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YESTERDAY'S NEWS |48
- InvitéInvité
HAVÅRD ASGEIR ELLINGSEN
b i l l i o n n a i r e b o y s c l u b
don't underestimate my ability to turn you into ruins. i will shatter you soul into pieces like you did mine, i will burn your sanctuary, destroy everything you own. don't ask the gods to help you because they're afraid of me. their fear rain upon the earth. your kingdom is over. and i will wear your crown too.
BREATHING FIRE
(FORGOTTEN NAME) håvard, il a son nom fané. håvard, au pied de l'arbre, fleur séchée de norvège ancienne. c’est ce patronyme qu’on ne dégaine qu’en société, quand on y est obligé, avec la main du paternel qui s’abat sur l’épaule, sourire forcé aux lèvres écumantes de formalisme et de champagne. håvard, ça veut rien dire en anglais, parce qu’håvard c’est cette patrie mise de côté depuis bien longtemps. on a pris l'habitude d'assurer avec rire et affabilité qu'ellingsen est tout aussi correct et plus simple; ou mieux, elli, sonnant de la douce voix de l'anonymat. (HEARTLESS GAME) les filles, il y goûte et il recrache. ce sont des belles paires de seins et des dessous explorés remplacés à vitesse effroyable. il est fort, elli, pour rendre réelle la faim avec laquelle il consume les relations toxiques. avidité qui sonne creux dans le ventre, écran de fumée. elli se dégoûte lui-même, elli a l'impression de se prendre pour un gigolo. et pourtant, il tient moins à ses préceptes que le plaisir trouvé à se faire passer pour monsieur connard en chef. douce vengeance, paraître poussé à son extrême. coincé dans une dynamique dont il n'a pas le droit de s'extraire. parce qu'elli, s'il a l'oeil pour choisir les canons de beauté... il en a rien à foutre en fait. c'est pas ça qui l'attire. ça le désespère, d'être réduit à jouer avec les femmes dans la clarté du jour pour embraser les mâles dans la nuit obscure. cette habitude est intimement liée aux punitions qui tomberaient si ses préférences étaient révélées à la clarté des regards homophobes qu'on appelle famille. (POKER FACE) il semblerait qu'elli ait toujours excellé en tout. pianiste hors paire, grimpeur agile, brillant à l'école, adroit participant au jeu des riches. ah ça oui, il est bon. il y est même très doué. paraître en société, afficher son plus beau sourire, appuyer les mentalités étriquées de hochements de tête approbateurs, soigner les egos surdimensionnés. passer des jours et des semaines entières à polir l'image renvoyée dans les coupes de cristal ambrées. elli, c'est probablement le meilleur comédien que vous ne trouverez jamais, parce qu'il a passé sa vie à mentir. il y consacre une énergie folle. à tel point qu'il a commencé à confondre sa propre peau et celles qu'il enfile les unes après les autres. peinture s'écaille. peinture blanchit. peinture s'effrite. et cette lente mise à découvert brûle de l'intérieur. ça implose lentement. il se perd, elli. doucement. la façade tombe et menace de révéler les choses laides. la fatigue, la faiblesse. la froideur, les calculs, l'impuissance, la déviance, l'énervement, les vices, la cruauté, les erreurs. l’essoufflement d'une liberté chimérique.
DERRIÈRE L'ÉCRAN
Karma : I'm a mother fucker. Prénom/pseudo : anesidora (em). Anniversaire : un mois après noël. Localisation : quelque part où les frites sont une institution et où les septante et nonante sont monnaie courante Présence : 4/7, mais ça fluctue. Personnage ... inventé. J'ai connu le forum : en le trouvant toute seule comme une grande (même si les grandes flèches clignotantes bordées d'ampoules électriques pointant vers le projet bazzart m'ont fort aiguillée). Et je le trouve : ignoble, ignoble, ignoble (mauvaise foi mise de côté, faut reconnaître qu'on peut difficilement faire plus aesthetic, pis vous avez l'air chouettes, aussi ) Ma plus grande peur :à bas les limaces. Un dernier mot ? z'êtes forts pour faire craquer les gens, avec votre forum de fifou (pis, ne sachant pas si elles se reconnaîtront, j'fais quand même coucou aux têtes que je connais déjà )
IMAGES ANESIDORA
- InvitéInvité
ERROR: NO IDENTITY
a r r o g a n t b o y
pour tous ces mots qui n'auront jamais franchi le seuil de mes lèvres. pour toutes ces phrases évanouies. pour mon silence. pour tout ce que je n'ai jamais pu te dire. pour ma colère, mes larmes, ma rancoeur et mon dégoût. pour cette relation avortée. et pour l'espoir qui renaît, toujours.
