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YESTERDAY'S NEWS |48
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persephone « poppy » beauregard-lovett
you smell like love
elle se promenait, sourire insolent, comme la reine des étoiles. à travers sa robe de lune, on apercevait, d’un œil amoureux, des galaxies pulser au-dedans de ses côtes, dilatant sa cage thoracique et emplissant ses poumons d’un air qui ne venait pas d’ici. son âme était étrangère à cette terre sans poésie. ici-bas, dans le monde ordinaire, elle s’ennuyait du soleil.
L'INTERROGATOIRE
les corps célestes : elle les a toujours aimés. il y a quelque chose d’étrangement séduisant dans l’idée de n’être rien de plus qu’un grain de sable dans le vide intersidéral de l’univers. dans les yeux de poppy, le macrocosme – comme tant d’autres choses – n’est que poésie. les galaxies titanesques, les comètes embrasés, les soleils lointains implosant sous l’effet de leur propre poids ; tous ces phénomènes et éléments cosmiques rentrent dans une esthétique qui ne peut qu’attirer l’attention. il faudrait être fou, stupide ou vraiment très triste pour ne pas en tomber amoureux. pourtant pas particulièrement intelligente ou studieuse, poppy peut passer des heures à étudier les constellations. elle peut sans problème disparaître pendant quelques jours, juste assez de temps pour se perdre au milieu des livres d’astronomie, entre les satellites de jupiter et la ceinture d’astéroïdes. comme elle aimerait les connaitre mieux tous ces somptueux objets célestes. tous ces splendides objets célestes. tous ces étranges, toutefois fascinants objets célestes.
idéaliste est celle qui voit ses rêves, non pas comme une possibilité au bout du chemin mais comme une destination bien tracée sur la carte. toutes ces grandes notions que les philosophes se tuent à expliquer et dont les poètes s’inspirent : amour, bonheur, paix – avec des lettres majuscules – elle désire les faire sienne. poppy est une utopiste. certains diraient juste que c’est une idiote. l’un n’empêche probablement pas l’autre. son dilemme, le voilà : c’est qu’elle ne peut s’empêcher de voir le monde comme il pourrait être : coloré, paisible, onirique plutôt que comme il est : incroyablement banal. alors poppy rêve de grandeur et de belles histoires. elle s’endort en pensant au grand amour auquel elle croit dur comme fer. elle se réveille et s’étire, la sensation de jours nouveaux comme un petit orage au bout des doigts. elle sourit, l’air déjà triomphant à l’idée d’une société en paix, amoureuse et tranquille. poppy veut sauver le monde. poppy doit sauver le monde. les énigmes de tous sont son énigme. sa compassion la rend bien trop sensible. ses idéaux sont purs, certes, mais au vu de leur caractère impossible, ils ne sont que futilités. a quoi servent-elles, ces pensées visionnaires si personne d’autre n’est assez fou pour y croire ? et ça fait rire les gens, parfois, quand poppy leur raconte ses ambitieux désirs. ils lui crient – occasionnellement lui crachent – qu’elle n’est qu’un songe-creux imbécile ; qu’elle est de ceux qui n’ont pas la modestie d’avoir des rêves raisonnables : des rêves de poches pour les trouillards. mais rien n’effraie l’âme d’optimiste. car poppy n’est pas raisonnable. comment pourrait-elle l’être ? la raison est d’un tel ennui. les regards qu’ils soient plein d’admiration ou de mépris ne la dérangent pas. elle marche toujours la tête haute, gracieuse comme le cerf, fière comme le lion. qu’on la regarde, qu’on la juge, qu’on la montre du doigt. elle répondra toujours avec un sourire. ainsi va la vie de bohème. avec quelques mots magiques et des envies folles, quelque fois, on arrive à sortir mieux que bien.
poppy n’a qu’une idée en tête, c’est de trouver du sens. le sens de la vie, une raison, un quelque chose de vraiment important qui transcenderait au-delà même de notre compréhension. obsédée par tout ce qui est métaphysique, c’est avec des yeux de philosophes qu’elle décide parfois d’aborder le monde. tous les jours, c’est la course à la vérité vraie, celle qui brûle si on ose la regarder dans les yeux. c’est une quête – que dis-je – c’est une vraie croisade pour les réponses, toutes les réponses. et pourtant, sur la route qui mène à un bonheur si pur qu’on ne pourrait qu’en rêver, poppy prend son temps. elle ne court ni ne se précipite. elle admire les fleurs et le coucher du soleil au bord du chemin. peut-être que le secret du bonheur, c’est de le chercher. peut-être qu’être heureux, c’est se lever un matin encore, sous la bénédiction des étoiles cachées dans le ciel bleu. ni fioritures ni ornements inutiles dans la vie des cœurs ardents. la quête spirituelle prend toute la place. elle remplit l’estomac d’un sentiment de béatitude jusqu’aux bords des lèvres et le surplus s’évanouit dans un sourire. la félicité est la carte et le trésor. c’est vrai qu’elle n’est pas très futée, poppy mais écoutez-la quand elle vous dit dans un sourire que le secret du bonheur, c’est juste d’être heureux.
