YESTERDAY'S NEWS |48
- Alice CollinsMEMBER OF THE MONTH
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Date d'inscription : 10/03/2018
Avatar : Emily Didonato.
Crédits : lilousilver.
Autres comptes : Aaron Campbell (ft. Henry Cavill) & Andreas Klein (ft. Marcus Hedbrandh).
Âge du personnage : 30 ans (12/08/1991).
Nationalité(s) : Américaine.
Signe astrologique : Lion
Mon personnage, en 5 mots : Passionnée. Extravertie. Franche. Joueuse. Manipulatrice.
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : Chorégraphe en danse contemporaine au Millenium Dance Complex.
Études (passées ou en cours) : Diplômée en danse à l'UCLA.
Hobby : Faire des folies.
Orientation sexuelle : Bisexuel(le)
Situation sentimentale : C'est ... compliqué
Avec : Ezekiel.
July 2018
scared to be lonely
Alice & Kai
Les papiers sont là. Sous ses yeux. Éclatants de vérité.
Ce qui aurait pu être une formalité va se révéler en réalité plus complexe et ça, Leonard Collins le frère ainé d’Alice, le lui a bien fait comprendre. Si l’on peut se marier sur un coup de tête à Las Vegas, le divorce n’est pas une procédure à prendre à la légère. Il faut constituer un dossier, engager un avocat, et se déplacer à la mairie, au tribunal. Leonard est le plus vieux de la fratrie et il est aussi le plus responsable de tous. Ses longues études de droit l’ont mené à la profession d’avocat pour les sociétés aux lourds capitaux. Néanmoins, quand Alice est venue le voir à son cabinet avec les yeux du bon dieu à qui l’on donnerait tout sans concession, il a soupiré, retroussé ses manches et finalement accepté de l’aider pour la sortir de ce mariage qu’il nomme sans le moindre embarras de «pétrin». Après tout, à côté de ses affaires internationales, cela ne représentait pas une grande masse de travail. Et puis, Alice est suffisamment chère à ses yeux pour ne pas la laisser dans cette situation. Il a vu dans son regard qu’elle s’en voulait d’avoir été idiote et irréfléchie. Cela l’a contenté en plus de l’avoir, un tant soit peu, rassuré. Leo n'est pas seulement l’aîné des Collins, il est aussi celui qui a pris, à sa façon et un peu malgré lui, le rôle du père quand ce dernier est mort.
Alice ne divorcerait pas seule. Kai est une partie intégrante de cette affaire puisqu’il est l’époux. Si elle a hâte d’en finir avec cette attache oppressante, elle ne peut néanmoins s’empêcher de ressentir une pression au niveau de son coeur, en relisant une énième fois l’acte de divorce pré-rédigé par son frère. Il ne manquait plus que leur signature sur cette lettre officielle ainsi que sur d’autres documents du dossier, et le tour serait joué. Façon de parler. Kai est un être cher pour Alice, quoi qu’en dise tous leurs détraqueurs. Elle l’apprécie pour ce qu’il est, pour cette folie qui les a menés là, entre autre. Et elle sait que le divorce ne changera rien à leur relation, tout du moins, elle l’espère...
Parce qu’elle n’a pas envie de lui apporter les papiers sous les yeux comme une brave femme qui propose dignement le divorce à son époux, elle a préféré les laisser traîner sur la table du coin cuisine, endroit où elle sait que Kai se rendra en rentrant chez lui. Ce n’est qu’une question de minute. Elle est dans le salon, sur le canapé. Elle guette de loin les feuilles, prêtes à être signées, quand la porte s’ouvre sur lui. Alors elle fait semblant de lire un magazine people. Se rendant compte qu’il est à l’envers, elle le tourne rapidement, balançant un simple « Salut ! » à l’attention du sportif. Et lorsqu’il se rapproche de la table, elle résiste forcement à l’idée de l’observer, gardant ses yeux focalisés sur le magazine.
- Kai NortonReserve Unit
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Âge du personnage : 27 (08.01)
Nationalité(s) : Américain
Signe astrologique : Capricorne
Mon personnage, en 5 mots : Farceur - Sportif - Romantique - Attachant - Bagarreur
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : Assistant management general manager Lakers
Études (passées ou en cours) : Diplômé Management + Sport Basket
Hobby : Sportif - Son fils - Ses amis - Sa vodka
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : C'est ... compliqué
Avec : une pianiste
Dure journée. Ce nouveau poste de manager lui demandait tellement d’énergie pour comprendre et appliquer tous les ordres et les directives données dans la journée, qu’il n’avait qu’une envie, s’ouvrir une bonne bière en rentrant chez lui. Ce n’était plus un soucis physique, comme celui qui l’avait poussé à arrêter le basketball en compétition, mais une sacré migraine qui l’accompagnait tous les soirs en rentrant chez lui. Coacher une dizaine de sportifs sur un terrain, rien de compliqué là-dedans, mais tronquer ce maillot pour la chemise du manager, là, c’était tout autre chose. Une vraie histoire de gestion. Une prise de gallon certaine qui n’était que le fruit de ses efforts, mais qui n’était pas aussi facile que ce que l’on pourrait croire. La moto stationnée devant la villa, il ne prit même pas la peine de la poser au garage en sachant pertinemment que dans quelques heures, le lendemain matin, il repartirait avec. Non sans souffler, il rentra enfin chez lui en jetant ses clés sur le premier meuble qu’il trouverait. « Salut » Qu’il jette à qui veut bien l’entendre alors que la voix d’Alice lui répond. Il oublierait presque qu’elle habite chez lui, même après plusieurs mois. Et encore plus qu’ils étaient mariés. Il s’était juste fait à l’idée qu’elle faisait partie de sa vie, un peu plus qu’avant.
