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YESTERDAY'S NEWS |48
- InvitéInvité
Charles "Charly" von Bodman
Avant de commencer, nous aimerions vous poser quelques questions sur votre personnage, afin d'en savoir davantage sur les motivations qui l'animent.
L'INTERROGATOIRE
J’aimerais probablement connaître tout de mes ennemis. Avoir un coup d’avance sur eux à tout moment. Depuis que je suis en âge de comprendre qu’il existe autant de bien que de mal dans ce monde, on m’a fermement recommandé d’étudier tout ce qui pourrait me nuire, personnellement ou pas. C’est de la stratégie pure et dure mais c’est ce qui fait la réussite de ma famille. Personnellement, la famille est le dernier de mes soucis. Ce qui m’importe principalement c’est de ne pas laisser mes rivales me marcher sur les pieds en toutes circonstances.
Parfois je rêve d’une existence qui est différente de la mienne. Parfois j’aimerais revivre mes années de jeunesse et espérer qu’elles durent éternellement. Mais la plupart du temps, après avoir pensé à tout ce que j’aurais pu être, à tout ce que j’aurais pu avoir je me dis « eh mec, t’as le cul assit sur un véritable empire, qu’est-ce qui te faut de plus pour être heureux ? » Rien en fait. L’argent ne fait pas le bonheur d’après ce qu’on dit, n’empêche qu’on est toujours content d’avoir quelques billets dans son portefeuille. Tout pour dire quoi ? Je ne rêve de rien, je peux avoir tout ce que je souhaite. Et comment je me sens quand je suis au centre de tous les regards ? J’espère simplement que ces personnes savent mon nom, mon histoire.
Visiter les marchés de Noël allemands. Je vous assure il n’y a rien de plus féérique que ça, rien de plus plaisant. Ils sont inimitables et rien ne peut leur arriver à la cheville. Je dois avouer que les américains prennent aussi cette période de l’année très au sérieux, mais franchement, à part jouer sur le too much, ils n’ont aucun absolument aucun goût, aucune subtilité. Sinon je crois pouvoir affirmer que je suis en mesure d’obtenir tout ce que je souhaite pour mon bonheur, quand je veux, où je veux. Vous ai-je déjà dit que je possédais une énorme fortune ? Croyez-moi l’argent ça rend vraiment heureux.
Mes ambitions sont à mon image : complexes. Je fais partie de ceux à qui l’on n’a pas laissé le choix. Prendre le train en cours de route était quasiment une obligation et posséder des ambitions étaient quasiment une simple routine. Aujourd’hui, je ne possède plus rien qui pourrait laisser penser que j’ai la moindre ambition pour l’entreprise de mon père et encore moins pour moi-même. Quant à ma réussite ? Elle fut courte mais probablement intense jusqu’à finalement chuter brutalement.
Ce que j’ai de plus précieux est probablement mon nom. Mais il est à double tranchant. Il a fait de moi qui je suis aujourd’hui. Quelqu’un de redoutable pour qui l’on n’a pas ou très peu de sympathie. Même si j’avais été le plus saint des hommes, ce nom aurait tout de même forgé ma réputation, celle de mon père. Un homme froid, dur en affaire, venimeux. Je ne pense pas être prêt à aller très loin pour défendre ce nom qui est le mien mais ai-je vraiment le choix ? N’est-ce pas ce pour quoi j’ai vu le jour ? Je suis loin de faire honneur à ce nom qui a traversé les siècles, les époques. Peut-être même que ce dernier terminera sa course à mes côtés. Qui sait ?
Me poser cette question est comme demander à Kylie Jenner si elle apprécie la chirurgie esthétique. Qui n’aime pas titiller l’illégalité ? N’y a-t-il pas un côté délicieux à braver l’interdit ? De jouer avec le feu ? J’ai pendant longtemps tiré mon adrénaline d’affaires loufoques, glauques. Je ne m’étais jamais senti aussi vivant. C’était un genre d’aventure, de périple qui pouvait vous faire basculer à tout moment. Je ressentais diverses émotions : la crainte, l’amusement, la colère, la tristesse mais avant toute chose, l’euphorie. Cette sensation que rien ne peut vous arrêtez, cette sensation qui vous fait penser que vous êtes invincible. La drogue c’est mal, souvenez-vous en.
Je pense que j’enverrais D. Trump sur une planète quelconque où il pourrait user de sa bêtise pour faire planter son propre vaisseau. Très vite, les souvenirs de ses grossières erreurs ne seraient plus que de l’histoire ancienne. Il a beau être riche, ce mec est une véritable calamité. Il se sert simplement du monde comme d'un terrain de jeu. Mon père avait été à un de ses dîners une fois. A l'époque il n'était "juste" qu'un milliardaire. Tout ce que j'avais pu retenir c'était les horreurs qu'avait pu raconter mon paternel à son sujet.
