YESTERDAY'S NEWS |48
- Kai NortonReserve Unit
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Dollars : 3773
Messages : 1975
Date d'inscription : 09/10/2017
Avatar : Adam Senn
Crédits : romanticlove
Autres comptes : Eden H. Snow & James L. Blackwell
Âge du personnage : 27 (08.01)
Nationalité(s) : Américain
Signe astrologique : Capricorne
Mon personnage, en 5 mots : Farceur - Sportif - Romantique - Attachant - Bagarreur
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : Assistant management general manager Lakers
Études (passées ou en cours) : Diplômé Management + Sport Basket
Hobby : Sportif - Son fils - Ses amis - Sa vodka
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : C'est ... compliqué
Avec : une pianiste
La bouteille de vodka dans la main, un regard vers cette dernière et un pas mal engagé qui lui fit perdre l’équilibre, Kai errait dans la pénombre de la rue. La faible lumière des lampadaires laissant entrevoir le visage blafard de Monsieur Norton, ses yeux rouges, son regard perdu. Il ne semble pas être le même qu’à l’ordinaire. L’alcool. Il a cette fichue habitude de boire quand quelque chose ne va pas. Quand une mauvaise nouvelle tombe sur lui. Il boit. Comme pour oublier. Pour avoir ce vide spatial en lui qui pourrait lui vider l’esprit et accepter la chose. Mais il ressemble à ce zombie. Marmonnant. Un pas. Puis un autre. Tentant d’avancer sur le trottoir. Sans vraiment y arriver. Il trébuche, agite les bras pour retrouver un semblant d’équilibre. Avant de se rattraper à un panneau de signalisation. Stop. Sa tête se posant sur le métal froid. « Putain… » Il tente d’articuler autre chose, mais arrêta bien vite quand il comprit que ce serait trop compliqué. Son regard divague. Il avait quitté sa villa sans savoir pourquoi, ni où il allait devoir se rendre. Alors il marchait, avalant une gorgée du liquide alcoolisé à chacun de ses nouveaux pas. Il reprend la route. La rue lui rappelant un souvenir. Il est déjà venu ici, il en est certain. Comme une vieille habitude. Il laissa son corps mener la cadence sans même tenter de l’en dissuader. Comme si son corps et sa tête étaient divisés en deux. Son cerveau ne contrôlant plus le reste de son enveloppe physique.
Le doigt appuyé sur le bouton du dictaphone, le grésillement de la sonnerie résonne dans le silence froid de la nuit. Quelle heure était-il ? Quel jour étions-nous ? Sûrement un moment où personne n’aimerait être dérangé. Personne ne répondit. « Adéééééééééééééééééééé » sa voix se brise dans un sifflement. Il boit une nouvelle gorgée de la bouteille qu’il a encore dans la main et appuie de nouveau sur le dictaphone dans l’espoir de réveiller son amie. Hé mais il ne reste quasiment plus rien dans cette bouteille en verre s’aperçoit-il alors qu’un bruit se faire entendre dans la grille de l’hautparleur. « Saluuuuuuuuuut » de sa voix d’éméché. « C’est Kai, tu sais, le mec Norton là, Kai quoi ! » Il se rend compte de son propre état et lâche un « putain, ça craint … » plus bas, comme une pensée à voix haute quand le claquement de la porte déverrouillée annonce son passe-droit. Il ne lui faut que quelques instants pour retrouver l’appartement cible, guidé par une force mystérieuse qui connaissait les lieux mieux que lui.
Se jetant contre la porte. La joue écrasée sur le bois. « Adé, ouvres moi s’il te plaiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiit » Une prière. Une supplication. Il était mal. Et sa conscience ne cessait de lui souffler que c’était bien fait pour lui. Il avait besoin de son amie, de cette oreille attentive à ses méfaits. « Allez, ma gueule, j’ai besoin de toi. » Enchérit-il en tapant sur la porte à plusieurs reprises alors que derrière lui, un cliquetis de clés se fait entendre et qu’enfin il aperçoit le visage de Mademoiselle Sullivan. Oh merde, il venait de se tromper de porte.
Le doigt appuyé sur le bouton du dictaphone, le grésillement de la sonnerie résonne dans le silence froid de la nuit. Quelle heure était-il ? Quel jour étions-nous ? Sûrement un moment où personne n’aimerait être dérangé. Personne ne répondit. « Adéééééééééééééééééééé » sa voix se brise dans un sifflement. Il boit une nouvelle gorgée de la bouteille qu’il a encore dans la main et appuie de nouveau sur le dictaphone dans l’espoir de réveiller son amie. Hé mais il ne reste quasiment plus rien dans cette bouteille en verre s’aperçoit-il alors qu’un bruit se faire entendre dans la grille de l’hautparleur. « Saluuuuuuuuuut » de sa voix d’éméché. « C’est Kai, tu sais, le mec Norton là, Kai quoi ! » Il se rend compte de son propre état et lâche un « putain, ça craint … » plus bas, comme une pensée à voix haute quand le claquement de la porte déverrouillée annonce son passe-droit. Il ne lui faut que quelques instants pour retrouver l’appartement cible, guidé par une force mystérieuse qui connaissait les lieux mieux que lui.
Se jetant contre la porte. La joue écrasée sur le bois. « Adé, ouvres moi s’il te plaiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiit » Une prière. Une supplication. Il était mal. Et sa conscience ne cessait de lui souffler que c’était bien fait pour lui. Il avait besoin de son amie, de cette oreille attentive à ses méfaits. « Allez, ma gueule, j’ai besoin de toi. » Enchérit-il en tapant sur la porte à plusieurs reprises alors que derrière lui, un cliquetis de clés se fait entendre et qu’enfin il aperçoit le visage de Mademoiselle Sullivan. Oh merde, il venait de se tromper de porte.
- Adélaïde SullivanKingdom Come
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Date d'inscription : 12/03/2018
Avatar : Nina Agdal
Crédits : malbe (ava) • anesidora (code sign)
Autres comptes : Leaven S. Campbell & Gwyneth Barclay.
Âge du personnage : trente-deux ans (21/03/1990)
Nationalité(s) : Américo-Argentine
Signe astrologique : Bélier
Mon personnage, en 5 mots : Honnête • Charismatique • Passionnée • Joueuse • Séductrice
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : directrice générale du Ritz-Carlton de Los Angeles. (papa propriétaire de Marriott International)
Études (passées ou en cours) : Communication Marketing
Hobby : La danse. Le dessin.
Orientation sexuelle : Bisexuel(le)
Situation sentimentale : En couple
Avec : Aaron Campbell, de nouveau, après une séparation d'un an.