Sans même lui demander comment elle allait, non parce que madame est en vacances donc pas besoin de lui demander ce qu’elle a pu acheter aujourd’hui en faisant flamber la carte de monsieur, il préféra opter pour la bière fraiche qui le faisait fantasmer depuis quelques heures. Il était certain d’avoir pris un coup de soleil dans le cou en revenant en moto, il avait besoin de se rafraichir, et vite. Comme une habitude, il prit place sur la table en se mettant à lire les quelques papiers au coin de celle-ci. En diagonale, histoire de s’occuper l’esprit jusqu’à ce que LE MOT le frappa. Il failli s’étrangler. « Putain » Qu’il crache dans l’air en épongeant tant bien que mal le papier et son jean par la même occasion. L’encre sous ses yeux ne sembla plus aussi nette et il du plisser les yeux pour s’assurer de ce qu’il avait lu. « C’est quoi cette merde ? » Qu’il demande à l’attention du canapé. Sa journée avait été assez merdique, il fallait que sa femme demande le divorce. Sans même en parler en face à face. Alors c’est donc comme ça. Il prit une à une les feuilles, lisant ligne après ligne avec grande attention avant de les déchirer toutes ensemble. « Je ne signe rien du tout sans conversation …. » Attrapant sa bière, il sortit dans le jardin, près de la piscine en ajoutant fortement avant de refermer la porte. « …Madame Norton ! » Il s’énervait sur elle, alors que la seule chose dont il avait besoin était de dormir. A cran. Il l’était. Et c’est elle qui en payait le prix.
Sans même lui demander comment elle allait, non parce que madame est en vacances donc pas besoin de lui demander ce qu’elle a pu acheter aujourd’hui en faisant flamber la carte de monsieur, il préféra opter pour la bière fraiche qui le faisait fantasmer depuis quelques heures. Il était certain d’avoir pris un coup de soleil dans le cou en revenant en moto, il avait besoin de se rafraichir, et vite. Comme une habitude, il prit place sur la table en se mettant à lire les quelques papiers au coin de celle-ci. En diagonale, histoire de s’occuper l’esprit jusqu’à ce que LE MOT le frappa. Il failli s’étrangler. « Putain » Qu’il crache dans l’air en épongeant tant bien que mal le papier et son jean par la même occasion. L’encre sous ses yeux ne sembla plus aussi nette et il du plisser les yeux pour s’assurer de ce qu’il avait lu. « C’est quoi cette merde ? » Qu’il demande à l’attention du canapé. Sa journée avait été assez merdique, il fallait que sa femme demande le divorce. Sans même en parler en face à face. Alors c’est donc comme ça. Il prit une à une les feuilles, lisant ligne après ligne avec grande attention avant de les déchirer toutes ensemble. « Je ne signe rien du tout sans conversation …. » Attrapant sa bière, il sortit dans le jardin, près de la piscine en ajoutant fortement avant de refermer la porte. « …Madame Norton ! » Il s’énervait sur elle, alors que la seule chose dont il avait besoin était de dormir. A cran. Il l’était. Et c’est elle qui en payait le prix.
- Alice CollinsMEMBER OF THE MONTH
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Avec : Ezekiel.
Dès qu’elle vit le faciès fatigué de Kai, Alice comprit que la tâche serait d’autant plus difficile. Parce qu’il était comme tous les autres hommes, à détester et à fuir les situations dans lesquelles ils se sentent mal. Pour autant, elle ne flancha pas, continuant à faire semblant de lire le tabloïd qui traînait sur la table basse. Des photos de Vanessa Paradis avec son nouvel époux ; il fallait admettre que cet homme avait moins de charme que Johnny, mais n’est-il pas flagrant qu’ils avaient quelque chose en commun ? Les gros titres, ceux qui haletaient le bon public de Closer dont Alice faisait parfois partie. Elle ne se cachait pas, ni elle ni son amour pour les potins. Mais sa concentration n'était pas tant focalisée sur les amours de Vanessa. Encore moins lorsque son propre mari s’agaça de ce qu’il vit. Le cœur d’Alice se mit à battre plus vite mais elle garda son sang froid. Elle s’attendait, au fond d’elle, à ce genre de réaction. Sans doute parce qu’elle le connaissait bien. Sans doute aussi parce que malgré toutes les futilités et toutes les conneries qu’ils se disaient tous les jours, l’un et l’autre savaient que leur affection commune dépassait tout le reste. Et pour cette affection, Alice ne chercha même pas à se rebeller contre l’énervement palpable de Kai. Elle répondit à son appel en se levant et en le rejoignant dehors, non sans jeter un regard désabusé vers les papiers déchirés. Est-ce que son frère serait à ça près ? Probablement pas.
Ses pieds nus la menèrent vers le rebord de la piscine où Kai était déjà assis, avec sa bière à la main. Alice mit un instant avant de s’asseoir à côté de lui, trempant ses jambes dans l’eau fraîche. « Kai... tout ça, ça n'a plus de sens. » Dit-elle simplement, les sourcils froncés. Il voulait converser, alors ils converseraient. Alice n’était pas le genre à fuir genre de situation. Elle aurait presque été le genre à adorer les disputes, mais son humeur à ce moment-là n’était pas vraiment au conflit... « Tu te souviens, quand tu m’as demandée en mariage ? » Finit-elle par dire, un sourire éphémère sur le visage, car déjà le sérieux de la situation la piquait de nouveau. Ses yeux allaient chercher ceux de son ami, avec qui il allait apparemment falloir parlementer. « Est-ce que tu pensais que ça durerait aussi longtemps ? » A cette question, il n’y avait qu’une réponse possible. Cette réponse qu’elle désirait lui arracher pour lui faire voir raison.
Ses pieds nus la menèrent vers le rebord de la piscine où Kai était déjà assis, avec sa bière à la main. Alice mit un instant avant de s’asseoir à côté de lui, trempant ses jambes dans l’eau fraîche. « Kai... tout ça, ça n'a plus de sens. » Dit-elle simplement, les sourcils froncés. Il voulait converser, alors ils converseraient. Alice n’était pas le genre à fuir genre de situation. Elle aurait presque été le genre à adorer les disputes, mais son humeur à ce moment-là n’était pas vraiment au conflit... « Tu te souviens, quand tu m’as demandée en mariage ? » Finit-elle par dire, un sourire éphémère sur le visage, car déjà le sérieux de la situation la piquait de nouveau. Ses yeux allaient chercher ceux de son ami, avec qui il allait apparemment falloir parlementer. « Est-ce que tu pensais que ça durerait aussi longtemps ? » A cette question, il n’y avait qu’une réponse possible. Cette réponse qu’elle désirait lui arracher pour lui faire voir raison.
