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YESTERDAY'S NEWS |48
- Théodora OleszekI'm a Mother Fucker
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Dollars : 2847
Messages : 364
Date d'inscription : 09/03/2018
Avatar : zhenya katava
Crédits : velaris (avatar)
Autres comptes : zeke & ansel
Âge du personnage : vingt quatre ans
Nationalité(s) : russe & américaine
Signe astrologique : Verseau
Mon personnage, en 5 mots : blabla
Quartier de résidence : Northeast
Carrière, métier ou job : pianiste de renom.
Études (passées ou en cours) : langues et civilisations étrangères.
Hobby : boxe, sport de combat, violon, champ de tir, danse.
Orientation sexuelle : Bisexuel(le)
Situation sentimentale : C'est ... compliqué
Avec : "the boy next door"
théodora oleszek
there are two rules in life : 1. never give out all the information
Avant de commencer, nous aimerions vous poser quelques questions sur votre personnage, afin d'en savoir davantage sur les motivations qui l'animent.
L'INTERROGATOIRE
les expressions faciales et micros expressions humaines surement. t'imagines que pouvoir décrypter un visage, une expression, rien qu'en observant sa manière de réagir serait pratique, utile. bien que la notion de toujours savoir lorsqu'une personne te ment, reste assez dérangeante. disons que certaines devraient pouvoir rester secrète. mais la satisfaction que tu pourrais en tirer, serait plaisante.
faire danser tes doigts et émerveiller les oreilles de tes chers spectateurs dans les plus belles salles du monde. le monde semble s'arrêter, les secondes semblent être minutes. attirer l'attention, c'est une habitude que tu as pris depuis bébé. t'es surement né avec un panneau "attention, elle arrive" sur le front. bonne nouvelle, peu de gens savent te reconnaître, sans ta robe, tes talons, ton maquillage.
l’égoïsme. presque absolu. celui qui fais passer nous-même avant les autres sans trop les blesser. celui, où on se permet de réfléchir à notre bonheur avant celui de autres. t'en as eu marre d'être l'effigie de tes parents. t'as pas eu vraiment le choix, t'as toujours pas le choix. alors au lieu de contrôler ça, autant pouvoir contrôler le reste. ou au moins l'illusion de celui-ci. on contrôle partiellement notre bonheur, le reste, ce sont les dés que l'on jette à chaque pas.
tes ambitions ? passionnée, surdimensionnée peut-être. inatteignable ? tu t'y dévouerais corps & âme si tu pouvais. le piano, ton "divin talent". la seule chose qui te permet de trouver ta paix. ton moment hors du temps. le seul que tu ne laisses personne gâcher. même pas tes amants et amantes. tu pourrais en jouer toute la journée. personne ne se plaint, personne ne vient tambouriner à ta porte, pourtant tes insomnies sont comblées par ces notes douces.
l'égalité. (surtout l'égalité des sexes.) personne ne doit être le supérieur de personne. ni homme, ni femme. ni riche, ni pauvre. ni ceux qui sont dans la moyenne. ni ceux dont la sexualité fait se révolter les autres. on est maître de nos corps. tu ne tolères aucun abus. tu les déplores et les révèles au grand jour quand tu le peux. un humain ne peut pas et ne doit pas être considéré comme un objet duquel on pourrait abuser.
rien de bien notable. et même si c'était le cas, aucune bavure ne sera inscrit en dessous de ton nom. immunité diplomatique. ou comment effacer la source de toute inquiétude et problème. on ne te passeras jamais les menottes, du moins pas en ville. alors, en secret, tu fantasmes un peu sur ceux qui sont inquiété de passer derrière les barreaux. tu t'imagines la vie pleine d'interdit qu'ils vivent à chaque instant.
remettre tout le monde sur un pied d'égalité. plus de riches, ni de célèbres, plus de pauvre, une démocratie. une distribution des richesses générales, un retour au troc. la démocratie en place dans chaque pays, un jugement équitable, et des fonds investis dans des choses plus importantes que des hommes tapant dans un ballon. mais puisque tu es autorisée à rêver, autant dire la paix dans le monde, la fin de la famine, et l'absence de sexisme, racisme et autres inutilités du même genre.
ton paternel si respecté a eu un enfant avec une autre femme, bien sûr ta mère n'est pas au courant. tu l'as découvert il y a peu. et tu le gardes à l’œil, le petit frère. de loin, tu veux pas qu'il soit mêler à un scandale. tu veux pas non plus voir ta famille se détruire de l'intérieur. + la demoiselle fragile que tu sembles être passe une partie de son temps libre sur le champ de tir. personne n'est au courant, que la pianiste utilise ses doigts pour autre chose que de créer de douces mélodies. la rancœur, la colère, la fatigue se déchaîne lorsqu'elle pousse la détente.
un hobby comme un autre pour évacuer toute émotion de trop.
