YESTERDAY'S NEWS |48
- Murphy J. CavendishI'm a Mother Fucker
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Dollars : 2321
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Date d'inscription : 13/06/2018
Avatar : Natalia Dyer.
Crédits : eilyam (ava) | hedgekey (sign)
Âge du personnage : 23 ans (15 mai)
Nationalité(s) : Anglaise.
Signe astrologique : Taureau
Mon personnage, en 5 mots : geek ✽ impulsive ✽ bicurieuse ✽ parfois vulgaire ✽ grande enfant
Quartier de résidence : Eastside
Carrière, métier ou job : Serveuse au karaoké bar (Eastside)
Études (passées ou en cours) : A vaguement tenté des études de médecine... et a laissé tomber au bout de deux ans.
Hobby : Jeux vidéo
Orientation sexuelle : Bisexuel(le)
Situation sentimentale : Célibataire (par dépit)
working hard... or not
Chester & Murphy
« But tell me how you feel, for I am lonely too. Need you to know I'm just as cold and numb as you »
Murphy, elle n'a pas beaucoup voyagé. Ce n'est pas l'envie qui lui a manquée, ce sont seulement les occasions et les moyens. Sans parler de l'angoisse résiduelle de quitter son domicile, ainsi que sa soeur... Déjà, le dépaysement entre Londres et Los Angeles a été difficile à supporter les premiers temps. Les circonstances n'étaient pas les mêmes que pour un voyage, mais Murphy a été désolée de devoir abandonner ses habitudes pour aller en développer de nouvelles à l'autre bout du monde. Tout ça parce que sa famille avait éclaté à la mort de sa mère et qu'elle n'avait plus que sa soeur aînée. Une triste histoire. Heureusement, ce n'est pas ce qui définit Murphy dans son entièreté.
Quand Chester lui a proposé de l'emmener avec lui en France, elle a cru à une blague. Mais non, le photographe ne plaisantait pas le moins du monde. Pas seulement parce qu'elle avait une petite envie de visiter Paris, Murphy a réussi à prendre deux semaines de congés et a suivi son étrange ami jusqu'en France. Jaelyn a été mise au courant à la dernière minute pour qu'elle ne soit pas tentée de réprimander Murphy de prendre des vacances de façon aussi inconsidérée et irresponsable, suivant peut-être un psychopathe à l'autre bout du monde... Jaelyn ne connaissant pas Chester, Murphy ne l'aurait de toute façon pas écoutée. Elle est majeure maintenant, sa soeur ne régit plus la totalité de sa vie et n'a plus aucun avis à avoir sur ses relations, quelle que soit leur nature.
Dans le taxi en direction de l'hôtel, Murphy trépigne d'impatience. Tout a l'air si différent de ce qu'elle connaît... Et Chester a l'air si détendu. Ca la mettrait presque en rogne. Elle le côtoie depuis maintenant de nombreux mois, et sa nonchalance a toujours rendu Murphy jalouse. Pas seulement parce qu'il lui plaît plus que de raison, mais aussi parce qu'il représente tout ce qu'elle aimerait être dans la vie. Si on laisse de côté son caractère un peu difficile.
- Alors, cet hôtel, il ressemble à quoi ? demande Murphy de la voix la plus posée possible.
Son sac à main est coincé sur ses genoux, elle se frictionne les doigts entre eux pour tenter de se calmer. Elle se demande silencieusement si Chester a réservé deux chambres, ou bien une seule. Et ce qui pourrait se passer, s'ils étaient contraints de dormir dans le même lit, chose qu'ils n'ont encore jamais testée étant donné le flottement présent entre eux. Murphy a laissé à Chester le soin de tout réserver lui-même, étant donné que c'est son idée, ce voyage. Murphy a simplement proposé de lui donner un chèque lorsqu'ils reviendraient à Los Angeles, ou bien de travailler pour lui, selon ce dont il aurait envie.
Quand Chester lui a proposé de l'emmener avec lui en France, elle a cru à une blague. Mais non, le photographe ne plaisantait pas le moins du monde. Pas seulement parce qu'elle avait une petite envie de visiter Paris, Murphy a réussi à prendre deux semaines de congés et a suivi son étrange ami jusqu'en France. Jaelyn a été mise au courant à la dernière minute pour qu'elle ne soit pas tentée de réprimander Murphy de prendre des vacances de façon aussi inconsidérée et irresponsable, suivant peut-être un psychopathe à l'autre bout du monde... Jaelyn ne connaissant pas Chester, Murphy ne l'aurait de toute façon pas écoutée. Elle est majeure maintenant, sa soeur ne régit plus la totalité de sa vie et n'a plus aucun avis à avoir sur ses relations, quelle que soit leur nature.
Dans le taxi en direction de l'hôtel, Murphy trépigne d'impatience. Tout a l'air si différent de ce qu'elle connaît... Et Chester a l'air si détendu. Ca la mettrait presque en rogne. Elle le côtoie depuis maintenant de nombreux mois, et sa nonchalance a toujours rendu Murphy jalouse. Pas seulement parce qu'il lui plaît plus que de raison, mais aussi parce qu'il représente tout ce qu'elle aimerait être dans la vie. Si on laisse de côté son caractère un peu difficile.
- Alors, cet hôtel, il ressemble à quoi ? demande Murphy de la voix la plus posée possible.
Son sac à main est coincé sur ses genoux, elle se frictionne les doigts entre eux pour tenter de se calmer. Elle se demande silencieusement si Chester a réservé deux chambres, ou bien une seule. Et ce qui pourrait se passer, s'ils étaient contraints de dormir dans le même lit, chose qu'ils n'ont encore jamais testée étant donné le flottement présent entre eux. Murphy a laissé à Chester le soin de tout réserver lui-même, étant donné que c'est son idée, ce voyage. Murphy a simplement proposé de lui donner un chèque lorsqu'ils reviendraient à Los Angeles, ou bien de travailler pour lui, selon ce dont il aurait envie.
(c) DΛNDELION
- Chester OnfroyIt's All My Fault
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Autres comptes : none yet.
Âge du personnage : 25 y.o.
