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YESTERDAY'S NEWS |48
- InvitéInvité
Synchronisation parfaite, à peine a-t-elle prononcé la sentence que Cash a déjà réagi et ordonne à tout son petit monde d'accélérer l'allure. La brune monte à l'arrière et l'instant d'après, ils filent sur la route à toute bringue sous les coups de volants habiles de leur chauffeur. Un soupir de contentement s'échappe de ses lèvres dévoilées, faisant écho au cri victorieux de son partenaire auquel elle sourit sans aucune retenue. Pas plus qu'elle ne s'emprunte d'humilité pour lui répondre : « Je sais. » Maintenant qu'ils sont loin du tumulte de leur forfait, elle peut retirer totalement sa cagoule et constater à quel point leurs yeux brillent du même feu ardent. Ses doigts frôlent plus que nécessaire ceux de Cash alors qu'elle accepte la cigarette qu'il lui propose. Le barman n'est pas son premier partenaire, pourtant, en cet instant, il lui paraît le meilleur qu'elle eut pu espérer. Elle voudrait recommencer. Là, maintenant. Que ce flot d'adrénaline et les palpitations violentes de son cœur ne s'arrêtent jamais. Sa poitrine se soulève d'ailleurs avec précipitation, le braquage réussi n'étant pas la seule raison aux vagues d'excitation qui déferlent dans ses veines - et pas que. Cash partage-t-il son envie subite ? Une petite voix familière lui murmure qu'il en faudrait peu pour qu'il cède à l'appel de son sourire sauvage, qu'il se rende à la faiblesse de leur duo éphémère. Au lieu de ça, elle se défait du haut de sa combinaison et extirpe de sa poche le portable pré-payé et résolument intraçable qu'elle a gardé sur elle. « J'ai quelque chose pour toi. » L'appareil est fonctionnel à défaut d'être smart. Ses doigts appuient sur les touches jusqu'à ce qu'elle le lui tende. Une photo de l'otage nu, celui qui a eu le malheur de défier Cash et à qui elle l'a fait amèrement regretter, apparaît sur l'écran. La qualité est plutôt médiocre, toutefois, on reconnait parfaitement la mine furibonde du héros raté, humilié dans son plus simple appareil. « Je me suis doutée qu'il n'avait pas été très coopératif avec toi. Alors cadeau, trésor. » souffle-t-elle en même temps qu'un volute de fumée grisâtre. Si fière de son coup et d'avoir, elle espère, contenté encore davantage son binôme avec cette farce cruelle. Mais terriblement jouissive pour elle.
- Cash Eelis HayesI'm a Mother Fucker
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Dollars : 2691
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Date d'inscription : 08/04/2018
Avatar : Travis Fimmel
Crédits : shadows.
Autres comptes : nop
Âge du personnage : 32 ans
Nationalité(s) : Américaine - Finlandaise
Signe astrologique : Balance
Mon personnage, en 5 mots : voleur - manipulateur - calculateur - patient - sincère
Quartier de résidence : En dehors de Los Angeles
Carrière, métier ou job : braqueur / barman
Hobby : le jardinnage, la lecture, le VTT
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : Célibataire (par dépit)
Notre chauffeur nous mène à travers les rues avec aisance, je jette de temps en autre un coup d’œil d'arrière, histoire de s'assurer que personne ne nous suit, mais vu la rapidité et l'efficacité dont nous avons fait preuve j'en doute. Je sais sa réponse détachée m'arrache un éclat de rire. Ses doigts qui frôlent les miens laissent une sensation vibrante sur ma peau, je me retient de lui saisir la main, l'attirer à moi, dans cet instant d'euphorie, je ne sais pas ce que je serais capable de lui faire.
