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YESTERDAY'S NEWS |48
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VINCINI "VITTO" LUCIANO
Essayons d'en finir tout en gardant le sourire.
Avant de commencer, nous aimerions vous poser quelques questions sur votre personnage, afin d'en savoir davantage sur les motivations qui l'animent.
L'INTERROGATOIRE
La mort. J'aimerais en connaitre tous les secrets, que je puisse lire dans la plus grande peur de tous les habitants de cette planète comme on pourrait lire dans un livre. Que je puisse la contrôler sans me poser de questions, que la prochaine fois où j'essayerais de mettre fin à mes jours, je puisse réussir. Qu'il n'y ai personne autour de moi pour m'en empêcher. Que personne ne puisse me retrouver, que personne ne puisse me sauver. Qu'on me laisse dans les bras de la mort, qu'elle m'emporte avec elle et que plus jamais je ne souffre. Plus jamais je n'aurais à faire face au visage de Mona, à me réveiller en sueur après un cauchemars, le même cauchemars que je fais depuis tant d'années. Qu'enfin, je sois libre, libéré de tous mes pêchés, de toutes mes mauvaises actions. La mort, je veux en connaitre les moindres secrets, la connaitre encore mieux que je ne me connais.
Remonter dans le passé, effacer cette journée, effacé ce moment qui a fait de moi l'homme perturbé que je suis aujourd'hui. Supprimé tout ça, agir autrement, ne pas être présent, faire en sorte d'être ailleurs, dehors, qu'ils ne meurt pas, que je ne lui ôte pas la vie de mes propres mains. Et si je n'avais pas agis comme ça, serais-je quelqu'un d'autre ? Est-ce que je serais ce mec perdu, complètement bouffé par le pêché et par les remords ? Je n'en ai aucune idée et je devrais passé ma vie à vivre de la sorte, à porter ce poids sur mes épaules partout ou j'irais. Et au milieu de la foule, quand tous les regards sont posé sur moi, peut-être que je n'aurais pas la même réaction. Peut-être que je ne serais pas paranoïaque. Parce que moi, j'ai besoin d'amour. J'ai besoin de me sentir aimé, moi qui n'a presque pas d'amis, qui est seul, seul avec sa famille et ces putes.
Comment parler du bonheur quand on ne sait même pas ce que c'est ? J'ai de vagues souvenir de mon enfance, avant le drame, avant l’évènement qui a changé toute ma putain de vie. J'étais un petit garçon qui respirait la joie, qui passait son temps à vouloir s'amuser, à sourire, à rigoler à en faire chier tout le monde. Mais ça, c'était avant, c'était avant ce fameux jour qui a changé la vie de toute ma famille. Est-ce que je suis heureux ? Non. Je ne suis qu'un dépressif, un sociopathe qui déambule sur cette planète car il n'a pas encore trouvé comment mettre fin à ces jours de la bonne façon. Je ne suis pas heureux, ou plutôt, je n'y arrive plus, je ne sais plus comment faire. Pour moi, la recette du bonheur serait que Nina soit toujours en vie, que Gabriele aussi, que Papa et Maman soit encore présent. Là, je serais heureux, le jour ou nous serons tous réunis, je le serais. Mais en attendant, j'erre sur cette terre tel un corps sans âme.
ta plus grande réussite à ce jour ?
Je n'ai rien réussis. Sur cette terre, tout ce que j'ai pu apporté était le malheur et la tristesse, comme un démon qu'on aurait libéré de sa cage des Enfers pour aller semer la mort et la tristesse sur cette planète. Ma seule ambition est de continuer à vivre encore un peu, d'essayer de garder la tête hors de l'eau jusqu'au moment ou je vais replonger, jusqu'au moment ou la culpabilité sera tellement grosse que ma seule envie sera d'en finir. Je n'en parle pas, non, jamais, seul deux personnes sont au courant, mais on en parle pas, on ne remue pas le couteau dans la plaie. Peut-être que ça pourrait me faire du bien d'en parler, mais je ne le fais pas. Alors ouais, j'ai rien réussis, j'ai rien fait de bien, mis à part peut-être le fait que j'arrive plutôt bien à gérer le tripots, que les putes, c'est mon domaine. Mon ambition, c'est de rendre fier mes proches dans les affaires familiales, qu'ils puissent se dire que ouais, Vitto, il est peut-être complètement dérangé, mais qu'il assure, que c'est quelqu'un en qui on peu avoir confiance.