DERRIÈRE L'ÉCRAN
Karma : Im a motherfucker Prénom/pseudo : renegades Âge : dix neuf Anniversaire : douze mars Localisation : france Présence : un peu tous les jours Personnage ...
inventé J'ai connu le forum : feu ardent d'amour Et je le trouve : love sur vos fesses Ma plus grande peur : le monde mdr Un dernier mot ? if someone remember LAPD raise your hand
inventé J'ai connu le forum : feu ardent d'amour Et je le trouve : love sur vos fesses Ma plus grande peur : le monde mdr Un dernier mot ? if someone remember LAPD raise your hand
IMAGES Morrigan (avatar) tweek ✩ (icon)
- Théodora OleszekI'm a Mother Fucker
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Dollars : 2847
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Date d'inscription : 09/03/2018
Avatar : zhenya katava
Crédits : velaris (avatar)
Autres comptes : zeke & ansel
Âge du personnage : vingt quatre ans
Nationalité(s) : russe & américaine
Signe astrologique : Verseau
Mon personnage, en 5 mots : blabla
Quartier de résidence : Northeast
Carrière, métier ou job : pianiste de renom.
Études (passées ou en cours) : langues et civilisations étrangères.
Hobby : boxe, sport de combat, violon, champ de tir, danse.
Orientation sexuelle : Bisexuel(le)
Situation sentimentale : C'est ... compliqué
Avec : "the boy next door"
AS COLD AS ICE
beacoming a cold hearted bitch wasn't really what i planned with my life, but here i am.
once upon a time.
(dix huit ans. le mal être enraciné dans le crâne)
les regards se retournent sur toi. encore une soirée, encore un gala à jouer les faux semblant. t'accuses le coup, sourire discret, regard perçant. faut faire bonne impression, jouer celle que tout le monde attend, jouer une oleszek, une vraie. quand ils posent les yeux sur toi, ce n'est pas la pianiste de talent qu'ils voient. c'est la fille du diplomate et de l'avocate. qui eux ne sont pas là, toujours absent lors de ce genre de chose. il te laisse le sale boulot. tenir au moins deux heures. deux petites heures, faire acte de présence. cligner des yeux, dire bonsoir, danser une ou deux danses avec des gens dont tu connais le prénom sans savoir pourquoi. tes pas se font assurer alors que tu traverses la pièce pour attraper une coupe de champagne. même pas pour boire, déguster ce qu'il se fait surement de mieux, juste t'occuper les mains. encore et toujours. tu joues des mots, s'excuse de l'absence de tes parents (encore), leur transmets leurs compliments (encore), prend une ou deux gorgées de ce champagne que tu trouves affreux (encore). coupe que tu dois poser, lorsqu'on t’entraînes par la main. pas un des collaborateurs, pas un aux cheveux gris, qui chercher à capter l'attention, surement un de leur fils. mais c'est agréable de pas avoir l'air d'un simple objet, tu t'en caches pas. apparemment tu dois ouvrir le bal. avec toute la grâce dont tu es capable, les mouvements s’enchaînent, ta crinière se balade sans retenue dans ton dos. un de tes plus beaux atouts, d'après maman. la musique se fait un chemin jusqu'à ce qu'elle imprime chaque cellule de ta chair. tu te laisses bercer par la main qui te guide. enfermer dans une robe beaucoup trop chère pour un simple bout de tissu, tu t'inclines discrètement devant ton cavalier, à la dernière note de musique. et tu te disparais dans la foule, essayant de ne croiser aucun regard.
