YESTERDAY'S NEWS |48
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Zeus & Santa @TroubleInTheDark
Parfois il musarde tard le soir. Généralement il apprécie de profiter de son petit chez soi en silence. Loin du brouhaha de la ville, qui ressemble par moment à s'y méprendre aux bavardages de ses six sœurs réunies. Ce qui lui manque dans cette nouvelle vie qu'il apprécie désormais depuis plus de trois ans, ce sont les longues promenades à cheval dans la nature. Néanmoins il se retient plus souvent qu'à son tour, d'acheter un billet d'avion et de sauter dans le premier avion en partance pour l'Australie. Il y retournera quand son rêve respirera allègrement la nuit, sans qu'il ne se retourne plus les méninges pour découvrir une manière d'écrire qui captivera une foule moins alléchée d'aventures rocambolesques. Cette soirée tranquille, seul, de fil en aiguille Zus s'est imposé dans son esprit. Pourquoi ? Comment ? Santa-Ana ne se l'explique pas. Probablement parce que ce dernier à incarné un de ces héros, ce qui au demeurant le flattait quand même. De plus il l'apprécie beaucoup...
Bien qu'encore au début d'un printemps timide il se surprit à avoir plutôt chaud. Alors il se lève pour trouver quelque chose de frais à boire. Pour découvrir un frigo désespérément vide. Et merde, en bon distrait qu'il était son cerveau avait zappé les courses.
Sorti dans la foulée pour régler ce problème, il s'était surpris à se rendre chez son camarade afin de lui payer un verre. Et même, il voulait bien faire le Taxi en le prenait sur sa moto, juste derrière. A deux, dans le vent ça possédait quelque d'amusant - Ou excitant -, d'autant qu'avec le casque sur la tête, si on ne regardait pas trop à sa carrure on le prendrait facilement pour une femme. Il ne connaissait pas véritablement les cafés ou bars à la mode, mais si celui où ils entraient ne convenait pas, ils changeraient. Et certes Santa-Ana ne doutait pas un instant que son ami puisse le conseiller à la perfection dans ce cas-là.
Quelques jours auparavant il s'était rendu à une fête sous les conseils de son éditeur, mais il ne lui en restait que peu de souvenirs. Surtout à cause de cette pilule qu'on le força à avaler au seuil de l'établissement. Ici au moins il se considérait à l'abri de toute aventure de ce genre. Il se place non loin de la vitre gardant ce besoin d'être au grand jour. Bien qu'il fasse nuit et que les passants ne leur jette que des regards distraient. Aujourd'hui l'envie de tester quelques cocktails le démange, et il ne s'imagine le faire qu'avec L'acteur qui à accepté de le suivre dans cette petite virée. Il saisit la carte qu'il parcourt sans vraiment se décider.
« Parait que je dois prendre des risques ... » Expliqua-t-il en reposant le menu. En quoi consistaient ces risques exactement, il n'en donnait pas la nature. Se promener et boire un verre en compagnie de Zus, ou consommer de l'alcool ? « Pour que j'évolue » Ajouta-t-il puis qu'on prétendait qu'il ne montrait pas assez de maturité pour pondre un roman noir plein de sentiments tordus et glauques « Est-ce ma faute si ma vie à été plutôt bonne ? Et dois-je me lancer dans une recherche de la souffrance ? Est-ce que ça vaudra la peine au bout du compte ? » Généralement il ne s'exposait pas autant, sans doute parce que peu tourmenté, il était de ceux qui savourent l'instant présent sans essayer de le décortiquer. Mais avec cet homme-là, il ne ressentait pas vraiment de barrières, ni de danger à se révéler. Les pièges obscurs de Los Angeles ne l'imprégnaient pas encore, tant il transportait avec lui chaque seconde un bout de son vaste pays. Y résisterait-il avec les années, et sinon sombrerait-il avec misère ou avec élégance ? « Alors dis-moi quel Boisson serait la plus audacieuse ? Et d'ailleurs de ton côté quelque chose de nouveau ou intéressant ? »
@Zus Alexander IgerBien qu'encore au début d'un printemps timide il se surprit à avoir plutôt chaud. Alors il se lève pour trouver quelque chose de frais à boire. Pour découvrir un frigo désespérément vide. Et merde, en bon distrait qu'il était son cerveau avait zappé les courses.
