YESTERDAY'S NEWS |48
- Théodora OleszekI'm a Mother Fucker
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Dollars : 2843
Messages : 364
Date d'inscription : 09/03/2018
Avatar : zhenya katava
Crédits : velaris (avatar)
Autres comptes : zeke & ansel
Âge du personnage : vingt quatre ans
Nationalité(s) : russe & américaine
Signe astrologique : Verseau
Mon personnage, en 5 mots : blabla
Quartier de résidence : Northeast
Carrière, métier ou job : pianiste de renom.
Études (passées ou en cours) : langues et civilisations étrangères.
Hobby : boxe, sport de combat, violon, champ de tir, danse.
Orientation sexuelle : Bisexuel(le)
Situation sentimentale : C'est ... compliqué
Avec : "the boy next door"
enzora
took you like a shot
le midnight bell. les souvenirs emplissaient les murs. remontant à la surface à chaque pas faisant craquer le bois. depuis peu, elle avait retrouvé le plaisir d'entendre les conversations aux langues variées. les langues se délient et claquent dans des sonorités différentes. la russe fait claquer la sienne, et use de sa langue natale pour demander sa vodka au barman qu'elle connait si bien. son verre glisse sur le bois poli. capturé entre ses doigts, il finit sa route sur le piano. bruit mat. alors que ses mains se délient et que son fessier s'installe confortablement, à une place qu'elle a beaucoup trop choyé. quelques notes pour reprendre le pli. alors que beaucoup aurait pu penser qu'elle se mettrait à jouer une mélodie classique, ce sont les agréables accords de radioactive qui remplirent le bar. la russe trouverait quelque chose de plus entraînant dans son répertoire pour la prochaine. quelques sourires fleurirent d'un coin à l'autre du bar, certaines conversations s'arrêtaient, le temps de tendre l'oreille avant de continuer pour prendre le rythme. la russe s'envola, bercée par la mélodie chantante.
un deuxième verre. un troisième. deux mélodies plus tard. des pas qui s'approchent. les regards curieux s'affrontent, dora voit ce brun se pencher vers elle, accoudé au piano. « 'scuse moi. je me demandais, y a moyen que tu joues quelques chose pour mon pote et moi ? » elle hésitait entre beau parleur, et flirt gentil. ou tout simplement la volonté d'un morceau choisis. mais l'égo de dora considère mal la dernière théorie.« si t'arrives à descendre la vodka plus vite que moi. pourquoi pas. » un signe au barman, un doigt qui pointe son verre, puis deux autres en l'air. deux vodkas demandées à l'accueil. pures. l'homme avait sourit, confiant. surement trop embrumé par l'alcool pour se rendre compte de la pointe d'accent russe au fond de sa voix. les verres entre leurs doigts, le regard rieur d'une russe joueuse. les verres trinquent, et la vodka disparaît dans le fond de sa gorge, comme si elle avait purement et simplement jamais existé. le brun n'en était qu'à la moitié, alors que le verre de dora atteignait déjà le piano. « une prochaine fois. » sa rétine s'imprima d'un regard surpris, alors que ses pas la menèrent au bar. commander un autre verre. profiter de l'atmosphère douce du début de semaine. alors qu'elle se perchait sur l'un des tabourets du bar. à l'affût.
AVENGEDINCHAINS
@enzo caesar di malliani
le midnight bell. les souvenirs emplissaient les murs. remontant à la surface à chaque pas faisant craquer le bois. depuis peu, elle avait retrouvé le plaisir d'entendre les conversations aux langues variées. les langues se délient et claquent dans des sonorités différentes. la russe fait claquer la sienne, et use de sa langue natale pour demander sa vodka au barman qu'elle connait si bien. son verre glisse sur le bois poli. capturé entre ses doigts, il finit sa route sur le piano. bruit mat. alors que ses mains se délient et que son fessier s'installe confortablement, à une place qu'elle a beaucoup trop choyé. quelques notes pour reprendre le pli. alors que beaucoup aurait pu penser qu'elle se mettrait à jouer une mélodie classique, ce sont les agréables accords de radioactive qui remplirent le bar. la russe trouverait quelque chose de plus entraînant dans son répertoire pour la prochaine. quelques sourires fleurirent d'un coin à l'autre du bar, certaines conversations s'arrêtaient, le temps de tendre l'oreille avant de continuer pour prendre le rythme. la russe s'envola, bercée par la mélodie chantante.
un deuxième verre. un troisième. deux mélodies plus tard. des pas qui s'approchent. les regards curieux s'affrontent, dora voit ce brun se pencher vers elle, accoudé au piano. « 'scuse moi. je me demandais, y a moyen que tu joues quelques chose pour mon pote et moi ? » elle hésitait entre beau parleur, et flirt gentil. ou tout simplement la volonté d'un morceau choisis. mais l'égo de dora considère mal la dernière théorie.
@enzo caesar di malliani
- InvitéInvité
enzo
took you like a shot
Journée de merde, comme d’habitude. Je n’avais rien branlé, à part peut-être ma bite. Mais même ça je l’avais fait banalement et sans désir particulier. Voyez, la vie me rendre plus minable que je ne l’étais déjà de base. Affolant ! Le désespoir ! Surtout quand Micah me pose toujours ses questions connes sur l’avenir ou mon plus grand rêve. Non mais vraiment un un avenir ? Je n’imagine même pas l’intérieur de mon corps, je dois littéralement pourir de l’intérieur avec toutes les conneries de j’ingurgites. C’est bien ce que je souhaitais d’ailleurs, mourir rapidement à l’âge de 35 balais après avoir sniffé un bon rail de coke devant un bon navet à la télé. Ouais, je pense que ça serait une belle mort, me griller les neurones aussi rapidement et lâcher prise dans une torpeur idyllique. Non franchement, c’est une belle fin. Bon ça arrive quand ? Y’a assez de déchets sur la terre pour m’y laisser longtemps. Me suicider ? Ouais, j’y ai pensé, mais disons que je n’ai pas assez de couilles pour ça. Ouais, je suis ridicule, mais je n’ai jamais dit que j’étais intelligent et cohérent, oh ça non, je ne m’y serais jamais avancé.
