YESTERDAY'S NEWS |48
- InvitéInvité
«Alessa qu’est-ce que tu fous putain, on va être à la bourre ! » J’avale un grognement en passant un dernier coup de laque, ma main au-dessus de mes yeux pour les protéger. Ouais j’arrive. Il est 22h30, on devait être là-bas pour 22h donc le "on va être à la bourre" je m’en cale un peu parce que justement on est déjà en retard. Et ça c’est pas ma faute pour une fois. La nana qui grogne au rez-de-chaussée c’est Courtney, qui devait venir me chercher à 19h à la sortie de mon taff mais qui s’est pointée avec une heure et demi de retard. Heureusement qu’elle s’est un peu excusée et que ce soit ma pote parce qu’au bout de trente minutes à patienter je la lui aurai certainement fait à l’envers sa sortie de la semaine là. Ça fait 15 jours qu’elle arrête pas de m’en parler, "y aura machin, et truc, anh bordel y aura aussi bidule" tellement de noms compliqués que j’arrive pas à retenir mais bon, comme elle rêve d’être mannequin et qu’apparemment y aura plein de gens de ce milieu là-bas. La question primordiale est, pourquoi j’ai accepté de l’accompagner. Ouais, c’est ma pote, je la connais depuis que j’ai fait ma rentrée à l’UCLA il y a 4 ans, ouais elle tient mal l’alcool et je veux pas qu’il lui arrive des ennuis mais bon. Je m’en serai bien passé des Kate Moss et autre Bella Hadid – même si elles seront pas là hein, on est pas encore à ce stade d’incruste en soirée.
Je finis par rejoindre Courtney qui m’attend à la porte d’entrée. J’arque un sourcil. Ah ouais t’es vraiment pressée meuf. Ce à quoi elle répond par un soupir. Ok, elle veut vraiment pas se détendre, la gentille Alessa va se grouiller alors. J’enfile une paire de sandales à talons d’une marque française très reconnue – et qui accessoirement, m’a coûté les yeux de la tête – puis je file dans sa Ford Mustang Bullitt fraîchement sortie du concessionnaire – on dira merci papa – direction la fameuse soirée.
Après une bonne heure de route – merci les embouteillages. On arrive au lieu des festivités, un toit terrasse en plein de milieu de Central. Enfin, pour le moment on est dans le parking souterrain ehm. Mais on va y arriver, laissez-nous le temps… enfin, laissez le temps à Courtney de sortir de sa voiture. Coincée dans une robe fourreau qui ne lui permet pas d’écarter les jambes au-delà de 20 centimètres. Tu veux de l’aide, je lui demande sur le ton de la plaisanterie parce que je sais qu’elle va grogner dans trois… deux… « Vas-y fous toi de ma gueule. » Oh record battu. Une fois sur ses escarpins elle me rejoint en trottinant puis nous prenons l’ascenseur direction le septième ciel… le 31 ème étage plutôt. Pendant ce petit trajet Courtney remarque que j’ai pas ma tête des bons jours et me demande pourquoi. Je vais me faire chier touuute la soirée, déjà parce que c’est que des gens issus de la mode, rien dans le cinéma alors, puis personne de connu quoi, comment je peux me vendre ? Je pose la question sans pourtant attendre de réponse. « Tu sais, Rihanna et Cara Delevingne sont actrices et pourtant elles étaient connus pour un autre métier avant. » J’ouvre grand les yeux, elle a pas tord. C’est bien la première fois que je l’entends dire un truc censé tiens. « Réfléchis bien », elle continue quand les portes de l’ascenseur s’ouvrirent. Oh t’inquiètes pas ma biche, ça a déjà fait le tour de ma matière grise. Alessa remet cette mèche de cheveux derrière ton oreille, lisse ton top col bardot, toussotes pour éclaircir ta voix et va à la recherche de la personne qui pourrait faire de toi une Cara Delevingne – sans son passé de modèle bien sûr, mais passer de la serveuse que je suis à la sorcière qu’elle a joué dans les bras d’un Joel Kinnaman aux petits oignons, ça me dirait plus que bien. Sans trop patienter j’en trouve un qui m’a l’air pas trop mal, grand, brun, un air de mafieux sans mauvaises arrières pensées. Gonfles la poitrine ma petite Mombelli, faut roucouler comme du pigeon. « Bonsoir… oh mais, votre visage m’est familier… Vous n’auriez pas défilé pour Zadig&Voltaire ? Voilà fait genre que tu l’as déjà vu quelque part, ça va le flatter il va s’ouvrir à la discussion et il finira par lâcher deux trois petits numéros qu’ils me soient utiles ou non. Au pire ça servira à Courtney... qui doit déjà être au bar tiens.