Nationalité(s) : Américaines
Signe astrologique : Vierge
Mon personnage, en 5 mots : riche - prétentieux - téméraire - charmant - blagueur
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : photographe renommé
Études (passées ou en cours) : Diplômé d'une licence en Art à UCLA
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : C'est ... compliqué
Ce n'était pas la première fois que tu posais les pieds dans l'Hexagone, Chester. Maintes fois, tu avais été invité à exposer tes créations, signer des autographes ou même donner des cours. À ton âge. D'habitude, ces voyages tu les faisais seul. Tu ne voyais pas qui pourrait t'accompagner, t'épauler et ne pas t'agacer. T'es quelqu'un de plutôt difficile à vivre, Chester, même si tu ne veux pas te l'avouer. Mais s'il y a bien quelqu'un qui depuis le début ne t'as pas lâché et n'est pas prêt de le faire de sitôt, c'est Murphy. C'est le premier nom qui te vint en tête quand tu pensas à qui tu pourrais inviter pour ton prochain périple. Elle est du moins...spéciale, mais vraie. Tu savais que tu pouvais lui faire confiance, qu'elle serait tout de suite partante. Qu'elle ne te mènerait pas la vie dure. Pas comme ton ex-petite-amie. Celle là, elle t'avait épuisé mentalement, physiquement et financièrement. Tu te demandais si un jour tu aurais droit à un amour véritable. Et non pas à une énième manipulation. Peu importe, ce n'était pas le temps d'y penser. Vous alliez bientôt arriver à l'hôtel. Le plus grand et le plus cher que tu aies pu trouvé. Fallait toujours que tu sois dans l'excès, hein, Chester ?
À rien de ce que t'as déjà pu voir auparavant, répondis-tu de façon détendue (peut-être même trop) à Murphy. Tu voulais lui en mettre plein les yeux, l'éblouir. Le taxi se stationna finalement à l'entrée de l'hôtel. Au moment où le chauffeur, tu vis une foule s'approcher. Des admirateurs, des paparazzis. Ils n'étaient pas beaucoup, ils devaient être une dizaine. Pourtant, ils bloquaient le chemin. Tes deux gardes du corps s'occupèrent de les disperser et de prendre vos bagages pour les emmener à la réception. Avant d'entrer, tu levas la tête pour observer un peu plus l'extérieur. Nom de Dieu, cet hôtel est vraiment immense. Tu observais Murphy avec un grand sourire. Tu demandais si elle appréciait tout ça, jusqu'à présent. Si non, ce serait une grosse déception. Oui, bonsoir, il y a bien une chambre réservé au nom de Chester Onfroy ? Malin comme tu étais, tu ne pris pas la peine de réserver deux chambres, mais bien une seule. Et ce n'est clairement pas par manque d'argent que tu décidas de prendre cette décision. Clé en main, toi et Murphy prîtes l'ascenseur qui vous mena droit dans votre chambre. Chambre qui avait plus l'allure d'une suite. Table de billard, mini-réfrigérateur et bien sûr un lit king-size. Un petit paradis sur terre. T'es déjà venue en France ? Ou c'est ta première fois ? , demandes-tu à ton accompagnatrice, alors que tu en profitas pour te changer, ce qui te laissa à moitié torse nu pendant un moment
À rien de ce que t'as déjà pu voir auparavant, répondis-tu de façon détendue (peut-être même trop) à Murphy. Tu voulais lui en mettre plein les yeux, l'éblouir. Le taxi se stationna finalement à l'entrée de l'hôtel. Au moment où le chauffeur, tu vis une foule s'approcher. Des admirateurs, des paparazzis. Ils n'étaient pas beaucoup, ils devaient être une dizaine. Pourtant, ils bloquaient le chemin. Tes deux gardes du corps s'occupèrent de les disperser et de prendre vos bagages pour les emmener à la réception. Avant d'entrer, tu levas la tête pour observer un peu plus l'extérieur. Nom de Dieu, cet hôtel est vraiment immense. Tu observais Murphy avec un grand sourire. Tu demandais si elle appréciait tout ça, jusqu'à présent. Si non, ce serait une grosse déception. Oui, bonsoir, il y a bien une chambre réservé au nom de Chester Onfroy ? Malin comme tu étais, tu ne pris pas la peine de réserver deux chambres, mais bien une seule. Et ce n'est clairement pas par manque d'argent que tu décidas de prendre cette décision. Clé en main, toi et Murphy prîtes l'ascenseur qui vous mena droit dans votre chambre. Chambre qui avait plus l'allure d'une suite. Table de billard, mini-réfrigérateur et bien sûr un lit king-size. Un petit paradis sur terre. T'es déjà venue en France ? Ou c'est ta première fois ? , demandes-tu à ton accompagnatrice, alors que tu en profitas pour te changer, ce qui te laissa à moitié torse nu pendant un moment
- Murphy J. CavendishI'm a Mother Fucker
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Âge du personnage : 23 ans (15 mai)
Nationalité(s) : Anglaise.
Signe astrologique : Taureau
Mon personnage, en 5 mots : geek ✽ impulsive ✽ bicurieuse ✽ parfois vulgaire ✽ grande enfant
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Carrière, métier ou job : Serveuse au karaoké bar (Eastside)
Études (passées ou en cours) : A vaguement tenté des études de médecine... et a laissé tomber au bout de deux ans.
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Situation sentimentale : Célibataire (par dépit)
working hard... or not
Chester & Murphy
« But tell me how you feel, for I am lonely too. Need you to know I'm just as cold and numb as you »
Murphy se tait, elle laisse simplement un sourire timide naître sur ses lèvres, le regard tourné vers la fenêtre du taxi. Elle a hâte de découvrir dans quel endroit Chester a décidé de les faire héberger. Peut-être a-t-il opté pour une simple auberge de jeunesse, ou pour un hôtel à peine étoilé. Murphy n'en sait rien, c'est la première fois qu'elle voyage aussi loin en sa compagnie. Elle s'attend à tout, sauf au spectacle auquel elle finit par assister lorsque le taxi se gare en double file devant un somptueux bâtiment. Une petite horde de gens se pressent devant la voiture, pensant certainement qu'il s'agit d'une star -et pourtant le taxi n'en indique rien-, mais Murphy comprend qu'ils sont là pour le photographe lorsque deux gorilles surgissent de nulle part pour ouvrir la porte devant elle en repoussant les curieux, afin qu'elle puisse sortir. Leurs bagages récupérés, Murphy suit Chester qui s'arrête nonchalamment juste avant l'entrée de l'hôtel pour lui glisser un regard taquin. Il a l'air fier de son coup.