Sorti dans la foulée pour régler ce problème, il s'était surpris à se rendre chez son camarade afin de lui payer un verre. Et même, il voulait bien faire le Taxi en le prenait sur sa moto, juste derrière. A deux, dans le vent ça possédait quelque d'amusant - Ou excitant -, d'autant qu'avec le casque sur la tête, si on ne regardait pas trop à sa carrure on le prendrait facilement pour une femme. Il ne connaissait pas véritablement les cafés ou bars à la mode, mais si celui où ils entraient ne convenait pas, ils changeraient. Et certes Santa-Ana ne doutait pas un instant que son ami puisse le conseiller à la perfection dans ce cas-là.
Quelques jours auparavant il s'était rendu à une fête sous les conseils de son éditeur, mais il ne lui en restait que peu de souvenirs. Surtout à cause de cette pilule qu'on le força à avaler au seuil de l'établissement. Ici au moins il se considérait à l'abri de toute aventure de ce genre. Il se place non loin de la vitre gardant ce besoin d'être au grand jour. Bien qu'il fasse nuit et que les passants ne leur jette que des regards distraient. Aujourd'hui l'envie de tester quelques cocktails le démange, et il ne s'imagine le faire qu'avec L'acteur qui à accepté de le suivre dans cette petite virée. Il saisit la carte qu'il parcourt sans vraiment se décider.
« Parait que je dois prendre des risques ... » Expliqua-t-il en reposant le menu. En quoi consistaient ces risques exactement, il n'en donnait pas la nature. Se promener et boire un verre en compagnie de Zus, ou consommer de l'alcool ? « Pour que j'évolue » Ajouta-t-il puis qu'on prétendait qu'il ne montrait pas assez de maturité pour pondre un roman noir plein de sentiments tordus et glauques « Est-ce ma faute si ma vie à été plutôt bonne ? Et dois-je me lancer dans une recherche de la souffrance ? Est-ce que ça vaudra la peine au bout du compte ? » Généralement il ne s'exposait pas autant, sans doute parce que peu tourmenté, il était de ceux qui savourent l'instant présent sans essayer de le décortiquer. Mais avec cet homme-là, il ne ressentait pas vraiment de barrières, ni de danger à se révéler. Les pièges obscurs de Los Angeles ne l'imprégnaient pas encore, tant il transportait avec lui chaque seconde un bout de son vaste pays. Y résisterait-il avec les années, et sinon sombrerait-il avec misère ou avec élégance ? « Alors dis-moi quel Boisson serait la plus audacieuse ? Et d'ailleurs de ton côté quelque chose de nouveau ou intéressant ? »
- InvitéInvité
J’étais en train de faire ma séance de sport quotidienne lorsque Mikael, le majordome que je considère comme un deuxième père pour moi, vint m’annoncer l’arrivée de Santa-Ana sur la propriété des Iger. Je souris en pensant à retrouver mon ami. Ses visites à l’improviste me ravissait toujours autant, je devais bien l’avouer. Le temps qu’il roule dans l’allée et qu’il arrive dans le hall de la mansion, j’avais le temps de me doucher.
Une fois cela fait, j’arrivai dans le hall pour y retrouver le sublime sosie de Thor. Souriant, je le saluai et nous voilà, enfourchant sa moto, me tenant à sa taille, pour nous rendre dans un café. Les rues de La Cité des Anges défilaient à une grande vitesse sous mes yeux, mais j’aimais la sensation du vent sur moi. J’avais toujours l’habitude d’être sorti par mon chauffeur, cela me changeait un peu. D’autant qu’il était toujours plaisant de se faire conduire par un homme robuste à la longue crinière de lion.