Quelque chose pour moi? Je fronce les sourcils, me demandant vraiment ce qu'avais pu trouvé Morena pour moi pendant ces trente dernières minutes. Elle sort un téléphone à usage unique, celui qu'on utilise dans ce genre de situation, et elle me montre une photo, elle m'explique, mais je comprend bien vite de quoi il s'agit. Je lui prend le portable des mains histoire de regarder l'image d'un peu plus près. Je reconnait très vite le type qui avait tenté de sauver sa vie, ou celles des autres peu-être... C'était pas faute de leur avoir prévenus qu'ils ne risquaient rien s'ils coopéraient. Le regard désolé qui se lit sur sa tête, vaut toutes les balles du monde. Je secoue la tête de gauche à droite comme pour désapprouver ce que je vois. Je lance à ma partenaire un regard faussement sévère, trahis par un sourire qui reste au coin de mes lèvres. - ça t'amuse d'humilier des gens comme ça? Je tire sur ma clope.
Cette petite attention ne me laissait pourtant pas insensible. C'était ce qui me plaisait chez elle, cette absence complète de compassion, cette assurance, je voyais en elle un peu de ce qui me manquait... - tu sais que si t'existais pas faudrait t'inventer... Je lui rend le téléphone, lui adresse un clin d'oeil - Bien joué partenaire! Alors que je reporte mon attention sur la route, on passe dans une ruelle et très rapidement nous nous trouvons derrière le bar familial. - Allez, rangeons tout ça vite fait bien fait, qu'on puisse célébrer comme il se doit! Je rêvais d'un bon whisky et d'un énorme joint. On récupère notre butin et les armes dans le coffre alors que notre chauffeur se charge d'aller détruire la voiture. Laisser le moins de preuve possible était la plus sage des décisions. Je pousse la porte de service et laisse Morena pénétré dans la pièce ou nous nous trouvions quelques instants plus tôt. Je laisse tomber les sacs par terre et soupire. Enfin en sécurité. - Y'a un coffre sécurisé là derrière, je pousse une vieille armoire qui révèle la planque. - On va laisser l'argent là moment, le temps que les choses se tasse.
- InvitéInvité
« Parce qu'il existe d'autres façons de s'amuser ? » interroge-t-elle Cash de ce ton pernicieux, où ceux qui ne la connaissent pas pourrait croire qu'elle plaisante, alors que ce n'est pas tout à fait le cas. Elle a pris du plaisir à humilier cet homme ordinaire, sans histoires, avec probablement une famille et une bravoure qu'elle ne possèdera jamais. Elle ne s'en cache pas. Là est bien le problème de Morena : son sadisme n'a pas le bon goût de lui faire honte. Après tout, il est son gagne-pain. Les deux même, en réalité.
Pourtant, son compagnon ne s'en offusque pas. Pire, il paraît s'en amuser. Elle n'en attend pas moins de sa part. Il sait qui elle est et étrangement, semble l'apprécier malgré - ou grâce ? - à cette personnalité décalée, quasi inhumaine. Probablement parce que derrière ses airs impassibles, il lui ressemble un peu. Un sourire fier creuse les fossettes de l'hispanique alors que Cash la félicite encore une fois. Elle lui rend la pareille d'un regard qui en dit long. Certainement un peu trop. Toutes les intentions estampillées du vice dansent dans ses prunelles noires. L'adrénaline, mais pas que.
