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YESTERDAY'S NEWS |48
- InvitéInvité
NINA LOUISE (LOU) CHAHAL
Les choses se déforment facilement quand on regarde en arrière.
Concevoir le diable comme un partisant du Mal e l'ange comme un combattant du Bien, c'est accepter la démagogie des anges. Les choses sont évidement plus compliquées. M. Kundera
Thousand voices dead at my feet
Vous voulez la définition d'une vie de merde ? Lisez mon histoire.
Je m'appelle Nina Louise, appelez moi Lou.
J'ai 28 ans.
Je suis née en Angleterre mais vis à L.A depuis presque 10 ans.
Je n'aime pas parler de moi, de ma vie, de mon passé. Je suis quelqu'un de réservé, sans être timide pour autant. Si quelque chose me dérange je n'hésiterais pas à vous le dire.
On peut me croire blasée, distante, détachée de tout. Mon humour noir et mon ironie ne sont pas pour plaire à tout le monde.
Je suis insomniaque, j'ai quelques troubles alimentaire, je fume, je bois, je consomme toute sorte de merde, sans aucun scrupule, malgré un traitement assez lourd. Je suis malade, mais je ne l'avouerais jamais. Je n'accepte pas le fait d'être bipolaire, je ne vous en parlerez jamais, à moins de circonstances exceptionnelle.
Je sens bien que je suis différente, j'ai une façon différente d'aborder les choses. Je dois constamment faire attention à ce que je lis, la musique que j'écoute, les activités au quelles je m'adonne, les gens que je fréquente... Je dois toujours garder à l'esprit que n'importe quel variation de mon état émotionnel peu me conduire à une lourde période de dépression, ou une phase maniaque tout aussi compliquée à gérer.
Je suis détective privé depuis quelques années maintenant. J'aime ce boulot qui me permet d'assouvir ma curiosité, mon besoin de venir en aide aux gens et mon goût du danger. J'aime les cas difficile, les situations compliqué. Ne venez pas me voir pour espionner votre petite amie le samedi soir, vous pouvez le faire vous même. Je suis également tatoueuse à mes heures perdues. Enfin, je passe plus de temps à me tatouer moi-même (une drogue parmi tant d'autres) mais il m'arrive de recevoir quelques clients, dans la plus grande discrétion.
Je vis dans le South, dans un petit appartement miteux. Mon bureau se trouve au rez-de-chaussé, c'est pratique. J'ai toujours une arme sur moi, un pistolet de préférence, dans la doublure de mon sac à main. Je suis loin de rouler sur l'or. Dépensière, incapable d'économiser quoi que se soit, le peu d'argent que je gagne disparaît aussitôt.
Je sais pas aimer correctement, c'est toujours trop, ou pas assez, alors je me contente de relations passagères, sans engagement. Je passe énormément de temps seule, je suis ma meilleure compagnie, mais il m'arrive de sortir de temps en temps, dans un bar, un club, à la recherche d'une occupation pour la soirée. J'ai peu d'ami, une seule personne sur qui je peux vraiment compter.
Je suis curieuse, je m'intéresse à l'art, la littérature, sous toutes ses formes, je joue du piano depuis quelques années, m'étant offert un de ces joujoux hors de prix sur un coup de tête, il faut bien que je le rentabilise.
DERRIÈRE L'ÉCRAN
Karma : [ ] It's all my fault [x] I'm a mother fucker. Prénom/pseudo : Marion/RUSH. Âge :27 ans Anniversaire : 10/07/1990 Localisation : MTP BOP A LULAPrésence : 6/7. Personnage ... [x] inventé [ ] pré-lien. J'ai connu le forum : Par d'autres membres Et je le trouve : MERVEILLEUX Ma plus grande peur : La vie. Un dernier mot ? j'vous aime tant.
IMAGES FEU ARDENT
- InvitéInvité
FAITS DIVERS
Mauvaise graine alors je mords le métal
Quand la galère te transforme en épave
Mais mauvaise graine soulèvera des montagnes
Je veux voir le mauvais chemin, déçu par nos voies
On ne confond pas l'honneur et l'orgueil
On a tous, dans le cœur, le rayonnement des supernovas
Je suis née en banlieue de Liverpool en Angleterre. Mon père était alcoolique, ma père dépressive, nous vivions dans un taudis, mon frère jumeau et moi même. J'ai peu de souvenir de mon enfance, c'est peut-être pas plus mal comme ça. Mon père était violent, et quand j'étais âgée de sept ans, il a assassiné ma mère. Il s'est enfui. La police a passé bon nombres d'années à lui courir après, il a fini sa vie derrière les barreaux d'une prison. Je ne l'ai jamais revu.
À partir de ce jour, quelques traumatismes emmagasinés, mon frère et moi avons passé de famille d'accueil en famille d'accueil, avec quelques séjours en foyer pour ponctuer le tout. On nous a rapidement séparé car, violents, dissipés, nous étions difficiles à gérer tous les deux. J'ai vu Jonah pour la dernière fois le jour de mes douze ans.
