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YESTERDAY'S NEWS |48
- InvitéInvité
Élisabeth K. Delfasio
En plaisantant on peut tout dire, même la vérité.
Avant de commencer, nous aimerions vous poser quelques questions sur votre personnage, afin d'en savoir davantage sur les motivations qui l'animent.
L'INTERROGATOIRE
La criminalité. C'est simple, j’en mange. J’ai étudiée la criminologie avant d'aller en droit et j’ai raffolée. J’ai terminée première de ma cohorte en 2015. Je suis pour la défense des criminelles, ceux qui n'ont jamais de deuxième chance. Parfois, une erreur judiciaire est si vite arrivée. Je crois ne pas en savoir assez sur le crime que je continue de l’étudier de fond en comble, me donnant corps et âmes à mon métier d’avocate criminel. J’ai actuellement un taux de réussite de 95% et j’en suis qu'à ma seconde année de pratique.
Mon rêve le plus fou? Sans aucun doute faire la longue randonné sur la côte Ouest des États-Unis de 1700 km qui a pour nom le Pacific Crest Trail. Depuis toujours, cette randonné de 2 mois me donne envie, j’en rêve la nuit. Me dépasser, me surpasser, je sais que je le ferai un jour, mais mon travail est beaucoup prenant pour le moment. Et le centre d’attention? Je suis habituée, étant avocate, ma voix raisonne lorsque je parle, je débats, j’argumentes, les regards sont tournés sur moi et je n’en fais plus de cas.
La famille. Rien n’est plus important que l’amour de sa famille à mes yeux. Mon père c’est toute ma vie, mon air, mon meilleur ami, mon confident. Il est mon héros, mon idole, il m’a tout apprit et je lui suis reconnaissante. Je rêve d’avoir ma propre famille, mais je suis une femme de carrière, je ne peux penser à cela pour l’instant…et de toute façon je n’ai pas la tête à chercher l’homme pour procréer avec moi. Peut-être le trouverais-je bientôt? Selon la voyante, Madame Chose, je suis à mon année chanceuse !
ta plus grande réussite à ce jour ?
Mes ambitions sont incassables, à tout épreuve. Je suis solide comme le rock, dur comme la brique. Je ne démords pas tant que dans mes os, je ne sais pas que j’ai tort. L’une de mes causes que j’ai plaidée à ma première année de pratique, le démontre assez bien. Ce criminel accusé du meurtre de sa femme qui avait toutes les preuves contre lui, j’ai tellement creusée, fouillée, travaillée que j’ai finis par fournir assez de preuve pour soulever un doute raisonnable dans la tête des jurés. J’ai tellement travaillée sur ce dossier, qu’il a été acquitté à la fin, ayant réussi à prouver que c’était la sœur de la victime, la coupable. Mobile : Jalousie et depuis ce temps je suis redouté et apprécié dans ce milieu où je me suis taillée une place.
et jusqu’où serais-tu prêt(e) à aller pour la défendre ?
La justice, je ne peux concevoir qu’elle ne règne pas sur cette terre et je m’efforce de rétablir les choses. Pour moi, je me dois d’être juste et équitable pour réussir. Jusqu’où pourrais-je aller? Je ne saurais le dire avec des mots, mais loin, très loin. Je pourrais devenir agressive, enragée comme au tribunal lorsque les mensonges gagnent sur ma vérité. Je suis sans-contredit une lionne de la justice et je pourrais moi-même me destituer de ma profession au nom de la vérité.
qu’as-tu ressenti ?
Bien sûre! Si un seul être humain peut prétendre être laver de tout acte illégale, il ment (rire) J'ai déjà consommé de la marijuana à l'adolescence et même quelques fois de la cocaïne, mais ça je le fais encore. J'ai aussi, déjà baisée dans un lieu public un soir d'été alors que j'étais trop saoule. J'ai bien quelques fois rouler au-dessus de la limite de vitesse, mais autrement je n'ai pas de grave ni même aucune condamnation. Sinon j'aurais pu dire adieu à l'avocate en moi! Comment je me suis sentie? Je vous avouerais que baiser dans un lieu public est assez excitant (rire), tu te sens en contrôle même si tu peux te faire choper n’importe quand! Puis pour la cocaïne…je tente de ne pas me faire prendre sinon je peux dire adieu à mon Barrault !