des ambitions légères : être en vie, c’est déjà bien. et sa mère qui criserait si elle entendait ça. poppy a des envies simples, ce n’est pas encore l’heure de conquérir le monde. courir derrière le succès, c’est ce que font les autres et les autres sont d’un tel ennui, qui voudrait faire pareil ? les louanges ne l’intéressent guère, la célébrité ne l’impressionne pas, l’argent n’est pas motivateur. et c’est vrai que c’est bien idyllique de penser comme ça : orgueil de hippie que de se croire au-dessus de tout ce qui motive la société. mais même la société s’endort sur ses principes matérialistes. ça fait des siècles qu’on poursuit la réjouissance éphémère de rétributions vides de sens et pourtant, ça nous a pas rendu heureux pour autant. toujours autant de popstars qui finissent par haïr leur vie, toujours autant de milliardaires qui se consolent de l’absence de sens dans la brève étreinte de l’alcool. alors poppy hausse les épaules. alors poppy secoue la tête. pas d’impressionnantes aspirations professionnelles à déclarer. mais peut-être que demain, elle écrira un poème. et c’est comme ça qu’il faut vivre, paraîtrait que ça rendrait joyeux. bien sûr, nul doute que la réussite est jolie, elle se marie à merveille avec les doutes et l’écrasant besoin d’accomplissement. mais n’oublions pas que les plus belles choses de ce monde sont aussi les plus inutiles. le succès des plus présomptueux hurle, poppy se contente de sa liberté qui murmure. l’affranchissement ne fait pas beaucoup de bruit, mais pour le cœur vaillant, il chante. et là voilà donc au-dessus de la foule, perchée sur un petit nuage. ni médailles, ni couronne, ni or, ni encensement. si la vie est un champ, allons-y pieds nus. et quant à son plus grand succès, ce serait triste d’en avoir. hiérarchiser sa fortune, c’est encore le meilleur de se décevoir.
tenir ses promesses ou mourir en essayant. être fier, être fort, être fidèle. quand il s’agit des préceptes qui régissent sa vie, poppy s’arme d’un code d’honneur quasi-chevaleresque. elle s’accroche à ses principes et les protège avec ardeur. d’habitude encline à briser les règles, ces postulats qui font tourner son monde sont hors d’atteintes. comme des fils dorés qui tiennent le décor son existence en place, poppy a tissé ses croyances à mesure de sa vie. ses idéaux sous une pluie de flammes, de son corps elle sera parapluie. car sans eux, tout ne serait que chaos. ils sont les morceaux de sagesse disséminés sur la route vers le vérité et le bonheur. quelques jolis mots et des aphorismes plein d’une prétention toutefois poétique et cela suffit à gouverner jusqu’aux pensées les plus sauvages. et pour les protéger ? quelle tristesse de la dire, mais elle ne serait pas prête à tout. il n’y aura pas de guerre pour obtenir la paix. impulsive pourtant, poppy sait mieux que de vaincre par la violence. et si c’est vrai qu’elle n’oserait jamais trahir jusqu’aux rudiments de sa personne pour justement leur faire justice ; elle admet sans controverse que la vertu, mérite tout de même que l’on meurt pour elle.
il n’y a quelque chose de grisant à braver l’interdit ; comme une sensation d’avoir des ailes lorsqu’on se sait au-dessus des lois. les règles établies ne posent pas vraiment de problème à poppy. elle les voit plus comme une indication générale des choses à ne pas faire que comme un code à suivre au pied de la lettre. l’autorité la met de mauvaise humeur, quel plaisir à faire ce qu’on doit faire ? alors de temps en temps, c’est vrai, la malice prend le dessus : excès de vitesse, dégradation de biens publics – quelques tags pour faire joli -, outrage à agent pour exprimer son désaccord et quelques fraudes mineures. mais ce n’est jamais par amour du prohibé que poppy agit. simplement que la loi représente un bien faible obstacle à ses lubies. et puis, plus qu’aux clauses légales, poppy obéit à la morale. pour répandre le bien, une arrestation est un prix envisageable. alors soyons spontanés, jetons nous dans des plans foireux et finissons, hilares, sur les bancs d’une salle de garde à vue. car poppy est de ces gens, ceux qui n’ont peur de rien. ceux qui, lorsqu’on les prévient qu’une situation risque de tourner au désastre, répondent avec insolence « je sais, mais faisons-le quand même ».
il y a beaucoup de choses à aimer dans le monde tel qu’il est déjà : poppy est amoureuse de tout, à commencer par la vie. toutes choses l’émerveillent : les animaux, la nature, les gens, les futilités. oh qu’elle les aime, ces futilités : ces petits rien du tout auxquels personne ne prête attention et qui portent pourtant tout le sens du monde. poppy en est certaine, cette existence ne serait rien sans les choses qui n’ont pas d’importance. nos vies sont faites de si petites choses après tout. et pourtant, même si on se sent bien, on pourrait faire mieux. alors sans doute qu’elle rendrait le ciel un peu plus bleu, l’été un peu plus chaud et les gens beaucoup moins bêtes. elle ferait éclore les fleurs même en hiver et insufflerait à tout le monde un élan de poésie. mais le changement ne serait qu’esthétique. pour la paix, pour l’amour, pour la compassion, on aurait beau refaire le monde, on ne saurait refaire la nature de l’homme. peut-être qu’au mieux, on pourrait concevoir de leur retirer leurs œillères en espérant qu’ils voient enfin qu’au fond tout ça, toute cette pagaille, ce n’est jamais rien que la vie. rien de bien sérieux en somme.
sous toute cette frénésie blonde, derrière les sourires et les chasse lunaires, parfois, poppy doute. parfois, elle ne peut s’empêcher de pleurer en imaginant à quel point le monde peut être laid ailleurs. c’est l’hypersensibilité qui fait mal, la compassion qui hurle. et dans ses pires moments, elle s’isole, mélancolique et découragée de l’avenir des hommes. comment ne pas être écœurée de temps en temps quand on voit les guerres, la misère, la malheur d’autrui ? on éprouve une certaine honte à être heureux lorsque le reste de monde peine. ce sont des instants rares, mais ils ont de l’importance. ils sont l’ombre qui donne de la saveur au soleil, il sont la face cachée de l’étoile. il est des nuits comme ça, où poppy ne peut pas trouver le sommeil, le cerveau en ébullition, la tête qui gamberge. alors elle se pose à sa fenêtre et discute avec la lune. les rayons de l’astre blanc l’apaise. et jusqu’à ce qu’elle ait ravalé ses papillons noirs, elle fixe le ciel en se demandant si les autres, dans les planètes lointaines de la galaxie, la regarde aussi.