Je suis allergique à l'arachide depuis ma naissance. Si un jour vous souhaitez élaborer mon assassinat, me faire manger de l'arachide serait probablement le moyen le plus facile pour vous d'arriver à vos fins. En effet, il me suffit de manger quelque chose qui contient de l'arachide pour gonfler et voir mon existence se réduire à la vitesse de la lumière. En fait non, c'est pas vrai. Vous y avez cru n'est-ce pas ? Vous voulez savoir quelque chose d'incroyable sur moi ? Je sors de plusieurs mois de cure de désintoxication. Cool hein ?
DERRIÈRE L'ÉCRAN
Karma : Its all my fault Prénom/pseudo : morsmordre // Liz Âge : 22 ans Anniversaire : 03/05 Localisation : BZH Présence : Le plus souvent possible Personnage ... J'ai connu le forum : LAPD Et je le trouve : C'est bon d'être à la maison ! Ma plus grande peur : La bêtise humaine. Un dernier mot ? Je s'appelle Groot.
IMAGES killer from a gang, EverythingBillSkarsgard
- InvitéInvité
FAITS DIVERS
There's no tomorrow
D’un geste désinvolte, l’héritier éponge son front. En l’entend jurer sur ces nouvelles températures en hausse qui réchauffent Los Angeles depuis plusieurs jours. Il fait croire à qui veut bien l’entendre que le soleil n’est pas son meilleur ami. Le fait est, que la vérité est tout autre. L’Allemand est installé dans un de ces fauteuils en cuir qui vous font croire que vous êtes quelqu’un d’important. Il n’est pas forcément confortable mais au moins, il donne un certain charme à celui qui est assis dedans. Face au garçon, trois personnes. Un médecin, un employé haut placé de son entreprise et enfin, sa mère, qui le jauge avec tristesse et incompréhension. Charles soupire et hausse les épaules, habitué à ce que ce trio infernal lui remonte quotidiennement les bretelles. Il n’a pas peur d’eux. Il n’a peur de personne sauf peut-être de lui-même dans ses moments les plus sombres. Un sourire en coin prend place sur ses lèvres. Il a ce regard menaçant et snobe que ces trois personnes lui connaissent bien. Seulement aujourd’hui, l’heure n’est plus à la rigolade.
- J’imagine que vous savez pourquoi nous sommes réunis aujourd’hui, Monsieur.
Charly fixe son interlocuteur. Pour simple réponse, il sort un paquet de Malboro de la poche intérieure de sa veste et porte une cigarette à ses lèvres qu’il finit par allumer, faisant durer un certain suspens que lui seul peut briser.
- Non, pas vraiment. Mais j’imagine que cela doit être important puisque ma propre mère est présente parmi nous.
Il lance un regard interrogatif à l’intéressée qui préfère détourner le regard vers la fenêtre qui se trouve à sa gauche. Elle non plus n’a plus la force d’affronter le comportement imbuvable de son fils qui, depuis quelques temps, ne prend même plus la peine de l’épargner. Le médecin de la famille décide alors de prendre la parole. Sa voix est dure et autoritaire.
- Vous êtes malade Charles. Il faut vous soigner, il faut vous faire aider et c’est pourquoi nous sommes là. Votre consommation de drogues va au-delà de ce que nous imaginions.
- Vous êtes la vitrine de cette entreprise et on ne peut pas dire que vous lui fassiez honneur depuis que vous avez décidé de foutre votre vie en l’air.
Les yeux de l’Allemand alternent entre le médecin et l’employé qui était en charge de le remplacer à chacune de ses absences. Absences qui se sont enchaînées depuis plusieurs mois, hissant presque cet homme à la tête de l’entreprise. S’il le pouvait, Charly le décapiterait probablement dans la minute mais il préfère le fusiller du regard, estimant qu’il a suffisamment de problèmes à gérer pour le moment. Il finit par se lever de ce fauteuil qui autrefois le rendait crédible devant n’importe qui. D’un pas lent mais assuré, il contourne la table de verre qui le séparait de ces trois autres personnes et vient s’asseoir face à eux, les bras croisés contre sa poitrine.
- Qui êtes-vous pour oser me descendre de la sorte ? Si vous croyez que votre place au sein de cette entreprise vous permet de me parler sur ce ton, croyez bien que je vais faire en sorte que vous redescendiez tout en bas de notre hiérarchie pour que votre seul travail quotidien soit de récurer toutes les chiottes de ce bâtiment. Quant à vous docteur, il me semble que vous n’avez pas réussi à sauver mon père du cancer alors je me passerais de votre diagnostic. Si vous continuez, n’oubliez pas que j’ai les moyens de vous moisir en pri…
- ASSEZ !