Parvenus derrière le bar sans encombres, la Zamora descend de la voiture et s'empresse de récupérer les affaires avant que leur complice ne file avec le véhicule du crime. Les manches de sa combinaison tressautent autour de sa taille nue tandis qu'elle marche, pénétrant rapidement dans la pièce qu'ils ont quitté un peu plus tôt. Elle rend à Cash le sac d'armes, presque à contre-coeur. Elle aimerait en posséder une mais avec Elena, ce serait trop dangereux. Non pas que sa sœur serait capable de s'éclater la cervelle avec, seulement, cette imbécile inadaptée ne pourrait s'empêcher, si elle tombait dessus, de l'emporter avec elle pour commettre ses délits. De fait, on pourrait remonter jusqu'à son aînée et elle refuse de tomber à cause des conneries de sa cadette. On va laisser l'argent là moment, le temps que les choses se tasse. Alors qu'elle s'apprêtait à se changer, ses doigts se figent sur le tissu. Elle se tourne vers le blond. « Non. » En quelques enjambées gracieuses, elle franchit la distance qui les sépare et se plante devant lui, le coin de ses lèvres toujours ourlées d'un sourire. « La maison ne fait pas crédit. J'ai fait ma part, je repars avec mon argent. » exige-t-elle, impérieuse, bien qu'également ronronnante. Sa main vient caresser la barbe de son partenaire, son visage bien plus proche du sien que nécessaire. « Tu n'essaies pas de me doubler, n'est-ce pas ? Parce que j'ai très envie de fêter ça avec toi, moi aussi. Et ce genre de désaccord pourrait compromettre notre petite célébration ... » Peut-être pas courageuse, mais téméraire : sans aucun doute.
- Cash Eelis HayesI'm a Mother Fucker
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J'hausse un sourcil, pas totalement convaincu qu'elle se foutait de ma gueule - passe plus de temps avec moi, je t'en montrerais, des moyens de s'amuser. Je lui adresse un clin d’œil. Les sous-entendu bien lourds du genre, c'était pas mon truc, mais pour le coup elle m'avait tendu la perche et ce que je voyais luire dans son regard à l'instant rendait difficile de penser à autre chose et encore plus dur d'en détacher le mien. C'est un moustique qui me tira de ma contemplation en me piquant sur le bras, je l'écrasai d'un mouvement vif. -Enfoiré.
Au sujet de l'argent, Morena me renvoi un non catégorique. Mon regard, surpris ce pose sur elle. Je réfléchis un instant. - Très bien comme tu veux. Je pose un genou à terre et ouvre les deux sacs, parmi les liasses de billets, j'en sélectionne la moitié, choisissant des numéros de série qui ne se suivent pas, et je rempli un des sacs et le fait glisser jusqu'à ses pieds. - Si j'essayais de te rouler, je risque pas de te le dire. Un rictus se dessine sur mes lèvres. C'est vrai que j'avais l'habitude de fonctionner comme ça avec mes frères, mais c'était son argent après tout, elle pouvait bien en faire ce qu'elle voulait. - Pas besoin de te préciser de pas tout dépenser tout de suite et n'importe comment... C'était de l'argent sale, en faire n'importe quoi nous garantissait le risque de se faire attraper. Je faisais confiance à Morena qui avait suffisamment d'expérience et de tact pour faire disparaître cet argent discrètement.
Je referme le sac restant et range ma part dans le coffre avant de le refermer correctement. Puis j'en profite pour me débarrasser de mon sweater pour enfiler un t-shirt, un peu moins chaud. Mon rythme cardiaque avait retrouvé un rythme à peu près normal, l'adrénaline descendait peu à peu et j'étais pris d'une urgente envie de me détendre, j'avais besoin d'un petit quelque chose. Je me dirige vers un bureau au fond de la pièce dont j'ouvre un tiroir, ici se cache tout ce qu'il faut. Je sors un petit sachet de cannabis, j'en met un peu au creux de ma main, le réduit en miettes et vient le poser sur une petite feuille transparente, je roule le tout habillement et porte le joint à mes lèvres. Je l'allume et tire religieusement quelques bouffées dans le plus grand des silences. En bon toxicomane je pousse un - AAAHH! de soulagement et adresse un sourire radieux à mon amie. - Bon, on se boit un coup ici ou tu veux aller ailleurs? Il fallait bien trinquer. Nous étions dans un bar, l'alcool ne manquait pas, rester ici ne me posait pas problème, mais je voulais connaitre ses envies. J'aspire une nouvelle fois la fumée du spliff et le tend à la jeune femme.