DERRIÈRE L'ÉCRAN
Karma : im a motherfucker Prénom/pseudo : kingshara (amély). Âge : 18 ans. Anniversaire : 26 janvier. Localisation : france. Présence : souvent. Personnage ... Personnage invente J'ai connu le forum : bazzart. Et je le trouve : esthétiquement surprenant – bien que très joli – donc forcément intriguant. curiosité méritée, ça a l’air d’être the place to be. Ma plus grande peur : qu’est-ce qu’il y a exactement au fond des océans ? 90% - plus ou moins - des océans sont à ce jour inexplorés. pourquoi ? qu’est-ce qu’il y là-dessous qui soit suffisamment dangereux/impraticable au point de nous empêcher, nous les hommes – qui avons quand même marcher sur la lune – de nous y aventurer ? ou alors on peut y aller, mais on refuse d’y aller parce qu’on sait ce qui nous attend au fond de l’eau ? qu’est-ce qui nous attend au fond de l’eau ???? // sinon en ce qui concerne le forum, j’ai peur d’avoir du mal à m’intégrer (mais surtout l’océan). Un dernier mot ? j’ai hâte de me sentir ici comme à la maison. :l:
IMAGES zippyseven/instagram (blend) ; melaluly (avatars) ; zippyseven/instagram (icon)
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quest for the yellow-brick road
she built herself a rocket ship and blasted into space
to see how many years it’d take to miss the human race
to see how many years it’d take to miss the human race
sa déraison faisait son charme. elle portait son grain de folie comme un habit de satin sur son corps pur. ses lèvres, ses yeux et même ses baisers parfois, inspiraient une agréable senteur d’innocente perdition.
quand elle défie le monde, c’est le monde qui perd à chaque fois
(ETRE ENFANT SOUS LES ETOILES) cheveux blonds ruisselant dans son dos comme une rivière au clair de lune, poppy sourit. elle vient d’avoir huit ans, c’est excitant. à l’école, tous les autres enfants l’aiment bien. ils disent qu’elle est amusante. ses professeurs disent au contraire qu’elle est turbulente, un véritable trouble pour la classe. poppy n’est pas sûre de comprendre la différence. elle ne comprend pas grand-chose aux adultes, à vrai dire. ils sont toujours si sérieux et pourtant si dociles. maman se plaint souvent d’avoir des tas à choses à faire qu’elle préfèrerait éviter. la réponse de poppy reste toujours inchangée : « alors ne le fait pas » c’est ce qu’elle dit de son insouciante juvénile. ça fait toujours sourire maman. mais pas le genre de sourire chaleureux qu’ont les mère parfois pour leurs enfants. plutôt comme un rictus condescendant, une courbe sans sympathie particulière. « ce n’est pas si simple, persephone ». et la conversation se termine toujours comme ça. avec maman, les choses ne sont jamais simples. d’après papa, c’est parce qu’elle et le reste de la famille sont importants dans la haute-société anglaise. il le rabâche sans cesse dans les oreilles de poppy : les beauregard-lovett sont un peu comme la petite royauté chez les roturiers. alors ça les force à faire des trucs embêtants parfois. comme faire semblant de rire pour être poli et aller à des fêtes où personne ne s’amuse. ce n’est que déplaisir aux oreilles de poppy. les beauregard-lovett ne sont que des gens après tout, ce serait ridicule de les traiter différemment. et pourtant la société anglaise s’accroche à ses mœurs et dans les hautes sphères où on nappe les fraises d’or et recouvre les assiettes d’argent, tout le monde se languit d’une vie moins usuelle. vous savez, il pleut beaucoup en angleterre. dans les soirées mondaines, tout a une apparence fluide et aqueuse : il ne se dit jamais rien d’important. on se contente de banalités affligeantes lisses comme de l’eau et on les laisse glisser sur notre peau, impassibles, ennuyés. poppy n’est encore qu’une enfant mais elle porte déjà en horreur les platitudes. tout est exitant quand on a huit ans. elle voudrait parler de l’araignée qu’elle a trouvé ce matin, des couleurs du ciel quand il commence à faire nuits, des conversations interdites qu’elle a surpris entre deux amoureux au parc. elle n’a que huit ans, mais elle voudrait déjà qu’on lui parle de poésie, d’amour, d’ardeur, de mystère, de courage. mais l’aristocratie n’a que faire de la petite idiote aux cheveux de soleil et aux yeux plein d’étoiles. c’est dommage, elle aurait tant de choses à leur apprendre.