La soirée s'était bien passée, plus que bien même. Ses talons qui claquaient sur le bitume dans un rythme régulier laissaient savoir qu'elle n'avait pas assez bu pour être complètement déchirée à ne plus savoir marcher. Le liquide citrine du champagne coulait dans ses veines, elle avait le sourire facile mais elle restait en pleine possession de ses moyens. A l'approche de son immeuble, elle rangeait son téléphone sur lequel elle était pendant sa marche pour taper son code et entrer dans l'immeuble. Quelques instants d'ascenseur plus tard et la voilà à son étage d'où émanait quelques éclats de voix en dépit de l'heure très tardive. « Non mais ça va pas de sonner chez les gens à cette heure-là?! Sortez d'ici immédiatement! Vous n'habitez même pas cet immeuble! » Elle reconnaissait aisément la voix de sa voisine, visiblement très énervée de faire face à un inconnu de l'immeuble. Pendant un instant, la jeune femme hésitait à avancer parce qu'elle ne tenait pas spécialement à se mettre dans l'histoire et à faire face à un mec qui avait rien à foutre là. Enfin ça, c'était avant de reconnaître Norton qui commençait à se faire attraper par le col par le mari de la voisine, bien décidé à le faire dégager d'ici. « Non non, attendez! C'est un ami, il s'est juste trompé de porte. Excusez-le. »
Au vue de la tête des voisins, il leur faudrait la nuit pour pardonner l'erreur de Norton mais ils ne cherchaient pas plus loin et refermaient leur porte en sommant Adélaïde de tenir son ami pour éviter les débordements. « Viens, rentrons. » Tout en tenant Kai comme elle le pouvait - parce qu'il ne fallait pas se leurrer, il avait de la carrure et en plus elle était perchée sur talons, pas forcément la meilleure des configurations pour l'aider - ils passaient la porte de son appartement qu'elle refermait de suite derrière eux. Elle l'avait vu dans cet état de détresse une seule fois, quand elle était venue chez lui, que la porte était ouverte sans personne dans sa villa et qu'elle l'avait attendue pour le voir arriver complètement torché. L'inquiétude pour lui se lisait dans ses pupilles mais elle restait lucide: elle ne devait rien laisser paraître pour l'aider à la hauteur de ce qu'elle pouvait faire. Retirant ses talons avec aisance, elle le menait au canapé pour l'asseoir. « Je vais te servir de l'eau, bouge pas de là. » Elle en profitait pour lui retirer sa bouteille d'alcool des mains et la poser sur la table avant de se diriger vers la cuisine, s'armant d'un grand verre pour le remplir d'eau. « Tiens, bois ça. » qu'elle lui ordonnait en lui donnant le verre et en posant ses fesses sur la table basse. Elle ne disait rien de plus, se contentant de poser ses mains sur ses genoux lui pour montrer qu'elle était là pour le soutenir. Même si sa curiosité de le voir ici à cette heure et dans cet état était piquée, elle ne voulait pas le brusquer et lui laisser le temps de reprendre de la constance et de remettre les pieds sur terre.
Au vue de la tête des voisins, il leur faudrait la nuit pour pardonner l'erreur de Norton mais ils ne cherchaient pas plus loin et refermaient leur porte en sommant Adélaïde de tenir son ami pour éviter les débordements. « Viens, rentrons. » Tout en tenant Kai comme elle le pouvait - parce qu'il ne fallait pas se leurrer, il avait de la carrure et en plus elle était perchée sur talons, pas forcément la meilleure des configurations pour l'aider - ils passaient la porte de son appartement qu'elle refermait de suite derrière eux. Elle l'avait vu dans cet état de détresse une seule fois, quand elle était venue chez lui, que la porte était ouverte sans personne dans sa villa et qu'elle l'avait attendue pour le voir arriver complètement torché. L'inquiétude pour lui se lisait dans ses pupilles mais elle restait lucide: elle ne devait rien laisser paraître pour l'aider à la hauteur de ce qu'elle pouvait faire. Retirant ses talons avec aisance, elle le menait au canapé pour l'asseoir. « Je vais te servir de l'eau, bouge pas de là. » Elle en profitait pour lui retirer sa bouteille d'alcool des mains et la poser sur la table avant de se diriger vers la cuisine, s'armant d'un grand verre pour le remplir d'eau. « Tiens, bois ça. » qu'elle lui ordonnait en lui donnant le verre et en posant ses fesses sur la table basse. Elle ne disait rien de plus, se contentant de poser ses mains sur ses genoux lui pour montrer qu'elle était là pour le soutenir. Même si sa curiosité de le voir ici à cette heure et dans cet état était piquée, elle ne voulait pas le brusquer et lui laisser le temps de reprendre de la constance et de remettre les pieds sur terre.
- Kai NortonReserve Unit
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Carrière, métier ou job : Assistant management general manager Lakers
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Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : C'est ... compliqué
Avec : une pianiste
Dis donc, ce sol n’est pas palpable ! C’est normal ça ? Kai avait bu, certes, mais au point de plus savoir poser les deux pieds en même temps sur le sol ? Tout de même ! Ah non, c’est ce grand monsieur-là qui le soulève. Mec, arrêtes, redescends moi là ! J’ai le vertige ! Non, enfin non, je n’ai pas le vertige, mais ça tourne. Reposes moi ou je te vomis dessus ! Ah ouais ça fait moins le malin là, ça me repose tout de suite hein ! Tu ne peux pas test mec … Oh, ma sauveuse ! Le visage de Kai s’éclaira instantanément en entendant la voix de son amie, elle est là, elle est bien là ! Comme un au revoir, il salue le malotru d’une révérence ratée, approchant son visage trop près du sol. Oula, ça tourne un peu on dirait. Hey salut les copains ! Alors qu’il se fait emmener par Adélaïde, ou supporter, ou tentant de le déplacer maladroitement. Il ne sait plus mais il se laisse faire gentiment en trébuchant une fois ou deux. Oh un joli appartement dit donc ! Il sourit. Lève les yeux partout. Avant de se laisser poser lourdement sur le canapé. C’est moelleux. C’est doux. Oh c’est bien pour s’allonger ça. Non, il ne devait pas dormir. Dormir c’est le mal. Boire c’est bien. Oh un verre. Une gorgée. « Beurk, mais c’est dégueulasse ! » Il s’exclame tout en rendant le verre à Adélaïde. « T’as pas un peu de vodka s’teu plé » D’une petite voix de garçon suppliant sa maman il la regarde les yeux brillants, frappés par son attitude. Sa proximité. Elle voulait l’écouter, l’entendre, cracher son explication. Ben ouais, je suis bourré. Je ne suis pas bien. Si tu savais ma gueule pourquoi tu ne me regarderais même pas. J’ai merdé meuf, j’ai merdé. Il ferme les yeux et laisse sa tête prendre appui sur le canapé.