Un silence de plomb s’installe dans la pièce. Tous les regards sont portés vers cette femme qui jusqu’ici avait été plus que silencieuse. Ses yeux fixent l’héritier, son fils, qu’elle n’a pas su sauver avant qu’il n’entame sa descente aux enfers. Elle ne le reconnaît plus, elle ne sait plus qui il est vraiment, s’il y a encore une part de « Charly » dans cet être en qui la colère s’est trouvée une place de choix. « Charly » c’est elle qui avait commencé à l’appeler ainsi avant que cela ne devienne son surnom officiel. « Charly », il y a bien longtemps que plus personne ne l’a appelé ainsi, lui faisant oublier cette dernière part d’humanité qui s’accrochait encore à lui.
- Tu es une honte pour cette entreprise, tu es une honte pour notre famille, tu es une honte pour toi-même ! Regarde-toi, regarde-toi Charly ! Tu n’es même plus capable d’être présentable. Tout dans ton comportement indique que tu n’attends que ta petite dose de l’après-midi, absolument tout. Je ne suis pas idiote, je suis ta mère et je sais voir que mon fils est devenu un parfait imbécile.
- Tu sais très bien que c’est faux, lâche Charly d’un ton glacial avant d’écraser sa cigarette à peine entamer sur la moquette qui recouvre le sol de la pièce.
- Cette fois-ci tu ne gagneras pas Charles. Tu n’as plus aucun pouvoir ici, j’ai veillé à ce que tous tes accès soient bloqués.
Tout en fusillant sa mère du regard, l’Allemand déboutonne son cardigan qui, d’un coup, lui semble avoir rétréci de plusieurs tailles. Ses poings sont serrés et sa mère ne manque pas de le remarquer. D’un air provocateur, elle se lève et brise les quelques mètres qui la séparait de son fils. Ce dernier la domine d’une bonne vingtaine de centimètres, ayant toujours été le plus grand de la famille.
- Qu’est-ce que tu vas faire Charles ? Me frapper ? dit-elle avec tout le courage qui lui restait, incertaine de la réaction que pourrait avoir son propre fils.
L’héritier reste figé, surpris de voir sa mère lui tenir tête. Elle qui avait toujours vécu dans l’ombre de son mari, puis de son fils, elle reprenait finalement sa place dans la hiérarchie de cette famille déchue.
- Je suis désolé, dit-il d’une voix à peine audible.
Machinalement, il porte sa main jusqu’à son nez, essuyant les quelques gouttes de sang qui trahissaient une fois encore les excès de sa consommation. Son regard croise une dernière fois celui de sa mère avant qu’il ne décide de s’échapper, ridiculisé mais avant tout percé à jour.
- Appelez la sécurité, ne le laissez pas quitter le bâtiment. Des agents du centre d’addictologie vont le prendre en charge.
- J’imagine que vous savez pourquoi nous sommes réunis aujourd’hui, Monsieur.
Charly fixe son interlocuteur. Pour simple réponse, il sort un paquet de Malboro de la poche intérieure de sa veste et porte une cigarette à ses lèvres qu’il finit par allumer, faisant durer un certain suspens que lui seul peut briser.
- Non, pas vraiment. Mais j’imagine que cela doit être important puisque ma propre mère est présente parmi nous.
Il lance un regard interrogatif à l’intéressée qui préfère détourner le regard vers la fenêtre qui se trouve à sa gauche. Elle non plus n’a plus la force d’affronter le comportement imbuvable de son fils qui, depuis quelques temps, ne prend même plus la peine de l’épargner. Le médecin de la famille décide alors de prendre la parole. Sa voix est dure et autoritaire.
- Vous êtes malade Charles. Il faut vous soigner, il faut vous faire aider et c’est pourquoi nous sommes là. Votre consommation de drogues va au-delà de ce que nous imaginions.
- Vous êtes la vitrine de cette entreprise et on ne peut pas dire que vous lui fassiez honneur depuis que vous avez décidé de foutre votre vie en l’air.
Les yeux de l’Allemand alternent entre le médecin et l’employé qui était en charge de le remplacer à chacune de ses absences. Absences qui se sont enchaînées depuis plusieurs mois, hissant presque cet homme à la tête de l’entreprise. S’il le pouvait, Charly le décapiterait probablement dans la minute mais il préfère le fusiller du regard, estimant qu’il a suffisamment de problèmes à gérer pour le moment. Il finit par se lever de ce fauteuil qui autrefois le rendait crédible devant n’importe qui. D’un pas lent mais assuré, il contourne la table de verre qui le séparait de ces trois autres personnes et vient s’asseoir face à eux, les bras croisés contre sa poitrine.
