YESTERDAY'S NEWS |48
- Leaven S. CampbellKingdom Come
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Dollars : 2540
Messages : 288
Date d'inscription : 09/03/2018
Avatar : Bar Refaeli.
Crédits : monroe (ava) • TUMBLR (img sign) • ROGERS. (code sign)
Autres comptes : Adélaïde Sullivan & Gwyneth Barclay.
Âge du personnage : Trente-et-un ans. (05/07)
Nationalité(s) : Américaine.
Signe astrologique : Cancer
Mon personnage, en 5 mots : Naturelle • Débrouillarde • Aveugle • Drôle • Engagée • Maman.
Quartier de résidence : Northeast
Carrière, métier ou job : Animatrice Radio sous le pseudonyme de Swaden.
Études (passées ou en cours) : Etudes de communication puis de presse.
Hobby : Association en faveur des animaux.
Orientation sexuelle : Pansexuel(le)
Situation sentimentale : En couple
Avec : Clarence Burns depuis le 1er janvier 2014.
« Doucement les loulous, chacun aura sa part, c'est promis. » Se déplacer avec quatre chiots dans les pattes, ce n'était pas une mince affaire pour Leaven. Son handicap l'obligeait à faire attention à ne pas marcher sur la patte de l'un d'eux et si c'était simple avec les chiens adultes habitués à ne pas rester dans le passage, ça l'était beaucoup moins avec des chiots. Condamnée à traîner des pieds, voilà à quoi Liv en était réduite et ça amusait beaucoup son fils qui riait de la démarche ridicule de sa mère et des chiots tout excités à l'idée de manger. Ils avaient déjà quatre mois et étaient dorénavant sevrés, au régime croquettes et pour avoir de l'appétit, ils en avaient. Néanmoins, depuis que Stanley avait craqué pour l'un d'eux devenant son nouveau propriétaire, c'était moins la cohue à l'heure des repas. Il n'en restait plus que trois à placer dans des familles, Clarence ayant insisté (et convaincu sans difficulté sa petite-amie) pour garder le dernier, celui qui s'était avéré être le plus faible de la portée mais aujourd'hui le plus joueur et énergique.
C'était toujours un peu déchirant de se séparer l'un d'eux (c'est qu'on s'y attache vite à ces petites bêtes) mais ils n'avaient pas le choix, ils ne pouvaient décidément pas garder les deux adultes et cinq autres chiens en devenir chez eux. Sans compter qu'ils comptaient bien faire d'autres enfants et malheureusement, même si le cœur voulait tout avoir, leur maison n'était extensible à l'infini. Ils s'étaient donc accordés pour donner (et non vendre comme des objets) les nouveaux venus. Des golden retriever pur race seraient sûrement partie comme des petits pains... si Clarence et Leaven n'étaient pas si exigeants. Les deux amoureux des animaux se refusaient catégoriquement à donner les bébés à n'importe qui, et beaucoup avaient échoués à leurs "test."
Donne contre bons soins... c'était ça l'annonce et ils ne rigolaient pas avec cette demande, assez pour imposer un suivi régulier et une visite surprise dans le mois qui suivait la donation. L'un des chiots avait bien failli tombé dans un traquenard. Clarence et Leaven croyaient l'avoir donné à une femme et son fils de treize ans, bien sous tout rapport à priori quand ils avaient discutés avec eux... et lors de la visite de vérification, ils avaient retrouvé le pauvre chiot enchaîné dans le jardin, sous la pluie, sans niche, de l'eau sale dans la gamelle et visiblement apeuré à l'approche d'humains. Autant dire qu'ils l'avaient récupérer sans attendre et pour le coup, le physique imposant de son petit-ami avait joué en leur faveur.