Une grande respiration, il se relève. « J’ai besoin d’un truc fort là ! » Plus encore. Son visage pâle. Il fait la moue. Comment annoncer ça ? Son état d’ébriété ne l’a pas mené ici par hasard, il en est certain. C’était elle. Sans aucun doute, c’était elle sa confidente. Et personne d’autre. Il ne peut le dire à personne d’autre qu’elle sans se faire juger. Sans qu’on le prenne pour un abruti fini. Alors il décide de lâcher le truc. Comme un cheveu sur la soupe posée devant un chauve. Venu de nulle part. « Je vais être … » Il peine à finir sa phrase. « Un truc très fort finalement si t’a. » Il inspire de nouveau avant de se décider de finir sa phrase jusqu’au bout. Il est temps. Le dire rend la chose réelle. Mais putain, oui, c’est réel Kai ! Réveilles-toi ! « Je vais être papa. » Et ses yeux supplient qu’elle le retienne, qu’elle lui dise que c’est un cauchemar, que cela ne peut pas être réel. Qu’il n’a jamais fait ça.
Une grande respiration, il se relève. « J’ai besoin d’un truc fort là ! » Plus encore. Son visage pâle. Il fait la moue. Comment annoncer ça ? Son état d’ébriété ne l’a pas mené ici par hasard, il en est certain. C’était elle. Sans aucun doute, c’était elle sa confidente. Et personne d’autre. Il ne peut le dire à personne d’autre qu’elle sans se faire juger. Sans qu’on le prenne pour un abruti fini. Alors il décide de lâcher le truc. Comme un cheveu sur la soupe posée devant un chauve. Venu de nulle part. « Je vais être … » Il peine à finir sa phrase. « Un truc très fort finalement si t’a. » Il inspire de nouveau avant de se décider de finir sa phrase jusqu’au bout. Il est temps. Le dire rend la chose réelle. Mais putain, oui, c’est réel Kai ! Réveilles-toi ! « Je vais être papa. » Et ses yeux supplient qu’elle le retienne, qu’elle lui dise que c’est un cauchemar, que cela ne peut pas être réel. Qu’il n’a jamais fait ça.
- Adélaïde SullivanKingdom Come
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Date d'inscription : 12/03/2018
Avatar : Nina Agdal
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Âge du personnage : trente-deux ans (21/03/1990)
Nationalité(s) : Américo-Argentine
Signe astrologique : Bélier
Mon personnage, en 5 mots : Honnête • Charismatique • Passionnée • Joueuse • Séductrice
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : directrice générale du Ritz-Carlton de Los Angeles. (papa propriétaire de Marriott International)
Études (passées ou en cours) : Communication Marketing
Hobby : La danse. Le dessin.
Orientation sexuelle : Bisexuel(le)
Situation sentimentale : En couple
Avec : Aaron Campbell, de nouveau, après une séparation d'un an.
Naturellement et ne tenant pas à ce qu'il le renverse de mécontentement, Adélaïde reprenait le verre que Kai lui tendait et le posait sur la table basse, à côté d'elle, lui sommant que c'était dégueulasse. Il était clair qu'à côté de sa bouteille de vodka qu'il avait vidé, l'eau n'avait aucun goût. Elle ne lui répondait pas répondait pas vraiment, se contentant de secouer la tête négativement. Elle ne comptait pas lui redonner de l'alcool, il avait clairement assez bu comme ça et la jeune femme se voyait déjà déplier son canapé pour qu'il dorme ici. Clairement, il n'avait pas besoin de plus mais elle n'allait pas entrer en guerre verbale avec lui à coup de "j'en veux" et "tu n'en auras pas". Elle savait qu ça ne servait à rien, les personnes alcoolisées ayant tendance à rester butées.
Elle se faisait patiente, attendait qu'il ouvre la bouche de lui-même, le souhaitait très fort. Pas pour elle et cette curiosité qu'il avait réussi à piquer en venant ici à cette heure mais surtout pour lui. De son côté, elle pouvait survivre avec un mystère planant au dessus de la tête de Norton qui justifiait cette alcoolisation extrême mais lui, arriverait-il à vivre avec ce poids sans le partager? Adélaïde était une éponge, elle le savait, elle avait tendance à absorber ses problèmes jusqu'à ce que ça déborde et que ça la dépasse. Elle ne voulait pas qu'il arrive la même chose au jeune homme parce que ça n'avait rien d'agréable et qu'elle tenait à lui, quoi qu'on puisse en dire.
« J'en ai pas, Kai. » Menteuse. Comme tout le monde, elle avait de l'alcool fort dans ses placards ou au frigo mais il serait sûrement aisé de lui faire croire le contraire, la logique de l'étudiant étant noyée dans les degrés d'alcool. Pour son bien, elle n'allait pas lui en donner davantage et ça ne l'aiderait sûrement pas à y voir clair et à s'exprimer sur ce qui semblait le ronger de l'intérieur. Au moins, ça coupait net cette discussion. Elle le voyait, elle le sentait, il n'avait pas le comportement d'un homme alcoolisé parce qu'il avait fêté un joyeux événement, bien au contraire. Elle s'attendait à tout et à rien à la fois. Alors pourquoi le coup de ses mots étaient si violent?
Papa. Il allait être papa selon ses dires. Elle s'attendait peut-être à tout mais pas à ça, vraiment pas. Cela expliquait sa mâchoire qui semblait se décrocher et la façon qu'elle avait de se redresser, plus que surprise par la nouvelle. « T'es sérieux? » Elle ne pouvait pas s'empêcher de poser la question parce qu'elle avait du mal à savoir si c'était vraiment ce qui le pesait ou si c'était un mensonge influencé par la vodka. Rapidement, il lui donnait silencieusement une réponse. Ses pupilles dans les siennes, elle comprenait que c'était la vérité, qu'il avait vraiment mis une fille enceinte et que, visiblement, elle était déterminée à le garder.
Le juger? A quoi bon, il n'était pas le premier et ne serait pas le dernier non plus à mettre une fille enceinte sans le vouloir. A la place, elle préférait se joindre à lui sur le canapé et entourer sa tête de l'un de ses bras pour le rapprocher d'elle et l'étreindre. La tête du jeune homme plaquée contre son thorax, elle déposait un baiser dans ses cheveux tandis que son autre main serrait la sienne et que celle reliait à son bras entourant sa tête balayait tendrement sa joue de son pouce. « Je suis là, ça va aller, tu peux compter sur moi. » Pour l'écouter, l'aider autant qu'elle le pourrait, l'accompagner, lui remonter les bretelles s'il le fallait.