et jusqu’où serais-tu prêt(e) à aller pour la défendre ?
Pas besoin de réfléchir pour répondre. C'est la famille, ma famille. Mes frères, ma sœur, le business familiale, les Luciano. Il n'y a rien de plus important à mes yeux que la famille. Ils sont et seront toujours-là pour moi, enfin, je pense. Ils sont ce que j'ai du plus beau sur cette terre. Pour eux, je serais prêt à tout, je serais prêt à tuer, prêt à donner ma vie pour eux. Personne ne peux les toucher, personne ne peux leur faire du mal si je suis là. Non, ce sont des êtres précieux, ils sont les seuls personnes qu'il me reste, les seuls à ne pas trop me regarder comme le monstre que je suis. Fou, je pourrais torturer quelqu'un pour eux, lui arracher les membres uns à uns, et le pire, c'est que je ferais ça avec un sourire sur les lèvres, un sourire qui en dirait long sur moi, sur ma folie.
qu’as-tu ressenti ?
Si vous saviez tout ce que j'ai pu faire d'illégal. Ma vie doit être la définition propre de ce mot. Né dans une famille de mafieux, je baigne dans le sang et dans la criminalité depuis ma tendre enfance. Et vous savez ce qui est le pire là-dedans ? Je ne ressens rien. Je m'en moque, j'achète de la drogue pour me défoncer, je bois de l'alcool pour perdre la tête, je couche avec des filles de joies pour me vider les couilles et me laisser aller. C'était ma destiné, le chemin que je devais suivre, et faire du mal aux gens, c'est mon quotidien.
La seule chose que je referais dans ce monde serait supprimé le jour où trois membres de ma famille sont décédés. Je changerais juste ce jours-là, pour leur laisser une chance de vivre un peu plus longtemps, une chance de découvrir ce monde. C'est tout, rien de plus, je n'ai besoin de rien changé. Je me moque des gens, je me moque de leurs problèmes, de leurs envies. J'en ai complètement rien à foutre, si t'es pas de ma famille, tu n'es pas important, tu peux crever devant moi que je ne bougerais pas le petit doigt. Je ne suis pas ce genre de mec à vouloir supprimer les guerres, on en a besoin pour avancer, on a besoin de toute cette violence pour comprendre comment le monde fonctionne.
Peu de personne le savent, j'ai passé ma vie à trainer cette histoire tel un boulet accroché à mon pied, boulet que je ne pourrais retirer. Ma plus grosse erreur, celle qui me hantera jusqu'à la nuit des temps, la seule et unique chose que j'aimerais changer sur cette putain de terre. Je l'ai tué, j'ai pris sa vie, dans un élan de folie. J'ai été emporté par la peur, par la frayeur, et j'ai mis fin à ces jours comme si j'écrasais une simple mouche. Ma sœur, l'une des deux pépites d'or de notre famille, je lui ai ôté la vie, je n'avais que cinq ans, et elle quatre. Pardonne moi, Nina.
Et parfois, je pleure. Comme une baltringue, comme une petite fille apeuré, je pleure, l'espace de quelques secondes, quelques larmes coulent, seul chez moi, seul dans une pièce sombre. Je cris, je hurle pour essayer de faire passer toute cette haine. Mais ça ne fonctionne pas.
