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YESTERDAY'S NEWS |48
- InvitéInvité
LOAN KAEL HAYES
Everybody praying for the end of times.
Avant de commencer, nous aimerions vous poser quelques questions sur votre personnage, afin d'en savoir davantage sur les motivations qui l'animent.
L'INTERROGATOIRE
Wow pas facile… Après réflexion, je pense que je choisirais les relations humaines. J’ai du mal parfois avec les gens, avec ce qu’ils dégagent. Je ne sais jamais trop quoi dire et c’est sans doute parce que je traine peu souvent avec d’autres personnes en dehors des membres de ma famille. Eux, je les connais tous, je sais comment être… Mais avec les étrangers, c’est une autre histoire. J’adorerais être en possession de la connaissance absolue des autres, d’analyser chaque petite phrase, chaque attitude… Quoique, je le fais déjà parfois quand on prépare des casses, mais ce n’est pas la même chose. Il y a des moments où je me sens carrément comme un alien quand je discute avec ces personnes et c’est sans doute parce que nous ne partageons que très rarement la même vision des choses.
Mes rêves les plus fous ? J’en ai pas spécialement… Je crois que je réalise mes rêves au fur et à mesure… Je n’en garde jamais un seul dans un coin de ma tête, je fais ce que je veux et quand je veux parce que j’ai pas envie que la mort me rattrape et que je crève avec des regrets, ce serait con ! Donc un rêve fou… Ouais non, j’en vois aucun pour le moment ! Quant à être au centre de l’attention, je m’en tape complètement. Quand ça arrive, je fais le clown, je m’en amuse… Je suis un comique moi ! Mais être dans l’ombre me convient tout autant, même plus.
À mes yeux, y en a pas. Je casse peut-être les délires, mais je ne suis pas le genre de mec qui rêve sans cesse ou qui s’imagine qu’il existe un moyen pour que tout le monde soit heureux et qu’on vive avec un sourire sur la gueule toute la journée. La recette du bonheur n’existe pas et je ne me sens jamais pleinement heureux. Je suis juste bien. Et je trouve ça cool. Je n’ai pas besoin d’être euphorique au point de ne plus me sentir. J’ai l’impression que les gens vivent rien que pour ça, pour trouver ce petit truc qui fera qu’ils seront heureux à mille pour cent, moi je m’en fous. Et je m’en ficherais toujours.
ta plus grande réussite à ce jour ?
J’ai de l’ambition, ouais ! Je crois même que j’en ai un peu trop parfois parce que je m’emballe pour absolument tout et ça agace prodigieusement ma famille. J’ambitionne d’être le meilleur dans tout ce que j’entreprends et je n’aime pas être mis de côté ou mal faire les choses. J’ai besoin d’être parmi les meilleurs – pas forcément le numéro un parce que dans ma famille c’est impossible -, mais je veux être dans les meilleurs coups parce que j’ai ça dans le sang et que je veux en être, tout simplement ! Et ma plus grande réussite… Je crois que c’est de n’avoir jamais été pris par les flics. Ça ouais, putain de réussite et putain de fierté !
et jusqu’où serais-tu prêt(e) à aller pour la défendre ?
Sans le moindre doute et sans la moindre réflexion, la chose la plus importante à mes yeux c’est ma famille ! On s’embrouille parfois, on se cogne dessus, on s’engueule, on s’insulte, mais on s’aime et on se protège quoiqu’il arrive ! Jamais aucun d’entre nous n’irait trahir le reste de la famille et c’est un truc essentiel à mes yeux. Pour ma famille, je suis prêt à tout. Je peux commettre le pire crime du monde si on s’en prend à l’un d’entre eux. Nous ne sommes clairement pas la famille la plus saine de la ville, mais on a l’avantage d’être une famille soudée et unie et ça, putain, c’est irremplaçable.
qu’as-tu ressenti ?
Elle est sérieuse cette question ? Évidemment que j’ai déjà fait quelque chose d’illégal puisque je baigne dans l’illégalité depuis ma naissance ! C’est pas que je faisais déjà des coups lorsque je portais encore des couches, mais juste que c’est dans les gênes de la famille quoi. Du coup, ma première vraie connerie remonte à mes douze ans peut-être et ça a fait la fierté de ma mère que je sois capable d’un si grand sang froid devant des situations périlleuses. J’ai ressenti que de bonnes choses, c’était un vrai régal, un kiff ! Je crois que ça explique en parti pourquoi je n’ai jamais arrêté de faire des trucs qui pourraient me conduire en taule.