Murphy a le souffle coupé lorsqu'ils pénètrent dans le grand hall. Aucun mot ne lui vient, parce qu'elle n'est absolument pas habituée à tant de luxe. Pour elle, un sandwich au beurre de cacahuètes et à la confiture de fraises c'est déjà du grand standing, alors de faire face à un tel endroit... Elle laisse Chester passer devant elle, il se dirige manifestement vers la réception. Dehors, les gorilles qui les ont aidés à sortir du taxi gardent les portes. Murphy les regarde un instant, sa valise à la main, et décide enfin d'emboîter le pas de Chester qu'elle a remarqué se diriger vers deux ascenseurs. Ils s'engouffrent dans l'un d'eux, et lorsque les portes se referment, Murphy laisse enfin éclater sa surprise.
- Bon sang mais c'est quoi cet hôtel merveilleux ? Et ces gens dehors, c'était pour toi qu'ils étaient là ? Je te savais connu mais là... s'exclame-t-elle, avant de se rappeler qui se trouve en face d'elle. "Enfin... Je veux dire... Mouais. Jaelyn m'a déjà montré bien mieux. Tu sais, les Cavendish ne sont pas en reste..." laisse planer Murphy avant de rire doucement.
Même elle ne croirait pas à ses dernières paroles. L'ascenseur ne met que quelques secondes à parvenir à l'étage indiqué par le bouton que Chester a pressé. Murphy est la première à sortir de l'ascenseur mais elle laisse son acolyte passer devant elle car elle ne connaît pas le numéro de sa chambre. Il a dû récupérer les deux clefs. Il ouvre une première porte, et Murphy se retient une nouvelle fois de laisser échapper son émerveillement. Il s'est carrément réservé une suite ! L'anglaise n'y croit pas. Sans lâcher sa valise -alors que Chester a déjà lancé la sienne près du coin salon en retirant son tee-shirt pour se changer- elle fait un petit tour sans rien dire, puis demande timidement :
- C'est la première fois... Je peux avoir la clef de ma chambre, du coup ? T'as oublié de me la donner...
Murphy a le souffle coupé lorsqu'ils pénètrent dans le grand hall. Aucun mot ne lui vient, parce qu'elle n'est absolument pas habituée à tant de luxe. Pour elle, un sandwich au beurre de cacahuètes et à la confiture de fraises c'est déjà du grand standing, alors de faire face à un tel endroit... Elle laisse Chester passer devant elle, il se dirige manifestement vers la réception. Dehors, les gorilles qui les ont aidés à sortir du taxi gardent les portes. Murphy les regarde un instant, sa valise à la main, et décide enfin d'emboîter le pas de Chester qu'elle a remarqué se diriger vers deux ascenseurs. Ils s'engouffrent dans l'un d'eux, et lorsque les portes se referment, Murphy laisse enfin éclater sa surprise.
- Bon sang mais c'est quoi cet hôtel merveilleux ? Et ces gens dehors, c'était pour toi qu'ils étaient là ? Je te savais connu mais là... s'exclame-t-elle, avant de se rappeler qui se trouve en face d'elle. "Enfin... Je veux dire... Mouais. Jaelyn m'a déjà montré bien mieux. Tu sais, les Cavendish ne sont pas en reste..." laisse planer Murphy avant de rire doucement.
Même elle ne croirait pas à ses dernières paroles. L'ascenseur ne met que quelques secondes à parvenir à l'étage indiqué par le bouton que Chester a pressé. Murphy est la première à sortir de l'ascenseur mais elle laisse son acolyte passer devant elle car elle ne connaît pas le numéro de sa chambre. Il a dû récupérer les deux clefs. Il ouvre une première porte, et Murphy se retient une nouvelle fois de laisser échapper son émerveillement. Il s'est carrément réservé une suite ! L'anglaise n'y croit pas. Sans lâcher sa valise -alors que Chester a déjà lancé la sienne près du coin salon en retirant son tee-shirt pour se changer- elle fait un petit tour sans rien dire, puis demande timidement :
- C'est la première fois... Je peux avoir la clef de ma chambre, du coup ? T'as oublié de me la donner...
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- Chester OnfroyIt's All My Fault
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Quartier de résidence : Westside
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Situation sentimentale : C'est ... compliqué
Murphy était déjà éblouie par l'hôtel que tu avais choisi, avec en réalité peu de minutie. Tout ce que t'avais fait, en fin de compte, c'était de chercher sur Trivago l'hôtel en France le plus cher. T'adorais cette vie où tu pouvais te permettre tous les excès imaginables. Grâce à ça, t'arrivais à briller sans problème, même briller par-dessus les autres. Tu demandes la permission avant de rentrer chez les autres toi, non, tu rentres sans prévenir, sans invitation. Plus le temps passe, plus tu t'accordes une certaine liberté. On dirait bien que ta célébrité te monte vite à la tête. Heureusement que Murphy est là pour ramener tes deux pieds sur terre. Qu'est-ce que tu ferais sans elle ?