Essayez de vous construire quand vous avez perdue toute identité. J'ai été scolarisé, quelques années, tant que se fut obligatoire. Dans chaque famille ou je résidais, j'ai été bien accueilli, mais on finissait toujours par vouloir se débarrasser de moi. J'étais une enfant compliquée, comme ils aimaient tous si bien le dire, mes changement d'humeurs effrayaient certains.. J'ai grandit sans adulte référent, sans modèle parental, dans la plus parfaite instabilité. Ça forge un caractère, croyez moi.
A 17 ans ma dernière famille d'accueil a saisit que quelque chose ne clochait pas chez moi. Après plusieurs consultations chez un psychiatre, on me diagnostiquait maniaco-dépressive, bipolaire si vous préféré. Le médecin me proposait un traitement, lourd. Cette médication eu l'effet escompté pour mon entourage. Je retrouvais une humeur plus stable, j'étais plus fiable, moins dissipée... je me sentais aussi morte à l'intérieur. Alors j'ai fuit. J'ai dit merde à toute cette merde et j'ai prit mon indépendance, j'ai quitté l'Angleterre et je me suis retrouvée en Amérique. Là-bas j'ai rencontré Alex, un vagabon. Pendant six mois nous avons sillonné les routes, volant dans les stations services pour se nourrir et dormant dans sa vieille voiture. Il a finit par m'abandonner, au bord d'une route, sans un sous. J'ai regagné Los Angeles en stop. Là-bas j'ai vécu un moment sous les ponts, faisant la manche. Anéanti par l'abandon de mon ami précieux, je ne savais plus que faire de ma vie et alors que je tombais dans un épisode dépressif violent, je songeais à mettre fin à mes jours, me libérer enfin de cette vie qui ne m'avait jamais épargné. Devant l'injustice de mon sort j’eus envie de baisser les bras.
Ewan à alors croisé ma route, âgé de dix ans de plus que moi, il m'a prit sous son aile. M'offrant une chambre dans son appartement et un boulot de réceptionniste dans son salon. C'est ce qui m'a permis de me remettre sur pied. Passionnée par le dessin, je l'observais souvent travailler, fascinée par son art. J'aurai aimé avoir son talent. Le jour ou je lui en fit part il me proposa immédiatement de m'apprendre, et durant quelques mois, qui m'ont semblé les plus beau de ma vie, j'ai enfin appris quelque chose, un savoir précieux, qui me permettait de me définir, donner un peu de contenance à cette carapace vide qu'était mon corps. Il se trouvait que j'étais plutôt douée. Très rapidement je troquais le rôle de secrétaire contre celui de tatoueuse. A vingt ans, j'étais une artiste accomplie, malheureusement, j'avais oublié qu'on ne mélangeait par torchon et serviette, et je développais pour Ewan des sentiments loin d'être professionnels. L'attirance était réciproque et on se retrouva dans cette relation des plus toxique, l'amitié que nous avions était belle, et saine... Cette relation amoureuse était toute autre. Souffrant d'un complexe abandon, persuadée que je ne méritait pas d'être aimée, j'étais en couple quelqu'un d'invivable de par mon instabilité et mon manque de confiance. On se hurlait dessus à la moindre occasion, il ne se passait pas un jour sans qu'on s'accroche pour un oui, pour un non. Nos disputes étaient violentes. Nous en venions aux mains. Quelques fois, il m'a dit que j'étais folle, une sociopathe, et un beau matin, mes affaires sont passées par la fenêtre.
Je ne me souviens pas tellement de l'année qui a suivit. Ni ce que j'ai fait, ni ou j'ai vécu.. ou j'ai survécu plutôt. J'ai encore quelques flash, de soirées arrosées, de canapés squattés, d'inconnus allant et venant. J'ai sombré, dans la drogue, l'alcool, la mélancolie et je me suis réveillée un beau jour avec une espèce de rage au ventre, le cœur brûlant. J'avais la vie devant moi et j'étais talentueuse, belle que pouvait-il m'arriver de si terrible ? Le monde vibrait, chaque rayon de soleil était trop pur pour toucher cette terre et la nature si belle qu'elle en était douloureuse à regarder. Persuadée que j'avais de grande chose à accomplir, je suis retournée voir mon ex, que j'ai profondément remercié de cette expérience et je suis allée m'inscrire à l'université. Je me lançais dans des études de droits, corps et âme, espérant un jour pouvoir soulager des hommes, des femmes, des enfants, qui comme moi n'avait rien reçu d'autre de la vie que des déceptions.
Merveilleux vous allez me dire, je reprenais enfin ma vie en main. Je me trouvais un boulot à mi-temps, un appartement. Un peu miteux certes, dans un quartier plutôt mal famé, mais j'avais au moins un toit sur la tête, et la rage de vivre. Cela faisait longtemps que je n'avais pas fait une crise maniaque de cette envergure. Chaque centime gagné était aussitôt dépensé dans des conneries. Un piano hors de prix, une machine à tatouage dont je n'avais pas besoins. J'assurais mes cours à la FAC et mon boulot en m'envoyant une ligne de coke pendant chaque temps mort. Le reste du temps, je lisais des tas de livres, espérant peut-être récupérer les années perdues. Je sortais avec mes nouvelles copines de classe. D'apparence tout semblait normal, malgré un détail, je ne dormais presque plus, je m'alimentais peu et mal, et le surmenage commençait à avoir raison de moi, jusqu'au jours ou je ne pu plus me lever.