Nous voilà finalement arrivés devant le café qui semblait tant l’attirer. Je ne connaissait pas les lieux, ils n’étaient pas vraiment du standing auquel j’étais habitué. Mais cela ne me dérangeait pas le moins du monde. Je m’entendais bien avec n’importe quelle personne à partir du moment où elle se montrait être bénie d’un minimum d’intelligence et d’ouverture d’esprit. L’argent valait peu dans la balance de l’amitié pour moi.
Je le suivis et nous nous installâmes non loin de la vitre. J’espérais simplement que ma notoriété naissante n’allait pas nous empêcher de passer un bon moment lui et moi. Je l’observais déchiffrer la carte avec attention, un sourire sur mes lèvres. « Ah ? Quel genre de risque ? » Je le regardai d’un air intrigué par cette mystérieuse prise de risques. « Tu peux toujours écrire les récits de ma vie sentimentale, je te donne les droits avec grand plaisir ! » Je ris tout en me passant la main dans les cheveux. C’est vrai que côté cœur, je n’avais pas vécu que dans les nuages et les paysages roses. « Non, plus sérieusement. Faut pas te gâcher la vie pour un livre. Essaie… je sais pas… Tente de nouvelles expériences, inspire-toi d’œuvres d’art, des films, des peintures, de livres. Et au pire, tu peux toujours chercher sur internet les blogs où les gens racontent leur vie. La plupart sont de la fiction alors tu devrais y trouver ce qu’il te faut, non ? » Je détaillais son visage, aux traits bien plus virils et masculins que les miens, lorsqu’il me demanda si j’avais une idée de boisson. « Une embuscade te fera le plus grand bien, crois-moi. » La boisson était une bière aromatisée mélangée avec du vin blanc. Si le mélange semblait plutôt audacieux, son goût était exquis, mais addictif, traître même parfois puisque l’alcool se sentait peu, alors il montait lentement mais sûrement jusqu’à nous saouler tout à coup sans nous en rendre compte. « Rien de neuf, hormis le fait que je sois fiancé apparemment. » Je ne pouvais pas dire à mon ami que c’était un mensonge. Je devais tout garder pour moi pour le bien du contrat signé entre mes agents et ceux de Coco Rhodes. « Et toi ? Tu retournes toujours au centre équestre ? Je n’ai plus tellement le temps en ce moment… Faut que je m’y remette. »
Une fois cela fait, j’arrivai dans le hall pour y retrouver le sublime sosie de Thor. Souriant, je le saluai et nous voilà, enfourchant sa moto, me tenant à sa taille, pour nous rendre dans un café. Les rues de La Cité des Anges défilaient à une grande vitesse sous mes yeux, mais j’aimais la sensation du vent sur moi. J’avais toujours l’habitude d’être sorti par mon chauffeur, cela me changeait un peu. D’autant qu’il était toujours plaisant de se faire conduire par un homme robuste à la longue crinière de lion.
Nous voilà finalement arrivés devant le café qui semblait tant l’attirer. Je ne connaissait pas les lieux, ils n’étaient pas vraiment du standing auquel j’étais habitué. Mais cela ne me dérangeait pas le moins du monde. Je m’entendais bien avec n’importe quelle personne à partir du moment où elle se montrait être bénie d’un minimum d’intelligence et d’ouverture d’esprit. L’argent valait peu dans la balance de l’amitié pour moi.