Tu ne pus laisser échapper un petit rire moqueur quand elle te disait qu'elle avait déjà vu bien meilleur que ce que tu lui présentais. Tu savais qu'elle te faisait marcher, mais tu rentras dans son jeu. Ah bon ?? Alors t'oublieras pas de dire à Jaelyn que je veux voir ce que vous avez à me montrer ! Murphy t'avait souvent parlé de sa soeur, mais tu la connaissais pas tant que ça, elle restait une inconnue à tes yeux. En même temps, toi non plus tu n'avais pas vraiment fait un effort particulier pour apprendre à la connaître. Alors que vous étiez enfin rentré dans la chambre que t'avais loué, votre chambre, t'en profitas pour te changer dans un coin. Tu vis l'Anglaise faire le tour du propriétaire et venir te demander: Je peux avoir la clef de ma chambre, du coup ? T'as oublié de me la donner... Sur le coup, tu fronças les sourcils, pensif et lâcha un: Quel clef ? C'est après coup que tu réalisas ton erreur. Tu ne lui avais jamais dis que tu ne réservais qu'une seule chambre. Tu plaças ta main devant ta bouche et lâcha un: Oh... Je n'ai réservé que cette suite, je me suis dit que ce serait assez grand pour nous deux, j'... j'espère que ça te déranges pas? Qu'est-ce qui t'arrives, Chester ? Tu bégayes, tu parles de plus en plus en vite, tu perds le contrôle, ça ne te ressemble pas. Du tout. Au départ, tu n'avais pas pensé au fait que vous alliez devoir être côte à côte, dormir dans le même lit... Enfin ça ne te dérangeais pas tant que ça. Mais pour Murphy, t'en n'était pas si sûr.
Tu ne pus laisser échapper un petit rire moqueur quand elle te disait qu'elle avait déjà vu bien meilleur que ce que tu lui présentais. Tu savais qu'elle te faisait marcher, mais tu rentras dans son jeu. Ah bon ?? Alors t'oublieras pas de dire à Jaelyn que je veux voir ce que vous avez à me montrer ! Murphy t'avait souvent parlé de sa soeur, mais tu la connaissais pas tant que ça, elle restait une inconnue à tes yeux. En même temps, toi non plus tu n'avais pas vraiment fait un effort particulier pour apprendre à la connaître. Alors que vous étiez enfin rentré dans la chambre que t'avais loué, votre chambre, t'en profitas pour te changer dans un coin. Tu vis l'Anglaise faire le tour du propriétaire et venir te demander: Je peux avoir la clef de ma chambre, du coup ? T'as oublié de me la donner... Sur le coup, tu fronças les sourcils, pensif et lâcha un: Quel clef ? C'est après coup que tu réalisas ton erreur. Tu ne lui avais jamais dis que tu ne réservais qu'une seule chambre. Tu plaças ta main devant ta bouche et lâcha un: Oh... Je n'ai réservé que cette suite, je me suis dit que ce serait assez grand pour nous deux, j'... j'espère que ça te déranges pas? Qu'est-ce qui t'arrives, Chester ? Tu bégayes, tu parles de plus en plus en vite, tu perds le contrôle, ça ne te ressemble pas. Du tout. Au départ, tu n'avais pas pensé au fait que vous alliez devoir être côte à côte, dormir dans le même lit... Enfin ça ne te dérangeais pas tant que ça. Mais pour Murphy, t'en n'était pas si sûr.
- Murphy J. CavendishI'm a Mother Fucker
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Âge du personnage : 23 ans (15 mai)
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Signe astrologique : Taureau
Mon personnage, en 5 mots : geek ✽ impulsive ✽ bicurieuse ✽ parfois vulgaire ✽ grande enfant
Quartier de résidence : Eastside
Carrière, métier ou job : Serveuse au karaoké bar (Eastside)
Études (passées ou en cours) : A vaguement tenté des études de médecine... et a laissé tomber au bout de deux ans.
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Situation sentimentale : Célibataire (par dépit)
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Chester & Murphy
« But tell me how you feel, for I am lonely too. Need you to know I'm just as cold and numb as you »
La réponse de Chester fait froncer un sourcil à Murphy. Elle s'imagine que c'est une blague, comme il a l'habitude d'en faire. Se moquer de quelqu'un de moins expérimenté semble bien plus marrant que de se moquer de ses pairs, d'après ce qu'en a conclu Murphy...
- "Bah... Ma clef," répond-elle machinalement quand Chester fait l'ahuri.
Là, Murphy comprend qu'il ne s'est pas cassé la tête et qu'il n'a réservé que cette suite, pour les deux. Sûrement qu'il y a deux chambres, il n'aurait pas poussé la blague à ce point... Si ? Ses sourcils reprennent leur place initiale et c'est un sourire qui habille désormais le visage de la brunette.
- Bon, je vais découvrir ma partie de la suite alors ! lance-t-elle joyeusement en contournant Chester pour se diriger vers une porte au hasard.
Après tout, elle n'a fait que le tour du grand salon. Elle ne sait pas à quoi mènent les quelques portes éparses, ça et là dans le salon. La première mène à des toilettes. La seconde à un placard. La troisième à une chambre, qui contient également une salle de bains -Murphy note d'ailleurs la présence du jacuzzi et se félicite d'avoir pris un maillot de bain-. Et... c'était la dernière porte. Il ne reste que celle du balcon, sur le toit.
- Donc... Il y a un seul lit ? fait-elle, en revenant vers Chester. "Je te préviens, j'ai les pieds gelés, la nuit !" lance Murphy pour se donner une contenance.
Elle fait mine d'en rire, mais au fond elle ressent une ambivalence absolument étouffante. D'un côté, elle jubile de devoir dormir aux côtés de Chester, et d'un autre, elle est mortifiée de devoir passer à cette étape alors qu'il ne sait même pas ce qu'elle a commencé à développer à son égard.
- Par quoi on commence, cet après-midi, alors ? envoie-t-elle depuis le dressing, dans lequel elle a décidé de déposer sa valise pour en vider le contenu dans les armoires aux senteurs de bois neuf et moderne.
- "Bah... Ma clef," répond-elle machinalement quand Chester fait l'ahuri.
Là, Murphy comprend qu'il ne s'est pas cassé la tête et qu'il n'a réservé que cette suite, pour les deux. Sûrement qu'il y a deux chambres, il n'aurait pas poussé la blague à ce point... Si ? Ses sourcils reprennent leur place initiale et c'est un sourire qui habille désormais le visage de la brunette.
- Bon, je vais découvrir ma partie de la suite alors ! lance-t-elle joyeusement en contournant Chester pour se diriger vers une porte au hasard.