il se rappelle de son enfance avec une justesse déconcertante. comme si le cerveau avait méthodiquement enregistré chaque jour de cette période-là afin de rappeler des années plus tard à l'enfant grandi que c'est l'unique façon dont les choses ont toujours été, et que c'est comme ça que c'était sensé être. enfance. quelle drôle d'idée. enfance; ce sont des rues bordées de villas immenses, des grandes allées, des piscines derrière des barrières infinies, des dames en soie accoudées à leur balcon, martini en main. c'est la demeure au fond de ces champs élysées norvégiens, sa demeure. la plus belle, la plus blanche, la plus grande, la plus mystérieuse. ce sont des sorties mondaines par milliers, des soirs et des nuits éclairés par les lueurs au bord de l'eau. c'est l'argent. ce sont les caprices exaucés. ce sont les amitiés justifiées par les alliances parentales. ce sont les gouvernantes et les professeurs particuliers pour être le meilleur dans tout, mériter tout. dompter la langue de shakespear et celle de racine. marteler les touches noir blanc. se hisser en haut de la falaise avec une corde et deux crochets. c'est papa dieu exigeant, maman déesse approbatrice, ingvild douce et timide.
ingvild. petite ingvild. soeur presque jumelle, à peine onze mois de différence. à peine dix ans et on devine déjà qu'elle va se faire avaler toute entière par le système. trop frêle. trop rêveuse. trop timide, trop utopiste, trop généreuse. le grand frère se fait un devoir de la protéger. oh, il ne se fait pas d'illusion, le temps et les parents feront leur oeuvre, il ne se targue pas de la soustraire à ses devoirs. mais le coeur de la douce... ils ne l'auront pas.
la tempête arrive sans prévenir. elle frappe le faste et l'indécence de ces vies privilégiées d'une bourrasque soudaine, comme ça, simplement, parce que c'est ainsi que c'était sensé être. presse à scandale prête à tirer des slogans éhontés, des ennuis financiers rimant avec ellingsen, magouilles menacées d'être dévoilées en plein jour, l'hégémonie d'un roi sur le point d'éclater en mille morceaux. mais des pots de vin démesurés parviennent à juguler l'ouragan et la famille s'enfuit de justesse. rien ne s'est produit. direction londres. l'orage passe.
internat, sans surprise. avec ingvild à l'autre bout du bâtiment pour continuer de garder un oeil dessus au cas où. c'est là-bas qu'elli naît. elli, il rentre dans le moule comme demandé, et avec succès. aimable. bienveillant. de bonne famille, de bonne compagnie. brillant. populaire. elli, c'est déjà le gendre idéal à seize ans. en apparence, parce qu'il a continuellement des regards assassins braqués dans son dos. mais le norvégien s'occupe des jaloux avec la froideur de caesar condamnant à mort les gladiateurs défaits, tout comme son loup de père avant lui.
pourtant, elli, il étouffe. la cage dorée dans laquelle il a grandi et évolué l'excède de plus en plus. il regarde les dépravés avec l'oeil de l'affamé. il envie la plèbe, le manque d'argent des galériens, les craquelures dans le plafond, la vermine à la cave, les milkshakes entre amis, la vie sans faux-semblant, les festivals à cinq dollars, les repas à trois, la crasse des motels. ça se corse avec son père, de plus en plus, le tonnerre gronde à la maison. ça menace çà et là, sans vraiment de conséquences car, si le fils a le sang et le talent patriarcal dans les veines, il lui manque toute la verve et les connaissances de l'expérimenté. les regards meurtriers s'abattent en avalanche mais se révèlent bien impuissants. "tu ne devrais même pas te plaindre, après tout ce qu'on a accompli pour toi. et regarde la belle jaguar qui t'attend pour ton anniversaire, juste avec elle tu as moyen de racheter le village voisin." des mots insensés et insensibles dans la bouche d'une mère indifférente. putain d'consolation.