DERRIÈRE L'ÉCRAN
Karma : [ ] It's all my fault [x] I'm a mother fucker. Prénom/pseudo : Crossfire Âge : Immortel Anniversaire : Un jour de l'année Localisation : France Présence : 5/7. Personnage ... [ ] inventé [x] pré-lien. J'ai connu le forum : On a voulu me faire venir, j'ai refusé, et au final, je suis là. Et je le trouve : Plutôt cool. Ma plus grande peur : De ne plus avoir peur Un dernier mot ? Mot
IMAGES Morrigan & TUMBLR
- InvitéInvité
FAITS DIVERS
Dans un total oubli de moi-même, envahi par la nuit, le silence et la plénitude, j'avais trouvé la liberté. Perdre tout espoir, c'était cela la liberté.
C'est votre vie et elle s'achève minute après minute.
« Bim » Un bruit de fracas se fait entendre dans toute la maison. Je ne comprends pas vraiment ce que ça peut-être sur le coup. Alors je cours, j'enfile un jogging et je descends voir. J’pige pas, je ne comprends rien, qui sont tous ces hommes, que font-il ici, chez moi, chez nous ? Comme si une guerre avait éclaté, j’entends des cris, j’entends des insultes, des mots que je ne pourrais comprendre. J’ose pas descendre, j’suis pas fait pour comprendre quelque chose que je ne vois pas, j’suis pas assez fort pour ça, mais mon seul réflexe c'est d'attraper Nina par la main, ne sachant pas ou se trouve Gabriele, je cours. Je cours avec Nina, elle pleure, elle a peur, elle aussi, elle ne comprends pas. Ce placard dans lequel on se cache est l'endroit où j'ai entendu le son de sa voix pour la dernière fois. Elle avait peur, peur à s'en pisser dessus, et j'étais petit, je n'étais qu'un enfant, un gosse de cinq ans qui vivait lui aussi, la plus grosse peur de sa vie. On ne doit pas nous entendre, non, il faut qu'elle se taise, il faut qu'elle arrête de pleurer, Nina s'il te plaît, calme toi, montre toi forte. T'es une Luciano, prouve le, prouve que tu sais te retenir, fait le, pour moi, s'il te plaît, arrête de pleurer, ils vont nous entendre, ils vont savoir qu'on est ici. Arrête. Putain Nina, arrête s'il te plaît, j'ai peur. Papa, aide nous, vient nous aidez s'il te plaît. Arrête tout ça, stop, j'en ai marre, j'ai peur. Et la peur me fait faire des choses impensables. Des choses complètement débiles. Je la sert contre moi, son visage contre mon torse d'enfant, je l'appuie, étouffant ces cris et ces pleures contre le tissu de mon t-shirt. Ils ne vont pas nous trouver comme ça, Nina. Fait moi confiance, ils vont partir et on finira par pouvoir sortir. Nina... Nina... Pourquoi tu ne bouges plus ? Pourquoi tu dors ? La fatigue de tes pleures t'on fatigué ? C'est ça hein ? Tu dors ? Dit moi que tu dors s'il te plaît, dit moi que t'es là, que t'es juste fatigué, que la peur t'a fait ça. Pas moi, je n'ai pas pu faire ça, je n'ai pas eu la force de t'ôter la vie. Non. Nina, pourquoi. Pourquoi tu ne t'es pas calmé ? Pourquoi tu ne m'as pas fait confiance ? Pourquoi t'as pleuré comme ça ? Je suis ton grand frère, tu aurais du prendre exemple sur moi, m'écouter quand je t'ai dit que tout se passerait bien, Nina putain, réveil toi. Mais elle ne se réveilla jamais, la dernière image que j'ai d'elle est celle d'un corps inerte entre mes bras, son corps d'enfant. Ces yeux fermés et sa bouche ouverte. Ma main caressant ces cheveux, me balançant sur place, traumatisé, complètement bouleversé par ce qui venait de se passer. Nina, je suis désolé, je n'ai pas su te protéger, je n'ai pas réussis à être le grand frère que j'aurais du être. Je ne suis qu'une merde, une putain de merde, un assassin, j'ai tué ma propre sœur, mon propre sang. Jamais on ne pourra me le pardonner, si on le sait, je serais vu comme un monstre, comme un putain de monstre. Ce gamin qui a tué sa sœur car il n'a pas eu assez de couilles pour la protéger. Mais en même temps, je n'avais que cinq ans, comment j'aurais pu faire ? Comment j'aurais pu la protéger, la faire taire ? J'étais apeuré, et j'ai merdé. La plus grosse erreur de ma vie, celle qui allait me changer à jamais, faire de moi cette bête sauvage que seul quelques personnes allaient pouvoir approcher sans se faire mordre.