(Rigole) Sans doute que je referais la justice ! Ce monde est tellement égoïste et nombriliste, ça me dégoûte juste d’y pensée. Je changerais la mentalité de ces gens, je les ferais devenir des gens droits et fières ! Je restaurais la paix dans ce monde, je changerais les lois et je ferais de ce monde un rêve. Je rendrais les pays pauvres plus adéquats pour le pauvre peuple et les pays riches un peu moins pour équilibrer les choses. Je soignerais la planète de nous, humains malsains.
Je n’ai eu qu’un seul petit copain pendant 1 an, il est décédé l’an dernier dans un accident de voiture et j’ai de la difficulté à remonter la pente. De plus, j’ai des allures de juste et sage, mais je consomme, à forte dose, de la cocaïne pour tenir ma vie misérable debout ! Quand on est femme de carrière, on a tous laissée derrière, les amis, les enfants, l’amour… il ne me reste plus que ça pour me sentir un peu vivante.
DERRIÈRE L'ÉCRAN
Karma : [ X] It's all my fault [ ] I'm a mother fucker. Prénom/pseudo : Kat Âge : 23 printemps Anniversaire : 08 Novembre 1994 Localisation : Québec, CanadaPrésence : 5/7 parfois plus, d'autre fois un peu moins. Personnage ... [ X] inventé [ ] pré-lien. J'ai connu le forum : Grâce à LAPD Et je le trouve : MA-GNI-FI-QUE Ma plus grande peur : J'ai peur de rien Un dernier mot ? BOUH !
IMAGES FEU ARDENT
- InvitéInvité
FAITS DIVERS
« Le monde a commencé sans l’homme et il s’achèvera sans lui. »
Je suis née le 8 Octobre de l’année 1991, un matin froid à Venise en Italie. Mon père est Italien, ma mère Canadienne et moi Américaine. Beau mélange, non? J’ai la triple nationalité, ayant vécu en Italie pendant 10 ans, au Canada pendant 11 et maintenant ma 5e année aux États-Unis.
J’invite maintenant la bachelière responsable du discourt de cette promotion 2015, madame Élisabeth Delfasio.
Mon cœur rate un battement, je suis submergé d’émotion. La joie, la peine et aussi la nervosité. J’ai buché dur pour arriver ici, ayant déjà fait une majeur en criminologie, une mineure en psycho et là mon BAC en droit. Je me dirige vers la scène, j’y monte et regarde la salle. Je plonge mon regard dans celui de mon père, première rangé accompagnée de mon fiancé. Je respire un bon coup avant de débuter mon discourt :
Chers bacheliers, je suis honorée d’être ici avec vous. Nous avons passés deux années difficiles, nous avons pleurés, ris, peu dormis…mais nous avons réussis ! Nous voilà à la fin de ce BAC en droit. Pour certains, vous irez dans des cabinets que vous avez choisis, pour d’autres comme moi, nous irons dans des cabinets familiaux. Je remercie d’ailleurs mon père pour cette offre exceptionnel. Vous savez, l’école nous apprends bien des choses, mais surtout à être intègre et courageux. Nous avons tissé des liens, des amitiés, des amours même, mais nous sommes aussi devenus des avocats et avocates avec les valeurs aux bons endroits. Merci d’avoir partagés ces années avec moi, soyez vous-même et ne laissez jamais personne vous dictez votre profession ou votre conduite. Vous êtes merveilleux tel que vous êtes. Soyez fier de vous et de ce que vous avez accomplis et ce que vous accomplirez. Bonne chance pour votre futur, merci pour tout!
Les applaudissements fusent de tout côté, le directeur me prend la main et me tend mon diplôme. Je suis entourée d’une aura de joie et quelques larmes se frayent un chemin sur mes joues. Je descends pour rejoindre mon père et mon copain que je serre contre moi. Ma mère n’est pas là, depuis son divorce avec mon père elle ne vient jamais me voir. Disons que de la surprendre avec l’ex-associé de papa dans leur lit conjugal fût assez pour que j’aille tout raconter à mon paternel. Elle ne l’a pas pris et ne m’adresse plus la parole depuis. Au fond, je m’en fiche un peu, elle a détruit cette famille, mais pas nos liens à mon papa et moi. J’ai cette relation avec mon père qui est très fusionnel, il est tout pour moi. Mon meilleur ami, mon confident, mon patron, mon héros, mon idole, mon mentor même! Il est sans aucun doute, le meilleur papa de tout l’univers. Mon fiancé, Téo est le plus exceptionnel de tous. Je l’ai connu durant ma criminologie en 2011, j’avais 20 ans et je débutais à Harvard. Coup de foudre instantané, il fût le seul pour qui mon cœur à fondu et il est encore le seul. Nous allons nous marier, il m’a fait la grande demande à Noël cet année, mon père à bien entendu accepté! Il l’adore et moi aussi. « On va manger pour fêter ça? Ensuite faudrait rentrer à Los Angeles ! » Je souris à mon père en acquiesçant sa demande, je ne peux pas être plus heureuse qu’en ce moment. Aucun bonheur n’est aussi grand que le mien aujourd’hui.