Elle ne pouvait pas se mettre à sa place parce qu'elle n'était pas mère, parce qu'elle n'était même jamais tombée enceinte mais elle pouvait faire son possible pour le soutenir. « Ça fait combien de temps qu'elle est enceinte? » La question était évidente, la réponse beaucoup moins. Est-ce que la mère le gardait parce qu'elle le voulait ou parce qu'elle n'avait pas le choix et qu'il était trop tard pour l'avortement? Est-ce qu'ils avaient le temps d'appréhender les choses? « Tu comptes être là pour lui? » Pour ce bébé. Son bébé. Est-ce qu'il comptait s'en occuper ou complètement l'ignorer? Beaucoup de questions lui venaient en tête alors elle ne pouvait qu'imaginer le besoin de Norton de noyer la sienne.
Elle se faisait patiente, attendait qu'il ouvre la bouche de lui-même, le souhaitait très fort. Pas pour elle et cette curiosité qu'il avait réussi à piquer en venant ici à cette heure mais surtout pour lui. De son côté, elle pouvait survivre avec un mystère planant au dessus de la tête de Norton qui justifiait cette alcoolisation extrême mais lui, arriverait-il à vivre avec ce poids sans le partager? Adélaïde était une éponge, elle le savait, elle avait tendance à absorber ses problèmes jusqu'à ce que ça déborde et que ça la dépasse. Elle ne voulait pas qu'il arrive la même chose au jeune homme parce que ça n'avait rien d'agréable et qu'elle tenait à lui, quoi qu'on puisse en dire.
« J'en ai pas, Kai. » Menteuse. Comme tout le monde, elle avait de l'alcool fort dans ses placards ou au frigo mais il serait sûrement aisé de lui faire croire le contraire, la logique de l'étudiant étant noyée dans les degrés d'alcool. Pour son bien, elle n'allait pas lui en donner davantage et ça ne l'aiderait sûrement pas à y voir clair et à s'exprimer sur ce qui semblait le ronger de l'intérieur. Au moins, ça coupait net cette discussion. Elle le voyait, elle le sentait, il n'avait pas le comportement d'un homme alcoolisé parce qu'il avait fêté un joyeux événement, bien au contraire. Elle s'attendait à tout et à rien à la fois. Alors pourquoi le coup de ses mots étaient si violent?
Papa. Il allait être papa selon ses dires. Elle s'attendait peut-être à tout mais pas à ça, vraiment pas. Cela expliquait sa mâchoire qui semblait se décrocher et la façon qu'elle avait de se redresser, plus que surprise par la nouvelle. « T'es sérieux? » Elle ne pouvait pas s'empêcher de poser la question parce qu'elle avait du mal à savoir si c'était vraiment ce qui le pesait ou si c'était un mensonge influencé par la vodka. Rapidement, il lui donnait silencieusement une réponse. Ses pupilles dans les siennes, elle comprenait que c'était la vérité, qu'il avait vraiment mis une fille enceinte et que, visiblement, elle était déterminée à le garder.
Le juger? A quoi bon, il n'était pas le premier et ne serait pas le dernier non plus à mettre une fille enceinte sans le vouloir. A la place, elle préférait se joindre à lui sur le canapé et entourer sa tête de l'un de ses bras pour le rapprocher d'elle et l'étreindre. La tête du jeune homme plaquée contre son thorax, elle déposait un baiser dans ses cheveux tandis que son autre main serrait la sienne et que celle reliait à son bras entourant sa tête balayait tendrement sa joue de son pouce. « Je suis là, ça va aller, tu peux compter sur moi. » Pour l'écouter, l'aider autant qu'elle le pourrait, l'accompagner, lui remonter les bretelles s'il le fallait.
Elle ne pouvait pas se mettre à sa place parce qu'elle n'était pas mère, parce qu'elle n'était même jamais tombée enceinte mais elle pouvait faire son possible pour le soutenir. « Ça fait combien de temps qu'elle est enceinte? » La question était évidente, la réponse beaucoup moins. Est-ce que la mère le gardait parce qu'elle le voulait ou parce qu'elle n'avait pas le choix et qu'il était trop tard pour l'avortement? Est-ce qu'ils avaient le temps d'appréhender les choses? « Tu comptes être là pour lui? » Pour ce bébé. Son bébé. Est-ce qu'il comptait s'en occuper ou complètement l'ignorer? Beaucoup de questions lui venaient en tête alors elle ne pouvait qu'imaginer le besoin de Norton de noyer la sienne.
- Kai NortonReserve Unit
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Signe astrologique : Capricorne
Mon personnage, en 5 mots : Farceur - Sportif - Romantique - Attachant - Bagarreur
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Carrière, métier ou job : Assistant management general manager Lakers
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Avec : une pianiste
Elle n’en a pas. Une moue. Déception. Quel être humain sur cette terre n’a pas d’alcool chez lui ? Décidemment, elle n’était pas normale … Ou pas humaine. Ah ouais, c’est donc pour ça qu’elle est si bonne Adélaïde, parce que c’est une extraterrestre ! L’alcool percutait le cerveau du Norton un peu trop fort, c’était certain. Mais son besoin de boire était trop fort. Comme toujours. Comme un remède, vider les bouteilles et ne plus pouvoir réfléchir le guérissait d’un mal qu’il avait causé la plupart du temps. Si on y réfléchissait une minute, la définition d’un alcoolique lorgnait dangereusement avec le comportement du basketteur … Commençait-il à le devenir ? Non. Peut-être pas à ce point. Une chose était sûre, il avait une proximité avec la boisson qui en devenait dangereuse. Nocive. Malheureusement, il continuait, à tenter d’oublier. Quelque fois, ses propres limites le poussaient à arrêter et d’autres … Comme ce soir, il lâchait toute bonne conscience pour n’être qu’un déchet ambulant.
