Page 1 sur 3 • 1, 2, 3
YESTERDAY'S NEWS |48
- InvitéInvité
Willow Kane
supercalifragilisticexpialidocious
Avant de commencer, nous aimerions vous poser quelques questions sur votre personnage, afin d'en savoir davantage sur les motivations qui l'animent.
L'INTERROGATOIRE
La connaissance absolue ? Ça n’existe pas. Vouloir tout savoir, c’est pour les ignorants, c’est impossible, même si on le voulait. Je suis assez lucide sur le monde pour savoir une chose : on ne sait rien. L’être humain est un mystère et c’est bien pour cette simple raison que j’y ai consacré toutes ces années d’études. Apprendre à connaître comment fonctionne le cerveau de ces êtres humains et mortels que nous sommes. Ce n’est pas une mince affaire et je sais pertinemment que je mourrai sans savoir ce qui peut pousser les gens à agir perpétuellement de la mauvaise manière. C’est un fait avéré.
Je n’aime pas être au centre de tous les regards, ça me met mal à l’aise. Un seul me suffit, celui de la personne à qui je donne mon attention, pour une durée plus ou moins courte d’ailleurs. Les rêves sont impalpables, ils changent, évoluent au fil des années. Gamine je rêvais d’avoir une licorne, plus tard de posséder un ranch, plus tard encore de devenir mère et aujourd’hui, je veux simplement comprendre qui je suis et pourquoi j’en suis là aujourd’hui. Je ne rêve pas, la réalité m’en empêche chaque jour un peu plus à cause de tout ce que je peux apprendre et savoir à propos de notre société. Il n’y a que les enfants qui rêvent, et je ne suis plus une enfant, indéniablement.
Elle est propre à chacun. Il n’y a pas si longtemps, je croyais avoir touché du doigts ce bonheur impalpable auquel on court tous après. L’amour en premier lieu, fonder une famille, avoir quelque chose auquel on tient. Mais si bonheur est si fragile qu’il peut s’éteindre en un claquement de doigts. Certains disent que le bonheur est un choix, un combat, d’autres pensent qu’il vient à nous tel le destin ou le karma, et certains autres n’y croient pas. Je ne sais pas exactement dans quelle catégorie je me trouve. Je sais à quoi le bonheur ressemble, j’y ai goûté, j’aimerai y parvenir encore, mais la route vers cette utopie me semble aussi sinueuse que le chemin menant à Oz.
Je suis ambitieuse, je l’ai toujours été. Déterminée, têtue, volontaire. Mes parents disaient de moi que j’étais quelqu’un de carriériste, parce que je mettais du coeur à l’ouvrage lorsqu’ils s’agissait de travailler, d’étudier. J’ai eu la chance de trouver un sujet qui me passionnait - la psychologie - et le plaisir d’apprendre m’a aidée à pousser mes études aussi loin que j’ai pu avant de me mettre à la pratique. Je n’aime pas perdre, je suis quelqu’un de foncièrement débrouillard et bien sûr, la réussite fait partie de mes objectifs de vie au quotidien. Mais quelle réussite ? Parce que la carrière ne fait pas tout, et que le bonheur, il m’a filé entre les doigts.
La réponse à cette question est aujourd’hui bien différente de si elle m’avait été posée il y a quelques années. J’avais la sensation d’avoir réussi ma vie, d’avoir tout ce que je pouvais désirer, un compagnon aimant, une petite fille merveilleuse. Mais je suis intimement persuadée qu’il y a des gens qui naissent pour être heureux et d’autre pas. Je dois manifestement faire partie de cette deuxième catégorie. Oh j’ai un coeur, je ne peine pas tant que ça à m’en servir, au contraire même, j’ai réappris à aimer depuis l’accident, peut-être même plus qu’il le ne faudrait. Bref, je m’égare. Aujourd’hui il n’y a rien véritablement qui me donne envie de me battre jusqu’au sang, ni personne d’ailleurs. Je sais que je serai prête à faire beaucoup de choses pour un être aimé, peut-être même des choses que ne je soupçonne même pas. Mais dans la période dans laquelle je me trouve, je veux juste oublier, m’oublier, au profit des autres. Aider mon prochain, voilà ce à quoi j’aspire.
Jamais rien d’illégal non, je crois que je fais partie de ces gens qui ont un peu peur d’enfreindre les lois, les règles. J’ai appris pendant mes études que les lois et les règles étaient faites pour que certains les enfreignent, pour être montrés du doigts, dénoncés par la société comme étant des hors la loi, et punis pour montrer au peuple ce qui est bien et ce qui est mal, ce qu’il faut faire ou ne pas faire. Comme avoir la notion du bien ou du mal si on n’est pas témoin un jour de quelque chose qui n’est pas ‘dans la norme’. Je n’ai jamais vraiment enfreint les règles, si ce n’est celle de la religion à savoir un homme doit aimer une femme, et une femme doit aimer un homme. C’est certainement la seule règle à laquelle je ne me plie pas, parce que l’amour et le désir n’ont pas de règles.