Non mais déjà j’ai la flemme de refaire mes lacets, t’as cru que j’aurai la foi de refaire le monde si j’en avais l’occasion ? Pour moi le monde il est très bien de cette manière. Pourquoi vouloir quelque chose de différent ? Pourquoi moi, j’aurai la prétention de dire que je pourrais faire mieux alors que ce ne serait clairement pas le cas ? Le monde est à l’image de ce que nous sommes, il y a du bon et du mauvais et ça crée un équilibre intéressant qu’il ne faut surtout pas changer sous un prétexte idiot. J’suis pas un rêveur et je veux pas d’un monde utopiste.
J’ai deux frères et une sœur ! Ouais ça te surprends pas vrai ? Nous sommes une fratrie de quatre, soudée et complètement déjantée. Il faut être au courant que nous avons tous la même mère, mais chacun à un père différent alors au niveau des ressemblances, c’est pas vraiment ça… Quand on se présente en tant que « frères », les gens ne nous croient même pas. Il faut dire que moi j’ai une gueule de mexicain quand l’autre a la tronche d’un type qui vient des pays nordiques. Nan clairement, nous ne sommes pas trop crédibles quand on parle de nos liens fraternels, mais c’est vraiment le cas !
DERRIÈRE L'ÉCRAN
Karma : [ ] It's all my fault [ x ] I'm a mother fucker. Prénom/pseudo : nev. Âge : j'suis choquée qu'on me pose la question. Anniversaire : octobre. Localisation : dans mon salon. Présence : 4/7. Personnage ... [x] inventé [ ] pré-lien. J'ai connu le forum : par Lynae. Et je le trouve : très bien. Ma plus grande peur : je sais pas. Un dernier mot ? salut.
IMAGES FEU ARDENT
- InvitéInvité
FAITS DIVERS
I love the adrenalines in my veins.
I LOVE HOW IT FEELS WHEN I BREAK THE CHAINS
De mon enfance, je n’ai pas grand-chose à dire si ce n’est les banalités que l’on entend généralement dans toutes les familles. Lorsque je suis venu au monde, je n’étais pas le premier fils Hayes puisqu’avant moi était déjà né Cash, mon frère aîné. Notre mère, Ellen, nous as élevé seule, avec l’aide de son frère qui vivait dans la même maison que nous – ou tout du moins, il y trainait si souvent que je suppose qu’il habitait avec nous, même si j’en ai aucune certitude.
Déjà petit, j’avais conscience des différentes entre Cash et moi. Lui, si blond, les yeux clairs… alors que moi j’avais ce teint plus halé, des cheveux bruns et des yeux marrons qui ne laissaient aucun doute sur mes origines mexicaines. Car oui, nous n’avions pas le même père et d’ailleurs, je n’ai jamais vu le père de Cash de toute ma vie… Alors que le mien, je le connaissais. Pas énormément au départ. Il venait de temps en temps ou Ellen acceptait parfois que j’aille chez lui pour quelques jours, mais je n’avais pas une très grande affinité avec mon père à cette époque. Je ne comprenais pas pourquoi il n’était pas aussi le père de Cash et pourquoi il ne le prenait pas avec nous lorsqu’on allait en vacances. Ces différences me gênaient tellement qu’elles m’empêchaient d’être pleinement heureux de cette relation père-fils.
Au départ, je ne savais pas dans quoi ma famille trempait. Il est vrai qu’enfant, je m’en fichais un peu du travail de chacun mais parfois, je me posais des questions. Pourquoi ma mère et mon oncle partaient-ils aussi souvent et pourquoi revenaient-ils si tard ? Ils revenaient avec des sacs remplis et je pensais naïvement qu’ils allaient faire des courses… Mais ce n’était rien de tout cela. Je devais avoir onze ou douze ans lorsque je fus mis au courant des activités de la famille Hayes. Sa spécialité. Je me souviens que mon oncle avait un peu enjolivé les choses en disant qu’ils prenaient aux riches… sauf qu’ils ne donnaient pas aux pauvres, ils gardaient tout pour eux, pour nous. C’était grâce à ce pactole si on vivait dans une aussi belle maison, si on avait cette piscine, ces fringues qui coûtaient une blinde et j’en passe. Ils étaient passé experts dans l’art de voler sans se faire prendre grâce à des années d’entrainement et… ouais, j’eus très rapidement envie d’en être.
Mon premier coup remonte à mes douze ans. Ce ne fut rien de bien exceptionnel, ni de très dangereux, mais déjà il me fallait faire preuve de sang froid et être capable de mentir – une chose que je maitrise plutôt bien. Ma mère fut tellement fière de moi après ça ! Elle savait que j’allais être un Hayes digne d’elle, de ce qu’elle avait bâti. Notre famille s’était agrandit entre temps, d’un frère et d’une sœur. Et putain, il fallait vraiment gérer tout cela à la fois mais c’était génial ! On savait qu’on ne pouvait qu’en parler entre nous, que les autres ne devraient jamais être au courant, pas même nos amis les plus proches. C’était notre secret, scellé par les liens du sang.