et puis, il y a lui. alessio. nouveau coloc de chambre. lui, c'est celui qui n'est pas à sa place. c'est le fils de rien catapulté dans le monde doré d'elli et de ses semblables. accident de voiture, décès des parents, déménagement impromptu chez des grands-parents qui n'ont que faire de ce bon à rien. alessio c'est l'mec taiseux, la violence sous-jacente, la cravate mal nouée, l'indifférence face au monde égoïste de la westminster school. et puis, elli dérive avec lui. s'entiche, s'attache, s'entache. il goûte à ce fils des gangs, décèle des saveurs insoupçonnées jusque là, n'hésite pas à plonger dans un tout autre enfer. putain d'libération. y'a les classes séchées, les traffics, les sorties, les cigarettes, la drogue passée, la drogue testée, l'adrénaline dans le sang, les limites repoussées, tout le temps. et puis, y'a l'plus, y'a cette barrière physique définitivement franchie avec le plaisir brûlant des coupables. qui aurait cru. roi et reclus unis dans la même décadence.
et puis, il y a la chute. dure chute. un des rivaux officieux d'elli qui débarque dans la chambre numéro 28 au plus mauvais moment. chairs mises à nu, sexes brandis, sachets de neige dans les armoires. les garçons se font harponner par la direction; dans les couloirs, ce sont les ragots qui fusent, les détails crus, les rires, la moquerie, le dégoût. y'a la honte. y'a le renvoi évité de justesse pour le plus chanceux et la porte pour celui qui a toujours été un intrus à westminster.
et puis, on se reprend en main. on rendosse le costume et relève le masque, avec la main du paternel qui tire les ficelles. on se fiche éperdument si la marionnette est à l'étroit dans ses liens. le désastre a été évité de justesse grâce aux relations haut placées mais maintenant, il faut remercier la charité. elli filera droit et l'affaire sera oubliée, n'est-ce pas ? d'ailleurs, elli aussi doit se faire oublier un peu, alors on l'envoie sans hésiter à l'étranger. l'aube d'un autre cycle scolaire se dessine et la voie se trace tout droit vers los angeles.
S P O I L E D K I D
il se rappelle de son enfance avec une justesse déconcertante. comme si le cerveau avait méthodiquement enregistré chaque jour de cette période-là afin de rappeler des années plus tard à l'enfant grandi que c'est l'unique façon dont les choses ont toujours été, et que c'est comme ça que c'était sensé être. enfance. quelle drôle d'idée. enfance; ce sont des rues bordées de villas immenses, des grandes allées, des piscines derrière des barrières infinies, des dames en soie accoudées à leur balcon, martini en main. c'est la demeure au fond de ces champs élysées norvégiens, sa demeure. la plus belle, la plus blanche, la plus grande, la plus mystérieuse. ce sont des sorties mondaines par milliers, des soirs et des nuits éclairés par les lueurs au bord de l'eau. c'est l'argent. ce sont les caprices exaucés. ce sont les amitiés justifiées par les alliances parentales. ce sont les gouvernantes et les professeurs particuliers pour être le meilleur dans tout, mériter tout. dompter la langue de shakespear et celle de racine. marteler les touches noir blanc. se hisser en haut de la falaise avec une corde et deux crochets. c'est papa dieu exigeant, maman déesse approbatrice, ingvild douce et timide.
L I T T L E S I S T E R
ingvild. petite ingvild. soeur presque jumelle, à peine onze mois de différence. à peine dix ans et on devine déjà qu'elle va se faire avaler toute entière par le système. trop frêle. trop rêveuse. trop timide, trop utopiste, trop généreuse. le grand frère se fait un devoir de la protéger. oh, il ne se fait pas d'illusion, le temps et les parents feront leur oeuvre, il ne se targue pas de la soustraire à ses devoirs. mais le coeur de la douce... ils ne l'auront pas.