La question le surprit lui-même. S’il était sérieux … Ah il aimerait ne pas l’être. Il aurait pu payer pour que ce ne soit qu’une blague ou une caméra cachée, même une somme importante. Le silence qui répondit à la Sullivan suffit pour lui faire réaliser que oui … Il était sérieux. Et que l’homme qu’elle avait en face de lui allait être père. Qui plus est, surtout, une grosse merde qui avait encore trop bu à une soirée étudiante. Quel autre mec pouvait bien faire ça ? Quel autre idiot pouvait coucher avec une fille sans se souvenir de sa tête le lendemain tout en la mettant enceinte ? Irrécupérable … désastre de lui-même. Le bilan de sa vie ne ressemblait à rien de positif. Si les circonstances étaient différentes, il pourrait accepter d’être père, il en était certain. Le souvenir de Gia remontant à la surface … A l’époque … Mais les choses allaient bien à cet instant, aujourd’hui, tout déconne. Et cet enfant risque de vivre dans une vie bordélique à souhait. Il devait d’abord se ressaisir avant de pouvoir l’accueillir. Mais le voulait-il ? Régler ses soucis ? Arranger les choses ? Accueillir un … bébé … ? Une forte inspiration. Silence. Il se laissa faire quand son amie prit position à ses côtés. Il se laissa faire quand elle le prit dans ses bras. Et il se laissa encore faire quand il sentit le baiser sur son front. Mieux qu’une mère. Il en avait besoin. Et quoi qu’il fasse, elle était là pour lui. Même en arrivant en pleine nuit sans prévenir et en gueulant à la porte d’un voisin fort peu sympathique. Il ne le dit jamais assez, mais elle était d’une haute importance dans la vie du basketteur. Un silence de remerciement répondit à ses mots réconfortants.
Il mit un instant pour répondre. Déjà car sa tête tournait encore et qu’elle allait continuer à le faire pour un moment. « Trop tard … » Pour donner un ordre d’idée significatif sur le temps … Il n’en savait rien. Tout ce qu’il savait c’est que c’était trop tard. Début Juillet elle lui avait annoncé. Et comment pouvait-il dire « non je n’en veux pas, merci, à bientôt » alors qu’il était clairement impossible de faire marche arrière. Il respire fortement. « J’en sais rien. » Une main qui balaye son visage, un frottement des paupières. S’il pouvait répondre à cette question, il ne serait pas là, à boire comme un désespéré, à pleurer sur sa vie, sur sa connerie, sur le futur proche qui va lui tomber dessus. Lui, père. On aura tout vu. « Ai-je le choix ? » Murmure. Comme une bouée de sauvetage, il avait posé tous ses espoirs sur Sullivan. Il lève son visage vers elle, plonge son regard dans le sien. « Tu ferais quoi à ma place ? Qu’est-ce que je devrais faire ? » Ses yeux la supplient. Il a besoin d’aide. Aucun doute là-dessus.
La question le surprit lui-même. S’il était sérieux … Ah il aimerait ne pas l’être. Il aurait pu payer pour que ce ne soit qu’une blague ou une caméra cachée, même une somme importante. Le silence qui répondit à la Sullivan suffit pour lui faire réaliser que oui … Il était sérieux. Et que l’homme qu’elle avait en face de lui allait être père. Qui plus est, surtout, une grosse merde qui avait encore trop bu à une soirée étudiante. Quel autre mec pouvait bien faire ça ? Quel autre idiot pouvait coucher avec une fille sans se souvenir de sa tête le lendemain tout en la mettant enceinte ? Irrécupérable … désastre de lui-même. Le bilan de sa vie ne ressemblait à rien de positif. Si les circonstances étaient différentes, il pourrait accepter d’être père, il en était certain. Le souvenir de Gia remontant à la surface … A l’époque … Mais les choses allaient bien à cet instant, aujourd’hui, tout déconne. Et cet enfant risque de vivre dans une vie bordélique à souhait. Il devait d’abord se ressaisir avant de pouvoir l’accueillir. Mais le voulait-il ? Régler ses soucis ? Arranger les choses ? Accueillir un … bébé … ? Une forte inspiration. Silence. Il se laissa faire quand son amie prit position à ses côtés. Il se laissa faire quand elle le prit dans ses bras. Et il se laissa encore faire quand il sentit le baiser sur son front. Mieux qu’une mère. Il en avait besoin. Et quoi qu’il fasse, elle était là pour lui. Même en arrivant en pleine nuit sans prévenir et en gueulant à la porte d’un voisin fort peu sympathique. Il ne le dit jamais assez, mais elle était d’une haute importance dans la vie du basketteur. Un silence de remerciement répondit à ses mots réconfortants.
Il mit un instant pour répondre. Déjà car sa tête tournait encore et qu’elle allait continuer à le faire pour un moment. « Trop tard … » Pour donner un ordre d’idée significatif sur le temps … Il n’en savait rien. Tout ce qu’il savait c’est que c’était trop tard. Début Juillet elle lui avait annoncé. Et comment pouvait-il dire « non je n’en veux pas, merci, à bientôt » alors qu’il était clairement impossible de faire marche arrière. Il respire fortement. « J’en sais rien. » Une main qui balaye son visage, un frottement des paupières. S’il pouvait répondre à cette question, il ne serait pas là, à boire comme un désespéré, à pleurer sur sa vie, sur sa connerie, sur le futur proche qui va lui tomber dessus. Lui, père. On aura tout vu. « Ai-je le choix ? » Murmure. Comme une bouée de sauvetage, il avait posé tous ses espoirs sur Sullivan. Il lève son visage vers elle, plonge son regard dans le sien. « Tu ferais quoi à ma place ? Qu’est-ce que je devrais faire ? » Ses yeux la supplient. Il a besoin d’aide. Aucun doute là-dessus.
- Adélaïde SullivanKingdom Come
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Âge du personnage : trente-deux ans (21/03/1990)
Nationalité(s) : Américo-Argentine
Signe astrologique : Bélier
Mon personnage, en 5 mots : Honnête • Charismatique • Passionnée • Joueuse • Séductrice
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : directrice générale du Ritz-Carlton de Los Angeles. (papa propriétaire de Marriott International)
Études (passées ou en cours) : Communication Marketing
Hobby : La danse. Le dessin.
Orientation sexuelle : Bisexuel(le)
Situation sentimentale : En couple
Avec : Aaron Campbell, de nouveau, après une séparation d'un an.
Elle avait beau le prendre dans ses bras, elle avait beau lui dire les mots qu'il faut - ou au moins tenter de les trouver pour ne pas plus le perturber - Adélaïde avait du mal à se faire à l'idée que Kai allait devenir papa d'ici quelques mois. Sans déconner, elle en revenait pas et il lui faudrait pas mal de temps avant de réellement réaliser ce qui était en train de se passer sous ses yeux et tout ce que cela allait engendrer. La plupart de ces événements étaient heureux, se fêtaient en grandes pompes, donnait envie de le faire savoir au monde entier tant la joie déborde de chacun des membres de la famille et plus particulièrement des futurs parents.