Bref. Je vais aller dépenser le rester des pauvres dollars qu’ils me restent au fond des poches. Faut vraiment que je mette de côté pour ne plus seulement me contenter de brièvement boire, ahh une bonne cuite ça me manque ! Alcool, joint et chill, ça ça me plaît ! Mais bon pour l’instant ce sera un verre au bar du coin, à l’arrache avant de retourner dans cet appart miteux dans lequel je squatte et espère bien quitter rapidement. Je m’étais accoudé au comptoir et commande un verre de bon vieux whisky pas mal vieux. Ouais, il n’était pas super vieux, j’avais pas assez de flouze pour ça. Quel dommage. Trop de monde. Trop de bruit. Au moins le piano avez eu le dont de faire taire ses piliers comptoir complètement bourrés qui n’arrêtaient pas de brailler comme des cochons qu’on égorge. Je me contente de siroter mon verre avant de me retourner vers le dit piano, et cette dite go qui ne m’était pas inconnu. On ne va pas se le cacher, son joli visage je l’avais déjà vue. Je ne cherchais pas plus loin, c’était une meuf bonne comme pas mal d’autres. Je n’irais pas contre certainement pas risquer de me prendre de la vodka à la gueule comme se pauvre gars avait failli se prendre, ou peut-être que j’aurais juste aimé qu’il s’en prenne plein la gueule.
Accoudé au bar je ne dis r. Elle s’approche et commande un autre verre. Je tourne légèrement le visage vers elle. « Les russes ne sont pas compatissants envers les pauvres prépubères qui n’ont toujours pas compris qu’ils étaient gays. » Phrase de merde. Je m’en fou. Qu’elle me propose un shot de vodka et je la laisserais très certainement gagné, j’aurais bien gagné un verre d’alcool.
AVENGEDINCHAINS
@théodora oleszek
Journée de merde, comme d’habitude. Je n’avais rien branlé, à part peut-être ma bite. Mais même ça je l’avais fait banalement et sans désir particulier. Voyez, la vie me rendre plus minable que je ne l’étais déjà de base. Affolant ! Le désespoir ! Surtout quand Micah me pose toujours ses questions connes sur l’avenir ou mon plus grand rêve. Non mais vraiment un un avenir ? Je n’imagine même pas l’intérieur de mon corps, je dois littéralement pourir de l’intérieur avec toutes les conneries de j’ingurgites. C’est bien ce que je souhaitais d’ailleurs, mourir rapidement à l’âge de 35 balais après avoir sniffé un bon rail de coke devant un bon navet à la télé. Ouais, je pense que ça serait une belle mort, me griller les neurones aussi rapidement et lâcher prise dans une torpeur idyllique. Non franchement, c’est une belle fin. Bon ça arrive quand ? Y’a assez de déchets sur la terre pour m’y laisser longtemps. Me suicider ? Ouais, j’y ai pensé, mais disons que je n’ai pas assez de couilles pour ça. Ouais, je suis ridicule, mais je n’ai jamais dit que j’étais intelligent et cohérent, oh ça non, je ne m’y serais jamais avancé.
Bref. Je vais aller dépenser le rester des pauvres dollars qu’ils me restent au fond des poches. Faut vraiment que je mette de côté pour ne plus seulement me contenter de brièvement boire, ahh une bonne cuite ça me manque ! Alcool, joint et chill, ça ça me plaît ! Mais bon pour l’instant ce sera un verre au bar du coin, à l’arrache avant de retourner dans cet appart miteux dans lequel je squatte et espère bien quitter rapidement. Je m’étais accoudé au comptoir et commande un verre de bon vieux whisky pas mal vieux. Ouais, il n’était pas super vieux, j’avais pas assez de flouze pour ça. Quel dommage. Trop de monde. Trop de bruit. Au moins le piano avez eu le dont de faire taire ses piliers comptoir complètement bourrés qui n’arrêtaient pas de brailler comme des cochons qu’on égorge. Je me contente de siroter mon verre avant de me retourner vers le dit piano, et cette dite go qui ne m’était pas inconnu. On ne va pas se le cacher, son joli visage je l’avais déjà vue. Je ne cherchais pas plus loin, c’était une meuf bonne comme pas mal d’autres. Je n’irais pas contre certainement pas risquer de me prendre de la vodka à la gueule comme se pauvre gars avait failli se prendre, ou peut-être que j’aurais juste aimé qu’il s’en prenne plein la gueule.
Accoudé au bar je ne dis r. Elle s’approche et commande un autre verre. Je tourne légèrement le visage vers elle. « Les russes ne sont pas compatissants envers les pauvres prépubères qui n’ont toujours pas compris qu’ils étaient gays. » Phrase de merde. Je m’en fou. Qu’elle me propose un shot de vodka et je la laisserais très certainement gagné, j’aurais bien gagné un verre d’alcool.
@théodora oleszek
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