Je le suivis et nous nous installâmes non loin de la vitre. J’espérais simplement que ma notoriété naissante n’allait pas nous empêcher de passer un bon moment lui et moi. Je l’observais déchiffrer la carte avec attention, un sourire sur mes lèvres. « Ah ? Quel genre de risque ? » Je le regardai d’un air intrigué par cette mystérieuse prise de risques. « Tu peux toujours écrire les récits de ma vie sentimentale, je te donne les droits avec grand plaisir ! » Je ris tout en me passant la main dans les cheveux. C’est vrai que côté cœur, je n’avais pas vécu que dans les nuages et les paysages roses. « Non, plus sérieusement. Faut pas te gâcher la vie pour un livre. Essaie… je sais pas… Tente de nouvelles expériences, inspire-toi d’œuvres d’art, des films, des peintures, de livres. Et au pire, tu peux toujours chercher sur internet les blogs où les gens racontent leur vie. La plupart sont de la fiction alors tu devrais y trouver ce qu’il te faut, non ? » Je détaillais son visage, aux traits bien plus virils et masculins que les miens, lorsqu’il me demanda si j’avais une idée de boisson. « Une embuscade te fera le plus grand bien, crois-moi. » La boisson était une bière aromatisée mélangée avec du vin blanc. Si le mélange semblait plutôt audacieux, son goût était exquis, mais addictif, traître même parfois puisque l’alcool se sentait peu, alors il montait lentement mais sûrement jusqu’à nous saouler tout à coup sans nous en rendre compte. « Rien de neuf, hormis le fait que je sois fiancé apparemment. » Je ne pouvais pas dire à mon ami que c’était un mensonge. Je devais tout garder pour moi pour le bien du contrat signé entre mes agents et ceux de Coco Rhodes. « Et toi ? Tu retournes toujours au centre équestre ? Je n’ai plus tellement le temps en ce moment… Faut que je m’y remette. »
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Zeus & Santa @TroubleInTheDark
La notoriété n'entachait pas la vie de Santa-Ana, tout simplement parce qu'il dissimulait sa véritable identité sous une pseudonyme. Donc, sauf dans le cas ou on avait directement affaire avec lui, on ignorait tout de sa physionomie, et même pire on le prenait pour une femme. Alors il ne souffrait pas de trop d'attentions, comme une célébrité qui se voit poursuivie par les paparazzis, il ne le recherchait pas d' ailleurs et n'y pensait que peu. Oubliant parfois trop vite que certaines de ses fréquentations cherchaient elles à demeurer plus discrètes. Ainsi il lui arrivait de faire des choix un peu irréfléchis mais jamais dans l'intention de nuire à ses amis.
Tranquillement il posa son menton dans une des paumes de ses mains alors qu'il appuyait ses coudes sur la table « Je ne sais pas vraiment, selon lui des choses que je n'ai pas l'habitude de faire, ou je n'ose pas ... » Le ton de l'homme devint dubitatif sur le fin de sa phrase car il ne se jugeait pas comme quelqu'un qui hésite quand une nouvelle envie le titillait, ou alors son agent sous-entendait des rêves qu'il n'osait pas s'avouer. Un sourire fugace, légèrement moqueur passa sur ses lèvres, voyons donc ! Lui ne pas se regarder en face ? Jamais !
Par contre il fronça les yeux, envisageant sérieusement la seconde proposition de Zus, Néanmoins ça nécessiterait quelques détails en plus, déjà il ne connaissait pas tous des déboires sentimentaux de l'acteur. A vrai-dire il préférait généralement ne pas trop y penser « Dans ce cas il faudrait que je t'interview en profondeur pour ne pas raconter de bêtises parce que je ne suis pas trop certain que les magazines nous rapporte la vérité ! »
Ce qui amena une légère rougeur presque indiscernable sur ses joues « Et puis peut-être que ce serait trop douloureux pour toi » Ce qui d'ailleurs pouvait se révéler une piste pour lui-même, puisqu'il ne se rappelait d'aucune réelle peine de cœur jusqu'à présent.
La seconde suggestion plus sérieuse le fit s'appuyer contre le dossier de sa chaise, croisant les bras sur sa poitrine tout en affichant une mine particulièrement sérieuse « Je ne sais pas, si je cherche à imiter les émotions, ça ne sonnera pas sérieux... Par exemple toi quand tu joues une scène tu t'inspires de tes propres expérience pour traduire l'émotion.. Et comment fais-tu alors si tu trouves face à une sensation que tu n'as jamais ressentie ? Tu y arrives quand même ? » Non pas qu'il chercha à noyer le poisson (d’avril) mais ça l'avait toujours intrigué.
