Page 1 sur 2 • 1, 2
YESTERDAY'S NEWS |48
- Adélaïde SullivanKingdom Come
-
Dollars : 3597
Messages : 497
Date d'inscription : 12/03/2018
Avatar : Nina Agdal
Crédits : malbe (ava) • anesidora (code sign)
Autres comptes : Leaven S. Campbell & Gwyneth Barclay.
Âge du personnage : trente-deux ans (21/03/1990)
Nationalité(s) : Américo-Argentine
Signe astrologique : Bélier
Mon personnage, en 5 mots : Honnête • Charismatique • Passionnée • Joueuse • Séductrice
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : directrice générale du Ritz-Carlton de Los Angeles. (papa propriétaire de Marriott International)
Études (passées ou en cours) : Communication Marketing
Hobby : La danse. Le dessin.
Orientation sexuelle : Bisexuel(le)
Situation sentimentale : En couple
Avec : Aaron Campbell, de nouveau, après une séparation d'un an.
I MISSED YOU, BRO'
Sven & Adélaïde
Andreas lui manquait, terriblement. Adélaïde avait beau l'appeler tous les jours - ou presque - son absence depuis plusieurs mois commençait à se faire très longue. Elle détestait l'Allemagne pour ça. Déjà elle comprenait rien à leur langue - en dehors de quelques mots appris naturellement avec Andreas - mais en plus c'était le pays dans lequel son meilleur ami voulait retourner et s'installer définitivement. Clairement, c'était un destin qui ne lui plaisait pas. Adélaïde était bien ici, aux Etats-Unis et en même temps, elle ne pouvait clairement pas vivre sans Andy à ses côtés. Leur amitié transcendait toutes les autres, aussi précieuses peuvent-elles être.
Elle ne se voyait pas loin de lui et la preuve en était qu'en quelques mois où il brillait par son absence, le palpitant de la jeune femme se retrouvait incomplet, ébranlé, peiné. Elle avait d'autres amis que lui, bien entendu, de très bons amis même mais c'était tellement différent qu'elle n'arrivait pas à combler le vide qu'il avait laissé derrière lui. Peu importait les bonnes nouvelles, elles n'étaient pas si bonnes tant qu'elles ne pouvaient pas sauter au cou de Klein pour les partager. Il était le premier à l'avoir accepter comme elle était mais il n'était pas le dernier, loin de là.
L'un des premiers à avoir connu Adélaïde après son passage dans une maison spécialisée du comportement était Sven Kaplov. Un Russe qui lui avait sauvé la vie après que la blonde ait ingurgité des petits fours empoisonnés quasiment deux ans en arrière pendant un discours du maire - lui était mort en revanche. Depuis, il était devenu un véritable ami, comme un frère qu'elle n'avait jamais eu et même si elle était peinée de ne pas pouvoir partager la nouvelle des retrouvailles avec sa mère avec Andy, elle allait se faire un plaisir de le faire avec Sven. Elle était revenue d'Argentine et avait atterrit depuis 48h à peu près.
Le temps de se requinquer du voyage et elle était déjà rendue chez lui à appuyer sur l'interphone du grand portail de son manoir. « Je suis de retouuuuur. Ouvre! » Pas besoin de plus, elle se savait observée par des caméras et il avait très certainement reconnue sa voix tout comme les gardes avaient reconnu sa tronche sur le chemin qui menait à sa demeure. Dans le genre sécurité, il avait mis le paquet quand même. Son véhicule, elle l'arrêtait face aux grands escaliers qui la menaient à la porte.
Autant dire que quand cette dernière s'ouvrait, elle ne mettait pas de temps à lui sauter au cou, entourant son bassin de ses jambes en mode koala... avec un peu plus de poids... « Tu m'as manquéééé pendant dix jours. » Réellement. Son enthousiasme débordait, s'exprimait à travers son sourire, ses baisers partout sur sa tronche renfrogné de Russe. « Je t'ai manqué ? » Un temps de pause dans ses paroles, court. « Ouais, évidemment que je t'ai manqué, je le sais, c'est pour ça que tu vas m'offrir un verre mais me raconter tout ce que tu as fait pendant dix jours. »
Elle ne se voyait pas loin de lui et la preuve en était qu'en quelques mois où il brillait par son absence, le palpitant de la jeune femme se retrouvait incomplet, ébranlé, peiné. Elle avait d'autres amis que lui, bien entendu, de très bons amis même mais c'était tellement différent qu'elle n'arrivait pas à combler le vide qu'il avait laissé derrière lui. Peu importait les bonnes nouvelles, elles n'étaient pas si bonnes tant qu'elles ne pouvaient pas sauter au cou de Klein pour les partager. Il était le premier à l'avoir accepter comme elle était mais il n'était pas le dernier, loin de là.