(ETRE ADO SOUS LA LUNE) « je crois que je pourrais être une danseuse. » elle tourne sur elle-même, pieds nus dans le sable mouillé. le bruit de la mer qui se déchaine accompagne sa voix. on aurait dit qu’il chantait pour elle. assis sur la plage, un garçon la regarde. « le mois dernier, tu disais que tu voulais être styliste. » poppy se met à rire. elle danse toujours. elle ne comprend pas la corrélation. un nouveau jour, une nouvelle vie. peut-être que demain, elle voudra être peintre. quelle ambition étrange que de restreindre toute sa vie à la même chose. poppy se lasse vite, elle a besoin que ça bouge, besoin que ça change. y’a tout qui la passionne et une vie, c’est bien trop court pour tout voir. « tu sais parfois, je me dit que ma planète d’origine me manque. » elle lève la main vers le ciel, le soleil pend au bout de ses doigts. ses yeux brûlent de regarder l’astre géant, on dirait qu’il lui fait signe. le garçon sourit, il la regarde comme s’il la voyait pour la première fois. il est amoureux d’elle, il l’a toujours été, comment ne pas l’être ? elle est si belle avec ses idées folles et sa frivolité d’enfant. rien ne l’inquiète jamais, elle se contente juste d’être heureuse. et c’est vrai qu’elle est d’une certaine arrogance parfois avec ses grands discours et sa confiance inébranlable, c’est vrai qu’elle est souvent totalement à côté de ses pompes, perdue entre io et europe, tournant autour de jupiter, c’est vrai qu’elle n’est pas particulièrement intelligente, même quand elle essaie. mais même moquée, ridiculisée, malmenée, elle ne cesse jamais de sourire. comment ne pas s’en inspirer ? elle rejette les codes sans même s’en apercevoir. ils ne lui vont tout simplement pas. sa famille le déplore, elle n’a que faire de nos règles. tout ce qu’elle veut, c’est qu’on lui parle de l’océan, qu’on lui murmure des secrets inavouables, qu’on fasse enfin quelque chose qui a de l’importance. l’avenir qu’on lui trace n’a aucun intérêt pour son âme de poète. c’est-à-peine si elle daigne se présenter à l’école. tout ce qui a de la valeur, elle se l’enseigne toute seule. d’une certaine façon, c’est comme grandir avec des loups. lâchée dans sa propre jungle, imprévisible tel l’enfant sauvage. « j’ai du mal à te comprendre des fois, poppy. j’aimerai bien savoir de quelle étoile tu viens.» le garçon ne la regarde plus. il s’est fait mal aux yeux à force de l’aimer. elle est là devant lui, aussi réelle que le sable sous ses ongles et pourtant, il ne parvient jamais à la saisir. à chaque fois qu’il s’approche d’elle, elle se dissipe comme un mirage. comme il voudrait lui ressembler ! il aimerait la voir cette beauté du monde dont elle semble sans cesse s’émerveiller. il aimerait, lui aussi, avoir le cœur léger pour voler plus haut. « dis-moi pops, qu’est-ce que tu comptes faire après le lycée ? » poppy ne tourne plus. dos à l’océan, elle fait mine de réfléchir, un instant perdue dans ses pensées. « tout ce que je sais, c’est que j’ai pas envie de finir comme mes parents : insensible aux merveilles qui m’entourent. je me dois d’entretenir mon troisième œil si je veux un jour découvrir la vérité éthérée, tu comprends ? » le garçon hoche la tête, il n’a pas compris, il ne comprenait jamais, mais il aurait payé de ses deux mains pour l’écouter parler plus longtemps. « je ne peux pas découvrir la vérité ici. ici, tout est mou et sans saveur. l’aristocratie m’ennuie, j’en ai marre de ses codes et de ses promesses vides. alors je vais partir. je vais traverser l’océan, voyager pieds nus au clair de lune, rencontrer des gens, faire quelque chose de vraiment important. » des étincelles d’excitation perlent dans ses yeux. la passion la rend fébrile. « ce sera un peu comme une quête, je suppose, et on pourra appeler ça la vie. et qui sait peut-être qu’en route, je finirais par sauver le monde des abysses qui le guette. » elle cligne de l’œil, le cœur du garçon chavire. elle est sans doute un peu folle, mais il la croit sur paroles. qui d’autre que la bohème intrépide pour sauver nos âmes monotones du tourment ?
(ETRE ADULTE SOUS LE SOLEIL) la robe est magnifique. son grand jupon bleu glisse sur les hanches de poppy comme une étendue faite de pure ciel nocturne. la styliste regarde son œuvre, presque satisfaite, elle a encore une retouche à faire. accroupie, elle complimente son modèle. « vous êtes magnifique, mademoiselle. cette robe vous va à ravir. » poppy hausse les épaules. ça fait des heures qu’on la travaille et elle s’ennuie. loin de toutes fenêtres, elle voudrait pouvoir regarder dehors. debout, les yeux plein d’admiration, maman regarde sa fille qui s’apprête à entrer dans la haute-société, dans les règles de l’art. « vous savez, c’est gentil de me faire une robe, mais je ne vais pas y aller au bal des débutantes. » poppy parle d’une voix égale, comme si elle annonçait la météo. Il faut dire que pour elle, cette nouvelle n’a pas vraiment d’importance. la styliste s’étonne, elle se pique le doigt de son aiguille. maman hoquète. poppy sourit, ingénue. maintenant que plus aucune main ne s’affaire sur elle, elle peut aller se poser à la fenêtre. il fait beau, le ciel est très bleu, presque irréel. poppy vient d’avoir dix-neuf ans, c’est enfin l’été. « mais enfin persephone, chérie, tu ne peux pas dire ça, le bal des débutantes, c’est très important. » poppy secoue la tête. cet evenement, c’est tout ce qu’il y a de plus futile. une fête bien proprette pendant laquelle tous les invités se conforment et promettent – entre autres – de passer le reste de leur vie à toujours faire comme tous les autres et à ne surtout pas dévier des attentes. les filles du lycée en parlent depuis des mois. elles ont envies d’être des princesses de grande stature. poppy les trouve bien peu imaginative. comme s’il fallait de longs cotillons et des diadèmes pour se sentir royale. « je n’ai pas envie d’y aller. » c’est au tour de maman de secouer la tête. « chérie, parfois on doit faire des choses qu’on a pas envie de faire. c’est comme ça dans la vie, tout le monde s’y plie. » poppy s’éloigne de la fenêtre. elle a quelques affaires dans la pièce, il faut qu’elle les rassemble avant de partir. « à force de vouloir faire comme tout le monde, on va finir par devenir aussi ennuyeux qu’eux. je n’ai pas de temps à perdre avec des bals, maman, je dois garder mon troisième œil ouvert. et puis de toute façon, je suis déjà partie. » la styliste ne sait pas quoi dire, maman non plus. elles gardent la bouche grande ouverte comme des poissons, étonnées et peut-être un peu curieuse. « mais où tu vas ? » poppy a récupéré toutes ses affaires, elle va passer dans sa chambre, faire son sac et elle sera partie pour de bon. « je vais chercher la route en brique jaune, celle que dorothée à prise pour rejoindre le magicien d’oz. enfin, c’est une métaphore. tu vois ce que je veux dire. » non, elle ne voit pas. « au fait, merci pour la robe, je vais la garder. elle a un bon mojo, de bonnes vibrations. c’est potentiellement un élément clef pour ma mission. la route jaune, tout ça. salut ! » et juste comme ça, elle est partie. poppy ne laisse derrière elle que d’énigmatiques sentiments et l’impression d’avoir assisté au passage éclair d’une étoile filante.
