YESTERDAY'S NEWS |48
- Cash Eelis HayesI'm a Mother Fucker
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Dollars : 2696
Messages : 1384
Date d'inscription : 08/04/2018
Avatar : Travis Fimmel
Crédits : shadows.
Autres comptes : nop
Âge du personnage : 32 ans
Nationalité(s) : Américaine - Finlandaise
Signe astrologique : Balance
Mon personnage, en 5 mots : voleur - manipulateur - calculateur - patient - sincère
Quartier de résidence : En dehors de Los Angeles
Carrière, métier ou job : braqueur / barman
Hobby : le jardinnage, la lecture, le VTT
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : Célibataire (par dépit)
♛ Having a bad feeling
“Tout homme qui est un vrai homme doit apprendre à rester seul au milieu de tous, à penser seul pour tous - et au besoin contre tous. ” ~ Avery&Cash
▼▲▼
Je m'étais réveillé au beau milieu de la nuit avec un mauvais pressentiment. Dans la maison, tout était calme, ce n'était pas ça qui me perturbait. Je cherchais à tâtons mon téléphone dans le noir le plus total, je le fis tomber avec vacarme de ma table de chevet et me penchais lourdement pour le récupérer, sans quitter le confort de mon lit. Petit à petit mes yeux s'habituaient à l'obscurité, mais quand j'allumais mon téléphone, la lumière bleu m'agressa les pupilles, mes paupières ne formaient plus qu'une fente, juste assez pour filtrer la lueur du téléphone, j'avais des messages non lus, des appels manqués qui s'accumulaient depuis des jours, je fis défiler, à la recherche du numéro qui m'intéressait. Je ne m'étais pas trompé, j'avais cinq appels en absence provenant du même destinataire ; un certains monsieur Baker. J'avais fait à faire avec ce type il y a quelques semaines de cela, il m'avait promis des informations d'accès à une entreprise avec la quelle il bossait, en échange d'une partie du pactole du cambriolage. J'avais confiance en ce type, il m'avait semblé vraiment réglo et suffisamment attiré par l’appât du gain pour être quelqu'un d'honnête et de fiable.
J'étais passé quelques fois chez lui et il était aussi venu à la maison ou il avait pu rencontrer mes frères, et complices. Lors de ces rencontres, il nous avait expliqué comment accéder au coffre du bâtiment, il nous avait fourni des codes, des cartes d'accès qu'il avait dérobé. Bref, il avait mit son avenir professionnel en danger pour participer à ce casse, et c'était digne de confiance, rien ne laissait présager que les choses tournerait mal. Si jamais nous nous faisions attraper (les chances étaient faibles) nous avions convenu l'un et l'autre de ne pas échanger de renseignements trop personnels. Je ne connaissais que son Nom, pas de prénom, ni de surnom, un simple numéro de portable qu'il avait acheté juste pour l'occasion nous servait pour communiquer.
Bref, c'est ce qui m'avait tiré d'un profond sommeil, une angoisse soudaine, il y avait un problème. En regardant mon téléphone, cela se confirmait. Je pousse un profond soupir, je repousse ma couette et me lève, simplement vêtu d'un caleçon, je roule un joint en vitesse sur un coin de la commode. La noir complet ne m'empêchait pas de faire ça, c'était instinctif, j'aurais pu rouler mon joint d'une seule main, les yeux fermés. Je poussais doucement la porte vitrée de mon balcon et sortit. L'air nocturne était frais mais agréable. Je soupire me laissant tomber lourdement sur un canapé d'extérieur. Je passe un long moment à fumer, observer la lune, les étoiles et profiter du silence mais ce mauvais pressentiment me rattrape et mon cœur se serre, je porte le téléphone à mon oreille et écoute les messages.
- Hayes, c'est Baker, rappelle moi.
- Hayes, répond c'est urgent.
- Bordel qu'est-ce que tu fou ?
- Je suis dans la merde Hayes, dans la grosse grosse merde...
- Bon, comment t'expliquer, je crois que quelqu'un c'est rendu compte de quelque chose.
Je raccroche, ferme les yeux un instant, espérant me réveiller. Mais ce n'est pas un putain de cauchemar, c'est vrai, nous voilà dans la merde. Enfin Baker est dans la merde, ce qui laisse une chance qu'il n'ai pas fermé sa gueule et que les flics remontent jusqu'à nous. Je n'avais pas besoin d'en savoir plus, je savais ce qui c'était passé. J'essai de le rappeler, deux fois, ça ne sonne pas, répondeur. Je tente un simple – Baker, j'ai eu tes messages je pionçais désolé, rappelle moi vite. Mais je n'y crois pas trop. Je reste une seconde à réfléchir, en tirant sur ma clope améliorée. Je n'ai pas envie de réveiller mes frères au milieu de la nuit et provoquer un mouvement de panique, j'ai besoin de parler à quelqu'un. Quelqu'un en mesure de m'expliquer ce qui se passe vraiment. Me vient alors une idée. Je pense à Avery, la fille de Baker. Je l'avais rencontré quelques fois, c'était une fille sympa. Nous avions fini par échanger nos numéros de téléphone, espérant se voir dans d'autres circonstances.