L'un des premiers à avoir connu Adélaïde après son passage dans une maison spécialisée du comportement était Sven Kaplov. Un Russe qui lui avait sauvé la vie après que la blonde ait ingurgité des petits fours empoisonnés quasiment deux ans en arrière pendant un discours du maire - lui était mort en revanche. Depuis, il était devenu un véritable ami, comme un frère qu'elle n'avait jamais eu et même si elle était peinée de ne pas pouvoir partager la nouvelle des retrouvailles avec sa mère avec Andy, elle allait se faire un plaisir de le faire avec Sven. Elle était revenue d'Argentine et avait atterrit depuis 48h à peu près.
Le temps de se requinquer du voyage et elle était déjà rendue chez lui à appuyer sur l'interphone du grand portail de son manoir. « Je suis de retouuuuur. Ouvre! » Pas besoin de plus, elle se savait observée par des caméras et il avait très certainement reconnue sa voix tout comme les gardes avaient reconnu sa tronche sur le chemin qui menait à sa demeure. Dans le genre sécurité, il avait mis le paquet quand même. Son véhicule, elle l'arrêtait face aux grands escaliers qui la menaient à la porte.
Autant dire que quand cette dernière s'ouvrait, elle ne mettait pas de temps à lui sauter au cou, entourant son bassin de ses jambes en mode koala... avec un peu plus de poids... « Tu m'as manquéééé pendant dix jours. » Réellement. Son enthousiasme débordait, s'exprimait à travers son sourire, ses baisers partout sur sa tronche renfrogné de Russe. « Je t'ai manqué ? » Un temps de pause dans ses paroles, court. « Ouais, évidemment que je t'ai manqué, je le sais, c'est pour ça que tu vas m'offrir un verre mais me raconter tout ce que tu as fait pendant dix jours. »
- Sven KaplovI'm a Mother Fucker
-
Dollars : 2347
Messages : 204
Date d'inscription : 10/03/2018
Avatar : Scott Eastwood
Crédits : feu ardent ♥
Âge du personnage : 29 ans
Nationalité(s) : Russe, Américaine
Mon personnage, en 5 mots : charismatique, businessman, manipulateur, loyal, séducteur
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : Directeur du Legacy
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : Célibataire (par choix)
Fils unique d'une famille arrivée bien trop tôt sur un sol qui n'était pas le sien, t'avais grandi seul, pas de frère avec qui te bastonner, pas de sœur avec qui te chamailler pour la chaîne de télévision, juste toi et toi seul, parfois tu passais ton regard derrière le rideau du salon, là, en bas, sur le terrain de basket de ta cité bien misérable tu regardais ces gamins, riant, t'avais toujours rêvé d'un petit frère ou d'une petite sœur avec qui tu partagerais tout malgré toutes tes prières tu n'avais jamais eu cette chance mais tout ça avait changé il y'avait de ça deux ans, quand tu avais sauvé la vie d'une jolie blonde qui avait goûté à la mort, t'avais tout fait pour la sauver et elle s'en était sortie indemne.
Ce jour-là, au dessus de ta part de gentillesse que tu t'étais retrouvée, tu avais découvert la personne qui allait devenir ta sœur de cœur, celle sur qui tu allais veiller jour et nuit, celle que tu chérirais jusqu'à ta mort.
C'est l'interphone qui te tiras hors de tes pensées aujourd'hui, occupé à encore planifier des attaques sur tes rivaux, à parler avec tes Capos, tu dissipas vite ton assemblée éphémère quand t'appris qui était ton visiteur du jour, ta sœur, du moins c'est ce qu'elle était à tes yeux.
Un geste en direction de l'un de tes hommes de main et la grand grille du manoir s'ouvrait laissant entrer le véhicule sur ton domaine.
A peine étais-tu sorti qu'elle se jeta sur toi tel un koala, tu dressas instantanément ton plus grand sourire, elle t'avait vraiment manqué et de la voir là depuis tout ce temps c'était tout simplement le bonheur.
Bien sûr que tu m'as manqué !Tu t'arrêtas quelques secondes en la regardant dans les yeux.
On dirait que t'as bien mangé à la cantine en Argentine !Un grand rire s'installa alors.
T'aimais taquiner Adé, après tout ça faisait bien parti du lot, avoir un frère ou une sœur ça avait ses avantages et inconvénient.