Je finis par rejoindre Courtney qui m’attend à la porte d’entrée. J’arque un sourcil. Ah ouais t’es vraiment pressée meuf. Ce à quoi elle répond par un soupir. Ok, elle veut vraiment pas se détendre, la gentille Alessa va se grouiller alors. J’enfile une paire de sandales à talons d’une marque française très reconnue – et qui accessoirement, m’a coûté les yeux de la tête – puis je file dans sa Ford Mustang Bullitt fraîchement sortie du concessionnaire – on dira merci papa – direction la fameuse soirée.
Après une bonne heure de route – merci les embouteillages. On arrive au lieu des festivités, un toit terrasse en plein de milieu de Central. Enfin, pour le moment on est dans le parking souterrain ehm. Mais on va y arriver, laissez-nous le temps… enfin, laissez le temps à Courtney de sortir de sa voiture. Coincée dans une robe fourreau qui ne lui permet pas d’écarter les jambes au-delà de 20 centimètres. Tu veux de l’aide, je lui demande sur le ton de la plaisanterie parce que je sais qu’elle va grogner dans trois… deux… « Vas-y fous toi de ma gueule. » Oh record battu. Une fois sur ses escarpins elle me rejoint en trottinant puis nous prenons l’ascenseur direction le septième ciel… le 31 ème étage plutôt. Pendant ce petit trajet Courtney remarque que j’ai pas ma tête des bons jours et me demande pourquoi. Je vais me faire chier touuute la soirée, déjà parce que c’est que des gens issus de la mode, rien dans le cinéma alors, puis personne de connu quoi, comment je peux me vendre ? Je pose la question sans pourtant attendre de réponse. « Tu sais, Rihanna et Cara Delevingne sont actrices et pourtant elles étaient connus pour un autre métier avant. » J’ouvre grand les yeux, elle a pas tord. C’est bien la première fois que je l’entends dire un truc censé tiens. « Réfléchis bien », elle continue quand les portes de l’ascenseur s’ouvrirent. Oh t’inquiètes pas ma biche, ça a déjà fait le tour de ma matière grise. Alessa remet cette mèche de cheveux derrière ton oreille, lisse ton top col bardot, toussotes pour éclaircir ta voix et va à la recherche de la personne qui pourrait faire de toi une Cara Delevingne – sans son passé de modèle bien sûr, mais passer de la serveuse que je suis à la sorcière qu’elle a joué dans les bras d’un Joel Kinnaman aux petits oignons, ça me dirait plus que bien. Sans trop patienter j’en trouve un qui m’a l’air pas trop mal, grand, brun, un air de mafieux sans mauvaises arrières pensées. Gonfles la poitrine ma petite Mombelli, faut roucouler comme du pigeon. « Bonsoir… oh mais, votre visage m’est familier… Vous n’auriez pas défilé pour Zadig&Voltaire ? Voilà fait genre que tu l’as déjà vu quelque part, ça va le flatter il va s’ouvrir à la discussion et il finira par lâcher deux trois petits numéros qu’ils me soient utiles ou non. Au pire ça servira à Courtney... qui doit déjà être au bar tiens.
- InvitéInvité
Prince de la nuit, ce titre tu l'avais gagné au fil du temps, ou peut-être te l'étais-tu auto-attribué après tout, qui aurait pu venir t'en tenir rigueur, en général les soirées que tu lançais se passaient plutôt bien, jusque-là t'avais pas vraiment eu à déplorer de catastrophe notoire même si honnêtement, tu t'en foutais pas mal.