- Qui êtes-vous pour oser me descendre de la sorte ? Si vous croyez que votre place au sein de cette entreprise vous permet de me parler sur ce ton, croyez bien que je vais faire en sorte que vous redescendiez tout en bas de notre hiérarchie pour que votre seul travail quotidien soit de récurer toutes les chiottes de ce bâtiment. Quant à vous docteur, il me semble que vous n’avez pas réussi à sauver mon père du cancer alors je me passerais de votre diagnostic. Si vous continuez, n’oubliez pas que j’ai les moyens de vous moisir en pri…
- ASSEZ !
Un silence de plomb s’installe dans la pièce. Tous les regards sont portés vers cette femme qui jusqu’ici avait été plus que silencieuse. Ses yeux fixent l’héritier, son fils, qu’elle n’a pas su sauver avant qu’il n’entame sa descente aux enfers. Elle ne le reconnaît plus, elle ne sait plus qui il est vraiment, s’il y a encore une part de « Charly » dans cet être en qui la colère s’est trouvée une place de choix. « Charly » c’est elle qui avait commencé à l’appeler ainsi avant que cela ne devienne son surnom officiel. « Charly », il y a bien longtemps que plus personne ne l’a appelé ainsi, lui faisant oublier cette dernière part d’humanité qui s’accrochait encore à lui.
- Tu es une honte pour cette entreprise, tu es une honte pour notre famille, tu es une honte pour toi-même ! Regarde-toi, regarde-toi Charly ! Tu n’es même plus capable d’être présentable. Tout dans ton comportement indique que tu n’attends que ta petite dose de l’après-midi, absolument tout. Je ne suis pas idiote, je suis ta mère et je sais voir que mon fils est devenu un parfait imbécile.
- Tu sais très bien que c’est faux, lâche Charly d’un ton glacial avant d’écraser sa cigarette à peine entamer sur la moquette qui recouvre le sol de la pièce.
- Cette fois-ci tu ne gagneras pas Charles. Tu n’as plus aucun pouvoir ici, j’ai veillé à ce que tous tes accès soient bloqués.
Tout en fusillant sa mère du regard, l’Allemand déboutonne son cardigan qui, d’un coup, lui semble avoir rétréci de plusieurs tailles. Ses poings sont serrés et sa mère ne manque pas de le remarquer. D’un air provocateur, elle se lève et brise les quelques mètres qui la séparait de son fils. Ce dernier la domine d’une bonne vingtaine de centimètres, ayant toujours été le plus grand de la famille.
- Qu’est-ce que tu vas faire Charles ? Me frapper ? dit-elle avec tout le courage qui lui restait, incertaine de la réaction que pourrait avoir son propre fils.
L’héritier reste figé, surpris de voir sa mère lui tenir tête. Elle qui avait toujours vécu dans l’ombre de son mari, puis de son fils, elle reprenait finalement sa place dans la hiérarchie de cette famille déchue.
- Je suis désolé, dit-il d’une voix à peine audible.
Machinalement, il porte sa main jusqu’à son nez, essuyant les quelques gouttes de sang qui trahissaient une fois encore les excès de sa consommation. Son regard croise une dernière fois celui de sa mère avant qu’il ne décide de s’échapper, ridiculisé mais avant tout percé à jour.
- Appelez la sécurité, ne le laissez pas quitter le bâtiment. Des agents du centre d’addictologie vont le prendre en charge.
IMAGES FEU ARDENT
- InvitéInvité
BIENVENUE CHEZ TOI CHARLEEEEEEES !
Prems
Je t'attends au tournant
Prems
Je t'attends au tournant
- InvitéInvité
- InvitéInvité
Personnellement, je pressens une relation dans les deux sens en terme de diableries
- InvitéInvité
Charlie
Tellement de (vieux) souvenirs doux Jésus. C'est loin de nous rajeunir tout ça.
Tellement de (vieux) souvenirs doux Jésus. C'est loin de nous rajeunir tout ça.
- Kai NortonReserve Unit
-
Dollars : 3751
Messages : 1975
Date d'inscription : 09/10/2017
Avatar : Adam Senn
Crédits : romanticlove
Autres comptes : Eden H. Snow & James L. Blackwell
Âge du personnage : 27 (08.01)
Nationalité(s) : Américain
Signe astrologique : Capricorne
Mon personnage, en 5 mots : Farceur - Sportif - Romantique - Attachant - Bagarreur
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : Assistant management general manager Lakers
Études (passées ou en cours) : Diplômé Management + Sport Basket
Hobby : Sportif - Son fils - Ses amis - Sa vodka
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : C'est ... compliqué
Avec : une pianiste
Je te déteste toujours autant Bienvenue dans ton nouveau chez toi
- InvitéInvité
He's back.
Contente de te voir ici
Bienvenue sur IAMF
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