(ETRE IMMORTELLE SOUS TOUS LES TEMPS) poppy fixe l’horizon, le soleil se lève. los angeles sent l’iode et la popstar déçue. perchée à sa fenêtre, elle sourit. dans son dos, une carte du monde gigantesque mange la moitié du mur. le japon, l’Italie, chili et l’ouganda sont marqués d’une punaise rouge. les deux dernières années ont été des plus grisantes. et maintenant, poppy prend d’assaut los angeles. elle va y rester pour un moment. l’argent de son compte épargne étant épuisée, elle compte bien prendre racine au milieu des anges. ici, tout est possible d’après ce qu’on dit. hollywood est au pas de sa porte, le paradis n’est pas très loin. elle est prête à trouver la vérité, enterrée sous le sable blanc de venice beach. cheveux blonds ruisselant dans son dos comme une rivière au clair de lune, poppy sourit. elle vient d’avoir vingt-et-un ans, c’est excitant.
(ETRE ADO SOUS LA LUNE) « je crois que je pourrais être une danseuse. » elle tourne sur elle-même, pieds nus dans le sable mouillé. le bruit de la mer qui se déchaine accompagne sa voix. on aurait dit qu’il chantait pour elle. assis sur la plage, un garçon la regarde. « le mois dernier, tu disais que tu voulais être styliste. » poppy se met à rire. elle danse toujours. elle ne comprend pas la corrélation. un nouveau jour, une nouvelle vie. peut-être que demain, elle voudra être peintre. quelle ambition étrange que de restreindre toute sa vie à la même chose. poppy se lasse vite, elle a besoin que ça bouge, besoin que ça change. y’a tout qui la passionne et une vie, c’est bien trop court pour tout voir. « tu sais parfois, je me dit que ma planète d’origine me manque. » elle lève la main vers le ciel, le soleil pend au bout de ses doigts. ses yeux brûlent de regarder l’astre géant, on dirait qu’il lui fait signe. le garçon sourit, il la regarde comme s’il la voyait pour la première fois. il est amoureux d’elle, il l’a toujours été, comment ne pas l’être ? elle est si belle avec ses idées folles et sa frivolité d’enfant. rien ne l’inquiète jamais, elle se contente juste d’être heureuse. et c’est vrai qu’elle est d’une certaine arrogance parfois avec ses grands discours et sa confiance inébranlable, c’est vrai qu’elle est souvent totalement à côté de ses pompes, perdue entre io et europe, tournant autour de jupiter, c’est vrai qu’elle n’est pas particulièrement intelligente, même quand elle essaie. mais même moquée, ridiculisée, malmenée, elle ne cesse jamais de sourire. comment ne pas s’en inspirer ? elle rejette les codes sans même s’en apercevoir. ils ne lui vont tout simplement pas. sa famille le déplore, elle n’a que faire de nos règles. tout ce qu’elle veut, c’est qu’on lui parle de l’océan, qu’on lui murmure des secrets inavouables, qu’on fasse enfin quelque chose qui a de l’importance. l’avenir qu’on lui trace n’a aucun intérêt pour son âme de poète. c’est-à-peine si elle daigne se présenter à l’école. tout ce qui a de la valeur, elle se l’enseigne toute seule. d’une certaine façon, c’est comme grandir avec des loups. lâchée dans sa propre jungle, imprévisible tel l’enfant sauvage. « j’ai du mal à te comprendre des fois, poppy. j’aimerai bien savoir de quelle étoile tu viens.» le garçon ne la regarde plus. il s’est fait mal aux yeux à force de l’aimer. elle est là devant lui, aussi réelle que le sable sous ses ongles et pourtant, il ne parvient jamais à la saisir. à chaque fois qu’il s’approche d’elle, elle se dissipe comme un mirage. comme il voudrait lui ressembler ! il aimerait la voir cette beauté du monde dont elle semble sans cesse s’émerveiller. il aimerait, lui aussi, avoir le cœur léger pour voler plus haut. « dis-moi pops, qu’est-ce que tu comptes faire après le lycée ? » poppy ne tourne plus. dos à l’océan, elle fait mine de réfléchir, un instant perdue dans ses pensées. « tout ce que je sais, c’est que j’ai pas envie de finir comme mes parents : insensible aux merveilles qui m’entourent. je me dois d’entretenir mon troisième œil si je veux un jour découvrir la vérité éthérée, tu comprends ? » le garçon hoche la tête, il n’a pas compris, il ne comprenait jamais, mais il aurait payé de ses deux mains pour l’écouter parler plus longtemps. « je ne peux pas découvrir la vérité ici. ici, tout est mou et sans saveur. l’aristocratie m’ennuie, j’en ai marre de ses codes et de ses promesses vides. alors je vais partir. je vais traverser l’océan, voyager pieds nus au clair de lune, rencontrer des gens, faire quelque chose de vraiment important. » des étincelles d’excitation perlent dans ses yeux. la passion la rend fébrile. « ce sera un peu comme une quête, je suppose, et on pourra appeler ça la vie. et qui sait peut-être qu’en route, je finirais par sauver le monde des abysses qui le guette. » elle cligne de l’œil, le cœur du garçon chavire. elle est sans doute un peu folle, mais il la croit sur paroles. qui d’autre que la bohème intrépide pour sauver nos âmes monotones du tourment ?