Après tout, elle n'a fait que le tour du grand salon. Elle ne sait pas à quoi mènent les quelques portes éparses, ça et là dans le salon. La première mène à des toilettes. La seconde à un placard. La troisième à une chambre, qui contient également une salle de bains -Murphy note d'ailleurs la présence du jacuzzi et se félicite d'avoir pris un maillot de bain-. Et... c'était la dernière porte. Il ne reste que celle du balcon, sur le toit.
- Donc... Il y a un seul lit ? fait-elle, en revenant vers Chester. "Je te préviens, j'ai les pieds gelés, la nuit !" lance Murphy pour se donner une contenance.
Elle fait mine d'en rire, mais au fond elle ressent une ambivalence absolument étouffante. D'un côté, elle jubile de devoir dormir aux côtés de Chester, et d'un autre, elle est mortifiée de devoir passer à cette étape alors qu'il ne sait même pas ce qu'elle a commencé à développer à son égard.
- Par quoi on commence, cet après-midi, alors ? envoie-t-elle depuis le dressing, dans lequel elle a décidé de déposer sa valise pour en vider le contenu dans les armoires aux senteurs de bois neuf et moderne.
(c) DΛNDELION
- HJ:
- J'espère que ça a été tes exams
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Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : C'est ... compliqué
À son tour, tu vois Murphy froncer les sourcils. Elle se dit surement que tu blagues. T'es connu pour être un grand farceur, mais là ça ne se voyais pas que tu étais sérieux ? Enfin, il était assez ardu pour la plupart de tes pairs quand il s'agissait de savoir si tu déconnais ou pas. Bref, quoi qu'il en soit, tu vis ton amie faire le tour de la suite. Tu l'observas d'un air intrigué. Elle comprit bien vite qu'il n'y avait qu'un grand lit dans cette suite, et non deux, ce qui, pour une chambre aussi luxueuse, t'étonna quand un peu. T'aurais quelques mots à dire à la réception.
C'est seulement de ça dont je me dois me méfier ? répondis-tu à voix basse à ton interlocutrice, tellement bas que tu n'étais même pas sûr si elle avait pu t'entendre. En vérité, t'espérais pas vraiment qu'elle t'entende. Tu savais très bien qu'un certain malaise allait s'installer entre vous, lorsque vous seriez côte à côte, collés dans ce grand lit douillet. Mais tu savais aussi que peu importe ce qui passera, t'assumeras ton choix. T'allais pas commencer à éprouver des regrets maintenant. Ce n'était pas ton genre.
Enfin changé, tu te retournas, face au miroir, pour voir à quoi tu ressemblais. Pas mal. Tu te trouvais même assez élégant. À la galerie d'art, il n'y aurait sans doute pas une horde de fans enragés qui t'attendront de pied ferme mais surement que quelques admirateurs de tes chef-d’œuvres sur Internet seront présents, fidèle au poste. Tu voulais paraître le plus présentable, pour cela tu avais bien fait attention de te mettre sur ton trente-et-un. Tu voulais briller. Que dis-tu de commencer en grand ? On va aller visiter une galerie d'art contemporaine où certaines de mes œuvres ont été exposées. Je pense que j'aurai quelques autographes à signer. Tu arboras un sourire de fierté, qui voulait un peu signifier: Je suis trop fort. Après, si tu veux, on pourra aller faire quelques photoshoots dans Paris, par la même occasion je pourrais quelques trucs. Enfin, si ça te dis ? T'avais toujours cette peur qui t'habitais. Cette peur qu'en fin de compte, tu ennuies Murphy. Ou qu'elle acquiesce tout ce que tu disais juste pour te faire plaisir. Si ça se révélais être le cas, t'en serais très attristé. Et déçu. T'en a marre des faux semblants
C'est seulement de ça dont je me dois me méfier ? répondis-tu à voix basse à ton interlocutrice, tellement bas que tu n'étais même pas sûr si elle avait pu t'entendre. En vérité, t'espérais pas vraiment qu'elle t'entende. Tu savais très bien qu'un certain malaise allait s'installer entre vous, lorsque vous seriez côte à côte, collés dans ce grand lit douillet. Mais tu savais aussi que peu importe ce qui passera, t'assumeras ton choix. T'allais pas commencer à éprouver des regrets maintenant. Ce n'était pas ton genre.
Enfin changé, tu te retournas, face au miroir, pour voir à quoi tu ressemblais. Pas mal. Tu te trouvais même assez élégant. À la galerie d'art, il n'y aurait sans doute pas une horde de fans enragés qui t'attendront de pied ferme mais surement que quelques admirateurs de tes chef-d’œuvres sur Internet seront présents, fidèle au poste. Tu voulais paraître le plus présentable, pour cela tu avais bien fait attention de te mettre sur ton trente-et-un. Tu voulais briller. Que dis-tu de commencer en grand ? On va aller visiter une galerie d'art contemporaine où certaines de mes œuvres ont été exposées. Je pense que j'aurai quelques autographes à signer. Tu arboras un sourire de fierté, qui voulait un peu signifier: Je suis trop fort. Après, si tu veux, on pourra aller faire quelques photoshoots dans Paris, par la même occasion je pourrais quelques trucs. Enfin, si ça te dis ? T'avais toujours cette peur qui t'habitais. Cette peur qu'en fin de compte, tu ennuies Murphy. Ou qu'elle acquiesce tout ce que tu disais juste pour te faire plaisir. Si ça se révélais être le cas, t'en serais très attristé. Et déçu. T'en a marre des faux semblants
- HRP:
- Ouais merci tout s'est passé à merveille
- Murphy J. CavendishI'm a Mother Fucker
-
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Hobby : Jeux vidéo
Orientation sexuelle : Bisexuel(le)
Situation sentimentale : Célibataire (par dépit)
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Chester & Murphy
« But tell me how you feel, for I am lonely too. Need you to know I'm just as cold and numb as you »
Alors qu'elle est en train de vider sa valise dans le dressing, Murphy écoute la réponse de Chester concernant leurs activités de l'après-midi. Aller tout de suite dans une galerie ? Murphy comprend qu'elle doit faire un effort de présentation. Elle a beau adorer la simplicité et en préférer la rapidité à celle de la coquetterie, elle met quand même de côté une jolie robe ainsi que sa trousse à maquillage histoire de se préparer en vitesse dès qu'elle aura terminé de vider sa petite valise.