B R O K E N C R O W N
la tempête arrive sans prévenir. elle frappe le faste et l'indécence de ces vies privilégiées d'une bourrasque soudaine, comme ça, simplement, parce que c'est ainsi que c'était sensé être. presse à scandale prête à tirer des slogans éhontés, des ennuis financiers rimant avec ellingsen, magouilles menacées d'être dévoilées en plein jour, l'hégémonie d'un roi sur le point d'éclater en mille morceaux. mais des pots de vin démesurés parviennent à juguler l'ouragan et la famille s'enfuit de justesse. rien ne s'est produit. direction londres. l'orage passe.
W E S T M I N S T E R S C H O O L
internat, sans surprise. avec ingvild à l'autre bout du bâtiment pour continuer de garder un oeil dessus au cas où. c'est là-bas qu'elli naît. elli, il rentre dans le moule comme demandé, et avec succès. aimable. bienveillant. de bonne famille, de bonne compagnie. brillant. populaire. elli, c'est déjà le gendre idéal à seize ans. en apparence, parce qu'il a continuellement des regards assassins braqués dans son dos. mais le norvégien s'occupe des jaloux avec la froideur de caesar condamnant à mort les gladiateurs défaits, tout comme son loup de père avant lui.
D A D D Y I S S U E S
pourtant, elli, il étouffe. la cage dorée dans laquelle il a grandi et évolué l'excède de plus en plus. il regarde les dépravés avec l'oeil de l'affamé. il envie la plèbe, le manque d'argent des galériens, les craquelures dans le plafond, la vermine à la cave, les milkshakes entre amis, la vie sans faux-semblant, les festivals à cinq dollars, les repas à trois, la crasse des motels. ça se corse avec son père, de plus en plus, le tonnerre gronde à la maison. ça menace çà et là, sans vraiment de conséquences car, si le fils a le sang et le talent patriarcal dans les veines, il lui manque toute la verve et les connaissances de l'expérimenté. les regards meurtriers s'abattent en avalanche mais se révèlent bien impuissants. "tu ne devrais même pas te plaindre, après tout ce qu'on a accompli pour toi. et regarde la belle jaguar qui t'attend pour ton anniversaire, juste avec elle tu as moyen de racheter le village voisin." des mots insensés et insensibles dans la bouche d'une mère indifférente. putain d'consolation.
F U C K I N G U P
et puis, il y a lui. alessio. nouveau coloc de chambre. lui, c'est celui qui n'est pas à sa place. c'est le fils de rien catapulté dans le monde doré d'elli et de ses semblables. accident de voiture, décès des parents, déménagement impromptu chez des grands-parents qui n'ont que faire de ce bon à rien. alessio c'est l'mec taiseux, la violence sous-jacente, la cravate mal nouée, l'indifférence face au monde égoïste de la westminster school. et puis, elli dérive avec lui. s'entiche, s'attache, s'entache. il goûte à ce fils des gangs, décèle des saveurs insoupçonnées jusque là, n'hésite pas à plonger dans un tout autre enfer. putain d'libération. y'a les classes séchées, les traffics, les sorties, les cigarettes, la drogue passée, la drogue testée, l'adrénaline dans le sang, les limites repoussées, tout le temps. et puis, y'a l'plus, y'a cette barrière physique définitivement franchie avec le plaisir brûlant des coupables. qui aurait cru. roi et reclus unis dans la même décadence.
F U C K E D U P
et puis, il y a la chute. dure chute. un des rivaux officieux d'elli qui débarque dans la chambre numéro 28 au plus mauvais moment. chairs mises à nu, sexes brandis, sachets de neige dans les armoires. les garçons se font harponner par la direction; dans les couloirs, ce sont les ragots qui fusent, les détails crus, les rires, la moquerie, le dégoût. y'a la honte. y'a le renvoi évité de justesse pour le plus chanceux et la porte pour celui qui a toujours été un intrus à westminster.
G R E A T D E S T I N Y
et puis, on se reprend en main. on rendosse le costume et relève le masque, avec la main du paternel qui tire les ficelles. on se fiche éperdument si la marionnette est à l'étroit dans ses liens. le désastre a été évité de justesse grâce aux relations haut placées mais maintenant, il faut remercier la charité. elli filera droit et l'affaire sera oubliée, n'est-ce pas ? d'ailleurs, elli aussi doit se faire oublier un peu, alors on l'envoie sans hésiter à l'étranger. l'aube d'un autre cycle scolaire se dessine et la voie se trace tout droit vers los angeles.