Et je ne me suis pas trompé, oh non, j'ai vu juste. J'étais devenu un monstre. Une petite merde qu'on aurait aimé faire disparaitre de la surface de la terre. Depuis ce jour, je n'ai plus été le même, un adolescent turbulent, portant sur les épaules un poids bien trop lourd pour lui. Agressions, insultes, bagarres, rapidement, je me suis fait viré de l'école, terminant dans un centre de redressement pendant deux ans, deux putain d'années. Vous mettez un Luciano dans ce genre d'établissement et vous pensez qu'une fois sortie il sera calmé et pourrait être pris comme un citoyen modèle ? Mon cul ! Mon cul putain. La seule chose qui m'a calmé c'est mon oncle quand il me l'a demandé. Lui, cet homme qui me fait peur, Pippo, cet homme que je respecte tant. Il sait, ce que j'ai fait, mais jamais il ne m'a jugé, jamais il ne m'en a parlé, non, il m'a dit de ne rien dire, d'oublier cette histoire, qu'il allait s'en occuper, qu'il s'occuperait de tout. Il a été là pour moi, il m'a fait confiance quand il m'a permis de faire partie pleinement de notre famille, de gérer nos vacances, comme on appel ça en public. Aujourd'hui, je m'occupe des putes, et je crois que c'est l'endroit parfait pour moi. Un endroit fait de pêché, de tristesse et de foutre. C'est là-bas, la première fois que ma bite a senti la chaleur d'un vagin. Elle s'appelait Rita, elle n'était pas très belle, mais elle avait des formes qui me donnaient une mie-molle à chaque fois que je la voyais. Je l'ai baisé, ou plutôt, elle m'a baisé, et entre ces cuisses, j'ai eu l'impression de lâcher une partie de mon mal-être, une partie de ma culpabilité. Que comme avec la drogue, l'espace d'une micro seconde, je me sentais bien, je n'avais plus aucun problème. Et c'est devenu une addiction, ça aussi. Baisé, baisé autant que possible, faire passer mon mal-être par le sexe, par l'abandon de son corps, l'abandon de soit même entre une paire de cuisse, devant un cul. Elle est belle ma vie hein ? Ma putain de vie que j'aimerais stoppé. Cette vie faites de malheur. Cette vie qui je l'espère, s'arrêtera bientôt. Mais je n'y arrive pas, à chaque fois, Dino, il est là pour me retrouver, il est là pour m'aider. Dino, c'est l'un des seuls à savoir pour Nina, le seul qui m'a déjà vu pleurer, bon, il y a eu quelques putes mais ça, on oublie... Car en lui, j'ai confiance, je sais qu'il ne me jugera pas, je sais qu'il ne me regarde pas comme on pourrait regarder un monstre. Dino, c'est un modèle pour notre famille. Il était là, quand Papa est mort. Dino, il est comme Papa, c'est un mâle alpha, et quand il parle, on sait tous qu'on doit se la fermer, qu'on doit l'écouter. Mais Dino, il sait que je vais mal, il sait qu'un jour, il arrivera trop tard, je suis certain qu'il le sait. Il sait aussi pourquoi je suis comme ça avec Mona. Mona, je suis désolé, désolé d'être comme ça avec toi. Mais tu lui ressembles trop. J'aimerais te dire tout ça, j'aimerais t'en parler, te dire à quel point je t'aime, à quel point je suis désolé de me comporter de la sorte, mais tu me rappels Nina, tu es sa copie conforme. Et je sais que si tu l'apprends, tu vas m'en vouloir, tu vas me détester, je le vois bien dans ton regard. Je