- Kai NortonReserve Unit
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Elle a raison. Première pensée. Nouvelle gorgée. Ce n’est pas une bière qu’il aurait dû décapsuler mais un alcool fort pour lui remettre les idées en place. Ou au contraire, se laisser emporter. Et pourtant, il avait opté pour ce truc à seulement quelques degrés alcoolisés qui allait le pousser à affronter ce nouveau débat. Comme s’il n’en avait pas eu assez aujourd’hui. Il hausse simplement les épaules. Plus de sens … Si seulement il y en avait eu un à l’époque. La violence échangée avec le meilleur ami de sa femme, la soirée qui tourne au drame et tous ces regards qu’il avait affronté se heurtant à un mur de refus et de jugements. Ils ont voulu faire jaser, c’était réussi, sans nul doute. Et le plus étrange, à aucun moment Kai n’a eu de remords ou de regrets, il a toujours assumé, tout affronté, comme si tout ce qu’il avait fait pour Alice était d’une normalité, d’une banalité inscrite dans le marbre. Lorsqu’elle est venue vivre ici, sur un coup de tête. Lorsqu’il a fait les démarches auprès de son banquier pour qu’elle accède à ses comptes en banque. Cela n’a plus de sens … Alors qu’il n’y en jamais eu. Sûrement qu’il a eu besoin d’elle, sans jamais se l’avouer. La simple présence d’une femme dans sa vie, dans son quotidien, pour ne pas faiblir face à la solitude. Une nouvelle gorgée avant que ses lèvres ne s’étirent doucement. Arrachant un brin de sourire à son visage sévère d’une journée bien remplie. « Oh ça oui. » Qu’il s’en souvient. Comme si c’était hier, alors que cela faisait déjà quelques mois. Ce n’était pas la demande en mariage romantique digne des films, mais plutôt une belle connerie que même Elvis en personne aurait eu du mal à croire. Il tourne la tête délicatement vers elle en sentant son regard posé sur lui. Ses yeux s’abandonnant une seconde dans les siens. « Je ne sais pas. » Qu’il finit simplement par lâcher. Ce n’est pas ce qu’elle voulait entendre, il le sait. Il ajoute. « Je ne sais pas ce que je pensais ce jour-là, je ne sais pas ce que je voulais non plus, mais est-ce que ça durerait aussi longtemps … » Une répétition de la question, un regard vers le ciel, à la recherche du soleil avant de récupérer son attention sur son épouse. « Peut-être bien. » Un nouvel haussement d’épaules. « On était pas si mal dans ce quotidien finalement. » Il sourit tendrement, comprenant que ce moment représentait leur séparation, leur divorce, la fin d’une bonne boutade.
Une main qui se tourne, paume vers le ciel, les doigts écartés, un sourire léger. « Tu vas devoir me rendre la bague dans ce cas. » Qu’il glisse, presque désolé de lui annoncer cela. Car cette bague était le symbole de tout cela, toute cette mascarade. Et puis, ne se le cachons pas, la vendre pourrait rembourser une bonne partie des dépenses malencontreuses, telles qu’une Porsche trônant fièrement devant la villa. « Tu sais, tu peux rester vivre ici sans payer, au nom de notre amitié, la penderie restera tienne. » Une nouvelle gorgée qui termine la bouteille, comme une annonce de fierté. Avant que le bruit de verre qui se pose sur le carrelage de la piscine se fasse entendre quand la bouteille vide se pose. Un clapotis de l’eau à l’instant où la main de Kai cherche une fraicheur du liquide sous ses pieds. « J’en connais un qui va être content … » Qu’il termine, en pensant à un brun fortement blessé par cette histoire d’alliance.
Une main qui se tourne, paume vers le ciel, les doigts écartés, un sourire léger. « Tu vas devoir me rendre la bague dans ce cas. » Qu’il glisse, presque désolé de lui annoncer cela. Car cette bague était le symbole de tout cela, toute cette mascarade. Et puis, ne se le cachons pas, la vendre pourrait rembourser une bonne partie des dépenses malencontreuses, telles qu’une Porsche trônant fièrement devant la villa. « Tu sais, tu peux rester vivre ici sans payer, au nom de notre amitié, la penderie restera tienne. » Une nouvelle gorgée qui termine la bouteille, comme une annonce de fierté. Avant que le bruit de verre qui se pose sur le carrelage de la piscine se fasse entendre quand la bouteille vide se pose. Un clapotis de l’eau à l’instant où la main de Kai cherche une fraicheur du liquide sous ses pieds. « J’en connais un qui va être content … » Qu’il termine, en pensant à un brun fortement blessé par cette histoire d’alliance.
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Avec : Ezekiel.
Alice était confuse. Kai perdu. Visiblement ce n’était pas un choix à prendre aussi simple que ce qu’il aurait pu être. Si ce mariage s’était fait sur un coup de tête comme s’ils avaient été au bar se commander un verre, le divorce demandait bien plus de concertation. Le basketteur n’y voyait aucune évidence, tandis que la danseuse ne voyait aucune alternative possible. Ce n’était pas un mariage d’amour qui les liait et son cœur vibrait pour un autre homme. Aussi fou cela puisse paraître, cet amour lui rendait sa raison. Elle ne pouvait rester mariée à Kai. Ses proches s’en étaient rendu compte, que ce mariage l’avait poussée à bout de ce qu’elle pensait être une vie de rêve. Elle-même s’en était rendu compte. A l’évidence, l’argent ne faisait pas tout et il y avait bien plus important que cela. « Toi tu es peut-être bien. Moi je ne sais pas... Je ne sais plus, Kai. » Elle changeait. Ne se reconnaissait même plus. Et pourtant la vérité sortait de son cœur, car Kai était une de ces personnes en qui elle avait une confiance quasi aveugle. « On a agi par impulsion et c’était chouette... c'était même une journée et une nuit absolument géniales. Mais le retour à la réalité a été violent. » Ses discussions avec Ezekiel lui vinrent à l’esprit. Autant que sa soirée avec Lysander, qui faisait partie de ceux qui lui avaient ouvert les yeux.
Pour autant, vivre avec Kai était une bénédiction. Il était et restait cet ami fidèle sur lequel elle pouvait compter, elle était un excellent public à son humour légendaire et ils s’entendaient comme deux grands complices que l’on pourrait aisément imaginer en couple. Alice ne se réjouissait pas de s’éloigner de lui, elle se réjouissait de retrouver son nom et sa liberté officielle. Est-ce qu’il le comprenait ?
