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YESTERDAY'S NEWS |48
- Leaven S. CampbellKingdom Come
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Dollars : 2539
Messages : 288
Date d'inscription : 09/03/2018
Avatar : Bar Refaeli.
Crédits : monroe (ava) • TUMBLR (img sign) • ROGERS. (code sign)
Autres comptes : Adélaïde Sullivan & Gwyneth Barclay.
Âge du personnage : Trente-et-un ans. (05/07)
Nationalité(s) : Américaine.
Signe astrologique : Cancer
Mon personnage, en 5 mots : Naturelle • Débrouillarde • Aveugle • Drôle • Engagée • Maman.
Quartier de résidence : Northeast
Carrière, métier ou job : Animatrice Radio sous le pseudonyme de Swaden.
Études (passées ou en cours) : Etudes de communication puis de presse.
Hobby : Association en faveur des animaux.
Orientation sexuelle : Pansexuel(le)
Situation sentimentale : En couple
Avec : Clarence Burns depuis le 1er janvier 2014.
it's us against... the water's depths
Clarence & Leaven
Seule dans la piscine, la blonde plaquait ses cheveux en arrière. Les fesses dans l'eau, le niveau lui arrivait à la taille. Elle agitait un peu ses jambes à la surface de l'eau. La sensation du liquide glissant sur la peau était très agréable. Elle aimait l'eau, en soi. Elle aimait la sensation, elle aimait se rafraîchir en plein été mais les profondeurs et le silence que ça engendrait, ce n'était pas encore ça. Elle doutait d'y parvenir un jour mais c'est en entendant Clarence et Liam revenir qu'elle savait qu'elle essayerait, quoi qu'il se passe et qu'elle n'abandonnerait pas ce désir si facilement, quitte à s'y casser les dents comme on dit. Un léger sursaut à la remarque de son petit-ami puis un rire. « Idiot. » C'était un réflexe humain d'avoir un sursaut ou de tendre les mains dès l'instant où on nous disait d'attraper. Leaven l'avait probablement obtenu les quelques années où elle avait eu la chance de voir le monde. Depuis, il ne l'avait jamais quitté, ancré en elle comme de nombreux autres réflexes en principe réservés aux voyants. « On se demande à cause de qui il a ce statut ce petit bonhomme. » Ça aurait pu être une remarque désobligeante si elle n'avait pas eu ce sourire amusé sur les lèvres qui laissaient plus entendre la petite moquerie que la remarque piquante. Le papa en total admiration devant son fils depuis sa naissance en avait fait un petit prince presque pourri gâté si Leaven ne le freinait pas. A vrai dire, ils avaient tous les deux des périodes. Un coup c'était lui, un coup c'était elle. L'enfant ne manquait clairement de rien et en avait probablement trop, comme tous les premiers enfants d'une famille.
La jeune maman tendait les bras, accueillant leur bébé qui ne tardait pas à poser ses mains contre elle avant de taper vivement à la surface de l'eau, éclaboussant ses parents au passage. « Tu prévois un mini-toi quoi, ça résume assez bien la situation. » Nageur, surfeur, amoureux des jolies blondes. « Il faut rajouter un petit côté malin qui aime bien embêter les autres et on est dedans. » Il suffisait de revenir sur la farce précédente du blond et sur l'enfant s'amusant de l'eau éclaboussant partout. Les pommes ne tombent pas bien loin de l'arbre après tout. Liam se désintéressait vite de l'eau. Comme une grande partie des enfants, il avait jeté son dévolu sur le décolleté de sa mère. Heureusement pour elle, il avait beau tiré dessus, le maillot de bain avait bien trop de résistance pour risquer de la mettre à nue. « Je suis pas sûre que papa soit d'accord que tu déshabilles maman en public tu sais. » Même si tous les deux n'étaient pas pudiques pour un sou, il y avait des moments et surtout des endroits où il était préférable de ne pas le faire pour éviter de titiller la jalousie de monsieur Burns. Ce n'était pas gênant chez eux ou encore sur les plages naturistes qu'ils fréquentaient parfois et où les personnes se fichent bien des autres mais ici, c'était à éviter pour ne pas être viré de la piscine ou se sentir regardée.