- Spoiler:
- Le coup du moustique c'est juste un défi pour Koh Lanta hein
- InvitéInvité
Sans doute s'est-elle trompée sur ses intentions et au fond, elle l'espère. Parce que s'il existe des criminels honnêtes, il serait presque vital à ce monde étouffant dans ses propres déchats d'humanité que Cash en fasse partie. Alors, sans faillir ni faiblir, elle attend sa réaction, laquelle ne se fait pas attendre. Elle devine les signes de reddition chez son interlocuteur bien avant qu'il ne se penche afin de récupérer l'argent qui est dû à sa comparse. A sa boutade, elle répond par un sourire ravi, sa main de rapace s'emparant de son butin. « Effectivement, c'est inutile. » réplique-t-elle tandis qu'il s'essaie à un faux paternalisme presque adorable. Sans être une experte en matière de braquage, il n'en reste pas moins qu'elle sait comment blanchir cet argent sale. Et surtout, elle s'imagine déjà l'usage farfelu qu'elle en fera, inutile qu'il est à son train de vie de parvenue. Probablement de la monnaie pour sa sœur, pour qu'elle continue de lui laisser la paix en dépensant plus qu'elle ne devrait dans des substances auquel son corps ne devrait pas déjà être habitué. Pas si jeune. Tant pis pour elle. Ne comptons pas sur Morena pour la sauver, elle-même s'est damnée le jour où elle a rempli le flambeau destructeur de leur père.
Cash s'éloigne et elle en fait de même. Pendant qu'il roule son joint, elle range l'argent et entreprend de se débarrasser de sa combinaison, qu'elle fourre à son tour dans son sac de sports. Le soir-même, elle ira la faire brûler discrètement dans le four crématoire d'un vétérinaire qu'elle connait bien. La police n'aura pas fini de les chercher que toutes les preuves de leur crime auront déjà disparu. Rhabillée de sa tenue de ville, elle s'en retourne auprès du blond, dédaignant la cigarette qu'il lui tend d'un simple geste de la main. Elle ne touche pas à ces trucs-là. Elle n'a pas besoin de substituts pour se détendre. Ou alors, seulement de ceux qui se pratiquent dans l'intimité. Il est des moyens beaucoup plus agréables pour perdre la tête. « Pourquoi aller ailleurs alors que tu as tout ce qu'il faut dans la pièce d'à côté ? » Voire dans celle-ci, or, la jeune femme n'a aucune envie de rester planquée dans cette pièce quand tout un bar s'offre à elle. Sans attendre d'y être invitée, elle se dirige vers la porte séparant l'anti-chambre délictuelle de sa couverture officielle. Heureusement, elle ne pousse pas le vice jusqu'à passer derrière le comptoir, se contentant d'attendre, assise sur l'acajou de celui-ci, que Cash s'occupe de lui remplir le gosier. « Ça manque de musique, tu trouves pas ? » Nouveau sourire mutin. Semblerait-il que malgré son coup d'éclat à la banque, elle a encore envie de s'amuser un peu.
- Cash Eelis HayesI'm a Mother Fucker
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Ma partenaire, semble très bien savoir quoi faire de son argent. Je la laisse donc ranger son butin sans rien ajouter. Elle refuse alors le joint que je lui tend, mon esprit de toxicomane s'en trouve plutôt satisfait, j'aimais bien partager, par convivialité, par politesse, mais au delà de ça, je préférai garder ma consommation perso.