La main de Kai tendue vers elle, et cette injonction à propos du fameux bijou qu’elle avait ardemment désiré eut le don de la perturber. Elle ne s’attendait pas à ce qu’il aille jusqu’à lui demander, d’ailleurs ses mains se cramponnèrent aussitôt au rebord de la piscine. Mais à l’instar de cette dernière qui refroidissait avec les heures passant, Alice fut refroidie par la remarque de son ami. En conséquence, sa proposition suivante de rester vivre avec lui passa presque inaperçu. Il fallut que Kai mentionne un tiers individu pour qu’elle relève les yeux sur lui. Sans trop de difficulté, Alice comprit à qui il faisait référence. Elle avait eu vent de l’altercation entre les deux hommes et si ses sentiments penchaient clairement pour l’absent du jour, elle souhaita clarifier quelque chose. « Sauf que je ne divorce pour contenter personne. C’est uniquement pour moi que je le fais... Et pour toi, quoi que tu en dises. » Le regard en coin, autant que le mince sourire, Alice entreprit de se lever et de marcher le long du rebord de la piscine. Lentement, les bras légèrement levés, elle fit le tour du bassin jusqu’à se retrouver en face de Kai, un sourire aussi malicieux que défiant sur les lèvres. « Par contre. Chez moi les cadeaux, ça ne se reprend pas. Où est-ce qu’on t’a éduqué, Norton ? » Et à en voir son air mutin sur le visage, il était facile de deviner qu’elle était prête à courir s’il se mettait à lui courir après.
Pour autant, vivre avec Kai était une bénédiction. Il était et restait cet ami fidèle sur lequel elle pouvait compter, elle était un excellent public à son humour légendaire et ils s’entendaient comme deux grands complices que l’on pourrait aisément imaginer en couple. Alice ne se réjouissait pas de s’éloigner de lui, elle se réjouissait de retrouver son nom et sa liberté officielle. Est-ce qu’il le comprenait ?
La main de Kai tendue vers elle, et cette injonction à propos du fameux bijou qu’elle avait ardemment désiré eut le don de la perturber. Elle ne s’attendait pas à ce qu’il aille jusqu’à lui demander, d’ailleurs ses mains se cramponnèrent aussitôt au rebord de la piscine. Mais à l’instar de cette dernière qui refroidissait avec les heures passant, Alice fut refroidie par la remarque de son ami. En conséquence, sa proposition suivante de rester vivre avec lui passa presque inaperçu. Il fallut que Kai mentionne un tiers individu pour qu’elle relève les yeux sur lui. Sans trop de difficulté, Alice comprit à qui il faisait référence. Elle avait eu vent de l’altercation entre les deux hommes et si ses sentiments penchaient clairement pour l’absent du jour, elle souhaita clarifier quelque chose. « Sauf que je ne divorce pour contenter personne. C’est uniquement pour moi que je le fais... Et pour toi, quoi que tu en dises. » Le regard en coin, autant que le mince sourire, Alice entreprit de se lever et de marcher le long du rebord de la piscine. Lentement, les bras légèrement levés, elle fit le tour du bassin jusqu’à se retrouver en face de Kai, un sourire aussi malicieux que défiant sur les lèvres. « Par contre. Chez moi les cadeaux, ça ne se reprend pas. Où est-ce qu’on t’a éduqué, Norton ? » Et à en voir son air mutin sur le visage, il était facile de deviner qu’elle était prête à courir s’il se mettait à lui courir après.
- Kai NortonReserve Unit
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Les mots de son épouse le marquaient au fer au fur et à mesure qu’elle dictait ses paroles. Il pensa qu’au bout du compte, ce n’était peut-être pas lui qui avait le plus payé de cette union. Elle aussi, elle avait eu son lot de reproches, il n’y avait jamais vraiment pensé. Les conséquences de cet acte. A aucun moment ils n’y avaient pensé le jour où ils s’étaient dis oui, merci la tequila … Et aujourd’hui les voilà comme deux âmes perdues au bord de la piscine à se remémorer des derniers mois vécus ensemble sous ce même toit. « C’est vrai. » Qu’il décide à lâcher pour lui donner raison. Le retour à la réalité, comme elle l’appelle. « Je ne suis pas le mari idéal ça je le sais bien. » En essayant de rire tout en haussant les épaules. Alors qu’il repense à ces instants où avoir donné son nom de famille à son amie lui avait porté préjudice. Il y avait toujours eu ces personnes qui avaient saisies leur folie, Adélaïde et Helena en somme, des amies sur qui il était sûr de pouvoir compter, quoi qu’il arrive. Sans jugements de leurs parts. Et puis, il y a eu ces pertes, les dommages collatéraux. Natacha. Une boule à l’estomac et un regard affaibli de cette lumière pétillante habituelle. Elle lui avait révélé ses sentiments, il ne lui avait jamais répondu. Trop bousculé par son quotidien, il avait préféré passer outre et il l’avait perdu. Elle était partie. Seule, loin. Elle était partie et il faisait tout aujourd’hui pour avancer sans elle. Il en avait eu des Collins dans sa vie. Et il était prêt à offrir à l’une d’elle la liberté de récupérer son nom de famille et son identité. Elle le méritait Alice, pour l’avoir supporté ces mois qui se sont passés. Et même s’il ne voyait aucune urgence dans cet acte de divorce, il était prêt à lui accorder. « Je sais Alice. » Que Kai lâche face à la défense de la future Collins. Non sans ajouter, pour tenter de lui ouvrir les yeux. « Ce n’est sûrement pas que de l’amitié entre vous, ma mâchoire s’en souviens tu sais. » Et il sourit en plongeant son regard dans ceux d’Alice tout en massant sa joue machinalement. Il n’était pas aveugle et son instinct le poussait à croire en une seule chose : Ils étaient faits pour être ensemble. De son propre point de vue, de par sa ressemblance avec Ezekiel, si lui, Kai avait pu se marier avec Alice sans en être amoureux, le basketteur était sûr d’une chose, elle pourrait connaître le bonheur en étant au bras de l’espagnol. Ce n’est pas Cupidon, mais une certitude persistait de ce côté-là.
Elle se lève alors qu’il continue de se masser le visage. Son regard l’observant à chaque nouveau pas pour la voir face à lui au bout de quelques secondes. Le sourire qui habite son visage, il s’en souvient, il ressemble bien à celui qu’elle avait eu ce jour-là, sur la moto, devant son shot et face à Elvis. Cet air de défi. Et il ne peut que craquer. « On m’a éduqué à Honolulu, mais tu devrais le savoir en tant qu’épouse. » Il répond au tac au tac tout en se relevant de son côté de la piscine. Comprenant bien vite qu’il n’y avait que trop peu de possibilités pour attirer la solution souhaitée. Lui courir après, elle ne se laisserait pas prendre. Passer par la piscine, trop prévisible, pas assez rapide pour attraper la bague. Lui couper la main, assez violent comme comportement, le divorce serait effectivement un acte complètement logique. Il entreprend de faire quelques pas, doucement. « Alors tu veux garder cette bague alors que ce mariage est la faute de ce diamant ? » Qu’il demande en avançant doucement vers elle et en pointant un doigt en direction de sa main. « Si tu la gardes, pourquoi j’accepterai le divorce ? » Un sourcil relevé comme signe d’interrogation.
