulais que tu sois la première à l'apprendre... », finis-je par dire finalement avec un soupir. Je pensais exploser, mais une vive lassitude s'empare de moi. Faut croire que je m'étais trompé en pensant qu'elle cherchait l'attention de son père. « Enfin bon... Si ça te saoul tellement d'être ici, je vais te balancer la nouvelle et tu pourras rentrer. Tu seras contente comme ça. »,
Mais le fait qu'elle soit pas contente d'être là est toujours palpable. D'ailleurs les commentaires sur chacun des plats en est la preuve. Je ne dis toujours rien, je ne dois pas perdre mon calme. Elle est vraiment énervante et j'ai beau faire des efforts pour garder une expression avenante, souriante et surtout heureuse, je sens l'irritation monter. Puis sa question tombe, comme un coup de marteau. Je vois à son regard qu'elle est enfin décidé à jouer franc jeu. Ça me rassure dans un sens mais l'irritation fini malgré tout par prendre le dessus sur tout le reste. Mon sourire disparaît de mon visage et je me tend machinalement à cette question. Je soupir et je fais signe au serveur d'apporter une carafe d'eau, j'ai la gorge qui se serre. Je suis inquiet de voir sa réaction. « Je voulais passer du temps avec ma fille. Je voulais me rattraper des derniers mois. Mais ce n'est pas facile quand cette dernière, ne fais aucun effort pour être un minimum agréable. » dis-je, finalement avec du reproche dans la voix. « J'avais deux bonnes nouvelles à t'annoncer. Je voulais que tu sois la première à l'apprendre... », finis-je par dire finalement avec un soupir. Je pensais exploser, mais une vive lassitude s'empare de moi. Faut croire que je m'étais trompé en pensant qu'elle cherchait l'attention de son père. « Enfin bon... Si ça te saoul tellement d'être ici, je vais te balancer la nouvelle et tu pourras rentrer. Tu seras contente comme ça. »,
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Âge du personnage : Vingt-trois ans
Nationalité(s) : Amércaine
Signe astrologique : Taureau
Mon personnage, en 5 mots : Rebelle - Orpheline de mère - Photo - Urbex - Etudiante
Quartier de résidence : Dans la banlieue de Los Angeles
Carrière, métier ou job : Ingénieure
Études (passées ou en cours) : Ingénierie biomédicale
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Face à face, duel familial
Ce repas va être tendu et tu le sais. Le voyage entre la maison et le restaurant n’était pas vraiment amusant mais le repas le sera encore moins. Tu lui montres clairement que tu n’as pas envie d’être ici et connaissant ton père il aurait déjà réagit face à cette tronche que tu tires. Mais il fait tout le contraire, il reste calme, patient comme s’il cherchait à s’excuser, à se rattraper. Alors ça te touche un peu qu’il soit comme ça et peut-être que cela vous permettra d’apaiser les tensions et surtout d’améliorer les choses entre vous. C’est donc sans un mot et sans un regard que tu t’avances vers la table que l’on vous a réservé et tout de suite, tu mets ton nez dans la carte comme si tu ne voulais pas affronter le regard de ton père. Du moins, jusqu’à ce que tu poses l’ultime question. Celle qui te permettra de comprendre les idées de ton paternel. Sauf que cette question l’énerve, et il te remet à sa place. Discours rempli de reproches qui te fait lever les yeux au ciel.
