YESTERDAY'S NEWS |48
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NinYa That burning desire... luleaby | They can read all about it... Tu avais passé la journée cloitrer chez toi, il fallait dire que ces derniers temps tu avais de plus en plus de mal avec le monde extérieur. Ta vie étais passé d’un long fleuve plus ou moins tranquille à une tornade qui emporte tout sur son passage. Beaucoup diront que tes préoccupations ne sont pas fondées, elles sont ridicules. Que tes problèmes son futile et superficielle. Ceux qui dirons ça n’ont surement jamais était chasser dans tout Los Angeles par une horde de paparazzi ou encore alpagué dans la rue toutes les cinq minutes pour prendre un selfie. Oui, il y avait plus grave mais pour toi cette sensation de ne plus avoir ta vie en main, le contrôle de ta liberté, il n’y avait rien de pire. La tête dans les magazines à éplucher le moindre article sur toi, sur ta vie, sur qui ils pensaient que tu étais… Tu ne devrais pas te laisser atteindre par toutes ces conneries mais c’était plus fort que toi. Ignorer, tu n’y arrivais pas. Des heures à te laisser asperger par ces torchons de la presse et résultat tu avais l’impression d’avoir perdue ton éternel positivité et toute motivation. Tu te décidas pour la peine à annuler ton set de ce soir. Tu ne mixerais pas, c’était bien l’une des première fois ou tu faisais ça mais la tête, tu ne l’avais pas à déchainer une foule de gens alcoolisée. Tu avais besoin de te vider l’esprit, de ne passer un moment loin de se brouhaha. Le brouhaha de ta vie. Alors, sans réfléchir, tu attrapes une bouteille de téquilas dans le bar. Tu n’es pas une grande buveuse mais ce soir tu as besoin de courage liquide pour tenir sur pieds. Clés de voiture en mains, obligé de sortir par la fenêtre de ta chambre pour ne pas attirer l’attention de ta montagne de garde du corps qui te suivait à la moindre de tes sortie. Ordre de ton paternel. Tu li rigolais au nez. Tu avais besoin d’espace et de liberté et c’est ce que tu comptais bien trouver chez Nino. Nino c’était la seule personne vers qui tu savais pouvoir te tourner dans ce genre de moment, il comprenait. Oui, c’était étrange entre vous mais à quoi bon lutter. Tu ne mets pas grand temps à rejoindre son chez lui. Devant la porte, bouteille d’alcool en main tu te dis que tu aurais peut-être dû le prévenir de ta venue. Tu priais surtout qu’il soit là. Et seul. Sonnant à la porte tu passes une main nerveusement dans tes cheveux, qu’es ce que tu allais pouvoir lui dire. Débarquer à l’improviste n’était peut-être pas une si bonne idée. @Nino Elkann-Borreomeo |
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