Je passais des mois au lit, je n'en garde pas grand souvenir. Mes amies m'apportaient mes cours, je leurs faisait croire que j'y travaillais, mais jamais je n'ai touché à l'ordinateur portable sur ma table de chevet. Je dormais beaucoup. Les mois qui ont suivit furent similaire, j'étais redevenue cette âme errante, sans envie de vivre.
Quand un matin je me suis réveillée tétanisée, incapable d'imaginer une suite à mon histoire, cette fois c'est moi qui suit allée chez le psy, délibérément. Je connaissais le diagnostic qui m'attendait, ses longues périodes de dépression, ces phases maniaques complètement jouissives, je les connaissaient par cœur à présent, mais j'avais toujours du mal à accepter que cette maladie fasse partie de moi... malheureusement au point ou j'en étais je me voyais incapable de fonctionner autrement alors j'ai capitulé. J'ai prit ces cachets, ces régulateurs d'humeurs, ces antipsychotiques et j'ai accepté de leur donner une chance. Le résultat à été le même... Effectivement je ne ressentais plus cette horrible douleur qui me paralysait, mais pas non plus ces joies intenses. Le psychiatre qui me suivait était étonnement adorable et j'ai senti chez lui une réelle envie de me venir en aide... c'est installé une relation de confiance entre nous, je l'ai laissé me suivre, ajuster mon traitement, j'ai suivit le mouvement.
J'avais maintenant vingt huit ans, sous traitement depuis cinq ans, j'avais tout de même fait quelques rechutes. Parfois je me levais et je balançais toutes mes pilules dans les chiottes, exaspéré par ce traitement qui me rendait ni plus ni moins heureuse. N'ayant jamais terminé mes études de droits, j'ai suivit une petite formation, plus à ma portée, afin de devenir détective privée. J'avais appris avec les années que je ne pourrais m'épanouir qu'en travaillant à mon compte. Ainsi je pouvais exercer un métier tout en aidant ceux qui en avait besoin, comme j'avais un jour rêvé de le faire. A mes heures perdues, quand j'en avais l'énergie, je faisais quelques tatouages. J'avais installé un minuscule salon dans le bureau de mon appartement, je recevais des clients, le bouche à oreille me suffisait, il fallait rester discret, car mon activité de détective privé était la seule de déclarée et légale.
Maintenant vous vous doutez qu'avec le passé que j'ai eu, mes méthodes de travail ne sont pas des plus conventionnelles, mais n'hésitez pas à me contacter !
IMAGES FEU ARDENT
- InvitéInvité
Bienvenue par ici, bon courage pour ta fiche
- Stanley A. NovakI'm a Mother Fucker
-
Dollars : 2411
Messages : 221
Date d'inscription : 11/05/2018
Avatar : Sebastian Stan
Crédits : ichi
Âge du personnage : 33 ans.
Nationalité(s) : Roumain/américain
Signe astrologique : Lion
Mon personnage, en 5 mots : Policier, tenace, têtu, drôle, sportif.
Quartier de résidence : Northeast
Carrière, métier ou job : Sergent de police à la criminel.
Études (passées ou en cours) : Ecole de police (p)
Hobby : Cinéphile, accroc de la salle de sport.
Orientation sexuelle : Bisexuel(le)
Situation sentimentale : Célibataire (par dépit)
Bienvenue !!
- InvitéInvité
Bienvenue sur le forum ^^
- InvitéInvité
Bon choix ! Trop jolie !! Rebienvenue !
- Felix E. BlackfieldI'm a Mother Fucker
-
Dollars : 2606
Messages : 700
Date d'inscription : 12/11/2017
Avatar : Dave Franco
Crédits : smmg bae
Âge du personnage : 27 ans
Nationalité(s) : Américaine.
Signe astrologique : Lion
Mon personnage, en 5 mots : connard, fêtard, dragueur, infidèle, bagarreur.
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : hacker pour le FBI et dealer pour la mafia italienne.
Études (passées ou en cours) : Diplômé en robotique.
Hobby : les grosses beuveries bien hardcore et les femmes.
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : C'est ... compliqué
Avec : Arizona et toutes les autres femmes du monde.
Hannah excellent choix !
Re bienvenue avec ce nouveau perso
Re bienvenue avec ce nouveau perso
- InvitéInvité
Re-bienvenue
- InvitéInvité
bienvenue à toi
- InvitéInvité
Bienvenue parmi nous ! :aya;
Je suis déjà fan de ta Nina (en plus elle ressemble pas mal à l'idée que j'avais pour mon TC )
PS: Ton avatar t'es automatiquement réservé jusqu'au 02/07
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