Le seul chiot adopté jusque-là était donc par Stanley, un ami de longue date de Leaven... et pour lui, elle ne vérifiait pas. Ils se voyaient assez souvent pour constater la bonne santé du chien et sa joie de vivre... c'est ainsi que la blonde eu l'idée. Pourquoi ne pas tenter de convaincre ses plus proches amis, les plus soigneux et amoureux des bêtes? Est-ce que tu es libre cet après-midi? Clarence veut m'emmener au restaurant, j'aurais besoin de tes talents contre un aprem entre amis avec café, gâteau fait maison et rire de bébé garanti! C'était le sms qu'elle avait envoyé à Zion. Menteuse? Oui et non. Clarence comptait bien l'embarquer pour la soirée mais elle n'avait pas besoin d'être maquillée pour ça, il était habitué à ce qu'elle soit le plus naturelle du monde. C'était surtout une occasion de convier Zion chez elle pour le plonger directement dans un bain de chiots tout fous et tout joyeux. Manipulatrice? Un petit peu... mais c'était pour la bonne cause! Elle l'attendait maintenant avec impatiente.
C'était toujours un peu déchirant de se séparer l'un d'eux (c'est qu'on s'y attache vite à ces petites bêtes) mais ils n'avaient pas le choix, ils ne pouvaient décidément pas garder les deux adultes et cinq autres chiens en devenir chez eux. Sans compter qu'ils comptaient bien faire d'autres enfants et malheureusement, même si le cœur voulait tout avoir, leur maison n'était extensible à l'infini. Ils s'étaient donc accordés pour donner (et non vendre comme des objets) les nouveaux venus. Des golden retriever pur race seraient sûrement partie comme des petits pains... si Clarence et Leaven n'étaient pas si exigeants. Les deux amoureux des animaux se refusaient catégoriquement à donner les bébés à n'importe qui, et beaucoup avaient échoués à leurs "test."
Donne contre bons soins... c'était ça l'annonce et ils ne rigolaient pas avec cette demande, assez pour imposer un suivi régulier et une visite surprise dans le mois qui suivait la donation. L'un des chiots avait bien failli tombé dans un traquenard. Clarence et Leaven croyaient l'avoir donné à une femme et son fils de treize ans, bien sous tout rapport à priori quand ils avaient discutés avec eux... et lors de la visite de vérification, ils avaient retrouvé le pauvre chiot enchaîné dans le jardin, sous la pluie, sans niche, de l'eau sale dans la gamelle et visiblement apeuré à l'approche d'humains. Autant dire qu'ils l'avaient récupérer sans attendre et pour le coup, le physique imposant de son petit-ami avait joué en leur faveur.
Le seul chiot adopté jusque-là était donc par Stanley, un ami de longue date de Leaven... et pour lui, elle ne vérifiait pas. Ils se voyaient assez souvent pour constater la bonne santé du chien et sa joie de vivre... c'est ainsi que la blonde eu l'idée. Pourquoi ne pas tenter de convaincre ses plus proches amis, les plus soigneux et amoureux des bêtes? Est-ce que tu es libre cet après-midi? Clarence veut m'emmener au restaurant, j'aurais besoin de tes talents contre un aprem entre amis avec café, gâteau fait maison et rire de bébé garanti! C'était le sms qu'elle avait envoyé à Zion. Menteuse? Oui et non. Clarence comptait bien l'embarquer pour la soirée mais elle n'avait pas besoin d'être maquillée pour ça, il était habitué à ce qu'elle soit le plus naturelle du monde. C'était surtout une occasion de convier Zion chez elle pour le plonger directement dans un bain de chiots tout fous et tout joyeux. Manipulatrice? Un petit peu... mais c'était pour la bonne cause! Elle l'attendait maintenant avec impatiente.
- Zion J. WildI'm a Mother Fucker
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Dollars : 2095
Messages : 21
Date d'inscription : 18/11/2018
Avatar : Troye Sivan
Âge du personnage : 21 ans
Nationalité(s) : Américain
Mon personnage, en 5 mots : Artistique, animé, rebelle, tendre, peste
Quartier de résidence : Sous un pont quelque part
Ouvrant ses yeux sur le monde qui l’entoure, puis, sur l’inconnu à ses côtés, il pose sa main, légèrement abîmée par une bagarre de la veille en soupirant. Trop d’alcool, sans doute aussi, trop d’exquises stupéfactions. Il devrait se calmer un peu, il le sait bien mais parfois, se murger et s’imprégner de molécules interdites lui sont nécessaires pour supporter la vie. Hier n’était qu’un mauvais jour qu’il a tout fait pour oublier. L’anniversaire de sa mère et malgré ses beaux vêtements et le cadeau qu’il avait acheté, il n’avait pas pu mettre un pied dans la maison de ses parents. Trop efféminé qu’il avait dit, son paternel. Il ne veut pas d’une tapette à sa table. Alors, il s’était contenté de lui faire un doigt d’honneur, puis de laisser le cadeau à sa mère quand même, parce qu’il voyait bien qu’elle subissait la chose autant que lui. Il ne voulait pas lui en vouloir. Pas à elle. Pas le soir-là.