La question qui tue ! Refaire le monde ? De la nourriture pour tous les affamés, l’abolition des guerres dans le monde ? Utopie. Le monde est ce qu’il est, personne ne pourrait le refaire, ni même moi. Et même si j’en avais le pouvoir, je serai incapable de savoir ce qui est bon pour nous. Comme dit plus haut, toute loi mène à être enfreinte, alors à quoi bon créer de jolies choses si elles sont amenées à être détruites. Le monde est ce qu’il est, il est plus beau pour certains que pour d’autres, mais c’est sûrement ce qui fait la complexité de l’espèce humaine, et de ce monde qui l’abrite.
Je suis quelqu’un d’assez secrète en règle générale, mais je crois que je me soigne. J’ai toujours eu peur de me livrer, jusqu’à rencontrer un homme qui a su ouvrir mon coeur pour en extraite le plus beau, le plus pure. J’ai changé à son contact, j’ai porté la vie, sa vie, ou une partie tout du moins. Je crois que notre séparation restera ma plus grande déception. Non pas parce qu’elle a été voulue par l’un de nous deux, au contraire, plutôt parce que la vie m’a repris ce qu’elle m’avait offert de plus beau. Aujourd’hui, je suis seule, je m’attache peut-être trop, trop vite, et je recule aussi vite que j’ai avancé, par peur encore de perdre un être aimé, peur que le cycle recommence jusqu’à ma perte. L’abandon, voilà ma plus grande peur. Volontaire ou involontaire d’ailleurs. Je suis d’apparence quelqu’un de doux, bien qu’un peu distant lorsqu’il s’agit de mon travail avec la police de Los Angeles, parce que c’est le métier qui veut ça. Mais je sais avoir ce pouvoir magnétique sur les gens, celui de les aider à ouvrir leur coeur, ce qui fait de moi je crois une bonne psychologue. Je crois avoir répondu à la question n’est-ce pas ? A moins que ma façon de vous entourlouper vous en ait donné l’illusion ?
DERRIÈRE L'ÉCRAN
Karma : Im a motherfucker Prénom/pseudo : Tinkerbell. Âge : On demande pas l'âge des dames ! Anniversaire : 29 avril Localisation : Paris Présence : Un peu tous les jours pour voir les news Personnage ... Personnage invente J'ai connu le forum : Marie (Lilousilver) qui m'en parle all night long :D Et je le trouve : Canonissime (même si je me perds un peu) Ma plus grande peur : Mourir seule Un dernier mot ? cucurbitacée
IMAGES avatars shiya + gifs tumblr
- InvitéInvité
FAITS DIVERS
Une citation et/ou une phrase introductive sur ton personnage.
Je cours à vive allure dans ce couloir qui me semble être immensément long et semé d’embuches. Je saute, esquive, me déporte sur la gauche puis sur la droite sans jamais m’arrêter une seule seconde, je donne tout ce que j’ai, comme si ma vie en dépendait, parce que leur vie en dépend sûrement. Je ne sens plus mes poumons qui me brûlent de manière atroce mais je n’y fais pas attention, ni même à cette respiration anarchique et à ces gouttes de sueur qui perlent le long de mes tempes. J’y suis presque, la fin est là, juste là, la porte est ouverte et je freine en m’introduisant dans la chambre dans un bruit de fracas. Mon thorax se soulève à vive allure et mon coeur tambourine jusque dans le bout de mes doigts. Ils sont là, étendus tous les deux, l’homme que j’aime et la petit princesse que j’ai mise au monde il y a deux ans. Ils sont là, inertes reposant sur un confortable édredon blanc qui irradie la pièce d’une lumière étincelante. Leurs yeux clos, leurs visages paisibles, et les larmes qui inondent désormais mon visage.
Je me réveille en sursaut, le coeur battant à une vitesse folle et je suffoque, manquant d’air. Encore ce cauchemar, encore cette vision de mes deux amours, perdus à tout jamais. On m’a enlevé ma raison de vivre, ce qui me tenait en vie, heureuse, épanouie. J’avais touché du doigt ce rêve de fonder une famille, de vivre heureuse avec l’être aimé, mais on m’a tout retiré, comme ça, d’un claquement de doigt, d’un foutu chauffard ivre. Je me lève pour tenter de calmer mon cors qui tremble encore de les avoir vus là inertes devant moi, et me laisse glisser sous une douche presque froide histoire de me remettre de mes émotions. Une nouvelle journée commence. Je dois rester forte, je dois tenir le cap, je sais qu’un jour, mon cerveau finira d’assimiler le deuil et que je ne m’en sentirai que plus forte. Voilà trois ans que ce cauchemar me hante, et le fait d’être psy n’aide pas forcément à passer plus rapidement les étapes d’un deuil. Ne dit-on pas que les cordonniers sont les plus mal chaussés ?