Déjà petit, j’avais conscience des différentes entre Cash et moi. Lui, si blond, les yeux clairs… alors que moi j’avais ce teint plus halé, des cheveux bruns et des yeux marrons qui ne laissaient aucun doute sur mes origines mexicaines. Car oui, nous n’avions pas le même père et d’ailleurs, je n’ai jamais vu le père de Cash de toute ma vie… Alors que le mien, je le connaissais. Pas énormément au départ. Il venait de temps en temps ou Ellen acceptait parfois que j’aille chez lui pour quelques jours, mais je n’avais pas une très grande affinité avec mon père à cette époque. Je ne comprenais pas pourquoi il n’était pas aussi le père de Cash et pourquoi il ne le prenait pas avec nous lorsqu’on allait en vacances. Ces différences me gênaient tellement qu’elles m’empêchaient d’être pleinement heureux de cette relation père-fils.
Au départ, je ne savais pas dans quoi ma famille trempait. Il est vrai qu’enfant, je m’en fichais un peu du travail de chacun mais parfois, je me posais des questions. Pourquoi ma mère et mon oncle partaient-ils aussi souvent et pourquoi revenaient-ils si tard ? Ils revenaient avec des sacs remplis et je pensais naïvement qu’ils allaient faire des courses… Mais ce n’était rien de tout cela. Je devais avoir onze ou douze ans lorsque je fus mis au courant des activités de la famille Hayes. Sa spécialité. Je me souviens que mon oncle avait un peu enjolivé les choses en disant qu’ils prenaient aux riches… sauf qu’ils ne donnaient pas aux pauvres, ils gardaient tout pour eux, pour nous. C’était grâce à ce pactole si on vivait dans une aussi belle maison, si on avait cette piscine, ces fringues qui coûtaient une blinde et j’en passe. Ils étaient passé experts dans l’art de voler sans se faire prendre grâce à des années d’entrainement et… ouais, j’eus très rapidement envie d’en être.
Mon premier coup remonte à mes douze ans. Ce ne fut rien de bien exceptionnel, ni de très dangereux, mais déjà il me fallait faire preuve de sang froid et être capable de mentir – une chose que je maitrise plutôt bien. Ma mère fut tellement fière de moi après ça ! Elle savait que j’allais être un Hayes digne d’elle, de ce qu’elle avait bâti. Notre famille s’était agrandit entre temps, d’un frère et d’une sœur. Et putain, il fallait vraiment gérer tout cela à la fois mais c’était génial ! On savait qu’on ne pouvait qu’en parler entre nous, que les autres ne devraient jamais être au courant, pas même nos amis les plus proches. C’était notre secret, scellé par les liens du sang.
Les relations avec mon père changèrent aussi à cette époque, vers l’adolescence. J’appris de sa bouche que lui et ma mère avaient eu une histoire de quelques mois et qu’elle était ensuite tombée enceinte. Cette femme forte et indépendante ne voulait en aucun cas qu’un homme intervienne dans sa vie ou dans sa grossesse, et elle voulait encore moins que je porte un nom autre que le sien. Mon père n’avait pas eu son mot à dire dans l’histoire et pour ça, je n’en voulu même pas à a mère. J’estime qu’elle a fait ce qu’elle devait faire et je l’aime bien trop pour entretenir la moindre rancœur envers elle. Mon père, lui, tenait un autre discours mais au fil du temps, il comprit que cela ne changerait rien à ma perception des choses et que c’est lui qui me perdrait s’il continuait à être aussi peu élogieux envers la femme qui m’avait mise au monde.
J’éprouvais toujours des sentiments contradictoires envers mon père. J’étais le seul parmi tous mes frères et sœur à connaître mon père et je ne voulais pas qu’ils m’en veuillent pour cela. Je savais leur frustration et je ne voulais pas empirer les choses alors je ne racontais quasiment rien sur mes relations avec mon paternel. Je ne disais que des petites choses par ci, par là et ça s’arrêtait là. D’autant que nos relations s’arrêtaient souvent à des échanges professionnels. Loin d’être un enfant de chœur, mon père aussi trempait dans des affaires douteuses et cela me permettait d’écouler des marchandises au Mexique. Au final, j’étais le grand gagnant de l’histoire.