C’est ce qui s’appelle se foutre de la gueule du monde. Tu ne vois que ça. Il n’y pense que maintenant à vouloir passer du temps avec toi. Seulement maintenant. Il aurait du y penser depuis longtemps. Quand tu l’entends, tu fronces les sourcils, tu serres fort ta serviette entre tes mains. Faire des efforts, tu te dois de faire des efforts. Il n’y pense même pas quand il dit cela. Eh bien apparemment si, et ça l’emmerde même que tu fasses la gueule. Sauf que tu n’allais pas sourire pour son bon plaisir, faire la fausse joyeuse alors que tu souffres encore énormément de la mort de ta mère et de cet abandon par ton père. Envie de lui jeter un verre d’eau à la figure et de te barrer, ce n’est clairement pas l’envie qui te manque mais tu restes à ta place, dévisageant celui qui sert de père. Tu le laisses finir même si ta réponse est déjà toute faite. Te voilà d’un coup nerveuse, agacée mais en même temps touchée. Mélange d’émotions que tu n’arrives pas du tout à contrôler. Puis vient ton tour de parler, et tu te mâches pas tes mots. "Faire un effort ? C’est ça que tu me demandes de faire ? C’est l’hôpital qui se fout de la charité là ! T’en as pas fait depuis que maman est morte ! Je me suis retrouvée chez les grands parents puis quand j’suis revenue à la maison, même pas un câlin, même pas un bisou ou un mot gentil. Y’avait que ta bouteille qui comptait !" Tu hurles surement trop fort et tant pis si tout le restaurant t’entend. "Question : t’as capté que ta fille était rentrée en deuxième année de fac ou même ça, tu ne t’en es pas préoccupé ?" Voilà, tu as tout dit ou presque. La colère redescend un peu. T’façon, tu n’arrives plus à parler, tellement tu as la gorge nouée. Tu as envie de pleurer. Alors autant te calmer et écouter la nouvelle de ton père. Tu déglutis et finis par dire "Vas-y dis tes nouvelles. Je verrai ensuite ce que je ferai." Mais tu sais déjà que tu ne partiras pas. Parce que même si t’es en colère et que tu lui en veux énormément, tu ne veux pas gâcher ce moment et souhaites retrouver le père d’antan.
C’est ce qui s’appelle se foutre de la gueule du monde. Tu ne vois que ça. Il n’y pense que maintenant à vouloir passer du temps avec toi. Seulement maintenant. Il aurait du y penser depuis longtemps. Quand tu l’entends, tu fronces les sourcils, tu serres fort ta serviette entre tes mains. Faire des efforts, tu te dois de faire des efforts. Il n’y pense même pas quand il dit cela. Eh bien apparemment si, et ça l’emmerde même que tu fasses la gueule. Sauf que tu n’allais pas sourire pour son bon plaisir, faire la fausse joyeuse alors que tu souffres encore énormément de la mort de ta mère et de cet abandon par ton père. Envie de lui jeter un verre d’eau à la figure et de te barrer, ce n’est clairement pas l’envie qui te manque mais tu restes à ta place, dévisageant celui qui sert de père. Tu le laisses finir même si ta réponse est déjà toute faite. Te voilà d’un coup nerveuse, agacée mais en même temps touchée. Mélange d’émotions que tu n’arrives pas du tout à contrôler. Puis vient ton tour de parler, et tu te mâches pas tes mots. "Faire un effort ? C’est ça que tu me demandes de faire ? C’est l’hôpital qui se fout de la charité là ! T’en as pas fait depuis que maman est morte ! Je me suis retrouvée chez les grands parents puis quand j’suis revenue à la maison, même pas un câlin, même pas un bisou ou un mot gentil. Y’avait que ta bouteille qui comptait !" Tu hurles surement trop fort et tant pis si tout le restaurant t’entend. "Question : t’as capté que ta fille était rentrée en deuxième année de fac ou même ça, tu ne t’en es pas préoccupé ?" Voilà, tu as tout dit ou presque. La colère redescend un peu. T’façon, tu n’arrives plus à parler, tellement tu as la gorge nouée. Tu as envie de pleurer. Alors autant te calmer et écouter la nouvelle de ton père. Tu déglutis et finis par dire "Vas-y dis tes nouvelles. Je verrai ensuite ce que je ferai." Mais tu sais déjà que tu ne partiras pas. Parce que même si t’es en colère et que tu lui en veux énormément, tu ne veux pas gâcher ce moment et souhaites retrouver le père d’antan.
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