J’enfile une chemise souple dans les tons crème et une veste de tailleur bleue marine pour aller avec mon jean slim brut. Je me rends ce matin non pas à mon cabinet mais dans les locaux de la police de Los Angeles où je travaille depuis plus de deux ans maintenant, en tant que consultante. Je fais passer les entretiens psychologiques des nouvelles recrues, et quand il est nécessaire, je fais aussi passer quelques interrogatoires à des potentiels criminels, pour chercher à comprendre ce qu’il se passe dans leur tête, derrière leur silence. C’est une autre branche à mon boulot de psy, une extension qui me plait plutôt pas mal. Je me dis que je ne sers pas à rien, et je n’ai pas le temps de m’ennuyer. Côte coeur, je crois qu’il est encore trop tôt pour penser à me poser avec quelqu’un. Je ne suis pas fermée à de potentielles histoires, pas très adepte des histoires sans lendemain, un coeur d’artichaut sans doute un peu trop ouvert bien que craintif. Je m’attache vite, trop vite ? Je crois que j’ai simplement besoin d’être aimée, j’apprends à recevoir l’amour qu’on me porte sans rechigner, même si le travail pour en arriver là n’a pas été facile…
Je me réveille en sursaut, le coeur battant à une vitesse folle et je suffoque, manquant d’air. Encore ce cauchemar, encore cette vision de mes deux amours, perdus à tout jamais. On m’a enlevé ma raison de vivre, ce qui me tenait en vie, heureuse, épanouie. J’avais touché du doigt ce rêve de fonder une famille, de vivre heureuse avec l’être aimé, mais on m’a tout retiré, comme ça, d’un claquement de doigt, d’un foutu chauffard ivre. Je me lève pour tenter de calmer mon cors qui tremble encore de les avoir vus là inertes devant moi, et me laisse glisser sous une douche presque froide histoire de me remettre de mes émotions. Une nouvelle journée commence. Je dois rester forte, je dois tenir le cap, je sais qu’un jour, mon cerveau finira d’assimiler le deuil et que je ne m’en sentirai que plus forte. Voilà trois ans que ce cauchemar me hante, et le fait d’être psy n’aide pas forcément à passer plus rapidement les étapes d’un deuil. Ne dit-on pas que les cordonniers sont les plus mal chaussés ?
J’enfile une chemise souple dans les tons crème et une veste de tailleur bleue marine pour aller avec mon jean slim brut. Je me rends ce matin non pas à mon cabinet mais dans les locaux de la police de Los Angeles où je travaille depuis plus de deux ans maintenant, en tant que consultante. Je fais passer les entretiens psychologiques des nouvelles recrues, et quand il est nécessaire, je fais aussi passer quelques interrogatoires à des potentiels criminels, pour chercher à comprendre ce qu’il se passe dans leur tête, derrière leur silence. C’est une autre branche à mon boulot de psy, une extension qui me plait plutôt pas mal. Je me dis que je ne sers pas à rien, et je n’ai pas le temps de m’ennuyer. Côte coeur, je crois qu’il est encore trop tôt pour penser à me poser avec quelqu’un. Je ne suis pas fermée à de potentielles histoires, pas très adepte des histoires sans lendemain, un coeur d’artichaut sans doute un peu trop ouvert bien que craintif. Je m’attache vite, trop vite ? Je crois que j’ai simplement besoin d’être aimée, j’apprends à recevoir l’amour qu’on me porte sans rechigner, même si le travail pour en arriver là n’a pas été facile…
IMAGES FEU ARDENT
- InvitéInvité
Chatooooooooon
Bon c'est vide alors j'pas grand chose à dire...
Ah si t'es canon
Mais ça...
Et j'en veux plus
Et j'te veux toi
Et je t'aime
Bon c'est vide alors j'pas grand chose à dire...
Ah si t'es canon
Mais ça...
Et j'en veux plus
Et j'te veux toi
Et je t'aime
- Aeddan BarclayI'm a Mother Fucker
-
Dollars : 2433
Messages : 248
Date d'inscription : 23/04/2018
Avatar : Ben Barnes
Crédits : Moses. (avatar) crack in time (sign)
Autres comptes : Celeste & Freya
Âge du personnage : 39 ans
Nationalité(s) : Américain
Signe astrologique : Bélier
Mon personnage, en 5 mots : Cabaret, art, trafic, machiavélique, violent
Quartier de résidence : Northeast
Carrière, métier ou job : Propriétaire du cabaret le Luxure
Études (passées ou en cours) : Etudes de commerce
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : Célibataire (par choix)
Bienvenue parmi nous
Bon courage pour ta fiche
Bon courage pour ta fiche
- InvitéInvité
@Jean Walton Chaton d'amour !
Je vais faire en sorte de pas trop te faire attendre promis
@Moss Maxfield @Aeddan Barclay merci les garçons !
Je vais faire en sorte de pas trop te faire attendre promis
@Moss Maxfield @Aeddan Barclay merci les garçons !
- InvitéInvité
@Sacha Lewis @Arizona Harper-Duval Merci à vous deux jolies demoiselles
- InvitéInvité
Bienvenue sur IAMF
Tu me donnes envie de recommencer OUAT.
Bonne continuation pour ta fiche
Tu me donnes envie de recommencer OUAT.
Bonne continuation pour ta fiche
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forumPage 1 sur 3 • 1, 2, 3
|
|