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YESTERDAY'S NEWS |48
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HASSEN MEESTER
Il a conquit l'Europe, au tour de l'Amérique de connaître cet homme au destin incroyable.
Avant de commencer, nous aimerions vous poser quelques questions sur votre personnage, afin d'en savoir davantage sur les motivations qui l'animent.
L'INTERROGATOIRE
Je n'ai pas besoin de réfléchir très longtemps pour répondre à cette question. D'ailleurs, c'est quelque chose d'évident quand on me connaît. La gastronomie. Si je pouvais, j'aimerais avoir la connaissance absolue en cuisine gastronomique. Pour une raison simple, c'est ma raison de vivre. Je ne me vois pas faire autre chose de ma vie, car elle offre tout ce qu'un humain à besoin, des émotions, de l'amour, puis énormément de plaisir. J'ai beau être triplement étoilé, vingt ans dans la cuisine, ce n'est pas suffisant pour prétendre à tout savoir, encore aujourd'hui, j'en apprends tous les jours. Même le pape Paul Bocuse, ne possédait pas cette connaissance absolue de son vivant et on connaît son parcours.
C'est quoi ces questions au juste ? Mes rêves les plus fous ? En quoi ça vous regarde... Bon d'accord, si vous insistez. Je n'ai pas de rêve à proprement parlé, puisque celle qui me tenait le plus à cœur, je l'ai déjà réalisé. Intégrer le cercle très fermé des chefs triplement étoilé... Maintenant, si j'ai un objectif, ça serait plutôt de rendre hommage à mes parents, qui ne sont pas mort bien entendu, pour les remercier de m'avoir si bien élevé. Ce restaurant dans lequel j'y mets toute mon âme, j'espère qu'il va m'emmener encore plus haut tout en apportant à tout ces gens issue des quartiers, un peu de douceur et d'amour. En fait, j'aimerais faire découvrir la haute gastronomie aux plus nécessiteux.
Aucune idée... Au USA commence tout juste à me faire un nom, donc pour le moment, je ne suis pas le centre de tous les regards. Mais quand j'annoncerais l'ouverture de mon restaurant, ça sera le cas et j'espère que je ne perdrais pas mes moyens. C'est toujours quelque chose de spécial quand tu fais autant d'efforts pour les autres.
Vous en avez beaucoup des questions comme ça ? Sérieusement... Il n'y a pas de recette du bonheur. Enfin... J'ai longtemps pensé comme ça, durant ma carrière, mais faut croire que j'étais dans l'erreur. Je pensais que la célébrité, l'argent et le respect de ses pairs suffisait à être heureux. Mais en vérité, je me voilais la face. Quand j’entends « recette du bonheur » une chose en particulier me vient à l'esprit... C'est mon amour de jeunesse, celle que j'ai lâchement laissé tombé pour partir en France réaliser mon rêve. Maintenant, pour moi la recette du bonheur, ça serait que mon nouveau restaurant soit un succès et que je retrouve la femme de ma vie et qu'elle m'ait pardonné, plus encore, qu'elle ne m'ait pas oublié. Mais je suis quelqu'un de réaliste, j'étais parti et ça faisait plus de vingt ans que je n'avais pas donné de nouvelle. Donc actuellement, ça serait d'avoir ma petite famille et ouvrir des restaurants un peu partout dans le monde et non plus en Europe. Je veux changer.
ta plus grande réussite à ce jour ?
Elles sont quelque peu changeantes ces derniers temps... Avant de rentrer à LA, j'aurais sûrement dit vouloir atteindre le sommet de la gastronomie, égaler Paul Bocuse, que ça soit en popularité mais aussi en capacité gastronomique. Avoir des restaurants dans le monde entier est une bonne ambition aussi pour un chef triplement étoilé comme moi. Au jour d'aujourd'hui, je souhaite toujours ouvrir mes restaurants dans le monde entier, mais pour des raisons différentes. Je suis né pauvre, j'ai dû me battre pour atteindre ce niveau, mais je n'ai pas oublié d'où je viens et je veux que ceux de mon milieu d'origine découvrent la haute gastronomie, celle que je côtoie maintenant tous les jours. Je souhaite toujours atteindre le sommet au final, mais c'est moins important, même si je ne l'avouerais jamais.
Ma plus grande réussite ? C'est pourtant évident... Réfléchissez deux minutes, vous êtes des journalistes ou pas ? Quand j'ai obtenu ma troisième étoile bien entendu.
et jusqu’où serais-tu prêt(e) à aller pour la défendre ?