Je bois une gorgée de café, il est 7h32 A.M, un mercredi matin normal au bureau. Une pile de dossier est échouée sur mon bureau, je dois avancer puisque je plaide cette après-midi. Un cas lourd, une femme qui a agressée son mari à coup de couteau. Il est toujours vivant, heureusement sinon elle aurait eu meurtre sur le dos. Mais là, elle a voix de faits armé, moins pire que le premier, mh! Mais d’après son histoire c’est de la légitime défense. Est-ce que mes clients me disent tous la vérité? Probablement pas, mais la plupart oui. Ils n’ont pas le choix s’ils veulent de l’aide pour la cause, je dois tout savoir même si mon client a bien fait le meurtre, il doit me le dire pour que je tente de le défendre. Bon, je ne défends pas que les clients non coupables, il m’arrive de défendre des coupables aussi, mais c’est ça mon métier je n’ai pas le choix. Mon portable me sort de mes pensées :
”Oui allô?”
« Bonjour Madame Delfasio, ici le sergent Lewis, je suis dans le hall de votre cabinet. Puis-je monté? »
« Bien sûre, je vous attends! »
Rien d’anormal qu’un policier veule rencontrer une avocate, alors je repose mon portable et me lève pour l’accueillir. Mes talons résonnent sur le plancher de marbre, je sers la main du détective et il entre dans mon bureau :
« Que puis-je faire pour vous, sergent? »
Il prend un air solennel, expire un bon coup et me regarde tristement avant de me dire le but de sa visite. Déjà avec son air, je ne suis plus rassurée du tout.
« Madame, il est arrivé un accident de la route terrible ce matin…Votre fiancé, monsieur Téodore Henry a été retrouvé ce matin. »
Mon sang se fige dans mes veines, je le regarde sans trop comprendre. J’ai la bouche sèche, le cœur au ralentit. Je veux parler mais il me devance :
« Je suis désolé, Madame…il est décédé. »
La terre s’arrête littéralement, mes jambes flanches, mes larmes déferlent sur mes joues, ma bouche est ouverte, béat mais rien ne sort pendant de longues secondes puis…un cri de mort à glacé le sang de n’importe qui. Un cri agonisant de mon âme, un long cri de douleur intérieur qui amène mon père à se précipité dans mon bureau. Un rassemblement s’est effectué près de moi, j’étouffe je suffoque. Le détective fait sortir les gens, sauf mon père à qui il explique la situation. Mon père me prend dans ses bras et me berce. Je pleure, comme je n’ai jamais pleuré, je suis inconsolable et tellement malheureuse. J’ai repris conscience à l’hôpital, les murs d’une laideur hideuse, l’odeur immonde et mon papa près de moi. Ma gorge me fait souffrir, tout mon corps aussi, comme si je m’étais fait rouler dessus par un train.
• J’y suis resté 15 jours, je ne parlais plus, ne mangeais plus. J’avais mal, trop mal. Je dormais toujours, je passais des tests psychologiques et psychiatrique. Dépression sévère et choc traumatique, thérapie et médicament m’ont fait reprendre ma vie en main. 1 mois plus tard, je plaidais à nouveau et plus rien n’y paraissait, mais le soir était terrible pour moi alors je travaillais tard et toujours plus. Je le fais encore d’ailleurs…ça m’évites de trop penser ! Au bout de 3 mois, mon corps était épuisé et je devais plaider une grosse cause, un collègue ma offert de la poudre blanche pour me faire garder les yeux ouverts. Depuis, elle est devenue mon alliée. Suis-je guéri de la mort de mon Téo? Aucunement, je gèle ma douleur, je l’envahis de travail et je tente de l’oublier. Mon père m’a conseillé de rencontrer un nouveau psychologue, je devrais y songer sérieusement. Je ne veux pas tout perdre.
Be the best version of you.
J’invite maintenant la bachelière responsable du discourt de cette promotion 2015, madame Élisabeth Delfasio.