Ce soir tu remettais ça, t'avais tout prévu pour une soirée de génie, le dj réputé du moment, la mousse à gogo, les bouteilles de champagne un peu partout, sans oublier la piscine suspendu, tes soirées rimaient souvent avec extravagance, tu voulais que tout soit parfait, pas parce que t'étais un vrai bon gars qui se préoccupait de ce que pensais ses convives mais parce que tu voulais qu'on te vénère pour tes soirées comme un roi.
Et ça c'était encore à cause de tes parents, gosse laissé à lui même qui a grandi sans amour aujourd'hui devenu grand par la taille mais pas par le coeur, t'as toujours ce besoin de considération qui t'as manqué cruellement quelques années auparavant, derrière ton beau sourire tu caches toute une autre personnalité, celle que tu ne dévoiles qu'a l'un de tes nombreux miroir.
Ce soir tu ravales tout ce qu'il y'a de mauvais dans ta vie, tu le caches au fond de toi, t'enfile ton masque de gentil garçon un peu devenu concon à cause du travaille et t'avales la petit pilule magique qui va te faire oublier tes soucis, tu dresses un jolie sourire sur tes lèvres alors que tes convives commencent à arriver, t'es bien sapé et on te fais la remarque, t'apprécies mais après tout t'es un model, le contraire aurait été dérangeant.
Tes allers-retours se font entre bar et piscine moussante avec vue plongeant sur la ville en contre-bas, t'es déjà bien haut, quand une jolie sirène t'interpelles, tu te laisses accoster par la belle prêt à répondre à chacune de ses questions, dévoué comme le serait un majordome mais tu lui accordes vraiment toute ton attention quand de belles paroles arrivent jusqu'à tes oreilles, t'es flatté et tu ne le caches pas.
J'ai pas eu cet honneur encore mais ton compliment me touche, tu défiles pour qui toi ? Vu ton corps et ta gueule d'ange, pour une belle marque je présume.
Il ne te faut pas longtemps pour analyser la divine créature qui vient d'apparaître devant toi, tu la détailles de la tête au pieds, t'as parlé de façon crue, pas comme on l'aurait attendu de toi à un événement mais ce soir l'événement c'est toi qui l'a créé, tout comme les règles, alors le vouvoiement et le lange soutenu tu le prends et tu le balances loin derrière toi.
Mademoiselle... ? Accepterait-elle de m'accompagner pour que je lui offre de quoi se rafraîchir.
T'es sur le ton de la rigolade ce soir, la petite pilule, l'alcool, t'es déjà au septième ciel et l'arrivée de cette jolie personne ne fait que présager du bon pour la suite. Tu te diriges vers l'immense cuisine avec la belle inconnue à tes côtés, là sur la grande table centrale sont disposés assez de bouteilles d'alcool pour qu'on peine à voir le bois, là tu t'accoudais au mur.
Ca va être compliqué de tout te proposer alors dit moi plutôt ce qui te ferai plaisir et je te dirai si c'est au menu.
Tu riais légèrement, les yeux rivés sur ta nouvelle invité, prêt à satisfaire chacun de ses désirs, l'étape suivante ? Tu savais pas trop, en faite t'attendais de voir ce qu'elle allait te dire après, et dans le pire des cas t'étais prêt à lui montrer la direction de la piscine déjà bien moussante, là sur ton mur, tu sortais un joint que tu calais entre tes lèvres avec nonchalance, une occasion de plus de te mettre dans de bonnes conditions, de voir la vie en rose et de plus faire attention aux petites conneries, voire aux grosses pour profiter un maximum.
Si t'as besoin de quoi que ce soit, tu me dis et je t'apporte ça, d'accord ?
Tu souriais à la belle, clope au bec, prêt à aller te lancer dans la piscine, à te jeter sur un canapé ou faire n'importe quoi d'autre, mais t'allais pas la laisser toute seule, alors t'attendais qu'elle ai choisi son breuvage pour pouvoir l'emmener s'amuser, ça faisait parti de ton petit credo de bien t'occuper des nouveaux arrivants.