Pour oublier, il est sorti dans son club favori. Il avait demandé à ne pas travailler le jour-là, histoire de passer possiblement un moment en famille. Pour la première fois, il s’était mis à penser qu’il allait finir par faire Noël tout seul, parce que personne n’allait se rebeller contre le paternel. Il irait bosser. Il serait avec d’autres âmes en peine. Il ne serait pas si seul ainsi. Mais là, il avait voulu oublier ses tourments. Alors l’alcool et la drogue étaient venus lui tenir compagnie, avant qu’un beau jeune homme ne se joigne à lui. Il était bien fait. Des cheveux roux, des yeux verts et des tâches de rousseur et une barbe plutôt bien entretenue. Ils avaient dansé, s’étaient embrassé, avaient commencé les préliminaires dans les chiottes, rien de très glamour, pour finalement, finir chez l’inconnu.
Se levant enfin, il finit par ramasser ses vêtements et les attrape pour au moins enfiler son boxer et un t-shirt mais vu la façon dont il flotte dedans, ce n’est pas le sien. Tant pis, ça sent relativement bon. Les cheveux en pagaille, il navigue dans l’appartement un peu chic et observe les photos de famille. Une femme et deux gamins devant une belle maison de quartier. Un sourire amer se dessine alors sur les lèvres de Zion et il soupire un peu. Lui aussi, il semble être une substance qu’on utilise lorsqu’on veut oublier, et qu’on oublie tout aussi rapidement.
Son téléphone sonne et il l’attrape pour lire le sms venant d’arriver. Un message qui fait naître un sourire sincère sur sa face. *Je serai là dans une heure environ !* Il ne tarde alors pas trop à récupérer ses affaires et viens voir le jeune homme qui continue sa nuit sans être perturbé par son absence. Les gens ne se rendent pas compte, à quel point, il aimerait connaître quelqu’un qui se réveillerait automatiquement s’il quittait le lit. Quelqu’un qui serait là pour lui.
Pantalon, chaussettes, baskets et veste en cuir sur le dos, il finit par sortir en claquant bien fortement la porte, content de se dire qu’il a sans doute fait sursauter son coup d’un soir. Baillant aux corneilles, il s’arrête pour prendre un truc à manger avant de sauter dans le premier bus allant dans la bonne direction afin de rejoindre sa marraine. Il ne sait pas pourquoi c’est si facile avec Leaven. Comme une tante, quelqu’un de proche tout en étant une étrangère. Mais c’est facile et ça fait du bien. Lorsqu’il passe du temps avec elle, il n’a plu l’impression d’être un enfant perdu prêt à être trouvé. Il est trouvé.
Ses pas se font plus pressants lorsque la maison de son amie se dessine au coin de la rue et il finit par vite sonner à sa porte, mais n’attend pas vraiment qu’on lui dise de rentrer ou qu’on lui ouvre pour le faire de lui-même. Mauvaise habitude, il le sait bien, mais elle est dure à combattre. « Hey ! » Attrapant Liam au vol, il finit par écarquiller les yeux en voyant les chiots courir vers eux, ce qui le fait de plus en plus sourire. « Damn it ! Vous avez bien grandi depuis la dernière fois ! » Embrassant la joue du petit, il finit par le poser pour attraper deux chiots afin de les bisouter, puis encore un qu’il garde un peu plus dans les bras. Leav’ arrive et il lâche tout le monde, gentiment, afin de venir l’enlacer et déposer un baiser sur sa joue. « Comment va la plus belle ? » Un chiot lui gratte la jambe et il le reprend dans ses bras, se faisant laver le visage automatiquement. « Ils ont tellement grandi, c’est fou…. Mais oui t’es beau… Euh belle. Pardon. » Faisant un bisou sur la truffe de la peluche vivante, il finit par suivre la maîtresse de maison jusqu’au salon. « Ça fait du bien de venir un peu ici. »
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