En parlant de relation, il faut que j’évoque ma vie sentimentale qui se résume à quelques copines… mais jamais rien de trop sérieux. En fait je ne supporte pas l’idée de l’engagement, sans doute parce que je sais que je serais dans l’obligation de mentir tout le temps, de ne rien dire, de prétendre être quelqu’un que je ne suis pas. Alors que les relations courtes me permettent de faire ce que je veux et les demoiselles n’ont pas le temps de trop s’attacher, je m’échappe de cette histoire bien avant que ça aille trop loin et j’évite de briser des cœurs… Ouais je suis un méchant mais j’ai quand même un petit cœur qui bat ! Je n’ai clairement pas envie de me compliquer la vie et je pense qu’elles s’en rendent vite compte par elles-mêmes…
En dehors de mon travail hors norme, je gère un bar avec ma fratrie. C’est un coin qui nous permet de faire transiter la thune qu’on vole, c’est un bon plan… Bon j’avoue que je n’y bosse pas souvent puisqu’à chaque fois que j’y mets les pieds, je termine par être bourré sur une banquette et je pionce juste après. Ouais je ne suis pas hyper sérieux. Pas tout le temps. J’aime trop la déconne et ça agace pas mal les autres parce que je ne prends pas les choses au sérieux quand il le faut. Je fais toujours des blagues ou je lance des conneries et je me prends des coups en retour… Aucun humour dans cette famille ! Mais je m’en plains pas trop parce que c’est la mienne et clairement, je ne l’échangerais contre rien au monde.
J’éprouvais toujours des sentiments contradictoires envers mon père. J’étais le seul parmi tous mes frères et sœur à connaître mon père et je ne voulais pas qu’ils m’en veuillent pour cela. Je savais leur frustration et je ne voulais pas empirer les choses alors je ne racontais quasiment rien sur mes relations avec mon paternel. Je ne disais que des petites choses par ci, par là et ça s’arrêtait là. D’autant que nos relations s’arrêtaient souvent à des échanges professionnels. Loin d’être un enfant de chœur, mon père aussi trempait dans des affaires douteuses et cela me permettait d’écouler des marchandises au Mexique. Au final, j’étais le grand gagnant de l’histoire.
En parlant de relation, il faut que j’évoque ma vie sentimentale qui se résume à quelques copines… mais jamais rien de trop sérieux. En fait je ne supporte pas l’idée de l’engagement, sans doute parce que je sais que je serais dans l’obligation de mentir tout le temps, de ne rien dire, de prétendre être quelqu’un que je ne suis pas. Alors que les relations courtes me permettent de faire ce que je veux et les demoiselles n’ont pas le temps de trop s’attacher, je m’échappe de cette histoire bien avant que ça aille trop loin et j’évite de briser des cœurs… Ouais je suis un méchant mais j’ai quand même un petit cœur qui bat ! Je n’ai clairement pas envie de me compliquer la vie et je pense qu’elles s’en rendent vite compte par elles-mêmes…
En dehors de mon travail hors norme, je gère un bar avec ma fratrie. C’est un coin qui nous permet de faire transiter la thune qu’on vole, c’est un bon plan… Bon j’avoue que je n’y bosse pas souvent puisqu’à chaque fois que j’y mets les pieds, je termine par être bourré sur une banquette et je pionce juste après. Ouais je ne suis pas hyper sérieux. Pas tout le temps. J’aime trop la déconne et ça agace pas mal les autres parce que je ne prends pas les choses au sérieux quand il le faut. Je fais toujours des blagues ou je lance des conneries et je me prends des coups en retour… Aucun humour dans cette famille ! Mais je m’en plains pas trop parce que c’est la mienne et clairement, je ne l’échangerais contre rien au monde.
IMAGES FEU ARDENT
- InvitéInvité
FIRRRRRRRRST !!
Bon courage pour ta fiche petit chat ! J'ai hâte de rp
Mon chatoooooooooooooon
Trop trop happy de te voir ici, notre duo va reprendre de plus beeeelle J'ai hâte de voir ces deux là à l'oeuvre Bon courage pour ta fiche petit chat ! J'ai hâte de rp
- Shaé ManciniI'm a Mother Fucker
-
Dollars : 2436
Messages : 259
Date d'inscription : 20/03/2018
Avatar : Gemma Arterton
Crédits : Shiya
Âge du personnage : 33 ans
Nationalité(s) : Italienne et Américaine
Signe astrologique : Vierge
Mon personnage, en 5 mots : Maternelle, Engagée, Passionnée, Douce, Battante
Quartier de résidence : Northeast
Carrière, métier ou job : Chef de projet à l'UNICEF, titre pompeux au possible pour dire que ce n'est qu'une petite main au sein de son unité
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : Célibataire (par choix)
Bienvenue
- InvitéInvité
Bienvenuuuuue :l:
- InvitéInvité
Bienvenue Loan, j'espère que tu te plairas parmi nous ! Bon courage pour terminer la rédaction de ta fiche
- InvitéInvité
Bienvenue sur it's all my fault et bon courage pour la rédaction de ta fiche
- InvitéInvité
Bienvenue sur IAMF
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