IMAGES ANESIDORA
- InvitéInvité
AHHHHHHHHHHHHHH
trop bien purée najskhdnajskhdhejslwj
C'EST TROP CHOUETTE QUE TU DÉBARQUES ICI
(j'éditerai mon post une fois sur l'ordi parce que ça bug à mort je vais nrjnrjsbskkd)
trop hâte de lire le reste
il promet ce perso, je stalkais son tableau pinterest depuis un petit bout déjà
BIENVENUE BB CHAT
trop bien purée najskhdnajskhdhejslwj
C'EST TROP CHOUETTE QUE TU DÉBARQUES ICI
(j'éditerai mon post une fois sur l'ordi parce que ça bug à mort je vais nrjnrjsbskkd)
trop hâte de lire le reste
il promet ce perso, je stalkais son tableau pinterest depuis un petit bout déjà
BIENVENUE BB CHAT
- InvitéInvité
Han je suis trop fan de ton pseudo !
Et ton avatar est canon
D'ailleurs il t'es réservé jusqu'au 16/07
Bienvenue parmi nouuuus
Et ton avatar est canon
D'ailleurs il t'es réservé jusqu'au 16/07
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- Stanley A. NovakI'm a Mother Fucker
-
Dollars : 2400
Messages : 221
Date d'inscription : 11/05/2018
Avatar : Sebastian Stan
Crédits : ichi
Âge du personnage : 33 ans.
Nationalité(s) : Roumain/américain
Signe astrologique : Lion
Mon personnage, en 5 mots : Policier, tenace, têtu, drôle, sportif.
Quartier de résidence : Northeast
Carrière, métier ou job : Sergent de police à la criminel.
Études (passées ou en cours) : Ecole de police (p)
Hobby : Cinéphile, accroc de la salle de sport.
Orientation sexuelle : Bisexuel(le)
Situation sentimentale : Célibataire (par dépit)
Bienvenue
- Felix E. BlackfieldI'm a Mother Fucker
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Dollars : 2595
Messages : 700
Date d'inscription : 12/11/2017
Avatar : Dave Franco
Crédits : smmg bae
Âge du personnage : 27 ans
Nationalité(s) : Américaine.
Signe astrologique : Lion
Mon personnage, en 5 mots : connard, fêtard, dragueur, infidèle, bagarreur.
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : hacker pour le FBI et dealer pour la mafia italienne.
Études (passées ou en cours) : Diplômé en robotique.
Hobby : les grosses beuveries bien hardcore et les femmes.
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : C'est ... compliqué
Avec : Arizona et toutes les autres femmes du monde.
Bienvenue sur IAMF !
Bon courage pour la redaction de ta fiche et amuse toi bien parmi nous
T'as bien raison les limaces c'est dégueu
Bon courage pour la redaction de ta fiche et amuse toi bien parmi nous
T'as bien raison les limaces c'est dégueu
- InvitéInvité
@pom millais-figueroa BWAHAHAHAHA MERCI MA FOLLE POUR CET ACCUEIL EN FOLIE
trop chouette d'être là aussi tkt
hâte de pouvoir (enfin) connaître ton p'tit pom
merci encore bb chat
@penny parker merciii
c'est bien noté pour l'avatar !
@danvir bennamar merci beaucoup
@arya johnson merci
@stanley a. novak merci toi
@felix e. blackfield ouais hein beurk beurk
population à éradiquer de la surface de la terre
(aaaw cet avatar que tu as là )
merci en tout cas pour l'accueil
trop chouette d'être là aussi tkt
hâte de pouvoir (enfin) connaître ton p'tit pom
merci encore bb chat
@penny parker merciii
c'est bien noté pour l'avatar !
@danvir bennamar merci beaucoup
@arya johnson merci
@stanley a. novak merci toi
@felix e. blackfield ouais hein beurk beurk
population à éradiquer de la surface de la terre
(aaaw cet avatar que tu as là )
merci en tout cas pour l'accueil
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