Il y a peut de temps, je sais ce que j'aurais répondu à cette question... Ma réputation, que j'aurais mise au même niveau que mes restaurants. Aujourd'hui, c'est toujours aussi important, mais autre chose m'anime. Je veux d'abord retrouver celle que j'ai laissé tombé quand j'étais plus jeune, pour tenter de me rattraper auprès d'elle. Qu'elle ne veuille pas me pardonner, ce n'est pas un problème, mais j'aurais fait le premier pas. Puis, plus que tout le reste, j'ai envie que mes parents soient fier de ce que je suis devenu. La réputation que je traîne en Europe ne leur rend pas hommage. Je suis prêt à tout pour qu'ils soient fier de moi, ou pour retrouver cette fille. Dans les limites de la légalité bien entendu, mais je pense que je serais prêt à jouer avec cette limite si je me sens près du but.
qu’as-tu ressenti ?
Huuum... Plus ça va et plus vos questions deviennent gênante, vous savez ça ? Je ne sais pas si c'est illégal, mais à plusieurs reprises lors de fête où j'étais invité, j'ai, on peut le dire, toucher à certaines substances. De la drogue... Nommons le terme exact. Quand tu commences à avoir une certaine réputation, notamment de play-boy, on t'invite de plus ne plus à des événements assez extrême. C'est dans ce genre de fête que les mannequins, les stars du show-biz, etc. Se rassemble. Donc, à partir de là, l'alcool coule à flots, mais on peut aussi voir certaines personnes y amener de la drogue. J'y ai pris goût pendant un certain temps. C'était un bon moyen pour moi d'oublier mon passé pendant quelques heures... J'ai ressenti une certaine forme de liberté du coup. Comme si je me sentais revivre.
Ah et je dois avoir un petit casier, je pense... Notamment, pour ivresse sur la voie publique, vous voyez le genre ? Pour conduite en état d'ivresse aussi, surtout au volant d'une Lamborghini ou d'une Ferrari.
C'est très simple... Encore une fois. Je mettrais en avant la gastronomie, pour qu'elle soit accessible partout dans le monde. La haute gastronomie tout particulièrement. Car, souvent, les personnes modestes, nous voit comme des personnes imbues d'eux-mêmes. On nous voit comme des personnes excluants, qui prenons plaisir à ne faire partager notre cuisine qu'à des gens riches, de notre entourage. Mais c'est totalement faux. Si je pouvais refaire le monde, je leur ferais comprendre que notre cuisine n'est certainement pas excluant. Au contraire, elle est pleine d'émotion, d'amour. On aime raconter des histoires, des choses intimes à travers de nos plats et j'aimerais que les plus sceptiques s'en rendent compte.
Je ne vais pas non plus tout vous dire sur moi... Je me suis déjà pas mal dévoilé, je trouve. Mais soit... Qu'est-ce que je peux dire qui ne soit pas trop intime non plus. Tiens je sais ! Les couteaux que j'utilise dans mon restaurant. C'est un cadeau de mes parents, juste avant que je quitte le pays pour rejoindre la France. Je ne m'en sépare jamais, je ne les ai jamais remplacés. J'en prends vraiment soin, car c'est l'un de mes trésors. J'ai réalisé mes meilleurs plats grâce à eux. Mes diverses spécialités ont également étés créées avec ces couteaux...
DERRIÈRE L'ÉCRAN
Karma : [ ] It's all my fault [X] I'm a mother fucker. Prénom/pseudo : Chef ça suffira. Âge : 29 ans. Anniversaire : Ahah ! Localisation : France. Présence : 7/7. Personnage ... [X] inventé [ ] pré-lien. J'ai connu le forum : Grâce à une amie, une ancienne membre de ce forum ! Et je le trouve : Sublime ** Ma plus grande peur : Je suis timide... Ah c'est pas une peur ? Un dernier mot ? Bouh.
IMAGES BABINE (BAZZART) & TUMBLR
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INTERVIEW D'UN CHEF DE RENOM
La fulgurante ascension d'un enfant issue des bas quartiers de Los Angeles.
Vous devez tous le connaître maintenant, ça fera près de dix ans qu'il défraye régulièrement la chronique et souvent en mal. Son talent en cuisine est à la hauteur de sa belle gueule, je parle bien entendu du chef Meester, l'un des nouveaux prodiges de la cuisine gastronomique. De passage dans notre jolie ville, il accepta de s'arrêter dans nos modestes bureaux, décidé à se confier sur plusieurs événements qui marqua sa vie et qui motiva certains de ses choix.