(ETRE ADULTE SOUS LE SOLEIL) la robe est magnifique. son grand jupon bleu glisse sur les hanches de poppy comme une étendue faite de pure ciel nocturne. la styliste regarde son œuvre, presque satisfaite, elle a encore une retouche à faire. accroupie, elle complimente son modèle. « vous êtes magnifique, mademoiselle. cette robe vous va à ravir. » poppy hausse les épaules. ça fait des heures qu’on la travaille et elle s’ennuie. loin de toutes fenêtres, elle voudrait pouvoir regarder dehors. debout, les yeux plein d’admiration, maman regarde sa fille qui s’apprête à entrer dans la haute-société, dans les règles de l’art. « vous savez, c’est gentil de me faire une robe, mais je ne vais pas y aller au bal des débutantes. » poppy parle d’une voix égale, comme si elle annonçait la météo. Il faut dire que pour elle, cette nouvelle n’a pas vraiment d’importance. la styliste s’étonne, elle se pique le doigt de son aiguille. maman hoquète. poppy sourit, ingénue. maintenant que plus aucune main ne s’affaire sur elle, elle peut aller se poser à la fenêtre. il fait beau, le ciel est très bleu, presque irréel. poppy vient d’avoir dix-neuf ans, c’est enfin l’été. « mais enfin persephone, chérie, tu ne peux pas dire ça, le bal des débutantes, c’est très important. » poppy secoue la tête. cet evenement, c’est tout ce qu’il y a de plus futile. une fête bien proprette pendant laquelle tous les invités se conforment et promettent – entre autres – de passer le reste de leur vie à toujours faire comme tous les autres et à ne surtout pas dévier des attentes. les filles du lycée en parlent depuis des mois. elles ont envies d’être des princesses de grande stature. poppy les trouve bien peu imaginative. comme s’il fallait de longs cotillons et des diadèmes pour se sentir royale. « je n’ai pas envie d’y aller. » c’est au tour de maman de secouer la tête. « chérie, parfois on doit faire des choses qu’on a pas envie de faire. c’est comme ça dans la vie, tout le monde s’y plie. » poppy s’éloigne de la fenêtre. elle a quelques affaires dans la pièce, il faut qu’elle les rassemble avant de partir. « à force de vouloir faire comme tout le monde, on va finir par devenir aussi ennuyeux qu’eux. je n’ai pas de temps à perdre avec des bals, maman, je dois garder mon troisième œil ouvert. et puis de toute façon, je suis déjà partie. » la styliste ne sait pas quoi dire, maman non plus. elles gardent la bouche grande ouverte comme des poissons, étonnées et peut-être un peu curieuse. « mais où tu vas ? » poppy a récupéré toutes ses affaires, elle va passer dans sa chambre, faire son sac et elle sera partie pour de bon. « je vais chercher la route en brique jaune, celle que dorothée à prise pour rejoindre le magicien d’oz. enfin, c’est une métaphore. tu vois ce que je veux dire. » non, elle ne voit pas. « au fait, merci pour la robe, je vais la garder. elle a un bon mojo, de bonnes vibrations. c’est potentiellement un élément clef pour ma mission. la route jaune, tout ça. salut ! » et juste comme ça, elle est partie. poppy ne laisse derrière elle que d’énigmatiques sentiments et l’impression d’avoir assisté au passage éclair d’une étoile filante.
(ETRE IMMORTELLE SOUS TOUS LES TEMPS) poppy fixe l’horizon, le soleil se lève. los angeles sent l’iode et la popstar déçue. perchée à sa fenêtre, elle sourit. dans son dos, une carte du monde gigantesque mange la moitié du mur. le japon, l’Italie, chili et l’ouganda sont marqués d’une punaise rouge. les deux dernières années ont été des plus grisantes. et maintenant, poppy prend d’assaut los angeles. elle va y rester pour un moment. l’argent de son compte épargne étant épuisée, elle compte bien prendre racine au milieu des anges. ici, tout est possible d’après ce qu’on dit. hollywood est au pas de sa porte, le paradis n’est pas très loin. elle est prête à trouver la vérité, enterrée sous le sable blanc de venice beach. cheveux blonds ruisselant dans son dos comme une rivière au clair de lune, poppy sourit. elle vient d’avoir vingt-et-un ans, c’est excitant.
IMAGES pinterest (blend) FEU ARDENT
- Jade A. RiveraI'm a Mother Fucker
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Date d'inscription : 10/03/2018
Avatar : Grace Elizabeth
Crédits : alittlebitofrain pour l'avatar et sosoland pour la signature
Âge du personnage : 25 ans
Nationalité(s) : Américaine
Signe astrologique : Scorpion
Mon personnage, en 5 mots : Individualiste - Peu aimable - Bonne vivante- Séductrice - Passionnée
Quartier de résidence : Northeast
Carrière, métier ou job : Antiquaire
Études (passées ou en cours) : A fait un master d'arts appliqués
Hobby : Fait de l'équitation
Orientation sexuelle : Bisexuel(le)
Situation sentimentale : C'est ... compliqué
Welcome beautiful girl
J'attends mon employée de pied ferme
Bon courage pour la rédaction de ta fichette
N'hésite pas à me spammer de MP une fois que tu seras validée
J'attends mon employée de pied ferme
Bon courage pour la rédaction de ta fichette
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- InvitéInvité
Bienvenue par ici.
Bonne chance pour la construction de ta fiche et n'hésite pas à me contacter si tu as des questions, un problème quelconque ou quoi que ce soit d'autre.
Bonne chance pour la construction de ta fiche et n'hésite pas à me contacter si tu as des questions, un problème quelconque ou quoi que ce soit d'autre.
- InvitéInvité
- InvitéInvité
ZIPPO omg j'suis tellement contente de voir sa bouille par ici, c'est une de mes prefs et de loin
puis ta nana a l'air bien cool au passage, j'ai à peine eu le temps de tomber sur ton sujet invité que tu étais déjà inscrite
bienvenuuue
puis ta nana a l'air bien cool au passage, j'ai à peine eu le temps de tomber sur ton sujet invité que tu étais déjà inscrite
bienvenuuue
- InvitéInvité
Bienvenuuuue officiellement . cette impatience. et gosh t'as déjà presque terminée ta fiche. faut que je lis tout ça. en tout cas t'es belle comme ça.