Dans ses pensées il sursauta au mot embuscade, croyant qu'ils se faisaient attaqués, avant de comprendre que Zus nommait plus spécifiquement un cocktail suite à sa propre demande « Allez va pour une embuscade alors, c'est très corsé ? » S'inquiéta-t-il sans pour autant envisagé de ne pas le consommer si on lui disait que oui
« Fiancé ? » Mais pourquoi ça l'agaçait de l'entendre ? « Oh je n’étais pas au courant mais faut dire que je lis peu les magazines, ce que je devrais faire pour m'éviter les surprises apparemment ! Et avec qui ? » Une fille, Un garçon ? Il n'osait trop s'aventurer sur les pentes de la précision et aborder ces sujets plutôt intimes.
Ah le centre équestre, malheureusement il courrait après différentes choses et ne parvenait pas plus à tout concilier. Faudrait qu'il prenne une pause parce que ça lui manquait infiniment ce genre d'activité « Oh figure-toi que je me disais récemment que ça me manquait d'en faire! On pourrait prévoir une séance ensemble non ? Pour se remettre en selle ? »
Tranquillement il posa son menton dans une des paumes de ses mains alors qu'il appuyait ses coudes sur la table « Je ne sais pas vraiment, selon lui des choses que je n'ai pas l'habitude de faire, ou je n'ose pas ... » Le ton de l'homme devint dubitatif sur le fin de sa phrase car il ne se jugeait pas comme quelqu'un qui hésite quand une nouvelle envie le titillait, ou alors son agent sous-entendait des rêves qu'il n'osait pas s'avouer. Un sourire fugace, légèrement moqueur passa sur ses lèvres, voyons donc ! Lui ne pas se regarder en face ? Jamais !
Par contre il fronça les yeux, envisageant sérieusement la seconde proposition de Zus, Néanmoins ça nécessiterait quelques détails en plus, déjà il ne connaissait pas tous des déboires sentimentaux de l'acteur. A vrai-dire il préférait généralement ne pas trop y penser « Dans ce cas il faudrait que je t'interview en profondeur pour ne pas raconter de bêtises parce que je ne suis pas trop certain que les magazines nous rapporte la vérité ! »
Ce qui amena une légère rougeur presque indiscernable sur ses joues « Et puis peut-être que ce serait trop douloureux pour toi » Ce qui d'ailleurs pouvait se révéler une piste pour lui-même, puisqu'il ne se rappelait d'aucune réelle peine de cœur jusqu'à présent.
La seconde suggestion plus sérieuse le fit s'appuyer contre le dossier de sa chaise, croisant les bras sur sa poitrine tout en affichant une mine particulièrement sérieuse « Je ne sais pas, si je cherche à imiter les émotions, ça ne sonnera pas sérieux... Par exemple toi quand tu joues une scène tu t'inspires de tes propres expérience pour traduire l'émotion.. Et comment fais-tu alors si tu trouves face à une sensation que tu n'as jamais ressentie ? Tu y arrives quand même ? » Non pas qu'il chercha à noyer le poisson (d’avril) mais ça l'avait toujours intrigué.
Dans ses pensées il sursauta au mot embuscade, croyant qu'ils se faisaient attaqués, avant de comprendre que Zus nommait plus spécifiquement un cocktail suite à sa propre demande « Allez va pour une embuscade alors, c'est très corsé ? » S'inquiéta-t-il sans pour autant envisagé de ne pas le consommer si on lui disait que oui
« Fiancé ? » Mais pourquoi ça l'agaçait de l'entendre ? « Oh je n’étais pas au courant mais faut dire que je lis peu les magazines, ce que je devrais faire pour m'éviter les surprises apparemment ! Et avec qui ? » Une fille, Un garçon ? Il n'osait trop s'aventurer sur les pentes de la précision et aborder ces sujets plutôt intimes.
Ah le centre équestre, malheureusement il courrait après différentes choses et ne parvenait pas plus à tout concilier. Faudrait qu'il prenne une pause parce que ça lui manquait infiniment ce genre d'activité « Oh figure-toi que je me disais récemment que ça me manquait d'en faire! On pourrait prévoir une séance ensemble non ? Pour se remettre en selle ? »
Pour toi @Zus Alexander Iger
- InvitéInvité
Je l’observe se positionner, cette attitude lui donne un air enfantin adorable qui ne peut que me faire esquisser un doux sourire à son intention. « Que tu n’oses pas faire ? Comme quoi ? » Il semble perdu dans ses pensées et souriant lorsqu’il revient à moi.