Pour lui faire perdre l'intérêt de son maillot, Leaven levait ses fesses des marches et s'enfonçait dans l'eau jusqu'à ce que cette dernière lui arrive aux épaules, de quoi ne pas la faire paniquer mais immerger presque entièrement le petit garçon qui se plaisait dans cet élément et le faisait savoir par un cri de bonheur. « Si on sait pas qu'il est content, on le saura jamais. » Autant dire que le garçon attirait bien des regards amusés et attendrisants sur sa bouille d'ange. Ce bonheur qui émanait de lui persuadait un peu plus Leaven qu'elle n'avait pas besoin de plus. Lui, Clarence, une stabilité sentimentale, financière et professionnelle et beaucoup d'amour. Qu'est-ce qu'elle pouvait demander de plus? Rien... ou presque. C'était les rires et les babillages de leur fils qui faisaient avancer le bras libre de Leaven vers Clarence jusqu'à le trouver. Elle l'attirait à elle, déposait sa main sur sa nuque et un baiser tendre sur ses lèvres. Il ne lui fallait rien de plus qu'eux pour faire son monde. « Épouses-moi Clarence. » un murmure discret contre ses lèvres, dans un sourire fin, mais tellement sincère. Ce n'était peut-être pas le bon moment mais tant pis, c'était maintenant qu'elle l'avait senti. Ils se comportaient comme des époux depuis des années maintenant, pourquoi ne pas sauter le pas, pourquoi ne pas glisser une alliance à son doigt? Ça ne changerait pas grand chose à leur quotidien mais elle porterait le même nom que les hommes de sa vie, ça serait la cerise sur le gâteau de cette relation, la concrétisation d'une belle histoire qu'elle voulait se voir profiler sur encore beaucoup d'années.
La jeune maman tendait les bras, accueillant leur bébé qui ne tardait pas à poser ses mains contre elle avant de taper vivement à la surface de l'eau, éclaboussant ses parents au passage. « Tu prévois un mini-toi quoi, ça résume assez bien la situation. » Nageur, surfeur, amoureux des jolies blondes. « Il faut rajouter un petit côté malin qui aime bien embêter les autres et on est dedans. » Il suffisait de revenir sur la farce précédente du blond et sur l'enfant s'amusant de l'eau éclaboussant partout. Les pommes ne tombent pas bien loin de l'arbre après tout. Liam se désintéressait vite de l'eau. Comme une grande partie des enfants, il avait jeté son dévolu sur le décolleté de sa mère. Heureusement pour elle, il avait beau tiré dessus, le maillot de bain avait bien trop de résistance pour risquer de la mettre à nue. « Je suis pas sûre que papa soit d'accord que tu déshabilles maman en public tu sais. » Même si tous les deux n'étaient pas pudiques pour un sou, il y avait des moments et surtout des endroits où il était préférable de ne pas le faire pour éviter de titiller la jalousie de monsieur Burns. Ce n'était pas gênant chez eux ou encore sur les plages naturistes qu'ils fréquentaient parfois et où les personnes se fichent bien des autres mais ici, c'était à éviter pour ne pas être viré de la piscine ou se sentir regardée.
Pour lui faire perdre l'intérêt de son maillot, Leaven levait ses fesses des marches et s'enfonçait dans l'eau jusqu'à ce que cette dernière lui arrive aux épaules, de quoi ne pas la faire paniquer mais immerger presque entièrement le petit garçon qui se plaisait dans cet élément et le faisait savoir par un cri de bonheur. « Si on sait pas qu'il est content, on le saura jamais. » Autant dire que le garçon attirait bien des regards amusés et attendrisants sur sa bouille d'ange. Ce bonheur qui émanait de lui persuadait un peu plus Leaven qu'elle n'avait pas besoin de plus. Lui, Clarence, une stabilité sentimentale, financière et professionnelle et beaucoup d'amour. Qu'est-ce qu'elle pouvait demander de plus? Rien... ou presque. C'était les rires et les babillages de leur fils qui faisaient avancer le bras libre de Leaven vers Clarence jusqu'à le trouver. Elle l'attirait à elle, déposait sa main sur sa nuque et un baiser tendre sur ses lèvres. Il ne lui fallait rien de plus qu'eux pour faire son monde. « Épouses-moi Clarence. » un murmure discret contre ses lèvres, dans un sourire fin, mais tellement sincère. Ce n'était peut-être pas le bon moment mais tant pis, c'était maintenant qu'elle l'avait senti. Ils se comportaient comme des époux depuis des années maintenant, pourquoi ne pas sauter le pas, pourquoi ne pas glisser une alliance à son doigt? Ça ne changerait pas grand chose à leur quotidien mais elle porterait le même nom que les hommes de sa vie, ça serait la cerise sur le gâteau de cette relation, la concrétisation d'une belle histoire qu'elle voulait se voir profiler sur encore beaucoup d'années.