- InvitéInvité
Oh quelle beauté!! Bienvenue par ici jolie dame
- InvitéInvité
@nina singleton i feel you! zippo est fab, on devrait la voir plus souvent merci
@moss maxfield le forum me tentait trop, impossible de résister et puis, j'suis du genre rapide merci
@micah b. ortiz ouuh un visage qu'on ne voit pas très souvent, j'approuve l'originalité merci
@moss maxfield le forum me tentait trop, impossible de résister et puis, j'suis du genre rapide merci
@micah b. ortiz ouuh un visage qu'on ne voit pas très souvent, j'approuve l'originalité merci
- InvitéInvité
Bienvenue chez les mofos,
Poppy Beauregard Lovett !
Poppy Beauregard Lovett !
Nous avons l'honneur de t'accueillir parmi nous, et te souhaitons un séjour agréable au sein de notre communauté.
"Salut, toi. Bienvenue au pays des Bisounours, là où il fait beau et où tout le monde prendra soin de faire de ton aventure un rêve éveillé. Comment ça, je te vends du rêve ? Tu pourras exiger remboursement si mes actes ne sont pas à la hauteur de tes espérances. @Felix E. Blackfield et moi sommes ravis de t’accueillir, n’hésite donc pas à nous MPotter si l’envie te prend."
Bon je te l'ai déjà dit mais je vais me répéter j'adooooore ton personnage. sa personnalité est si douce et innocente je suis in love. et ta plume je meurs, ce fut un vrai régal à lire. bref t'es parfaite j'ai trop hâte de rp avec toi.
La validation de ta fiche marque officiellement ton entrée dans la grande famille qu'est I.A.M.F. Toutes nos félicitations ! Nous sommes certains que tu passeras un excellent séjour parmi nous et que tu trouveras rapidement ta place au sein de notre communauté. Pour t'aider, voici une petite liste de liens utiles qui devrait t'aider à te lancer avec nous dans ta nouvelle aventure.
Avant toute chose, il est important de se familiariser avec les détails techniques du forum. Si tu ne l'as pas encore fait, n'hésite donc pas à aller lire les différentes annexes conçues pour t'aider à mieux situer ton personnage dans l'univers du forum afin que tu puisses facilement t'installer au sein de notre communauté. Les premiers pas sur le forum te permettront également d'avoir un aperçu global de l'intégralité des sujets mis à disposition sur I.A.M.F.
Une fois ceci fait, nous te proposons d'aller préparer ta fiche de liens pour t'installer confortablement parmi nous et pouvoir développer ton personnage en relation avec ceux des autres membres. Si tu recherches une personne bien spécifique pour construire ton histoire, nous te proposons également de créer un personnage pré-conçu : il n'y aucune condition requise pour poster sa première recherche. Lorsque tu auras bien posé tes bagages et commencé à créer ton petit univers, nous te proposons de venir faire un tour vers les collections de badges attestant des parcours uniques et individuels de chacun de nos membres.
Si tu manques de ressources pour ton personnage, il te suffit de passer une commande dans les galeries d'art : nos membres talentueux se feront un plaisir de te venir en aide. Pour terminer ton intégration, nous t'encourageons vivement à rejoindre ton flood communautaire, afin de faire de nouvelles rencontres et de tisser des liens uniques pour ton personnage. N'hésite pas à contacter ton admin référent (voir l'encadré au début de ce message) si tu ne sais pas à quel groupe participer.
Il est temps de passer à l'étape suivante de ton arrivée sur I.A.M.F. : celle de l'intégration. Maintenant que tu as créé ta fiche de liens ainsi que ta collection de badges, nous te proposons de construire ton réseau afin de faire vivre ton personnage sur le forum et de commencer à RPer. N'aie pas peur, nos membres sont tout sauf méchants, et nous te garantissons qu'ils feront tout en leur pouvoir pour te créer une place parmi les nôtres ! Nous te souhaitons malgré tout bonne chance, car nous savons que l'intégration n'est pas toujours facile pour tout le monde.
Pour commencer, n'hésite pas à jeter un oeil du côté des recherches entre membres ainsi que des RPs libres. Tu peux aussi demander un partenaire de RP si tu ne sais pas encore vers qui te tourner pour lancer ton premier sujet. En cas de gros problème, contacte un administrateur : nous sommes là pour t'aider. Et si jamais tu n'arrives pas à trouver de liens, nous te recommandons vivement de passer par ce sujet afin que nous puissions collectivement te venir en aide.
Tu pourras également lancer une recherche de colocataire(s) si tu ne veux pas
vivre seul (et finir criblé de dettes), allumer ton téléphone afin de consulter tous les messages de tes amis ou les appeler et, bien entendu, partager tout ce que tu aimes sur Instagram.
Maintenant que tu es bien installé et connecté, nous te proposons de t'immerger un peu davantage dans l'univers d'I.A.M.F. Pour ce faire, nous te proposons d'explorer la carte de Los Angeles afin de te donner une vue d'ensemble sur tous les lieux du jeu de rôle. En dehors du RP, de nombreuses infrastructures existent afin d'enrichir tes aventures sur le forum. Nous proposons notamment des défis d'écriture qui te permettront de laisser ta plume glisser au fil de tes idées, et explorer de nouveaux horizons créatifs.
Sur I.A.M.F. nous vous offrons aussi la possibilité de découvrir les conséquences de vos actes par le biais du Karma, qui est l'essence même du forum. Et pour contrôler ces répercussion (ou pas), tu peux aussi donner le choix au karma de diriger ta vie ou un de tes sujets afin de pimenter davantage ton passage parmi nous.