Pyphi(lia)Ce soir tu remettais ça, t'avais tout prévu pour une soirée de génie, le dj réputé du moment, la mousse à gogo, les bouteilles de champagne un peu partout, sans oublier la piscine suspendu, tes soirées rimaient souvent avec extravagance, tu voulais que tout soit parfait, pas parce que t'étais un vrai bon gars qui se préoccupait de ce que pensais ses convives mais parce que tu voulais qu'on te vénère pour tes soirées comme un roi.
Et ça c'était encore à cause de tes parents, gosse laissé à lui même qui a grandi sans amour aujourd'hui devenu grand par la taille mais pas par le coeur, t'as toujours ce besoin de considération qui t'as manqué cruellement quelques années auparavant, derrière ton beau sourire tu caches toute une autre personnalité, celle que tu ne dévoiles qu'a l'un de tes nombreux miroir.
Ce soir tu ravales tout ce qu'il y'a de mauvais dans ta vie, tu le caches au fond de toi, t'enfile ton masque de gentil garçon un peu devenu concon à cause du travaille et t'avales la petit pilule magique qui va te faire oublier tes soucis, tu dresses un jolie sourire sur tes lèvres alors que tes convives commencent à arriver, t'es bien sapé et on te fais la remarque, t'apprécies mais après tout t'es un model, le contraire aurait été dérangeant.
Tes allers-retours se font entre bar et piscine moussante avec vue plongeant sur la ville en contre-bas, t'es déjà bien haut, quand une jolie sirène t'interpelles, tu te laisses accoster par la belle prêt à répondre à chacune de ses questions, dévoué comme le serait un majordome mais tu lui accordes vraiment toute ton attention quand de belles paroles arrivent jusqu'à tes oreilles, t'es flatté et tu ne le caches pas.
J'ai pas eu cet honneur encore mais ton compliment me touche, tu défiles pour qui toi ? Vu ton corps et ta gueule d'ange, pour une belle marque je présume.
Il ne te faut pas longtemps pour analyser la divine créature qui vient d'apparaître devant toi, tu la détailles de la tête au pieds, t'as parlé de façon crue, pas comme on l'aurait attendu de toi à un événement mais ce soir l'événement c'est toi qui l'a créé, tout comme les règles, alors le vouvoiement et le lange soutenu tu le prends et tu le balances loin derrière toi.
Mademoiselle... ? Accepterait-elle de m'accompagner pour que je lui offre de quoi se rafraîchir.
T'es sur le ton de la rigolade ce soir, la petite pilule, l'alcool, t'es déjà au septième ciel et l'arrivée de cette jolie personne ne fait que présager du bon pour la suite. Tu te diriges vers l'immense cuisine avec la belle inconnue à tes côtés, là sur la grande table centrale sont disposés assez de bouteilles d'alcool pour qu'on peine à voir le bois, là tu t'accoudais au mur.
Ca va être compliqué de tout te proposer alors dit moi plutôt ce qui te ferai plaisir et je te dirai si c'est au menu.
Tu riais légèrement, les yeux rivés sur ta nouvelle invité, prêt à satisfaire chacun de ses désirs, l'étape suivante ? Tu savais pas trop, en faite t'attendais de voir ce qu'elle allait te dire après, et dans le pire des cas t'étais prêt à lui montrer la direction de la piscine déjà bien moussante, là sur ton mur, tu sortais un joint que tu calais entre tes lèvres avec nonchalance, une occasion de plus de te mettre dans de bonnes conditions, de voir la vie en rose et de plus faire attention aux petites conneries, voire aux grosses pour profiter un maximum.
Si t'as besoin de quoi que ce soit, tu me dis et je t'apporte ça, d'accord ?