Cette phase d’observation sembla terminée à l’instant même où Kai entreprit un début de course pour se jeter sur Alice. Ses années d’entraînement l’aidant bien dans la rapidité de ses mouvements, il ne lui fallut que deux tours de piscine, oui elle se défend la brune mine de rien, il ne faut pas la sous-estimer. Mais c’est lui qui prend le dessus en la jetant dans l’eau sa ménagements, non sans la rejoindre dans un mouvement de force trop appuyé. Un léger « Merde » s’extirpa de ses lèvres la seconde précédant l’instant où son visage se retrouva noyé comme le reste de son corps. « Tu vas me noyer à cause de cette foutue bague ! » Qu’il hurle presque à moitié en arrosant Alice comme un gamin.
Elle se lève alors qu’il continue de se masser le visage. Son regard l’observant à chaque nouveau pas pour la voir face à lui au bout de quelques secondes. Le sourire qui habite son visage, il s’en souvient, il ressemble bien à celui qu’elle avait eu ce jour-là, sur la moto, devant son shot et face à Elvis. Cet air de défi. Et il ne peut que craquer. « On m’a éduqué à Honolulu, mais tu devrais le savoir en tant qu’épouse. » Il répond au tac au tac tout en se relevant de son côté de la piscine. Comprenant bien vite qu’il n’y avait que trop peu de possibilités pour attirer la solution souhaitée. Lui courir après, elle ne se laisserait pas prendre. Passer par la piscine, trop prévisible, pas assez rapide pour attraper la bague. Lui couper la main, assez violent comme comportement, le divorce serait effectivement un acte complètement logique. Il entreprend de faire quelques pas, doucement. « Alors tu veux garder cette bague alors que ce mariage est la faute de ce diamant ? » Qu’il demande en avançant doucement vers elle et en pointant un doigt en direction de sa main. « Si tu la gardes, pourquoi j’accepterai le divorce ? » Un sourcil relevé comme signe d’interrogation.
Cette phase d’observation sembla terminée à l’instant même où Kai entreprit un début de course pour se jeter sur Alice. Ses années d’entraînement l’aidant bien dans la rapidité de ses mouvements, il ne lui fallut que deux tours de piscine, oui elle se défend la brune mine de rien, il ne faut pas la sous-estimer. Mais c’est lui qui prend le dessus en la jetant dans l’eau sa ménagements, non sans la rejoindre dans un mouvement de force trop appuyé. Un léger « Merde » s’extirpa de ses lèvres la seconde précédant l’instant où son visage se retrouva noyé comme le reste de son corps. « Tu vas me noyer à cause de cette foutue bague ! » Qu’il hurle presque à moitié en arrosant Alice comme un gamin.
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Hobby : Faire des folies.
Orientation sexuelle : Bisexuel(le)
Situation sentimentale : C'est ... compliqué
Avec : Ezekiel.
« Mais si tu ferais un mari génial, j’en suis sûre. Ce n’est juste pas le bon mariage. Pas la bonne fille, même si quelques années en arrière j’aurais jubilé en imaginant notre union. » Avoua-t-elle en souriant, repensant à leur complicité inter-fraternité. Puis elle alla cogner doucement son épaule contre celle de Kai pour conforter ses propos. A vrai dire, si elle était tombée amoureuse de lui, elle était persuadée que leur union aurait pu être absolument géniale. Lui aussi devait s’en douter. Ils étaient sur la même longueur d'onde pour tellement de choses, des bases jusqu’aux détails les plus insignifiants de la vie, que cela ne pouvait pas être anodin. S’ils ne finiraient pas mariés l’un à l’autre, alors ils finiraient probablement amis tels qu’ils l’étaient déjà, et pas des moindres. Cela dit, et comme le supposait le basketteur, Alice se rapprochait de plus en plus d’un autre homme dont on ne cachait plus l’identité. Ezekiel n’était plus seulement son meilleur ami, la brunette ne s’entêtait désormais plus à l’affirmer et d’autant plus depuis que la mâchoire de Kai en avait payé les frais. Alice le regarda avec compassion. « Je suis désolée que tu aies subi ça Kai. » Même si elle n’aurait pas été étonnée d’entendre qu’il avait provoqué Ezekiel, il ne méritait sûrement pas de recevoir un coup. Un coup dont elle comprenait désormais la signification et cela aurait été mentir de dire que cela ne lui faisait rien. Mais Alice ne souhaitait pas parler de ses sentiments à Kai. L’heure était à l’indignation, parce qu’il venait de lui réclamer sa bague.
« Pas besoin d’être ton épouse pour tout savoir sur toi, dont le fait que t’es parfois un salaud. » Dit-elle, pleine de confiance et le sourire au visage. Elle n’était absolument pas prête à rendre ce diamant qui ornait son annulaire gauche depuis plusieurs mois déjà. Observant son ami faire quelques pas vers elle d’un air méfiant, elle prit soin de conserver une distance avec lui pour ne pas se faire surprendre. Ainsi ils avaient l’air de deux idiots à tourner autour de la piscine. « Tu rigoles ? Ce diamant est le seul point positif de ce mariage. Tu m’aimes un peu non ? Alors laisse-la moi ! » C’était plus fort qu’elle, elle commençait à rire de peur qu’il lui saute dessus. Elle était comme ça, Alice, à rire nerveusement et à ne plus pouvoir se contenter de marcher. Alors ils se mirent à courir tous les deux, peut-être deux, trois tours, jusqu’à ce qu’il la rattrape. Et tandis qu’elle se défendait, Kai la jeta à l’eau sans pitié et fut embarqué avec elle dans cette guerre bon enfant, ou presque. « Mais quel couillon ! » Lâcha Alice dans le bassin en riant, avant de s’accrocher au dos de Kai pour tenter de le couler. Quand il remontait sa tête à la surface, elle le repoussait avec ses mains pour qu’il la laisse tranquille. Mais c’était sans compter sur sa ténacité. « Approche pas ou j’te coule » Malheureusement pour elle, et elle s’en doutait bien, il serait le plus fort à ce jeu-là. Alice avait beau se débrouiller dans l’eau, Kai était le plus doué des deux dans ce domaine.