(vingt quatre ans. les faux sourires sont devenus vrais)
c'était plus simple avant, quand t'étais trop jeune pour comprendre le monde dans laquelle on t'as foutu. l'héritière, fille de diplomate, l'héritière elle a envie de mener sa propre vie. libérer de ses responsabilité pendant deux minutes. ne pas avoir à donner qu'une partie de son prénom quand on lui demande en espérant que personne de fasse le lien, pouvoir se balader dans la rue, sans avoir peur de se faire reconnaître. t'en avais marre, d'avoir la même routine, les même obligations. figée dans le temps, jusqu'à la fin de tes études. puis il aurait fallu reprendre le boulot avec le même engagement familial que le paternel. puis il aurait fallu trouver un bon parti. se marier. faire des gosses. assurer la succession. un avenir tout tracé, c'est pas ce que tu voulais, alors t'as changé les règles du jeu. les faux sourires sont devenus vrais. la gosse qui se cachait derrière les sourires de façade, s'est laissé piéger par ce qu'elle croyait allait l'épargner. les masques n'ont plus besoin de tomber. tes traits se sont fondus avec ceux-ci, sont devenus impénétrable.
who are you really ?
(dix huit ans. le mal être enraciné dans le crâne)
les regards se retournent sur toi. encore une soirée, encore un gala à jouer les faux semblant. t'accuses le coup, sourire discret, regard perçant. faut faire bonne impression, jouer celle que tout le monde attend, jouer une oleszek, une vraie. quand ils posent les yeux sur toi, ce n'est pas la pianiste de talent qu'ils voient. c'est la fille du diplomate et de l'avocate. qui eux ne sont pas là, toujours absent lors de ce genre de chose. il te laisse le sale boulot. tenir au moins deux heures. deux petites heures, faire acte de présence. cligner des yeux, dire bonsoir, danser une ou deux danses avec des gens dont tu connais le prénom sans savoir pourquoi. tes pas se font assurer alors que tu traverses la pièce pour attraper une coupe de champagne. même pas pour boire, déguster ce qu'il se fait surement de mieux, juste t'occuper les mains. encore et toujours. tu joues des mots, s'excuse de l'absence de tes parents (encore), leur transmets leurs compliments (encore), prend une ou deux gorgées de ce champagne que tu trouves affreux (encore). coupe que tu dois poser, lorsqu'on t’entraînes par la main. pas un des collaborateurs, pas un aux cheveux gris, qui chercher à capter l'attention, surement un de leur fils. mais c'est agréable de pas avoir l'air d'un simple objet, tu t'en caches pas. apparemment tu dois ouvrir le bal. avec toute la grâce dont tu es capable, les mouvements s’enchaînent, ta crinière se balade sans retenue dans ton dos. un de tes plus beaux atouts, d'après maman. la musique se fait un chemin jusqu'à ce qu'elle imprime chaque cellule de ta chair. tu te laisses bercer par la main qui te guide. enfermer dans une robe beaucoup trop chère pour un simple bout de tissu, tu t'inclines discrètement devant ton cavalier, à la dernière note de musique. et tu te disparais dans la foule, essayant de ne croiser aucun regard.
(vingt quatre ans. les faux sourires sont devenus vrais)
c'était plus simple avant, quand t'étais trop jeune pour comprendre le monde dans laquelle on t'as foutu. l'héritière, fille de diplomate, l'héritière elle a envie de mener sa propre vie. libérer de ses responsabilité pendant deux minutes. ne pas avoir à donner qu'une partie de son prénom quand on lui demande en espérant que personne de fasse le lien, pouvoir se balader dans la rue, sans avoir peur de se faire reconnaître. t'en avais marre, d'avoir la même routine, les même obligations. figée dans le temps, jusqu'à la fin de tes études. puis il aurait fallu reprendre le boulot avec le même engagement familial que le paternel. puis il aurait fallu trouver un bon parti. se marier. faire des gosses. assurer la succession. un avenir tout tracé, c'est pas ce que tu voulais, alors t'as changé les règles du jeu. les faux sourires sont devenus vrais. la gosse qui se cachait derrière les sourires de façade, s'est laissé piéger par ce qu'elle croyait allait l'épargner. les masques n'ont plus besoin de tomber. tes traits se sont fondus avec ceux-ci, sont devenus impénétrable.
IMAGES FEU ARDENT
- InvitéInvité
Bienvenue sur le forum nouveau petit membre bon courage pour la rédaction de ta fiche
- InvitéInvité
Je ne connais pas la demoiselle mais elle est superbe
Tu fais que des bons choix toi
Tu fais que des bons choix toi
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