« Ils ne le font pas, en effet, tu peux en être sûr. » Je souris en coin brièvement, repensant à ce foutu contrat qui m’enchaîne pendant toute l’année à venir. « On ne vous montre que ce qu’on nous autorise à vous montrer. Le reste, ce n’est que de la poudre de perlimpinpin si tu veux... » Je souris légèrement alors qu’il semble rosir un peu au niveau des joues. « Non, t’en fais pas pour moi. J’ai passé ces histoires depuis bien longtemps ! »
Mes yeux l’observent se coller contre son dossier, croisant les bras sur ce torse bien musclé à souhait. « Et bien j’improvise ! Il y aura toujours une scène de film, de roman, une poésie ou même une chanson qui arrivera à te faire ressentir l’émotion que tu recherches. Tu n’as qu’à l’exploiter du mieux que tu puisses. Le plus dur, ça a été le désir au tout départ. » Je me maintient sur mes avant bras posés sur la table, m’approchant donc un peu du chevelu. « Et puis… quand tu es face à quelqu’un que tu désires… tout change du tout au tout. Tout s'éclaircit et.. depuis que je te connais ça va beaucoup mieux. Je sais, c'est bête... » Mes yeux fixent les siens. « Je sais bien que te faire la cour serait vain, mais je voulais te le dire… Te dire que tu représentes beaucoup pour moi... » Je lui fais une belle prestation, sans qu’il ne s’en rendre compte.
Il me demande quoi prendre en boisson et je lui indique alors le mélange de bière et de vin blanc que j’apprécie particulièrement. Mais le chevelu pense déjà à autre chose, devant physiquement présent et psychiquement absent. « T’es avec moi ? » J’arque un sourcil à son intention, ne sachant pas trop ce qu’il en advient. « Non, très doux et fruité. Mais traître aussi ! »
« Coco Rohdes, cela fait déjà quelques temps qu’on se voit discrètement, et maintenant on a officialisé les choses enfin ! » Je souris d’un air faussement heureux, je dois paraître le plus heureux des hommes quoi qu’il arrive. « C’est une actrice aussi, très prometteuse, tu en as sans doute entendu parler. »
Puis notre conversation dérive sur le centre équestre. « Ouais carrément ! Ce serait cool de monter ensemble à nouveau. » Je lui souris sincèrement tout en lui faisant un petit clin d’oeil complice. J’aime la présence rassurante, et physiquement imposante, de ce barbu.
« Ils ne le font pas, en effet, tu peux en être sûr. » Je souris en coin brièvement, repensant à ce foutu contrat qui m’enchaîne pendant toute l’année à venir. « On ne vous montre que ce qu’on nous autorise à vous montrer. Le reste, ce n’est que de la poudre de perlimpinpin si tu veux... » Je souris légèrement alors qu’il semble rosir un peu au niveau des joues. « Non, t’en fais pas pour moi. J’ai passé ces histoires depuis bien longtemps ! »
Mes yeux l’observent se coller contre son dossier, croisant les bras sur ce torse bien musclé à souhait. « Et bien j’improvise ! Il y aura toujours une scène de film, de roman, une poésie ou même une chanson qui arrivera à te faire ressentir l’émotion que tu recherches. Tu n’as qu’à l’exploiter du mieux que tu puisses. Le plus dur, ça a été le désir au tout départ. » Je me maintient sur mes avant bras posés sur la table, m’approchant donc un peu du chevelu. « Et puis… quand tu es face à quelqu’un que tu désires… tout change du tout au tout. Tout s'éclaircit et.. depuis que je te connais ça va beaucoup mieux. Je sais, c'est bête... » Mes yeux fixent les siens. « Je sais bien que te faire la cour serait vain, mais je voulais te le dire… Te dire que tu représentes beaucoup pour moi... » Je lui fais une belle prestation, sans qu’il ne s’en rendre compte.