Je fouille dans mes contacts et retrouve son numéro. Je fais sonné, espérant que cet appel nocturne ne la mette pas en rogne. Enfin, si son père c'était fait coffrer, ce n'était sûrement pas le coup de fil qui la mettrait en rogne. Pas de réponse, elle devait dormir... Ou elle était au poste avec son père. Cette idée me glaça le sang. Non, pas à cette heure. Me pointer chez eux était ma seule option. Je terminais mon joint et revint dans ma chambre ou j'entrepris de me préparer à toute vitesse. Tel un adolescent faisant le mur, je quittais la maison en catimini, espérant ne réveiller personne. Je pris mon VTT, moyen de transport silencieux, discret, rapide. Je pédalais comme un fou, prenant les routes les plus secondaires, comptant sur les lueur stellaires pour m'indiquer le chemin. Je m'arrêtais à une cinquantaine de mètre de la maison, m'assurant qu'il n'y avait aucun agent de sécurité en planque quelque part. Je ne savais ce que Baker avait pu leur raconter, il fallait être prudent. Je laissais tomber mon vélo dans la pelouse, la voie était libre. Il était quatre heure du matin quand je frappais à la porte. L'attente sembla interminable mais finalement quelqu'un ouvrit, lentement. J'imaginais qu'elle avait déjà pu voir mon visage à travers l'oeil de bœuf. Avery se tenait dans l'embrasure de la porte, et vu sa tête je compris que le pire était arrivé. Incapable de dire si je la réveillais ou non je lançais un faible – Salut... Désolé de te déranger. T'es seule? Un peu honteux de cette visite plus que tardive.
J'étais passé quelques fois chez lui et il était aussi venu à la maison ou il avait pu rencontrer mes frères, et complices. Lors de ces rencontres, il nous avait expliqué comment accéder au coffre du bâtiment, il nous avait fourni des codes, des cartes d'accès qu'il avait dérobé. Bref, il avait mit son avenir professionnel en danger pour participer à ce casse, et c'était digne de confiance, rien ne laissait présager que les choses tournerait mal. Si jamais nous nous faisions attraper (les chances étaient faibles) nous avions convenu l'un et l'autre de ne pas échanger de renseignements trop personnels. Je ne connaissais que son Nom, pas de prénom, ni de surnom, un simple numéro de portable qu'il avait acheté juste pour l'occasion nous servait pour communiquer.
Bref, c'est ce qui m'avait tiré d'un profond sommeil, une angoisse soudaine, il y avait un problème. En regardant mon téléphone, cela se confirmait. Je pousse un profond soupir, je repousse ma couette et me lève, simplement vêtu d'un caleçon, je roule un joint en vitesse sur un coin de la commode. La noir complet ne m'empêchait pas de faire ça, c'était instinctif, j'aurais pu rouler mon joint d'une seule main, les yeux fermés. Je poussais doucement la porte vitrée de mon balcon et sortit. L'air nocturne était frais mais agréable. Je soupire me laissant tomber lourdement sur un canapé d'extérieur. Je passe un long moment à fumer, observer la lune, les étoiles et profiter du silence mais ce mauvais pressentiment me rattrape et mon cœur se serre, je porte le téléphone à mon oreille et écoute les messages.
- Hayes, c'est Baker, rappelle moi.
- Hayes, répond c'est urgent.
- Bordel qu'est-ce que tu fou ?
- Je suis dans la merde Hayes, dans la grosse grosse merde...
- Bon, comment t'expliquer, je crois que quelqu'un c'est rendu compte de quelque chose.
Je raccroche, ferme les yeux un instant, espérant me réveiller. Mais ce n'est pas un putain de cauchemar, c'est vrai, nous voilà dans la merde. Enfin Baker est dans la merde, ce qui laisse une chance qu'il n'ai pas fermé sa gueule et que les flics remontent jusqu'à nous. Je n'avais pas besoin d'en savoir plus, je savais ce qui c'était passé. J'essai de le rappeler, deux fois, ça ne sonne pas, répondeur. Je tente un simple – Baker, j'ai eu tes messages je pionçais désolé, rappelle moi vite. Mais je n'y crois pas trop. Je reste une seconde à réfléchir, en tirant sur ma clope améliorée. Je n'ai pas envie de réveiller mes frères au milieu de la nuit et provoquer un mouvement de panique, j'ai besoin de parler à quelqu'un. Quelqu'un en mesure de m'expliquer ce qui se passe vraiment. Me vient alors une idée. Je pense à Avery, la fille de Baker. Je l'avais rencontré quelques fois, c'était une fille sympa. Nous avions fini par échanger nos numéros de téléphone, espérant se voir dans d'autres circonstances.
Je fouille dans mes contacts et retrouve son numéro. Je fais sonné, espérant que cet appel nocturne ne la mette pas en rogne. Enfin, si son père c'était fait coffrer, ce n'était sûrement pas le coup de fil qui la mettrait en rogne. Pas de réponse, elle devait dormir... Ou elle était au poste avec son père. Cette idée me glaça le sang. Non, pas à cette heure. Me pointer chez eux était ma seule option. Je terminais mon joint et revint dans ma chambre ou j'entrepris de me préparer à toute vitesse. Tel un adolescent faisant le mur, je quittais la maison en catimini, espérant ne réveiller personne. Je pris mon VTT, moyen de transport silencieux, discret, rapide. Je pédalais comme un fou, prenant les routes les plus secondaires, comptant sur les lueur stellaires pour m'indiquer le chemin. Je m'arrêtais à une cinquantaine de mètre de la maison, m'assurant qu'il n'y avait aucun agent de sécurité en planque quelque part. Je ne savais ce que Baker avait pu leur raconter, il fallait être prudent. Je laissais tomber mon vélo dans la pelouse, la voie était libre. Il était quatre heure du matin quand je frappais à la porte. L'attente sembla interminable mais finalement quelqu'un ouvrit, lentement. J'imaginais qu'elle avait déjà pu voir mon visage à travers l'oeil de bœuf. Avery se tenait dans l'embrasure de la porte, et vu sa tête je compris que le pire était arrivé. Incapable de dire si je la réveillais ou non je lançais un faible – Salut... Désolé de te déranger. T'es seule? Un peu honteux de cette visite plus que tardive.
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