L'aspect surprise de cette grossesse, le statut d'étudiant du jeune homme, le fait que c'était probablement un coup d'un soir sans grande importance - comme souvent chez les étudiants qui ne sont pas engagés en couple -, tout ça faisait que la venue de cet enfant n'était pas soulignée de joie et n'avait aucun rapport avec le bonheur, bien au contraire. Elle pouvait constater dans les prunelles de son ami des larmes, dans le fond de ses yeux alcoolisés la plus grande tristresse et surtout une grande détresse. Elle ne pouvait pas s'empêcher, encore une fois, de faire le parallèle avec ce moment où il lui avait confié ses peines de cœur et dans l'état que ça l'avait mis. Elle avait la sensation de revivre la même chose mais cette fois, en bien pire et avec l'avenir d'un bébé entre ses mains. Elle n'aimait pas l'idée, elle n'aimait pas vraiment la question qu'il venait de lui poser. Mais avait-elle vraiment le choix?
Le silence, d'abord. Parce qu'elle cherche les mots, surtout parce qu'elle ne sait pas quoi lui répondre. « Je ne suis pas toi et je ne peux pas me mettre à ta place, Kai. » Elle savait que ça n'allait pas l'aider à aller mieux, que ça risquait sûrement de le perdre davantage mais elle ne lui disait que la vérité. Elle ne pouvait pas se mettre à sa place parce qu'il ne s'agissait pas d'un jeu et de simplement suivre le conseil d'un autre. Il s'agissait de la vie d'un gosse, son gosse, ce n'était pas une décision à prendre à la légère et encore moins alcoolisé comme il l'était. Néanmoins, elle continuait de réfléchir, balayant une larme de Norton avec son pouce, les yeux dans les siens. « A ta place, j'en discuterais avec la future mère, calmement et sans un gramme d'alcool dans le sang. » C'était le meilleur conseil qu'elle pouvait lui donner parce qu'elle n'était pas la future mère et encore moins le futur père du coup.
« Discute avec elle de ce qui est le mieux à faire. Si elle veut assumer seule l'enfant ou que tu sois à ses côtés pour l'aider, ça aussi c'est important. » Parce que pour le coup, elle était apte à imaginer se retrouver seule face à une grossesse où il est impossible d'avorter. Elle aurait peur. Non. Elle serait effrayée. « Que ce soit une amie ou non, soit là pour elle. » Un fin sourire sur le visage en dépit des circonstances, elle gardait son sang froid, tentait de lui apporter un peu d'apaisement dans ses mots. « Quoi qu'il en soit, dis-toi que c'est un bébé, Kai, pas la fin du monde. Ton bébé. Ton sang et ta chair. C'est probablement le plus heureux des malheurs qui peut te tomber dessus, tu sais. » Il y avait bien pire dans la vie quand on y regardait de plus près, non?
L'aspect surprise de cette grossesse, le statut d'étudiant du jeune homme, le fait que c'était probablement un coup d'un soir sans grande importance - comme souvent chez les étudiants qui ne sont pas engagés en couple -, tout ça faisait que la venue de cet enfant n'était pas soulignée de joie et n'avait aucun rapport avec le bonheur, bien au contraire. Elle pouvait constater dans les prunelles de son ami des larmes, dans le fond de ses yeux alcoolisés la plus grande tristresse et surtout une grande détresse. Elle ne pouvait pas s'empêcher, encore une fois, de faire le parallèle avec ce moment où il lui avait confié ses peines de cœur et dans l'état que ça l'avait mis. Elle avait la sensation de revivre la même chose mais cette fois, en bien pire et avec l'avenir d'un bébé entre ses mains. Elle n'aimait pas l'idée, elle n'aimait pas vraiment la question qu'il venait de lui poser. Mais avait-elle vraiment le choix?
Le silence, d'abord. Parce qu'elle cherche les mots, surtout parce qu'elle ne sait pas quoi lui répondre. « Je ne suis pas toi et je ne peux pas me mettre à ta place, Kai. » Elle savait que ça n'allait pas l'aider à aller mieux, que ça risquait sûrement de le perdre davantage mais elle ne lui disait que la vérité. Elle ne pouvait pas se mettre à sa place parce qu'il ne s'agissait pas d'un jeu et de simplement suivre le conseil d'un autre. Il s'agissait de la vie d'un gosse, son gosse, ce n'était pas une décision à prendre à la légère et encore moins alcoolisé comme il l'était. Néanmoins, elle continuait de réfléchir, balayant une larme de Norton avec son pouce, les yeux dans les siens. « A ta place, j'en discuterais avec la future mère, calmement et sans un gramme d'alcool dans le sang. » C'était le meilleur conseil qu'elle pouvait lui donner parce qu'elle n'était pas la future mère et encore moins le futur père du coup.
« Discute avec elle de ce qui est le mieux à faire. Si elle veut assumer seule l'enfant ou que tu sois à ses côtés pour l'aider, ça aussi c'est important. » Parce que pour le coup, elle était apte à imaginer se retrouver seule face à une grossesse où il est impossible d'avorter. Elle aurait peur. Non. Elle serait effrayée. « Que ce soit une amie ou non, soit là pour elle. » Un fin sourire sur le visage en dépit des circonstances, elle gardait son sang froid, tentait de lui apporter un peu d'apaisement dans ses mots. « Quoi qu'il en soit, dis-toi que c'est un bébé, Kai, pas la fin du monde. Ton bébé. Ton sang et ta chair. C'est probablement le plus heureux des malheurs qui peut te tomber dessus, tu sais. » Il y avait bien pire dans la vie quand on y regardait de plus près, non?
- Kai NortonReserve Unit
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Signe astrologique : Capricorne
Mon personnage, en 5 mots : Farceur - Sportif - Romantique - Attachant - Bagarreur
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : Assistant management general manager Lakers
Études (passées ou en cours) : Diplômé Management + Sport Basket
Hobby : Sportif - Son fils - Ses amis - Sa vodka
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : C'est ... compliqué
Avec : une pianiste
Bien sûr qu’elle ne voudrait pas être à sa place. Qui le voudrait ? Parce que si vous trouvez quelqu’un qui voudrait le remplacer à durée indéterminée dans ce rôle, il le donne ! Et gratuitement en plus ! Qui veut être papa ? Qui ? Donation d’une place peu avantageuse et significative d’un changement à vie. Est-ce que ça pourrait faire un bon titre pour une annonce sur un site de vente ? Mieux qu’une recherche d’emploi ! Un CDI, Cauchemar à Durée Indéterminée. Bon, okay, ce n’est pas très vendeur. Adélaïde essuie une larme qui perle. Quel faux bonhomme celui-là ! A boire comme un trou dès qu’un problème se pointe et à pleurer comme une madeleine dans les bras d’une femme. Aristide lui dirait qu’il n’est qu’une vieille merde et que seul un caniche pourrait lui pisser dessus. Mieux encore, Felix lui taperait dans le dos en lui informant que la situation est catastrophique. Tous deux viendrait à le juger. Et ils auraient raison. Vingt-sept ans et toujours pas la tête sur les épaules. Il aimerait se foutre dans un coin, avec une bouteille de vodka, n’oublions pas sa meilleure amie dans ce type de situation, et ne voir plus personne pendant des jours. Est-ce qu’il peut se comporter comme ces nanas qui dépriment après une rupture en mangeant de la glace tout en matant un film à l’eau de rose durant des heures, voir même des jours ? Et puis la voix de la raison. Sullivan. « Ouais » Qu’il grommelle en gardant son regard dans le sien. Montres moi le droit chemin Adélaïde, je te suivrais. Qu’il pense. Alors qu’il le sait, le seul chemin qu’il doit prendre, c’est le sien.