Mon cœur rate un battement, je suis submergé d’émotion. La joie, la peine et aussi la nervosité. J’ai buché dur pour arriver ici, ayant déjà fait une majeur en criminologie, une mineure en psycho et là mon BAC en droit. Je me dirige vers la scène, j’y monte et regarde la salle. Je plonge mon regard dans celui de mon père, première rangé accompagnée de mon fiancé. Je respire un bon coup avant de débuter mon discourt :
Chers bacheliers, je suis honorée d’être ici avec vous. Nous avons passés deux années difficiles, nous avons pleurés, ris, peu dormis…mais nous avons réussis ! Nous voilà à la fin de ce BAC en droit. Pour certains, vous irez dans des cabinets que vous avez choisis, pour d’autres comme moi, nous irons dans des cabinets familiaux. Je remercie d’ailleurs mon père pour cette offre exceptionnel. Vous savez, l’école nous apprends bien des choses, mais surtout à être intègre et courageux. Nous avons tissé des liens, des amitiés, des amours même, mais nous sommes aussi devenus des avocats et avocates avec les valeurs aux bons endroits. Merci d’avoir partagés ces années avec moi, soyez vous-même et ne laissez jamais personne vous dictez votre profession ou votre conduite. Vous êtes merveilleux tel que vous êtes. Soyez fier de vous et de ce que vous avez accomplis et ce que vous accomplirez. Bonne chance pour votre futur, merci pour tout!
Les applaudissements fusent de tout côté, le directeur me prend la main et me tend mon diplôme. Je suis entourée d’une aura de joie et quelques larmes se frayent un chemin sur mes joues. Je descends pour rejoindre mon père et mon copain que je serre contre moi. Ma mère n’est pas là, depuis son divorce avec mon père elle ne vient jamais me voir. Disons que de la surprendre avec l’ex-associé de papa dans leur lit conjugal fût assez pour que j’aille tout raconter à mon paternel. Elle ne l’a pas pris et ne m’adresse plus la parole depuis. Au fond, je m’en fiche un peu, elle a détruit cette famille, mais pas nos liens à mon papa et moi. J’ai cette relation avec mon père qui est très fusionnel, il est tout pour moi. Mon meilleur ami, mon confident, mon patron, mon héros, mon idole, mon mentor même! Il est sans aucun doute, le meilleur papa de tout l’univers. Mon fiancé, Téo est le plus exceptionnel de tous. Je l’ai connu durant ma criminologie en 2011, j’avais 20 ans et je débutais à Harvard. Coup de foudre instantané, il fût le seul pour qui mon cœur à fondu et il est encore le seul. Nous allons nous marier, il m’a fait la grande demande à Noël cet année, mon père à bien entendu accepté! Il l’adore et moi aussi. « On va manger pour fêter ça? Ensuite faudrait rentrer à Los Angeles ! » Je souris à mon père en acquiesçant sa demande, je ne peux pas être plus heureuse qu’en ce moment. Aucun bonheur n’est aussi grand que le mien aujourd’hui.
Je bois une gorgée de café, il est 7h32 A.M, un mercredi matin normal au bureau. Une pile de dossier est échouée sur mon bureau, je dois avancer puisque je plaide cette après-midi. Un cas lourd, une femme qui a agressée son mari à coup de couteau. Il est toujours vivant, heureusement sinon elle aurait eu meurtre sur le dos. Mais là, elle a voix de faits armé, moins pire que le premier, mh! Mais d’après son histoire c’est de la légitime défense. Est-ce que mes clients me disent tous la vérité? Probablement pas, mais la plupart oui. Ils n’ont pas le choix s’ils veulent de l’aide pour la cause, je dois tout savoir même si mon client a bien fait le meurtre, il doit me le dire pour que je tente de le défendre. Bon, je ne défends pas que les clients non coupables, il m’arrive de défendre des coupables aussi, mais c’est ça mon métier je n’ai pas le choix. Mon portable me sort de mes pensées :
”Oui allô?”
« Bonjour Madame Delfasio, ici le sergent Lewis, je suis dans le hall de votre cabinet. Puis-je monté? »
« Bien sûre, je vous attends! »
Rien d’anormal qu’un policier veule rencontrer une avocate, alors je repose mon portable et me lève pour l’accueillir. Mes talons résonnent sur le plancher de marbre, je sers la main du détective et il entre dans mon bureau :
« Que puis-je faire pour vous, sergent? »
Il prend un air solennel, expire un bon coup et me regarde tristement avant de me dire le but de sa visite. Déjà avec son air, je ne suis plus rassurée du tout.