- La célébrité n'attend pas ! commente-t-elle depuis le dressing, dont la porte à moitié coulissée doit certainement moins laisser passer le son jusque dans la chambre. "Et ok pour aller se balader, j'ai hâte de voir Paris ! En plus il fait un temps parfait pour la photo," fait Murphy.
En réalité, même si elle est heureuse des activités qui l'attendent, la jeune femme aurait bien aimé passer le reste de la journée à se reposer. Le décalage horaire est absolument infâme et son corps le lui fait sentir en ralentissant tous les mouvements qu'elle peut faire. Murphy termine par son matériel photo, qu'elle sort de son grand sac à main. Elle le met dans le sac dédié qu'elle avait laissé, vide, dans sa valise afin que les employés des aéroports ne l'abîment pas en maltraitant les bagages, et dépose le tout dans le salon où elle y voit Chester, en train de s'admirer dans un grand miroir.
- T'es vraiment élégant, commente-t-elle avant de rougir légèrement et donc de vite se détourner pour se rendre dans la salle de bains. "Je vais me préparer !" lance-t-elle avant de s'enfermer avec sa robe et sa trousse à maquillage dans la salle d'eau.
Dès que la porte est fermée, Murphy peut souffler. Elle regarde quelques instants son visage dans le miroir éclairé, et se confirme qu'elle a réellement rougi. La honte. Ni une ni deux et pour se calmer, Murphy commence à se maquiller. En une dizaine de minutes c'est terminé. Elle enfile rapidement sa robe et peut sortir de la salle de bains pour aller récupérer des chaussures à talons ainsi qu'une brosse pour arranger ses cheveux. Cela fait, elle file dans le salon où elle retrouve Chester, la mousseline du bas de sa robe menthe asymétrique foulant presque la moquette de la suite.
- On y va en métro ? demande innocemment Murphy, sur le ton de la blague, piétinant presque sur place pour montrer qu'elle a enfilé des talons.
- La célébrité n'attend pas ! commente-t-elle depuis le dressing, dont la porte à moitié coulissée doit certainement moins laisser passer le son jusque dans la chambre. "Et ok pour aller se balader, j'ai hâte de voir Paris ! En plus il fait un temps parfait pour la photo," fait Murphy.
En réalité, même si elle est heureuse des activités qui l'attendent, la jeune femme aurait bien aimé passer le reste de la journée à se reposer. Le décalage horaire est absolument infâme et son corps le lui fait sentir en ralentissant tous les mouvements qu'elle peut faire. Murphy termine par son matériel photo, qu'elle sort de son grand sac à main. Elle le met dans le sac dédié qu'elle avait laissé, vide, dans sa valise afin que les employés des aéroports ne l'abîment pas en maltraitant les bagages, et dépose le tout dans le salon où elle y voit Chester, en train de s'admirer dans un grand miroir.
- T'es vraiment élégant, commente-t-elle avant de rougir légèrement et donc de vite se détourner pour se rendre dans la salle de bains. "Je vais me préparer !" lance-t-elle avant de s'enfermer avec sa robe et sa trousse à maquillage dans la salle d'eau.
Dès que la porte est fermée, Murphy peut souffler. Elle regarde quelques instants son visage dans le miroir éclairé, et se confirme qu'elle a réellement rougi. La honte. Ni une ni deux et pour se calmer, Murphy commence à se maquiller. En une dizaine de minutes c'est terminé. Elle enfile rapidement sa robe et peut sortir de la salle de bains pour aller récupérer des chaussures à talons ainsi qu'une brosse pour arranger ses cheveux. Cela fait, elle file dans le salon où elle retrouve Chester, la mousseline du bas de sa robe menthe asymétrique foulant presque la moquette de la suite.
- On y va en métro ? demande innocemment Murphy, sur le ton de la blague, piétinant presque sur place pour montrer qu'elle a enfilé des talons.
(c) DΛNDELION
- Chester OnfroyIt's All My Fault
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Date d'inscription : 07/08/2018
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Crédits : Perlman
Autres comptes : none yet.
Âge du personnage : 25 y.o.
Nationalité(s) : Américaines
Signe astrologique : Vierge
Mon personnage, en 5 mots : riche - prétentieux - téméraire - charmant - blagueur
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : photographe renommé
Études (passées ou en cours) : Diplômé d'une licence en Art à UCLA
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : C'est ... compliqué
Déjà prêt à aller bien te pavaner dans cette galerie, il ne te restait plus qu'à attendre celle qui t'accompagnait, Murphy. Tu l'entendais à moitié te parler de l'autre de côté de la pièce. Et toi, tu faisais mine de sourire pour donner l'impression que tu écoutais. Ce n'était pourtant pas ta faute. T'essayais de rester concentré, sauf que, malgré toi, quelque chose te tourmentait, en dedans. Le stress ? Non. Impossible. Tu ne ressentais jamais de stress. T'étais toujours sûr de toi. Des fois même trop. C'est une des premières qualités qu'on pouvait remarquer chez toi. Était-ce possible que le roi des prétentieux puisse être troublé, comme tout le monde ? Comme le commun des mortels ?
T'es vraiment élégant, dit-elle, en te voyant. Tu vis même ses joues commencer à s'empourprer. Oh, elle n'aurait pas dû, car cela ne fit que gonfler ton ego, qui grossissait à vu d’œil. Je sais, répondis-tu, sans même dire merci. C'était tout dans ton attitude ça. Quelques minutes plus tard, elle rouvrit finalement la porte, fin prête. Et il fallait avouer que dans cette tenue, Murphy était éblouissante. En plus, elle avait mis des talons hauts. On aurait dit qu'elle avait voulu t'impressionner. Si c'était le cas, c'était bien joué. On y va en métro ?, t'interrogeas-t-elle. Tu laissais. S'il y avait bien un trait de caractère qu'on ne pouvait retirer à Murphy, c'est bien son humour. Au retour, si tu veux... On pourrait revenir en métro. Allez, la limousine nous attend dehors. Vous n'alliez sans doute revenir dans ce métro bondé, mais on sait jamais.