- Clarence M. BurnsI'm a Mother Fucker
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Dollars : 2540
Messages : 85
Date d'inscription : 09/03/2018
Avatar : Chris Hemsworth
Âge du personnage : 34 ans
Nationalité(s) : Américain
Signe astrologique : Lion
Mon personnage, en 5 mots : Investissement, animalité, protection, communauté, autrui
Quartier de résidence : Northeast
Carrière, métier ou job : Responsable du secteur félin au zoo de L.A.
Études (passées ou en cours) : Diplômé d'un master en Ecology & Evolutionary Biology
Hobby : Surfeur émérite, grand basketteur, toujours partant pour se bouger les fesses, puis les voyages et ses animaux.
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : En couple
Avec : Leaven Campbell
UNDER WAVES OF JOY
Il n’y avait que Clarence pour ponctuer un moment aussi tendre d’une petite boutade bien placée. Non pas qu’il soit mal à l’aise avec les situations sérieuses ou trop sentimentales, mais s’il en avait l’occasion, il cherchait toujours à détendre l’atmosphère. Et puis, il ne manquait jamais une occasion de taquiner Leaven. Il aimait tant son rire, il serait prêt à tous les sacrifices et les plus mauvaises plaisanteries, du moment qu’elle continuait à rire. En retour, elle se fit un plaisir de lui rappeler que dans la famille, il détenait évidemment le titre du parent gaga. Il haussa les épaules, pas vexé pour un sou. Il assumait complètement d’être un papa poule, toujours aux petits soins pour sa progéniture. Il faisait partie de ceux qui s’émerveillaient pour un rien et qui étaient persuadé que son enfant était le plus intelligent et le plus beau de tous. Cependant, il contrebalançait bien cet amour inconditionnel par une exigence à toute épreuve au sujet de son éducation. C’était des valeurs qu’il avait héritées de son père et qu’il transmettait naturellement à son fils. Nul doute que si le gamin décidait de traverser une crise d’adolescence, Clarence saurait le remettre dans le droit chemin. Jusqu’ici, ni l’un ni l’autre n’avait jamais été en désaccord avec la façon d’éduquer leur fils. Il y avait parfois des petites tensions, des interrogations, comme tout jeune parent, mais il n’y avait aucune contradiction qui puisse mettre en péril l’harmonie qui s’était installée. Encore plus au vu de l’enfance qu’avait vécu Leaven, le grand blond s’appliquait à être le meilleur père possible. Et jusqu’ici, ça semblait plutôt bien marcher.
Ce fut à contrecœur qu’il finit par laisser Liam rejoindre les bras de sa maman. S’il pouvait, il ne le lâcherait jamais, mais son fils serait bientôt suffisamment grand pour ne plus avoir envie d’avoir son père dans son ombre. Avec un sourire en coin, Clay les observait tous les deux dans le bassin. Leaven semblait avoir oublié tout malaise concernant sa phobie des grandes étendues d’eau. Quand elle avait son fils dans les bras, rien ne pouvait l’arrêter. « Ça, c’est le fils à son père. C’est bien, mon fils. Tu as tout compris. » déclara-t-il fièrement, en déposant un doux baiser sur la tempe de Liam qui avait décidé de s’éclater avec le maillot de bain de sa mère. Point trop n'en faut. L’homme jeta un coup d’œil autour de lui, histoire de vérifier que personne – et surtout pas le maître-nageur – était en train de les épier. Dans toutes les circonstances, sa jalousie de tigre était aux aguets. À la remarque de sa petite amie, il reporta son attention sur sa famille. « Non, non, ça tu le laisses à Papa. » Il ne pouvait pas rêver mieux en cet instant précis. Lui qui avait toujours besoin d’être acteur de tout se faisait spectateur de la scène, ressentant davantage le bonheur qui gonflait son cœur d’amoureux. Il pourrait passer des heures à les contempler tous les deux, à se dire combien il était chanceux. Il n’y aurait jamais assez de mots, ni de temps, pour exprimer la chance qu’il avait d’avoir la vie dont il avait toujours rêvé. À côté de ça, les galères qu’il avait dû traverser ne paraissaient qu’un grain de sable dans une immensité. Il n’y avait rien d’autre qui puisse le rendre heureux, sauf peut-être d’autres enfants, mais pour ça, ils avaient le temps.