Kai boit ses paroles, privé de vodka il doit bien boire quelque chose. Il s’en imprègne. Tente de s’imaginer dans ce futur proche qui va lui tomber dessus à une vitesse lumière. Discuter est en effet une solution. Et puis il tente de visualiser. Ouais, salut, ça va, je sais qu’on va être parents mais je ne sais pas ce que ça veut dire ni même si j’en ai envie. Il faut revoir l’approche. Cela ne rime à rien et niveau crédibilité on repassera. « C’est qu’un bébé. » Qu’il répète. Pour se convaincre. Pas la fin du monde. Il baisse la tête et part dans ses pensées, loin de cet appartement. Des années plus tard avec un bambin dans les bras. Etait-il prêt ? Un doute immense persiste. Il lui faut quelques instants pour revenir à la réalité et redresser son visage, faisant face à celui de son amie. « Vodka ? » Qu’il demande, suppliant. Malgré tout, il n’y arrive pas. Et aucun indice ne lui indique qu’il va y arriver dans les semaines à suivre. Allons bon, on ne devient pas père du jour au lendemain ! Encore moins lorsque l’on se nomme Kai Norton. « Tu crois qu’il sera beau ? Intelligent ? » Il s’arrête. Panique. « Et s’il était handicapé ce bébé ? » Ses yeux s’écarquillent et son dernier espoir de se chasser les idées. « Vodka ? » Qu’il redemande comme si cela allait lui faire tout oublier.
Kai boit ses paroles, privé de vodka il doit bien boire quelque chose. Il s’en imprègne. Tente de s’imaginer dans ce futur proche qui va lui tomber dessus à une vitesse lumière. Discuter est en effet une solution. Et puis il tente de visualiser. Ouais, salut, ça va, je sais qu’on va être parents mais je ne sais pas ce que ça veut dire ni même si j’en ai envie. Il faut revoir l’approche. Cela ne rime à rien et niveau crédibilité on repassera. « C’est qu’un bébé. » Qu’il répète. Pour se convaincre. Pas la fin du monde. Il baisse la tête et part dans ses pensées, loin de cet appartement. Des années plus tard avec un bambin dans les bras. Etait-il prêt ? Un doute immense persiste. Il lui faut quelques instants pour revenir à la réalité et redresser son visage, faisant face à celui de son amie. « Vodka ? » Qu’il demande, suppliant. Malgré tout, il n’y arrive pas. Et aucun indice ne lui indique qu’il va y arriver dans les semaines à suivre. Allons bon, on ne devient pas père du jour au lendemain ! Encore moins lorsque l’on se nomme Kai Norton. « Tu crois qu’il sera beau ? Intelligent ? » Il s’arrête. Panique. « Et s’il était handicapé ce bébé ? » Ses yeux s’écarquillent et son dernier espoir de se chasser les idées. « Vodka ? » Qu’il redemande comme si cela allait lui faire tout oublier.
- Adélaïde SullivanKingdom Come
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Un simple sourire rassurant et un hochement de tête. Oui, ce n'était qu'un bébé, que le plus heureux des malheurs possibles. C'est ainsi que la jeune femme considérait les choses. Alors certes, "ce n'est qu'un bébé" c'était vite dit. Un bébé c'est beaucoup de responsabilités, un gouffre à argent qu'on se le dise - mais Kai n'avait pas à s'en faire sur ce point-là, elle le savait - des années à le suivre, toute la vie même à vrai dire. La loi dit toujours qu'un enfant n'est plus sous la responsabilité de ses parents à sa majorité... la vérité était toute autre. Un parent restait un parent à vie et c'est sûrement ce qui faisait le plus flipper Norton parce que pour le reste, il était prêt. C'était les responsabilités et le rôle qui allaient avec qui devaient lui faire peur, Adélaïde en était presque convaincue.
Elle ne répondait pas à son appel à la vodka, il avait beau lui demander plusieurs fois, au fond de lui, il connaissait assez la jeune femme pour savoir qu'elle avait la tête dure et qu'elle ne céderait pas à cet appel à l'alcool, c'était hors de question. Il était bien assez éméché comme ça, ce n'était clairement pas la peine d'en rajouter. « Tu l'aimeras tout pareil parce que ça l'empêchera pas d'être beau et intelligent, je te le promet. » A sa manière s'il était effectivement handicapé mais Adélaïde ne doutait pas que si ai s'investissait dans cette grossesse, dans cette naissance et dans le développement de l'enfant, il allait voir en lui toute la beauté et l'intelligence du monde parce que c'était ça être parent et il n'y avait que les abrutis pour fuir face à ça et la blonde le savait, son pote était loin d'être un abruti contrairement à ce que la majorité des gens peuvent penser.
De toute façon, elle doutait que cet enfant soit handicapé et elle avait l'intime conviction que Kai finirait par l'accepter près de lui, même si ça devait prendre du temps et du remontage de bretelles. « L'abandonne pas Kai, s'il te plait. » A son tour d'être suppliante parce qu'elle connaissait ce qu'était l'absence d'un parent. Adélaïde n'avait jamais vécu avec ses deux parents en même temps et ça avait fait des dégâts considérables. C'était la petite fille qu'elle avait été et l'adulte récemment guéri qui lui demandait cette faveur. « Même si tu t'entends pas avec la mère, même si tu l'as connais pas plus que ça, pense à ce bébé qui a besoin de son père. » Pense à cet enfant qui a besoin de son père comme tu aurais eu besoin du tiens.