Toujours accompagné des mêmes bodyguards qui t'avaient aidé à sortir tes valises plutôt, vous sortiez du véhicule, arrivés à destination. Tu ne te déplaçais jamais sans eux. Au cas où un fanatique tenterait de s'en prendre à toi. Et puis tes parents te voulaient en sécurité, en tout temps. Après toi, dis-tu à Murphy, la laissant passer devant toi. Il y avait du monde, pour une galerie d'art. Plusieurs personnes se pressaient autour de tes œuvres, pour les admirer, les analyser. Ces œuvres, dont certaines pouvaient se retrouver sur ton compte Instagram, n'allaient pas tarder à être mises aux enchères. Alors que tu tournais vers Murphy pour savoir si ça lui plaisait bien, une huée de fans, de journalistes et d'admirateurs se dirigeaient vers toi. Oh-oh. Ils n'étaient pas si nombreux que ça, une vingtaine environ. Mais assez pour que tu te retrouves noyé dans cette horde. Ils avaient dû avoir vent de tes déplacements sur les réseaux sociaux. Tes gardes du corps essayèrent de les repousser, mais tu leur fis un signe de tête pour leur dire de laisser tomber, que tu allais t'en charger. Signer des autographes, répondre à des questions, c'était simple, non ? Alors que tu te retrouvas à prendre un selfie avec des admiratrices, assez jolies d'ailleurs, tu remarquas que Murphy n'était plus autour de toi. Oh non. T'essayas de sortir de là, mais ce n'était pas une tâche aisée avec tout ce monde autour de toi. MURPHY! Oh boy, une partie de plaisir s'annonçait...
T'es vraiment élégant, dit-elle, en te voyant. Tu vis même ses joues commencer à s'empourprer. Oh, elle n'aurait pas dû, car cela ne fit que gonfler ton ego, qui grossissait à vu d’œil. Je sais, répondis-tu, sans même dire merci. C'était tout dans ton attitude ça. Quelques minutes plus tard, elle rouvrit finalement la porte, fin prête. Et il fallait avouer que dans cette tenue, Murphy était éblouissante. En plus, elle avait mis des talons hauts. On aurait dit qu'elle avait voulu t'impressionner. Si c'était le cas, c'était bien joué. On y va en métro ?, t'interrogeas-t-elle. Tu laissais. S'il y avait bien un trait de caractère qu'on ne pouvait retirer à Murphy, c'est bien son humour. Au retour, si tu veux... On pourrait revenir en métro. Allez, la limousine nous attend dehors. Vous n'alliez sans doute revenir dans ce métro bondé, mais on sait jamais.
Toujours accompagné des mêmes bodyguards qui t'avaient aidé à sortir tes valises plutôt, vous sortiez du véhicule, arrivés à destination. Tu ne te déplaçais jamais sans eux. Au cas où un fanatique tenterait de s'en prendre à toi. Et puis tes parents te voulaient en sécurité, en tout temps. Après toi, dis-tu à Murphy, la laissant passer devant toi. Il y avait du monde, pour une galerie d'art. Plusieurs personnes se pressaient autour de tes œuvres, pour les admirer, les analyser. Ces œuvres, dont certaines pouvaient se retrouver sur ton compte Instagram, n'allaient pas tarder à être mises aux enchères. Alors que tu tournais vers Murphy pour savoir si ça lui plaisait bien, une huée de fans, de journalistes et d'admirateurs se dirigeaient vers toi. Oh-oh. Ils n'étaient pas si nombreux que ça, une vingtaine environ. Mais assez pour que tu te retrouves noyé dans cette horde. Ils avaient dû avoir vent de tes déplacements sur les réseaux sociaux. Tes gardes du corps essayèrent de les repousser, mais tu leur fis un signe de tête pour leur dire de laisser tomber, que tu allais t'en charger. Signer des autographes, répondre à des questions, c'était simple, non ? Alors que tu te retrouvas à prendre un selfie avec des admiratrices, assez jolies d'ailleurs, tu remarquas que Murphy n'était plus autour de toi. Oh non. T'essayas de sortir de là, mais ce n'était pas une tâche aisée avec tout ce monde autour de toi. MURPHY! Oh boy, une partie de plaisir s'annonçait...
- Murphy J. CavendishI'm a Mother Fucker
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Âge du personnage : 23 ans (15 mai)
Nationalité(s) : Anglaise.
Signe astrologique : Taureau
Mon personnage, en 5 mots : geek ✽ impulsive ✽ bicurieuse ✽ parfois vulgaire ✽ grande enfant
Quartier de résidence : Eastside
Carrière, métier ou job : Serveuse au karaoké bar (Eastside)
Études (passées ou en cours) : A vaguement tenté des études de médecine... et a laissé tomber au bout de deux ans.
Hobby : Jeux vidéo
Orientation sexuelle : Bisexuel(le)
Situation sentimentale : Célibataire (par dépit)
working hard... or not
Chester & Murphy
« But tell me how you feel, for I am lonely too. Need you to know I'm just as cold and numb as you »
Murphy n'est même pas étonnée d'entendre un "Je sais" on ne peut plus prétentieux lorsqu'elle complimente Chester sur sa tenue. Elle ne s'attendait de toute manière pas à un merci clair et franc, ce n'est pas dans les habitudes de son mentor. Une fois prête, elle retourne simplement dans le salon, attendant la suite des événements avec impatience. La blague du métro, ce n'est que pour faire comprendre à Chester qu'elle est prête à partir, sans avoir à le lui dire clairement. Il la prend au dépourvu en lui proposant de revenir par ce moyen de transport. Murphy réprime un sourire, et répond simplement :
- Je vais chercher mon sac.
Le trajet ne dure qu'une quinzaine de minutes. Murphy se dit que Chester a dû prévoir l'hôtel en fonction de la localisation de la galerie dans laquelle il est exposé. Elle regarde d'un oeil intéressé les gardes du corps, se demandant si c'est réellement justifié. Chester est-il si célèbre que cela ? D'autant plus qu'ils ne se trouvent même pas dans son pays natif... Murphy est tout à fait incapable de réaliser la chance qu'elle a de le côtoyer d'aussi près. Le photographe lui fait faire un tour du propriétaire, parlant rapidement de chacun de ses clichés, virevoltant entre les badauds avec leurs téléphones tendus pour immortaliser les tableaux à moindre coût. Personne ne peut les en empêcher, et de toute manière Chester peut leur faire des procès si on lui rapporte qu'un usurpateur tente de vendre des oeuvres qui ne lui appartiennent pas. Il a déjà expliqué cela à Murphy, lors d'une exposition à Los Angeles.