« Madame, il est arrivé un accident de la route terrible ce matin…Votre fiancé, monsieur Téodore Henry a été retrouvé ce matin. »
Mon sang se fige dans mes veines, je le regarde sans trop comprendre. J’ai la bouche sèche, le cœur au ralentit. Je veux parler mais il me devance :
« Je suis désolé, Madame…il est décédé. »
La terre s’arrête littéralement, mes jambes flanches, mes larmes déferlent sur mes joues, ma bouche est ouverte, béat mais rien ne sort pendant de longues secondes puis…un cri de mort à glacé le sang de n’importe qui. Un cri agonisant de mon âme, un long cri de douleur intérieur qui amène mon père à se précipité dans mon bureau. Un rassemblement s’est effectué près de moi, j’étouffe je suffoque. Le détective fait sortir les gens, sauf mon père à qui il explique la situation. Mon père me prend dans ses bras et me berce. Je pleure, comme je n’ai jamais pleuré, je suis inconsolable et tellement malheureuse. J’ai repris conscience à l’hôpital, les murs d’une laideur hideuse, l’odeur immonde et mon papa près de moi. Ma gorge me fait souffrir, tout mon corps aussi, comme si je m’étais fait rouler dessus par un train.
• J’y suis resté 15 jours, je ne parlais plus, ne mangeais plus. J’avais mal, trop mal. Je dormais toujours, je passais des tests psychologiques et psychiatrique. Dépression sévère et choc traumatique, thérapie et médicament m’ont fait reprendre ma vie en main. 1 mois plus tard, je plaidais à nouveau et plus rien n’y paraissait, mais le soir était terrible pour moi alors je travaillais tard et toujours plus. Je le fais encore d’ailleurs…ça m’évites de trop penser ! Au bout de 3 mois, mon corps était épuisé et je devais plaider une grosse cause, un collègue ma offert de la poudre blanche pour me faire garder les yeux ouverts. Depuis, elle est devenue mon alliée. Suis-je guéri de la mort de mon Téo? Aucunement, je gèle ma douleur, je l’envahis de travail et je tente de l’oublier. Mon père m’a conseillé de rencontrer un nouveau psychologue, je devrais y songer sérieusement. Je ne veux pas tout perdre.
IMAGES FEU ARDENT
- InvitéInvité
Troiaaan Que de beauté !
Bienvenue sur I.A.M.F. ! Si tu as la moindre question, surtout, n'hésite pas. Il me tarde d'en savoir plus sur ce personnage !
Bienvenue sur I.A.M.F. ! Si tu as la moindre question, surtout, n'hésite pas. Il me tarde d'en savoir plus sur ce personnage !
- InvitéInvité
Oscar Luccheti a écrit:Troiaaan Que de beauté !
Bienvenue sur I.A.M.F. ! Si tu as la moindre question, surtout, n'hésite pas. Il me tarde d'en savoir plus sur ce personnage !
Merciiiiii
Oui j'en ai justement une, je peux aussi déposer mon deuxième perso immédiatement ?
- InvitéInvité
Hey
Malheureusement les inscriptions se doivent de rester bloquées jusqu'à la préouverture de demain soir, afin qu'on puisse bien finaliser tous les détails du forum sans que les futurs membre de bazzart n'en aient l'accès, mais une fois que les inscriptions seront ouvertes au grand public tu pourras, bien évidemment, inscrire ton double compte toi aussi.
Malheureusement les inscriptions se doivent de rester bloquées jusqu'à la préouverture de demain soir, afin qu'on puisse bien finaliser tous les détails du forum sans que les futurs membre de bazzart n'en aient l'accès, mais une fois que les inscriptions seront ouvertes au grand public tu pourras, bien évidemment, inscrire ton double compte toi aussi.
- InvitéInvité
@Oscar Luccheti Parfait
- InvitéInvité
Troian. Hyper bon choix, elle est géniale.
Bienvenue parmi nous.
Bienvenue parmi nous.
- InvitéInvité
KAAAAAAAAAAAAAAAAT
Bienvenue iciiiiii.
Bonne continuation pour ta fiche!
Bienvenue iciiiiii.
Bonne continuation pour ta fiche!
- InvitéInvité
Bienvneue par ici
- InvitéInvité
La belle Troian ! Bienvenue parmi nous
- Contenu sponsorisé
- Rhan Delauney ¶ Quand la raison fait défaut, essayez la force.
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- EMILY HAMILTON ¶ La vie ne nous fait pas de cadeaux.
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