Ce fut la main de Leaven posée sur son avant-bras qui l’extirpa de ses rêveries. Par réflexe, Clay glissa aussitôt une main à sa taille, signifiant sa présence et l’attirant un peu plus contre lui. Alors qu’il se délectait de ses lèvres, la jeune femme finit par lui faire une remarque des plus inattendues. Ça semblait peut-être anodin, mais sur l’instant, l’homme demeura interdit. Qu’était-elle en train d’insinuer ? Était-ce une déclaration des plus sincères ou une véritable demande ? C’était peut-être le fait que depuis plusieurs semaines, il complotait une future demande officielle, avec complice et tout le tralala, qui le laissa hésitant. Venait-elle de ruiner des heures de réflexion en l’espace d’un instant spontané ? Malgré tout, un élan de bonheur lui retourna l’estomac et Clarence attrapa le visage de sa petite amie entre ses grandes mains. « T’inquiète, c’est prévu. » chuchota-t-il, sur un ton léger et à la fois terriblement sérieux. Il l’embrassa avec tendresse, tandis que son bras entourait celui qui tenait Liam. Il était tellement bien et à la fois, le lieu public était devenu soudainement inapproprié, face à tout ce qu’il était en train de ressentir. Il y avait des choses dont les autres n’avaient pas besoin témoins. « Je t’aime. » ajouta-t-il, avant de laisser ses lèvres glisser vers son oreille. « Et je crois qu’il va falloir qu’on rentre... » confessa-t-il, glissant une main discrète sur son fessier immergé. Il esquissa un sourire amusé, tout en se reculant légèrement. La vie était un long fleuve tranquille finalement, sitôt qu’on avait trouvé son cap.
Ce fut à contrecœur qu’il finit par laisser Liam rejoindre les bras de sa maman. S’il pouvait, il ne le lâcherait jamais, mais son fils serait bientôt suffisamment grand pour ne plus avoir envie d’avoir son père dans son ombre. Avec un sourire en coin, Clay les observait tous les deux dans le bassin. Leaven semblait avoir oublié tout malaise concernant sa phobie des grandes étendues d’eau. Quand elle avait son fils dans les bras, rien ne pouvait l’arrêter. « Ça, c’est le fils à son père. C’est bien, mon fils. Tu as tout compris. » déclara-t-il fièrement, en déposant un doux baiser sur la tempe de Liam qui avait décidé de s’éclater avec le maillot de bain de sa mère. Point trop n'en faut. L’homme jeta un coup d’œil autour de lui, histoire de vérifier que personne – et surtout pas le maître-nageur – était en train de les épier. Dans toutes les circonstances, sa jalousie de tigre était aux aguets. À la remarque de sa petite amie, il reporta son attention sur sa famille. « Non, non, ça tu le laisses à Papa. » Il ne pouvait pas rêver mieux en cet instant précis. Lui qui avait toujours besoin d’être acteur de tout se faisait spectateur de la scène, ressentant davantage le bonheur qui gonflait son cœur d’amoureux. Il pourrait passer des heures à les contempler tous les deux, à se dire combien il était chanceux. Il n’y aurait jamais assez de mots, ni de temps, pour exprimer la chance qu’il avait d’avoir la vie dont il avait toujours rêvé. À côté de ça, les galères qu’il avait dû traverser ne paraissaient qu’un grain de sable dans une immensité. Il n’y avait rien d’autre qui puisse le rendre heureux, sauf peut-être d’autres enfants, mais pour ça, ils avaient le temps.
Ce fut la main de Leaven posée sur son avant-bras qui l’extirpa de ses rêveries. Par réflexe, Clay glissa aussitôt une main à sa taille, signifiant sa présence et l’attirant un peu plus contre lui. Alors qu’il se délectait de ses lèvres, la jeune femme finit par lui faire une remarque des plus inattendues. Ça semblait peut-être anodin, mais sur l’instant, l’homme demeura interdit. Qu’était-elle en train d’insinuer ? Était-ce une déclaration des plus sincères ou une véritable demande ? C’était peut-être le fait que depuis plusieurs semaines, il complotait une future demande officielle, avec complice et tout le tralala, qui le laissa hésitant. Venait-elle de ruiner des heures de réflexion en l’espace d’un instant spontané ? Malgré tout, un élan de bonheur lui retourna l’estomac et Clarence attrapa le visage de sa petite amie entre ses grandes mains. « T’inquiète, c’est prévu. » chuchota-t-il, sur un ton léger et à la fois terriblement sérieux. Il l’embrassa avec tendresse, tandis que son bras entourait celui qui tenait Liam. Il était tellement bien et à la fois, le lieu public était devenu soudainement inapproprié, face à tout ce qu’il était en train de ressentir. Il y avait des choses dont les autres n’avaient pas besoin témoins. « Je t’aime. » ajouta-t-il, avant de laisser ses lèvres glisser vers son oreille. « Et je crois qu’il va falloir qu’on rentre... » confessa-t-il, glissant une main discrète sur son fessier immergé. Il esquissa un sourire amusé, tout en se reculant légèrement. La vie était un long fleuve tranquille finalement, sitôt qu’on avait trouvé son cap.
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