Elle nagea donc à reculons, vers le bord du bassin. Sans quitter le regard de son ami qui n’avait qu’une envie, lui arracher sa main pour retrouver sa bague. Il se rapprochait d’ailleurs dangereusement d’elle, à la façon d’un requin affamé. Mais elle ne se laisserait pas faire et il devait s’en douter. « Tu veux quelque chose en échange ? Je suis prête à négocier. » Dit-elle en haussant l’épaule avec sa malice typique. Mais à ce moment-là, elle perçut un bruit venant de loin... ou pas tant que ça. Cela ressemblait à des pleurs... des pleurs de bébé. Les yeux d’Alice s’éclairèrent et sa petite voix résonna. « Hey papa, ton fils t'appelle. » Sauvée par le gong. « Wade est déjà de mon côté. Ça promet pour plus tard. »
« Pas besoin d’être ton épouse pour tout savoir sur toi, dont le fait que t’es parfois un salaud. » Dit-elle, pleine de confiance et le sourire au visage. Elle n’était absolument pas prête à rendre ce diamant qui ornait son annulaire gauche depuis plusieurs mois déjà. Observant son ami faire quelques pas vers elle d’un air méfiant, elle prit soin de conserver une distance avec lui pour ne pas se faire surprendre. Ainsi ils avaient l’air de deux idiots à tourner autour de la piscine. « Tu rigoles ? Ce diamant est le seul point positif de ce mariage. Tu m’aimes un peu non ? Alors laisse-la moi ! » C’était plus fort qu’elle, elle commençait à rire de peur qu’il lui saute dessus. Elle était comme ça, Alice, à rire nerveusement et à ne plus pouvoir se contenter de marcher. Alors ils se mirent à courir tous les deux, peut-être deux, trois tours, jusqu’à ce qu’il la rattrape. Et tandis qu’elle se défendait, Kai la jeta à l’eau sans pitié et fut embarqué avec elle dans cette guerre bon enfant, ou presque. « Mais quel couillon ! » Lâcha Alice dans le bassin en riant, avant de s’accrocher au dos de Kai pour tenter de le couler. Quand il remontait sa tête à la surface, elle le repoussait avec ses mains pour qu’il la laisse tranquille. Mais c’était sans compter sur sa ténacité. « Approche pas ou j’te coule » Malheureusement pour elle, et elle s’en doutait bien, il serait le plus fort à ce jeu-là. Alice avait beau se débrouiller dans l’eau, Kai était le plus doué des deux dans ce domaine.
Elle nagea donc à reculons, vers le bord du bassin. Sans quitter le regard de son ami qui n’avait qu’une envie, lui arracher sa main pour retrouver sa bague. Il se rapprochait d’ailleurs dangereusement d’elle, à la façon d’un requin affamé. Mais elle ne se laisserait pas faire et il devait s’en douter. « Tu veux quelque chose en échange ? Je suis prête à négocier. » Dit-elle en haussant l’épaule avec sa malice typique. Mais à ce moment-là, elle perçut un bruit venant de loin... ou pas tant que ça. Cela ressemblait à des pleurs... des pleurs de bébé. Les yeux d’Alice s’éclairèrent et sa petite voix résonna. « Hey papa, ton fils t'appelle. » Sauvée par le gong. « Wade est déjà de mon côté. Ça promet pour plus tard. »
- Kai NortonReserve Unit
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Crédits : romanticlove
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Âge du personnage : 27 (08.01)
Nationalité(s) : Américain
Signe astrologique : Capricorne
Mon personnage, en 5 mots : Farceur - Sportif - Romantique - Attachant - Bagarreur
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : Assistant management general manager Lakers
Études (passées ou en cours) : Diplômé Management + Sport Basket
Hobby : Sportif - Son fils - Ses amis - Sa vodka
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : C'est ... compliqué
Avec : une pianiste
Une évidence. Leur relation. Même s’il n’y avait aucun amour, aucun sentiment aussi profond d’un côté ou de l’autre, cette amitié si forte et leur proximité ne pouvait faire douter personne. Ils étaient faits l’un pour l’autre. Pas besoin de bague. Pas besoin de mariage. Leur complicité suffisait. Une écriture sur un livre du destin … Une évidence. S’illustrant dans cette situation à issue unique. Une possibilité. Une solution. Le divorce. Pour le meilleur, comme pour le pire. Etrangement le pire pour certains se trouvait être le meilleur pour eux. Une retrouvaille avec la liberté, un instant où plus rien ne les attacherai officiellement. Un tournant anodin dans leur vie aux conséquences énormes. L’une se retrouvant face à l’immensité de ce qu’elle ignorait, un amour, véritable, plus loin. Aux côtés d’un autre homme. L’un face à un obstacle de la vie, un nouvel être et des sentiments refoulés. Chacun avait aidé l’autre sans le savoir, sans le vouloir. Il était temps. De tourner cette page. De changer ce livre. Il était temps dorénavant d’avancer.
« Tu ne couleras personne aujourd’hui ! » Il était certain de gagner à ce petit jeu. Et Alice aussi. Son regard plein de malice qui la dévisage alors qu’il avance lentement vers elle, la voyant reculer jusqu’au bord. « T’as peur ? » Qu’il demande. A moitié amusé. A moitié sûr de lui. Et dire que ces deux enfants se trouvaient être en pleine instance de divorce. Il y avait pire. Kai ne pensait qu’à une seule chose, et non, ce ne sont pas les papiers déchirés un peu plus tôt mais plutôt à cette bague qu’il avait payé une petite fortune. En soit, il n’en avait pas besoin. Il ne la revendrait pas. Ne l’offrirait à personne d’autre. Et ne la ramènerait pas non plus à la boutique. Il allait céder, il le savait lui-même. Mais plus il pensait qu’il allait la récupérer, plus il y croyait et plus il repoussait le moment où il laisserait sa femme repartir avec. Sa tentative de marchandage l’intéressa au plus haut point, cependant et son avancée dans la piscine s’arrêta. Interloqué. Méfiant. Il mit une seconde à répondre. « Ce que je veux ? » Qu’il demande pour être certain. Avant de lâcher en riant. « Tu ne me le donneras jamais. » Et son rire s’arrêta.