INTERVIEW
Avant toute chose, nos lecteurs se demandent une chose, avez-vous des projets futurs ? Peut-être un nouveau restaurant en vu ?
(rires) Il est vrai que je ne suis pas revenu à Los Angeles seulement pour profiter du soleil. Surtout après vingt ans. Ça fait maintenant quelques mois que j'y réfléchis, que je pense et repense à un concept de restaurant qui me tiens à cœur. Je ne pouvais le faire qu'ici, où j'ai vécu quand même dix-huit ans, un endroit cher à mon cœur. Oui, ça dénote avec celui qu'on décrit dans les magasines people... Faut croire que je suis un sentimentaliste dans le fond (rires). Pour le moment, je ne peux pas vous en dire plus, je préfère vous faire la surprise, quand j'annoncerais l'ouverture du restaurant. Je ne vous empêche pas de fouiner un peu partout, c'est votre métier après tout. Je vous demande cependant de le garder pour vous, au moins jusqu'à la fin des travaux.
Vous dites avoir passé dix-huit ans dans notre belle ville et on se rencontre qu'on ne sait rien de vous au final. Une petite confidence ?
C'est vrai, je suis né dans la cité des anges, j'y ai passé toute mon enfance également. Vous savez, contrairement à certaines rumeurs, je ne suis pas né avec une cuillère en argent dans la bouche, il a fallu que je me batte pour qu'on me la glisse entre les lèvres. J'ai vu le jour dans les bas quartiers de Los Angeles. South Central vous connaissez ? C'est vrai que maintenant le nom à été changé, on l'appelle South tout simplement. J'ai grandi là-bas, au milieu des guerres de gang. Cette partie de la ville représentée en quelque sorte la décadence humaine. Mais au milieu de toute cette violence, j'ai été élevé par des parents doux et aimants. Ils devaient travailler deux fois plus que les autres pour pouvoir nous offrir une vie correcte à ma petite sœur et moi. Comme vous vous en doutez, la vie n'a pas été simple pour moi, au final
Comment la cuisine est-elle venue à vous ?
C'est très simple, mes parents étaient constamment pris par le travail, ils devaient faire bien plus d'efforts que les autres. Donc quand ils rentraient, ils étaient tellement fatigués qu'ils n'avaient pas la force de s'occuper de la maison et des repas. Pour leur remercier, ma sœur s'occuper de nettoyer la maison, tous les jours. Alors que moi, je m'occupais de la cuisine. Au début, je ne vous cache pas, c'était une vraie corvée. Éplucher les légumes, c'était mon pire cauchemar. Je ne compte plus le nombre de fois que je me suis coupé avec le couteau en essayant de vouloir faire trop vite. C'est voir leurs têtes émerveillées par les repas que je leur faisais que j'ai commencé à aimer ça. J'aimais ce partage d'émotion à travers la nourriture, à travers ma cuisine. Du coup, avec le temps, je me suis mis à faire des plats toujours plus élaborés. Je me servais de vieux bouquins de recette pour tenter des choses toujours plus compliqué. Mes parents n'étaient pas dupe, ils voyaient que je prenais énormément de plaisir à leur offrir de bon petit plat, chaque fois qu'ils rentraient du boulot. Mais ils souhaitaient plus pour moi que de passer ma vie à m'occuper d'eux. Ils voulaient que l'amour que je mettais dans chacun de mes plats profite au plus grand nombre. Que je devienne un grand chef cuisinier. C'était en quelque sorte leur rêve, puis à force de me l'enfoncer dans le crâne il finit par devenir le mien. (rires)
Ensuite, on connaît votre parcours grâce aux médias. L'école du Cordon Bleu à Paris, rien que ça. C'était comment ?