Leur conversation finit par être coupée par un attroupement que Murphy n'avait pas vu arriver, puisque dos à la porte. On la bouscule, elle manque de se tordre la cheville sur ses talons. Ce qui la fait considérablement reculer tout à coup, c'est qu'on vient de tirer sur la poignée de son sac photo, qu'elle tenait à la main pour ne pas froisser les bretelles en mousseline de sa robe.
- Hé ! s'exclame-t-elle en tirant en retour.
Il ne s'agissait heureusement que d'un journaliste qui avait voulu que les gens s'écartent. Murphy lève le nez, et remarque que Chester est bien décidé à répondre à toutes les attentes de l'attroupement. Elle hoche la tête d'un air résigné, et s'éloigne simplement pour ne pas le déranger. Elle se met à faire silencieusement le tour de la galerie. Triture l'une des mèches de cheveux qui vient la chatouiller sur son épaule. Tente de faire la conversation à une vieille dame qui ne comprend pas l'utilité de l'un des clichés. Elle laisse même un mot dans le livre d'or... De temps à autre, elle revient vers l'attroupement, histoire de voir si Chester en a terminé avec eux. Grande déception, à chaque fois.
Le manège dure une vingtaine de minutes, à la fin desquelles Murphy commence à soupirer. Elle n'a même pas le courage de braver la foule pour réussir à retrouver Chester. Elle se doute qu'il est au milieu, mais préfère sortir sous le soleil de la capitale. Le temps nuageux a laissé place à un ciel définitivement bleu. Il fait un peu plus frais qu'à Los Angeles, mais ce n'est pas désagréable. Le climat est différent, en France. Plus sobre, et déjà moins iodé parce que Paris n'est pas côtière.
Murphy finit par se saisit de son téléphone, dans son sac photo, pour envoyer un texto à Chester. Va-t-elle rester dans la rue, en attendant qu'il en ait terminé avec les journalistes ? Un coup d'oeil autour d'elle, et la jeune anglaise repère un café purement français à deux pas, sur le trottoir d'en face. Elle décide de traverser la route, et d'aller s'y installer histoire de prendre quelque chose. Il n'a pas vu de buffet, à la galerie... "Je suis au Petit Paris, en face. La table à côté de la fontaine." envoie-t-elle à Chester lorsqu'elle est installée sur la terrasse du café, ses lunettes de soleil sur le nez.
- Je vais chercher mon sac.
Le trajet ne dure qu'une quinzaine de minutes. Murphy se dit que Chester a dû prévoir l'hôtel en fonction de la localisation de la galerie dans laquelle il est exposé. Elle regarde d'un oeil intéressé les gardes du corps, se demandant si c'est réellement justifié. Chester est-il si célèbre que cela ? D'autant plus qu'ils ne se trouvent même pas dans son pays natif... Murphy est tout à fait incapable de réaliser la chance qu'elle a de le côtoyer d'aussi près. Le photographe lui fait faire un tour du propriétaire, parlant rapidement de chacun de ses clichés, virevoltant entre les badauds avec leurs téléphones tendus pour immortaliser les tableaux à moindre coût. Personne ne peut les en empêcher, et de toute manière Chester peut leur faire des procès si on lui rapporte qu'un usurpateur tente de vendre des oeuvres qui ne lui appartiennent pas. Il a déjà expliqué cela à Murphy, lors d'une exposition à Los Angeles.
Leur conversation finit par être coupée par un attroupement que Murphy n'avait pas vu arriver, puisque dos à la porte. On la bouscule, elle manque de se tordre la cheville sur ses talons. Ce qui la fait considérablement reculer tout à coup, c'est qu'on vient de tirer sur la poignée de son sac photo, qu'elle tenait à la main pour ne pas froisser les bretelles en mousseline de sa robe.
- Hé ! s'exclame-t-elle en tirant en retour.
Il ne s'agissait heureusement que d'un journaliste qui avait voulu que les gens s'écartent. Murphy lève le nez, et remarque que Chester est bien décidé à répondre à toutes les attentes de l'attroupement. Elle hoche la tête d'un air résigné, et s'éloigne simplement pour ne pas le déranger. Elle se met à faire silencieusement le tour de la galerie. Triture l'une des mèches de cheveux qui vient la chatouiller sur son épaule. Tente de faire la conversation à une vieille dame qui ne comprend pas l'utilité de l'un des clichés. Elle laisse même un mot dans le livre d'or... De temps à autre, elle revient vers l'attroupement, histoire de voir si Chester en a terminé avec eux. Grande déception, à chaque fois.
Le manège dure une vingtaine de minutes, à la fin desquelles Murphy commence à soupirer. Elle n'a même pas le courage de braver la foule pour réussir à retrouver Chester. Elle se doute qu'il est au milieu, mais préfère sortir sous le soleil de la capitale. Le temps nuageux a laissé place à un ciel définitivement bleu. Il fait un peu plus frais qu'à Los Angeles, mais ce n'est pas désagréable. Le climat est différent, en France. Plus sobre, et déjà moins iodé parce que Paris n'est pas côtière.
Murphy finit par se saisit de son téléphone, dans son sac photo, pour envoyer un texto à Chester. Va-t-elle rester dans la rue, en attendant qu'il en ait terminé avec les journalistes ? Un coup d'oeil autour d'elle, et la jeune anglaise repère un café purement français à deux pas, sur le trottoir d'en face. Elle décide de traverser la route, et d'aller s'y installer histoire de prendre quelque chose. Il n'a pas vu de buffet, à la galerie... "Je suis au Petit Paris, en face. La table à côté de la fontaine." envoie-t-elle à Chester lorsqu'elle est installée sur la terrasse du café, ses lunettes de soleil sur le nez.
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