Il me demande quoi prendre en boisson et je lui indique alors le mélange de bière et de vin blanc que j’apprécie particulièrement. Mais le chevelu pense déjà à autre chose, devant physiquement présent et psychiquement absent. « T’es avec moi ? » J’arque un sourcil à son intention, ne sachant pas trop ce qu’il en advient. « Non, très doux et fruité. Mais traître aussi ! »
« Coco Rohdes, cela fait déjà quelques temps qu’on se voit discrètement, et maintenant on a officialisé les choses enfin ! » Je souris d’un air faussement heureux, je dois paraître le plus heureux des hommes quoi qu’il arrive. « C’est une actrice aussi, très prometteuse, tu en as sans doute entendu parler. »
Puis notre conversation dérive sur le centre équestre. « Ouais carrément ! Ce serait cool de monter ensemble à nouveau. » Je lui souris sincèrement tout en lui faisant un petit clin d’oeil complice. J’aime la présence rassurante, et physiquement imposante, de ce barbu.
- InvitéInvité
Zeus & Santa @TroubleInTheDark
Qu'est-ce qu'il n'ose pas faire l'écrivain ? Sa réponse spontanée, honnête selon lui, serait qu'il ne voit pas vraiment de quoi parle son éditeur. Ces gens-là, parfois ils se compliquaient la vie, à préférer les drames plutôt qu'une vie bien paisible « Je ne sais pas, il n'a pas précisé mais tiens je lui demanderais la prochaine fois, je pense qu'il aimerait faire de moi un artiste tourmenté » Et lui Santa-Ana il l'estime l'être assez, par sa cohorte de sœur, et son désir de faire progresser son style. Pourquoi en rajouter, pourquoi chercher les drames, ça le dépasse un peu l'Australien. Et puis son ami le lui confirme, la vérité se cache souvent bien loin des magazines
« Tu possèdes donc un côté secret que tu ne révèles à personne, ou est tout simplement qu'ils jugent la réalité pas assez intéressante ? » là Santa-Ana il pencherait pour la second éventualité parce que dans les journaux ils étalent toujours le fantastique.
Cependant que son camarade puisse dissimuler une certaine vérité l'a déjà effleuré. Après tout ils n se fréquentent pas vingt-quatre sur vingt-quatre et chacun à bien le droit à son jardin secret !
Lui plus que n'importe qui peut le comprendre, l'admettre et surtout le respecter. Néanmoins en découvrir plus sur Zus, ne lui déplairait pas, au contraire.
Mais voilà que les conseils de l'acteur deviennent plus précis, il se rapproche d'ailleurs comme un être qui s'apprête à faire quelques confidences. La tonalité chaude de l'homme trouble légèrement L'écrivain dont l'expression se taille d'indécision ainsi que de surprise
« Oh je vois ... » Vraiment ? Non L'Australien imagine plutôt une scène d'amour, une déclaration entre son interlocuteur et ... Lui ... Par exemple. Comme ça au hasard, aucun nom de célébrité ne lui saute à l'esprit directement. Une relation factice à laquelle on insufflerait la vie
« Et ... Il n'y à pas de risque que ça se transforme en réalité dis-moi, je veux dire à force de faire semblant tu t'es déjà mis à y croire ? » Et qu'on se retrouve avec un ou une prétendante indésirable ? « Ou alors que toi tu finisses par tomber vraiment amoureux mais que ton partenaire ne réponde pas à ce désir-là ? »
Cependant on ne pouvait pas vraiment comparer leur art puisque pour écrire il fallait tout imaginer pour tout le monde Donc difficile de se mettre dans la peau du héros...
Et puis des mots, des paroles criantes de vérité, Santa-Ana suspend ses gestes, se fige comme une statue. Comment soudainement tout en est arrivé là ?
« Je ... »
Pendant quelques instants Santa-Ana il y croit, Cette curiosité qui l'habite depuis son expérience en Australie se réveille sans qu'il ne sache vraiment quelle attitude adoptée, Alors il se concentre sur le fameux cocktail « Oui, oui je suis avec toi » répond-t-il d'un ton un peu trop passionné.