Elle ne répondait pas à son appel à la vodka, il avait beau lui demander plusieurs fois, au fond de lui, il connaissait assez la jeune femme pour savoir qu'elle avait la tête dure et qu'elle ne céderait pas à cet appel à l'alcool, c'était hors de question. Il était bien assez éméché comme ça, ce n'était clairement pas la peine d'en rajouter. « Tu l'aimeras tout pareil parce que ça l'empêchera pas d'être beau et intelligent, je te le promet. » A sa manière s'il était effectivement handicapé mais Adélaïde ne doutait pas que si ai s'investissait dans cette grossesse, dans cette naissance et dans le développement de l'enfant, il allait voir en lui toute la beauté et l'intelligence du monde parce que c'était ça être parent et il n'y avait que les abrutis pour fuir face à ça et la blonde le savait, son pote était loin d'être un abruti contrairement à ce que la majorité des gens peuvent penser.
De toute façon, elle doutait que cet enfant soit handicapé et elle avait l'intime conviction que Kai finirait par l'accepter près de lui, même si ça devait prendre du temps et du remontage de bretelles. « L'abandonne pas Kai, s'il te plait. » A son tour d'être suppliante parce qu'elle connaissait ce qu'était l'absence d'un parent. Adélaïde n'avait jamais vécu avec ses deux parents en même temps et ça avait fait des dégâts considérables. C'était la petite fille qu'elle avait été et l'adulte récemment guéri qui lui demandait cette faveur. « Même si tu t'entends pas avec la mère, même si tu l'as connais pas plus que ça, pense à ce bébé qui a besoin de son père. » Pense à cet enfant qui a besoin de son père comme tu aurais eu besoin du tiens.
- Kai NortonReserve Unit
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Parce qu’il ne pense plus à la vodka. Il aurait pourtant bien espéré voir la bouteille vide avant de venir ici. Son regard perçoit la supplication sur le visage de son amie. Elle a raison. Et il est le mieux placé pour comprendre, lui qui a perdu sa mère un an après sa naissance. Il ne l’a jamais connu. Et son père toujours en déplacement. On ne peut pas dire que Norton a pu vivre grandement avec ses parents, au contraire. Mais il ne va pas se plaindre, ses grands parents l’ont élevé avec tout l’amour dont il a eu besoin dans son enfance. « Tu as raison. » Et il le pense réellement. Secouant la tête de haut en bas. Elle savait comment lui parler. Tel un gamin, son obsession pour sa bouteille alcoolisée même pas finie, qu’on pourrait comparer à une tétine, vient de s’envoler en une seconde. « Il a besoin de moi. » Comme à lui-même. Un encouragement dans le vent, à qui veut bien l’entendre. Kai prend petit à petit conscience du chamboulement de sa vie et de l’importance de son rôle dans tout ça. Passant de la panique, à la peur, à la prise de conscience et peut-être, un jour, au bonheur d’être père. Il sourie tendrement vers Sullivan. « Merci » Glissé presque silencieusement. Il avait beau être l’homme le plus alcoolisé de cet immeuble, sans aucun doute vu la réaction du voisin, et se pointer à une heure tardive sans prévenir, elle était là. Toujours. Il devrait pourtant réfléchir et arrêter sa manie de venir lui rendre visite quand il boit comme un trou. Mais il avait trop peu de personnes dans son entourage sur lesquelles compter, réellement. Pouvoir ressentir ce soutien perpétuel qu’elle lui offrait, sans le juger, cette personne qui l’aime, sans amour voyons, avait un effet galvaniseur pour lui. Et jamais il ne saurait la remercier suffisamment pour cela.
Un profond soupir. Son dos alla trouver refuge dans le moelleux du canapé alors qu’il ferme les yeux en sentant sa tête tourner dans tous les sens. « Je devrais y aller et arrêter de t’emmerder avec mes soucis. » Il peine à articuler et passe une main sur son visage en espérant se donner un brin de courage pour se lever. « Tu dois en avoir tellement marre de moi, tu peux me virer, je me laisserai fai… » Et avant de pouvoir finir sa phrase, un ronflement soudain se fit entendre. Sans prévenir. Il venait de s’endormir tout en parlant. Une épave sur ce canapé. Une épave qui deviendra, d’ici quelques semaines, un père. Qui aurait parié sur cette possibilité ?
Un profond soupir. Son dos alla trouver refuge dans le moelleux du canapé alors qu’il ferme les yeux en sentant sa tête tourner dans tous les sens. « Je devrais y aller et arrêter de t’emmerder avec mes soucis. » Il peine à articuler et passe une main sur son visage en espérant se donner un brin de courage pour se lever. « Tu dois en avoir tellement marre de moi, tu peux me virer, je me laisserai fai… » Et avant de pouvoir finir sa phrase, un ronflement soudain se fit entendre. Sans prévenir. Il venait de s’endormir tout en parlant. Une épave sur ce canapé. Une épave qui deviendra, d’ici quelques semaines, un père. Qui aurait parié sur cette possibilité ?
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« Oui, il a besoin de toi et je serais là pour t'aider si tu en as besoin. » Bien entendu, Sullivan n'était pas la mère de cet enfant, encore heureux d'ailleurs, et elle ne pourrait jamais la remplacer mais si son père avait besoin d'aide, avait besoin d'assistance pour x ou y raison, Adélaïde était prête à le soutenir comme n'importe quelle amie le ferait finalement. Un dernier sourire, un dernier câlin qui suivait son merci et elle le laissait littéralement se vautrer sur le canapé. « Moui, bien sûr, Norton. Je vais vachement te laisser partir au risque que tu réveilles encore mes voisins et que tout le monde me déteste à l'étage. » Autant dire que même s'il avait tenté de se lever, elle aurait fait en sorte qu'il ne passe pas cette fichue porte d'appartement. De toute façon, il ne semblait pas plus motivé que ça à lever son fessier du canapé et s'était tant mieux ainsi. Moitié assis, moitié allongé, elle remarquait bien qu'il était en train de s'endormir. Au moins il allait pas vomir partout, c'était déjà ça... Instinctivement la jeune femme se levait et poussait la table basse pour l'éloigner du canapé. « J'en ai tellement marre de toi que je vais te déplier un lit, idiot. » Un rire plus tard en voyant sa tronche de lutteur alcoolisé pour parler et non dormir, elle tirait le bas de son canapé et en déployait la seconde partie, de quoi faire un lit deux places. Elle montait sur une petite estrade, là où son propre lit trônait et elle ouvrait les tiroirs du dessous, tirant un oreiller et une couverture. Le premier, elle le glissait sous la tête de Norton et la seconde, elle l'étalait sur lui. « Bonne nuit Kai. » Quant à elle, elle prendrait encore un peu de temps pour se changer, se démaquiller et de quoi être prévoyante pour Kai avant de se coucher à son tour, impatiente d'être le lendemain pour en savoir davantage lorsqu'il sera dessaoulé.
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