Dans cette piscine, grâce à Alice, il en avait oublié sa mauvaise journée. Mais aussi son fils. Qui se mit à pleurer. Les yeux levés au ciel. Kai se mit à jurer silencieusement. Il hésita d’abord. Mais les pleures ne s’arrêtèrent pas. Alors son regard qui se braque sur la presque plus Norton, il eut ce raisonnement. « Papa va regarder belle-maman s’occuper de Wade, vous semblez bien vous entendre. » Et il sourit innocemment. Après tout, autant savourer ces derniers instants de mariage. Avançant jusqu’au bord de la piscine, aux côtés d’Alice, il déposa un baiser sur sa joue. « Merci Maman Alice ! » Et il sortit de la piscine en prenant appui sur ses bras musclés. Un seul mouvement lui suffit. Alors que ses pas se dirigèrent vers la cuisine plutôt que l’étage où Wade continuait de pleurer. Une seconde bière serait de circonstance dans quelques instants. Une imagination suffit à Kai pour penser à une Alice répugnée face à une couche pleine. Cela valait le détour, sacré spectacle ! Et il ne voulait pas rater l'ouverture de rideaux.
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« Tu ne couleras personne aujourd’hui ! » Il était certain de gagner à ce petit jeu. Et Alice aussi. Son regard plein de malice qui la dévisage alors qu’il avance lentement vers elle, la voyant reculer jusqu’au bord. « T’as peur ? » Qu’il demande. A moitié amusé. A moitié sûr de lui. Et dire que ces deux enfants se trouvaient être en pleine instance de divorce. Il y avait pire. Kai ne pensait qu’à une seule chose, et non, ce ne sont pas les papiers déchirés un peu plus tôt mais plutôt à cette bague qu’il avait payé une petite fortune. En soit, il n’en avait pas besoin. Il ne la revendrait pas. Ne l’offrirait à personne d’autre. Et ne la ramènerait pas non plus à la boutique. Il allait céder, il le savait lui-même. Mais plus il pensait qu’il allait la récupérer, plus il y croyait et plus il repoussait le moment où il laisserait sa femme repartir avec. Sa tentative de marchandage l’intéressa au plus haut point, cependant et son avancée dans la piscine s’arrêta. Interloqué. Méfiant. Il mit une seconde à répondre. « Ce que je veux ? » Qu’il demande pour être certain. Avant de lâcher en riant. « Tu ne me le donneras jamais. » Et son rire s’arrêta.
Dans cette piscine, grâce à Alice, il en avait oublié sa mauvaise journée. Mais aussi son fils. Qui se mit à pleurer. Les yeux levés au ciel. Kai se mit à jurer silencieusement. Il hésita d’abord. Mais les pleures ne s’arrêtèrent pas. Alors son regard qui se braque sur la presque plus Norton, il eut ce raisonnement. « Papa va regarder belle-maman s’occuper de Wade, vous semblez bien vous entendre. » Et il sourit innocemment. Après tout, autant savourer ces derniers instants de mariage. Avançant jusqu’au bord de la piscine, aux côtés d’Alice, il déposa un baiser sur sa joue. « Merci Maman Alice ! » Et il sortit de la piscine en prenant appui sur ses bras musclés. Un seul mouvement lui suffit. Alors que ses pas se dirigèrent vers la cuisine plutôt que l’étage où Wade continuait de pleurer. Une seconde bière serait de circonstance dans quelques instants. Une imagination suffit à Kai pour penser à une Alice répugnée face à une couche pleine. Cela valait le détour, sacré spectacle ! Et il ne voulait pas rater l'ouverture de rideaux.
@Alice Collins
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Âge du personnage : 30 ans (12/08/1991).
Nationalité(s) : Américaine.
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Mon personnage, en 5 mots : Passionnée. Extravertie. Franche. Joueuse. Manipulatrice.
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : Chorégraphe en danse contemporaine au Millenium Dance Complex.
Études (passées ou en cours) : Diplômée en danse à l'UCLA.
Hobby : Faire des folies.
Orientation sexuelle : Bisexuel(le)
Situation sentimentale : C'est ... compliqué
Avec : Ezekiel.
Alice n’avait pas peur. A vrai dire, que craignait-elle si ce n’était, au pire des cas, perdre une bague qu’elle irait récupérer fourbement ensuite ? Elle aimait trop ces jeux dangereux qui s’instauraient toujours entre elle et lui. Elle adorait l’adrénaline qui s’infiltrait dans ses veines lorsqu’il s’approchait d’elle avec ses yeux de voyou. Elle n’attendait qu’une chose, qu’il mette son plan à exécution pour pouvoir attaquer à son tour. Il lui signifiait qu’elle ne pourrait jamais lui donner ce qu’il voulait, alors presque candidement elle répondit : « Ah et de quoi s’agit-il donc ? »Mais lorsque ses mains s’agrippèrent au mur derrière elle qui la bloquait, Wade rappela sa présence en faisant appel à l’instinct paternel de Kai.
Alice le regarda un moment, car les derniers mots qu’avait prononcé son ami n’étaient pas tout à fait innocents. Visiblement, Kai n’était pas ravi à l’idée de devoir sortir de ce bassin pour reprendre sa casquette de papa. Tellement peu qu’il invita Alice à prendre son rôle de belle-mère au sérieux. Cette dernière s’offusqua en riant à moitié. « Tu plaisantes j’espère ? » Non il ne plaisantait pas. Alice le devina très vite en l’observant se rapprocher jusqu’à déposer un baiser sur sa joue. Puis il s’échappa jusqu’à la cuisine sous le regard réprobateur de la brunette, scandalisée qu’il n’assume pas sa responsabilité dans un tel moment. Il se dégonflait et profitait d’elle. Et pour dire vrai, elle aurait encore préféré qu’il profite d’elle autrement que de cette façon-là.
Se glissant hors de l’eau non sans soupirer d’exaspération, Alice se débarrassa de sa robe trempée qui lui collait à la peau et s’essuya sommairement à l’aide d’une serviette. C’est après avoir attachée celle-ci autour de sa poitrine qu’elle traîna des pieds jusqu’à la cuisine. « Je te préviens, si je monte, c’est pour me changer, pas pour gérer ton gamin. » Ils se regardèrent en silence. Elle vit dans ses yeux une provocation, bien évidemment. Rien de bien surprenant venant de lui donc elle prit la direction de l’étage en fulminant.