vois bien que tu n'as pas vraiment confiance en moi, que depuis ce jour-là, je suis juste le frère raté, celui qui est complètement parti en couille. Excuse moi, mais tu es tellement précieuse à mes yeux que je n'y arrive pas, que mes sautes d'humeurs n'ont rien à voir avec ton comportement et ta façon d'être, tu es parfaite Mona, et même si tu ne prends pas part aux affaires familiales, je t'aime, et ça même si je ne suis qu'un connard, qu'une merde. Et c'est pas Tadeo qui vous dira le contraire. Le pauvre, je lui en fais baver, mais il en a besoin. Il est perdu ce gosse, mais il a un putain de potentiel, il peut faire de grandes choses pour la famille, j'arrive à voir cette force intérieur en lui, mais monsieur ne sait pas. Il veut étudier, il veut faire comme Dino, mais il n'est pas Dino. Non, il est bien plus fougueux, bien plus jeune. Alors ouais, je lui mets la pression, je le pousse à aller toujours plus loin, j'aimerais qu'il prenne pleinement part dans tout ce business, mais il a la tête dur, ce petit con. Mais voilà, j'ai beau aimé ma famille, ils ont beau être là pour moi, ça ne m'empêche pas d'en avoir marre. D'être siphonné, complètement con, perdu, drogué, dépressif, triste, fou, complètement fou, névrosé. Personne ne pourra m'arrêter, et quand là haut, ça pète, il ne vaux mieux pas être à côté, non, restez loin de moi, mes mains de meurtriers pourraient faire de mauvaises choses avec vos corps...
IMAGES TUMBLR
- InvitéInvité
Bienvenue Vincini, on à bien envie d'en savoir plus sur ton perso ! Bon courage pour terminer la rédaction de ta fiche !
- InvitéInvité
Bienvenue
Super choix de vava **
Super choix de vava **
- InvitéInvité
Bienvenuuue sur le forum
- InvitéInvité
Bienvenue sur it's all my fault et bon courage pour la rédaction de ta fiche
- Shaé ManciniI'm a Mother Fucker
-
Dollars : 2439
Messages : 259
Date d'inscription : 20/03/2018
Avatar : Gemma Arterton
Crédits : Shiya
Âge du personnage : 33 ans
Nationalité(s) : Italienne et Américaine
Signe astrologique : Vierge
Mon personnage, en 5 mots : Maternelle, Engagée, Passionnée, Douce, Battante
Quartier de résidence : Northeast
Carrière, métier ou job : Chef de projet à l'UNICEF, titre pompeux au possible pour dire que ce n'est qu'une petite main au sein de son unité
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : Célibataire (par choix)
Bienvenue
- InvitéInvité
Bienvenue sur IAMF
- Jade A. RiveraI'm a Mother Fucker
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Dollars : 2833
Messages : 1060
Date d'inscription : 10/03/2018
Avatar : Grace Elizabeth
Crédits : alittlebitofrain pour l'avatar et sosoland pour la signature
Âge du personnage : 25 ans
Nationalité(s) : Américaine
Signe astrologique : Scorpion
Mon personnage, en 5 mots : Individualiste - Peu aimable - Bonne vivante- Séductrice - Passionnée
Quartier de résidence : Northeast
Carrière, métier ou job : Antiquaire
Études (passées ou en cours) : A fait un master d'arts appliqués
Hobby : Fait de l'équitation
Orientation sexuelle : Bisexuel(le)
Situation sentimentale : C'est ... compliqué
Bienvenue et bon courage pour la rédaction de ta fiche
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