Vraiment intense. Ce n'est pas pour rien qu'elle est reconnu comme étant l'une des meilleurs au monde. J'y ai découvert la gastronomie française et j'en suis tombé aussitôt amoureux. La beauté des dressages, la délicatesse des mets qu'on met dans nos assiettes, tout est bonnement fabuleux. J'y ai étudié les arts culinaires comme nulle part ailleurs. Grâce à l'intervention de nombreux professionnels, notamment des chefs prestigieux, j'ai pu obtenir des stages dans des restaurants tout aussi reconnu. Je me souviens tout particulièrement de mon stage dans l'hôtel du Ritz à Paris, notamment dans le restaurant L'Espadon, dirigé par ce même hôtel. À l'époque, ils ne possédaient qu'une étoile au Guide Michelin, mais c'était déjà incroyable, surtout pour un jeune insouciant en quête de savoir comme moi. Ils m'ont permis d'acquérir suffisamment d'expérience. C'est grâce à eux que j'ai pu ouvrir mon premier restaurant, dans le centre de Paris. Puis, au bout de deux ans, j'obtenais ma première étoile, avec ce même restaurant. La suite, vous la connaissez...
Maintenant, comme vous le savez, on parle beaucoup de vous dans les médias, notamment à cause de vos relations avec divers mannequins connues. Vous comptez-vous vous poser un jour ?
Je l'ignore (rires). Pour vous dire la vérité, je n'ai jamais été quelqu'un de très fidèle en amour. Peut-être suis-je trop égoïste ? Je ne souhaite pas la partager avec d'autre personne que ma famille ? Non... J'exagère. La raison est simple au final. Quand j'ai quitté le pays pour rejoindre la France, j'ai brisé le cœur d'une certaine personne. Je n'en dirais pas plus par égard pour elle. Sauf que je me suis auto-mutilé le cœur également, en prenant cette décision. Je l'aimais et je l'ai trahie. Je pense que mon comportement avec les femmes jusqu'à présent était un moyen pour moi de l'oublier, de tenter d'oublier ma douleur. Si je n'ai jamais voulu débuter une vraie relation avec les diverses conquêtes que j'ai eu, c'est sûrement pour faire pénitence. Je l'ai abandonné, je ne me voyais pas vivre le grand amour, alors qu'elle, de l'autre côté de l'océan, elle devait souffrir de ma trahison. Pour être sincère, j'ignore combien de temps ça mettra, il se peut même que je décide de finir ma vie seul, qui sait...
IMAGES GQ & THE NEW YORK TIMES
- Shaé ManciniI'm a Mother Fucker
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Crédits : Shiya
Âge du personnage : 33 ans
Nationalité(s) : Italienne et Américaine
Signe astrologique : Vierge
Mon personnage, en 5 mots : Maternelle, Engagée, Passionnée, Douce, Battante
Quartier de résidence : Northeast
Carrière, métier ou job : Chef de projet à l'UNICEF, titre pompeux au possible pour dire que ce n'est qu'une petite main au sein de son unité
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : Célibataire (par choix)
Bienvenue officiellement le ptit chef que je vais harceler
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Bienvenue ! Bon courage pour ta fiche !
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Bienvenue officiellement parmi nous.
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- Felix E. BlackfieldI'm a Mother Fucker
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Messages : 700
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Avatar : Dave Franco
Crédits : smmg bae
Âge du personnage : 27 ans
Nationalité(s) : Américaine.
Signe astrologique : Lion
Mon personnage, en 5 mots : connard, fêtard, dragueur, infidèle, bagarreur.
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : hacker pour le FBI et dealer pour la mafia italienne.
Études (passées ou en cours) : Diplômé en robotique.
Hobby : les grosses beuveries bien hardcore et les femmes.
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : C'est ... compliqué
Avec : Arizona et toutes les autres femmes du monde.
Bienvenue officiellement sur IAMF :l:
La bouffe c'est la vie
Bon courage pour la rédaction de ta fiche et amuse toi bien parmi nous
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- InvitéInvité
Jake jiuiwfdgiufdguifdjbjkvb
Bienvenuuuue
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- Alice CollinsMEMBER OF THE MONTH
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Date d'inscription : 10/03/2018
Avatar : Emily Didonato.
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Autres comptes : Aaron Campbell (ft. Henry Cavill) & Andreas Klein (ft. Marcus Hedbrandh).
Âge du personnage : 30 ans (12/08/1991).
Nationalité(s) : Américaine.
Signe astrologique : Lion
Mon personnage, en 5 mots : Passionnée. Extravertie. Franche. Joueuse. Manipulatrice.
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : Chorégraphe en danse contemporaine au Millenium Dance Complex.
Études (passées ou en cours) : Diplômée en danse à l'UCLA.
Hobby : Faire des folies.
Orientation sexuelle : Bisexuel(le)
Situation sentimentale : C'est ... compliqué
Avec : Ezekiel.
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