Une fois sur le palier du premier étage, les pleurs de Wade se firent davantage insistants et donc pesants. Alice se dirigea vers son dressing où elle troqua sa serviette pour la première robe qu’elle trouva. Puis elle retourna dans la couloir, passa devant la chambre du bébé qui avait bien entendu que quelqu’un était là. Et clairement, Alice n’était pas encore pourvu de l’instinct maternel le plus aiguisé du monde, mais entendre pleurer cet enfant à quelques mètres d’elle lui fut tout simplement insupportable. Chose qu’elle ne s’avouerait très certainement pas, pourtant elle entrait déjà dans sa chambre et vint se pencher au-dessus de son berceau. Il avait les joues toutes rouges et semblait porter la misère du monde dans ses yeux. Alice le porta donc tout contre elle, sans une grande assurance mais avec toute la bienveillance dont elle pouvait parfois faire preuve. « Alors bonhomme, qu’est-ce qu’il t’arrive de si atroce ? » En réponse elle eut des babillements éplorés et, ce qui fut bien plus évocateur, une odeur nauséabonde venant de la couche du bébé. Le visage d’Alice se décomposa. « Sache qu’il m’arrive de détester ton père très fort. » Elle posa le petit sur sa table à langer et entreprit de changer sa couche comme elle l’avait déjà vu faire. Puis une idée merveilleuse lui vint à l’esprit. Elle termina de changer Wade en se pinçant le nez autant qu’elle le pouvait ; on aurait pu croire qu’elle était en train d’apprendre à cuisiner ou à bricoler mais ce n’était qu’un changement de couche. Lorsqu’elle eut terminé, elle prit le garçon dans ses bras puis attrapa la couche sale d’une main. Cet objet précieux termina précisément sous la couette de Kai, sous le regard fier d’une Alice vengeresse et d’un Wade tout propre.
Lorsqu’elle redescendit avec le petit dans ses bras, elle passa devant son mari qui buvait tranquillement sa bière. « Il m’a fait pitié donc je me suis occupée de lui. » Alice s’installa dans le canapé et posa Wade sur ses cuisses. Il attrapa les mains de sa mère de substitution et joua avec ses doigts. Alice s’en amusait presque mais adressa tout de même une remarque à Kai. « Au fait il y a une forte odeur là-haut. Je sais pas d’où ça vient mais c’est assez insupportable. Je vais rentrer chez moi si ça continue. » Elle jubilait déjà de sa bêtise. La prochaine fois, il y penserait à deux fois avant de la laisser gérer son propre fils seule.
Alice le regarda un moment, car les derniers mots qu’avait prononcé son ami n’étaient pas tout à fait innocents. Visiblement, Kai n’était pas ravi à l’idée de devoir sortir de ce bassin pour reprendre sa casquette de papa. Tellement peu qu’il invita Alice à prendre son rôle de belle-mère au sérieux. Cette dernière s’offusqua en riant à moitié. « Tu plaisantes j’espère ? » Non il ne plaisantait pas. Alice le devina très vite en l’observant se rapprocher jusqu’à déposer un baiser sur sa joue. Puis il s’échappa jusqu’à la cuisine sous le regard réprobateur de la brunette, scandalisée qu’il n’assume pas sa responsabilité dans un tel moment. Il se dégonflait et profitait d’elle. Et pour dire vrai, elle aurait encore préféré qu’il profite d’elle autrement que de cette façon-là.
Se glissant hors de l’eau non sans soupirer d’exaspération, Alice se débarrassa de sa robe trempée qui lui collait à la peau et s’essuya sommairement à l’aide d’une serviette. C’est après avoir attachée celle-ci autour de sa poitrine qu’elle traîna des pieds jusqu’à la cuisine. « Je te préviens, si je monte, c’est pour me changer, pas pour gérer ton gamin. » Ils se regardèrent en silence. Elle vit dans ses yeux une provocation, bien évidemment. Rien de bien surprenant venant de lui donc elle prit la direction de l’étage en fulminant.
Une fois sur le palier du premier étage, les pleurs de Wade se firent davantage insistants et donc pesants. Alice se dirigea vers son dressing où elle troqua sa serviette pour la première robe qu’elle trouva. Puis elle retourna dans la couloir, passa devant la chambre du bébé qui avait bien entendu que quelqu’un était là. Et clairement, Alice n’était pas encore pourvu de l’instinct maternel le plus aiguisé du monde, mais entendre pleurer cet enfant à quelques mètres d’elle lui fut tout simplement insupportable. Chose qu’elle ne s’avouerait très certainement pas, pourtant elle entrait déjà dans sa chambre et vint se pencher au-dessus de son berceau. Il avait les joues toutes rouges et semblait porter la misère du monde dans ses yeux. Alice le porta donc tout contre elle, sans une grande assurance mais avec toute la bienveillance dont elle pouvait parfois faire preuve. « Alors bonhomme, qu’est-ce qu’il t’arrive de si atroce ? » En réponse elle eut des babillements éplorés et, ce qui fut bien plus évocateur, une odeur nauséabonde venant de la couche du bébé. Le visage d’Alice se décomposa. « Sache qu’il m’arrive de détester ton père très fort. » Elle posa le petit sur sa table à langer et entreprit de changer sa couche comme elle l’avait déjà vu faire. Puis une idée merveilleuse lui vint à l’esprit. Elle termina de changer Wade en se pinçant le nez autant qu’elle le pouvait ; on aurait pu croire qu’elle était en train d’apprendre à cuisiner ou à bricoler mais ce n’était qu’un changement de couche. Lorsqu’elle eut terminé, elle prit le garçon dans ses bras puis attrapa la couche sale d’une main. Cet objet précieux termina précisément sous la couette de Kai, sous le regard fier d’une Alice vengeresse et d’un Wade tout propre.
Lorsqu’elle redescendit avec le petit dans ses bras, elle passa devant son mari qui buvait tranquillement sa bière. « Il m’a fait pitié donc je me suis occupée de lui. » Alice s’installa dans le canapé et posa Wade sur ses cuisses. Il attrapa les mains de sa mère de substitution et joua avec ses doigts. Alice s’en amusait presque mais adressa tout de même une remarque à Kai. « Au fait il y a une forte odeur là-haut. Je sais pas d’où ça vient mais c’est assez insupportable. Je vais rentrer chez moi si ça continue. » Elle jubilait déjà de sa bêtise. La prochaine fois, il y penserait à deux fois avant de la laisser gérer son propre fils seule.
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