Au delà du RP, tu pourras manifester ton affection pour le forum en le soutenant sur les topsites ou en laissant un petit mot d'amour sur notre fiche de publicité. N'hésite pas à consulter tous les autres sujets que nous avons soigneusement préparés pour nous assurer que ton expérience parmi nous sera des plus inoubliables ! Mais en cas d'imprévu, nous te remercions d'avance de penser à nous prévenir en signalant une petite absence afin que nous puissions nous assurer que ton compte t'attendra bien au chaud au moment de ton retour.
Et voilà, ce sera tout pour aujourd'hui ! Ton avatar a normalement été recensé au moment de ta validation, mais n'hésite pas à me le faire savoir en cas d'oubli. Si jamais tu cherches quelque chose qui n'a pas été mis en avant dans ce sujet, tu peux bien évidemment contacter un membre de l'équipe administrative : nous nous ferons toujours un plaisir de te répondre dans les plus brefs délais. En attendant, nous t'invitons à aller découvrir le flood général et le casino des jeux, afin de faire connaissance avec les autres membres et te détendre un peu.
Sur ce, nous te souhaitons un excellent séjour parmi nous, enrichi par des sujets passionnants et des rencontres inoubliables,
Avec toute notre affection,
~ Le staff
AVANT-PROPOS
La validation de ta fiche marque officiellement ton entrée dans la grande famille qu'est I.A.M.F. Toutes nos félicitations ! Nous sommes certains que tu passeras un excellent séjour parmi nous et que tu trouveras rapidement ta place au sein de notre communauté. Pour t'aider, voici une petite liste de liens utiles qui devrait t'aider à te lancer avec nous dans ta nouvelle aventure.
POSER SES BAGAGES
Avant toute chose, il est important de se familiariser avec les détails techniques du forum. Si tu ne l'as pas encore fait, n'hésite donc pas à aller lire les différentes annexes conçues pour t'aider à mieux situer ton personnage dans l'univers du forum afin que tu puisses facilement t'installer au sein de notre communauté. Les premiers pas sur le forum te permettront également d'avoir un aperçu global de l'intégralité des sujets mis à disposition sur I.A.M.F.
Une fois ceci fait, nous te proposons d'aller préparer ta fiche de liens pour t'installer confortablement parmi nous et pouvoir développer ton personnage en relation avec ceux des autres membres. Si tu recherches une personne bien spécifique pour construire ton histoire, nous te proposons également de créer un personnage pré-conçu : il n'y aucune condition requise pour poster sa première recherche. Lorsque tu auras bien posé tes bagages et commencé à créer ton petit univers, nous te proposons de venir faire un tour vers les collections de badges attestant des parcours uniques et individuels de chacun de nos membres.
Si tu manques de ressources pour ton personnage, il te suffit de passer une commande dans les galeries d'art : nos membres talentueux se feront un plaisir de te venir en aide. Pour terminer ton intégration, nous t'encourageons vivement à rejoindre ton flood communautaire, afin de faire de nouvelles rencontres et de tisser des liens uniques pour ton personnage. N'hésite pas à contacter ton admin référent (voir l'encadré au début de ce message) si tu ne sais pas à quel groupe participer.
SE CONNECTER SUR LA SPHÈRE
Il est temps de passer à l'étape suivante de ton arrivée sur I.A.M.F. : celle de l'intégration. Maintenant que tu as créé ta fiche de liens ainsi que ta collection de badges, nous te proposons de construire ton réseau afin de faire vivre ton personnage sur le forum et de commencer à RPer. N'aie pas peur, nos membres sont tout sauf méchants, et nous te garantissons qu'ils feront tout en leur pouvoir pour te créer une place parmi les nôtres ! Nous te souhaitons malgré tout bonne chance, car nous savons que l'intégration n'est pas toujours facile pour tout le monde.
Pour commencer, n'hésite pas à jeter un oeil du côté des recherches entre membres ainsi que des RPs libres. Tu peux aussi demander un partenaire de RP si tu ne sais pas encore vers qui te tourner pour lancer ton premier sujet. En cas de gros problème, contacte un administrateur : nous sommes là pour t'aider. Et si jamais tu n'arrives pas à trouver de liens, nous te recommandons vivement de passer par ce sujet afin que nous puissions collectivement te venir en aide.
Tu pourras également lancer une recherche de colocataire(s) si tu ne veux pas
vivre seul (et finir criblé de dettes), allumer ton téléphone afin de consulter tous les messages de tes amis ou les appeler et, bien entendu, partager tout ce que tu aimes sur Instagram.
FAIRE UN REPÉRAGE DES LIEUX
Maintenant que tu es bien installé et connecté, nous te proposons de t'immerger un peu davantage dans l'univers d'I.A.M.F. Pour ce faire, nous te proposons d'explorer la carte de Los Angeles afin de te donner une vue d'ensemble sur tous les lieux du jeu de rôle. En dehors du RP, de nombreuses infrastructures existent afin d'enrichir tes aventures sur le forum. Nous proposons notamment des défis d'écriture qui te permettront de laisser ta plume glisser au fil de tes idées, et explorer de nouveaux horizons créatifs.
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POUR CONCLURE
Et voilà, ce sera tout pour aujourd'hui ! Ton avatar a normalement été recensé au moment de ta validation, mais n'hésite pas à me le faire savoir en cas d'oubli. Si jamais tu cherches quelque chose qui n'a pas été mis en avant dans ce sujet, tu peux bien évidemment contacter un membre de l'équipe administrative : nous nous ferons toujours un plaisir de te répondre dans les plus brefs délais. En attendant, nous t'invitons à aller découvrir le flood général et le casino des jeux, afin de faire connaissance avec les autres membres et te détendre un peu.
Sur ce, nous te souhaitons un excellent séjour parmi nous, enrichi par des sujets passionnants et des rencontres inoubliables,
Avec toute notre affection,
~ Le staff
Rédigé le 18/01 par
CONTENU LULUCHE & FEU ARDENT pour "It's All My Fault"
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