Tu souriais à la belle, clope au bec, prêt à aller te lancer dans la piscine, à te jeter sur un canapé ou faire n'importe quoi d'autre, mais t'allais pas la laisser toute seule, alors t'attendais qu'elle ai choisi son breuvage pour pouvoir l'emmener s'amuser, ça faisait parti de ton petit credo de bien t'occuper des nouveaux arrivants.
- InvitéInvité
Le mec est flatté ou alors je suis nulle en relations humaines – n’écartons pas cette probabilité. « J'ai pas eu cet honneur encore mais ton compliment me touche, tu défiles pour qui toi ? Vu ton corps et ta gueule d'ange, pour une belle marque je présume. » Et tellement à l’aise le mec qu’il se prend à me tutoyer. Allons-y après tout, ça facilite l’échange le tutoiement, puis j’arriverai certainement plus vite à mon but. Je fais genre que je suis aussi séduite par les compliments – même si gueule d’ange j’trouve ça un peu brut de décoffrage mais allons bon. Hélas pour personne… un jour prochain peut être ! Je réponds en contractant les fossettes comme pour retenir un sourire flatté. Faut paraître crédible quand même – puis je me destine à la comédie, ça fera un bon exercice. « Mademoiselle... ? Accepterait-elle de m'accompagner pour que je lui offre de quoi se rafraîchir. » Oh, il prend les devants. Nice ! Alessa, Alessa Mombelli, et vous ? Par contre c’est moche de pas savoir qui il est, genre si ça se trouve le mec est hyper connu et ma question va le vexer. J’aurai du tirer les vers du nez à Courtney, pour une révision rapide des têtes d’affiches de cette réception. Tant pis, ma bouche à parler plus vite que mon cerveau – une fois encore – la question est posée, maintenant y a plus qu’à croiser les doigts pour qu’il le prenne bien eh. Mais oui, je meure d’envie de me désaltérer, je renchéris comme pour évincer ma demande on ne peut plus bête. Pendant ce temps il me propose de le suivre, ce que je fais immédiatement – j’ai besoin de contacts eh oh, alors oui je fais le toutou. On se retrouve quelques instants plus tard dans une immense cuisine ou salle de réception avec cuisine ouverte, je parviens pas à me décider tellement c’est grand. « Ca va être compliqué de tout te proposer alors dit moi plutôt ce qui te ferai plaisir et je te dirai si c'est au menu. » Complètement absorbée par le lustre central en cristal, je ne remarque même pas la table qu’il éclaire juste en-dessous… et qui visiblement déborde de bouteilles d’alcool. Ah oui nice, va falloir y aller molo sur la binouze Alessa, hein. Je m’approche doucement de la table et commence à regarder les étiquettes de chaque bouteille. Un bar avec un barman qui nous sort des cocktails de ouf m’aurait plus plu mais bon, on fera avec. J’aperçois alors une petite bouteille de rosé. Lumière, ça vient de chez moi ça. Je la montre du doigt à mon interlocuteur. Un petit verre de rosé m’irait parfaitement, je lui dis avec un large sourire. Ouais enfin, pas trop large Alessa, tu vas passer pour une ivrogne. Puis un seul verre, pas plus. Et pas trop rempli j’espère ehm. Je me décale pour le laisser passer – en espérant qu’il me serve un verre oh, un gentleman comme lui ça sert des verres aux demoiselles, nan ? « Si t'as besoin de quoi que ce soit, tu me dis et je t'apporte ça, d'accord ? » J’adresse un sourire dans le vide, les yeux perdus dans ma joie qui monte. DES NUMEROS DE REALISATEUR, MOTHERFUCKER. Allez on se calme, pas de suite ça ferait trop suspect. Qu’est-ce que je pourrai bien lui demander pour lui tenir la manche là. Snif, ça sent la beuh là ? Ah oui, il fume. Pas moi. Donc lui demander de partager son joint, c’est non. Euh, réfléchis vite Alessa. Pas où sont les toilettes non sinon tu le perds. C’est à toi tout ça ? Je fais en me déplaçant vers l’intérieur de l’appartement tout en observant le moindre mètre carré de sol et de plafond. Oui c’est bien ça Alessa, continue.
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