Doux et fruité, c'est parfait, c'est ce qu'il aime « Oh j'ai bien hâte de découvrir ça ! »
Mais la suite l'enchante beaucoup moins, allez savoir pourquoi, il se renfrogne un peu sans le remarquer « J'avoue que je me mêle un peu dans tous les acteurs et actrices dont on parle, le prénom ne m'est pas inconnu mais si je la croisais, je pense que je ne la reconnaîtrais pas ... » Sa manière de dire que Bah, elle doit pas être si fantastique que ça. Sans pour autant dire du mal d'une personne qu'il ne connait pas du tout
« Ça devait vraiment être secret car je me souviens pas que tu l'ais jamais évoqué » Est-ce grave ? Il l'ignore totalement, peut-être ne doit-il pas s'amuser à y réfléchir trop « Parfait prévoyons un jour alors ! »
« Tu possèdes donc un côté secret que tu ne révèles à personne, ou est tout simplement qu'ils jugent la réalité pas assez intéressante ? » là Santa-Ana il pencherait pour la second éventualité parce que dans les journaux ils étalent toujours le fantastique.
Cependant que son camarade puisse dissimuler une certaine vérité l'a déjà effleuré. Après tout ils n se fréquentent pas vingt-quatre sur vingt-quatre et chacun à bien le droit à son jardin secret !
Lui plus que n'importe qui peut le comprendre, l'admettre et surtout le respecter. Néanmoins en découvrir plus sur Zus, ne lui déplairait pas, au contraire.
Mais voilà que les conseils de l'acteur deviennent plus précis, il se rapproche d'ailleurs comme un être qui s'apprête à faire quelques confidences. La tonalité chaude de l'homme trouble légèrement L'écrivain dont l'expression se taille d'indécision ainsi que de surprise
« Oh je vois ... » Vraiment ? Non L'Australien imagine plutôt une scène d'amour, une déclaration entre son interlocuteur et ... Lui ... Par exemple. Comme ça au hasard, aucun nom de célébrité ne lui saute à l'esprit directement. Une relation factice à laquelle on insufflerait la vie
« Et ... Il n'y à pas de risque que ça se transforme en réalité dis-moi, je veux dire à force de faire semblant tu t'es déjà mis à y croire ? » Et qu'on se retrouve avec un ou une prétendante indésirable ? « Ou alors que toi tu finisses par tomber vraiment amoureux mais que ton partenaire ne réponde pas à ce désir-là ? »
Cependant on ne pouvait pas vraiment comparer leur art puisque pour écrire il fallait tout imaginer pour tout le monde Donc difficile de se mettre dans la peau du héros...
Et puis des mots, des paroles criantes de vérité, Santa-Ana suspend ses gestes, se fige comme une statue. Comment soudainement tout en est arrivé là ?
« Je ... »
Pendant quelques instants Santa-Ana il y croit, Cette curiosité qui l'habite depuis son expérience en Australie se réveille sans qu'il ne sache vraiment quelle attitude adoptée, Alors il se concentre sur le fameux cocktail « Oui, oui je suis avec toi » répond-t-il d'un ton un peu trop passionné.
Doux et fruité, c'est parfait, c'est ce qu'il aime « Oh j'ai bien hâte de découvrir ça ! »
Mais la suite l'enchante beaucoup moins, allez savoir pourquoi, il se renfrogne un peu sans le remarquer « J'avoue que je me mêle un peu dans tous les acteurs et actrices dont on parle, le prénom ne m'est pas inconnu mais si je la croisais, je pense que je ne la reconnaîtrais pas ... » Sa manière de dire que Bah, elle doit pas être si fantastique que ça. Sans pour autant dire du mal d'une personne qu'il ne connait pas du tout
« Ça devait vraiment être secret car je me souviens pas que tu l'ais jamais évoqué » Est-ce grave ? Il l'ignore totalement, peut-être ne doit-il pas s'amuser à y réfléchir trop « Parfait prévoyons un jour alors ! »
Pour toi @Zus Alexander Iger
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