Morena propose que l'on reste ici pour célébrer notre victoire, ça fait plutôt mon affaire, après une journée pareille, je n'avais pas forcément envie d'aller plus loin, puis rien ne servait de se faire remarquer inutilement. Elle se dirige vers la salle principale, je lui emboite le pas et vient m'installer derrière le bar alors qu'elle se pose sur un tabouret, face à moi. Ce n'était pas le premier verre que je partageais avec elle, mais la mémoire, c'était pas mon point fort. Je sors deux verres, et me sert une bonne rasade de whisky, je laisse la bouteille en suspend au dessus du verre vide, l'interrogeant du regard, qu'elle me confirme si c'était ce qu'elle voulait boire. Suite à sa requête, j'allume la chaine hifi derrière moi. Ma cigarette éteinte au coin des lèvres, s'agite de haut en bas quand je parle. - J'ai rien d’exceptionnel ici, des compilations, pour essayer de plaire à tout le monde. Je glisse un CD dans l'appareil, un peu de rock, un peu de rap, un peu de pop, de quoi satisfaire le plus d'oreille possible. J'avais toujours eu du mal avec la technologie, alors que certains avait quantité de musique illimité sur leurs téléphones et n'avait qu'à brancher ce dernier pour en profiter, j'étais encore à l'époque de ces bons vieux disques compacts.
Le bar était vide, l'insigne FERME était tournée côté rue, pour que personne n'ai la tentation d'entrer, de toute façon il était bien trop tôt, les habitués n'arriveraient pas avant une heure ou deux, le temps de profiter d'un moment tranquille, libre de gestes et paroles. Je rallume mon joint, sans trop me soucier de l'odeur que ça laisserait, aspire quelques fois jusqu'à ce que mon mental s'apaise un peu , que je retrouve un calme délicieux et je le repose en équilibre, fumant, sur le bord du bar.
Je tend alors mon verre dans la direction de la jeune femme, histoire que l'on trinque tout de même, à cette affaire rondement menée. - A la meilleure partenaire de braquage de tout L.A! je me retins d'ajouter Et la plus sexy. Je lui adresse un sourire amusé, cogne mon verre contre le sien et le vide d'une traite. La sensation brûlante qui cours dans ma gorge est délicieuse. J'en profite pour remplir mon verre à nouveau. Je pose la bouteille entre nous afin que Morena se sente libre de se servir. Mon regard croise le sien un instant. Le stress du braquage derrière nous, j'en profite pour l'admirer un peu plus librement.
- Karma's RealKingdom Come
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Âge du personnage : L'infinité
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Mon personnage, en 5 mots : Omniscient, omniprésent, omnipotent, omniversel, omnivore.
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Carrière, métier ou job : L'omniexistence
Études (passées ou en cours) : L'omnivers
Hobby : Traumatiser des Angeliens
Orientation sexuelle : Asexuel(le)
Situation sentimentale : En situation polyamoureuse
BLACKOUT!
Bande de petits chanceux, vous avez eu du bol de ne pas vous faire attraper! Mais il y a toujours un revers de médaille n'est-ce pas? Une couille dans le pâté comme on dit! Vous avez de la chance dans votre malheur, ce soir ce n'est pas grand chose qui vous tombe dessus. Alors que le bruit des verres qui s'entrechoquent se fait entendre et que Cash semble dévorer Morena du regard (coquin, on te voit!), le noir complet vient troubler la quiétude! Ca ne vient pas du compteur, les lumières de dehors ce sont aussi éteintes, plus d'électricité dans le quartier! Allez-vous attendre que ça revienne? Peut-être couper court à la célébration? En profiter pour vous rouler des pelles d'adolescents? à vous de choisir!
disclaimer - Comme vous pouvez le constater, le Karma a décidé de toquer à la porte de votre sujet. Si c'est le cas, c'est parce que vous faites partie du groupe "i'm a mother fucker" autrement dit ceux qui ont accepté son intervention. Si jamais le sujet n'est pas approprié pour une telle intervention (sujet trop important pour le personnage pour être perturbé par le Karma ou autre) n'hésitez surtout pas à le faire savoir à un administrateur en lui envoyant un petit mp. Vous annulerons cette intervention. Bon jeu à vous.
CONTENU COCAINE pour "It's All My Fault"
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