Tu m'enlèves les mots de la bouche, allons sur la terrasse je vais te faire emmener ce que tu voudras !
Tu te dirigeais vers la piscine aux côtés d'Adé, prêt à profiter du bon temps qui s'offrait à vous, un simple signe de tête accompagné de quelques paroles russes et tes hommes s’exécutaient, eux aussi faisaient parti de ta famille mais Adélaïde ne le savait pas et ça ne changerai probablement jamais, il valait mieux qu'elle ne sache rien de toi.
Tu t'allongeais sur une des chaises longues, invitant Adé à faire de même, détournant ton regard vers elle tu engageais la conversation alors que le plateau de boissons arrivé.
Avant que je commence à te raconter ma jolie routine , dit moi comment c'est passé ton voyage, y'a pas eu de problème ? Tu veux boire quoi d'ailleurs ?
Tu te laissais tenter de ton côté par un cocktail italien frais le Spritz, tu veillais sur ta soeur, elle était devenu la prunelle de tes yeux, quel genre de faire aurais-tu fais si tu ne te préoccupais pas de sécurité. Si dans les faits tu ne voulais pas la mêler à tes affaires, en réalité t'étais prêt à utiliser toutes les ressources de Whistle pour lui venir en aide le jour où elle en aurait besoin.
Pyphi(lia)Ce jour-là, au dessus de ta part de gentillesse que tu t'étais retrouvée, tu avais découvert la personne qui allait devenir ta sœur de cœur, celle sur qui tu allais veiller jour et nuit, celle que tu chérirais jusqu'à ta mort.
C'est l'interphone qui te tiras hors de tes pensées aujourd'hui, occupé à encore planifier des attaques sur tes rivaux, à parler avec tes Capos, tu dissipas vite ton assemblée éphémère quand t'appris qui était ton visiteur du jour, ta sœur, du moins c'est ce qu'elle était à tes yeux.
Un geste en direction de l'un de tes hommes de main et la grand grille du manoir s'ouvrait laissant entrer le véhicule sur ton domaine.
A peine étais-tu sorti qu'elle se jeta sur toi tel un koala, tu dressas instantanément ton plus grand sourire, elle t'avait vraiment manqué et de la voir là depuis tout ce temps c'était tout simplement le bonheur.
Bien sûr que tu m'as manqué !Tu t'arrêtas quelques secondes en la regardant dans les yeux.
On dirait que t'as bien mangé à la cantine en Argentine !Un grand rire s'installa alors.
T'aimais taquiner Adé, après tout ça faisait bien parti du lot, avoir un frère ou une sœur ça avait ses avantages et inconvénient.
Tu m'enlèves les mots de la bouche, allons sur la terrasse je vais te faire emmener ce que tu voudras !
Tu te dirigeais vers la piscine aux côtés d'Adé, prêt à profiter du bon temps qui s'offrait à vous, un simple signe de tête accompagné de quelques paroles russes et tes hommes s’exécutaient, eux aussi faisaient parti de ta famille mais Adélaïde ne le savait pas et ça ne changerai probablement jamais, il valait mieux qu'elle ne sache rien de toi.
Tu t'allongeais sur une des chaises longues, invitant Adé à faire de même, détournant ton regard vers elle tu engageais la conversation alors que le plateau de boissons arrivé.
Avant que je commence à te raconter ma jolie routine , dit moi comment c'est passé ton voyage, y'a pas eu de problème ? Tu veux boire quoi d'ailleurs ?
Tu te laissais tenter de ton côté par un cocktail italien frais le Spritz, tu veillais sur ta soeur, elle était devenu la prunelle de tes yeux, quel genre de faire aurais-tu fais si tu ne te préoccupais pas de sécurité. Si dans les faits tu ne voulais pas la mêler à tes affaires, en réalité t'étais prêt à utiliser toutes les ressources de Whistle pour lui venir en aide le jour où elle en aurait besoin.
- Adélaïde SullivanKingdom Come
-
Dollars : 3597
Messages : 497
Date d'inscription : 12/03/2018
Avatar : Nina Agdal
Crédits : malbe (ava) • anesidora (code sign)
Autres comptes : Leaven S. Campbell & Gwyneth Barclay.
Âge du personnage : trente-deux ans (21/03/1990)
Nationalité(s) : Américo-Argentine
Signe astrologique : Bélier
Mon personnage, en 5 mots : Honnête • Charismatique • Passionnée • Joueuse • Séductrice
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : directrice générale du Ritz-Carlton de Los Angeles. (papa propriétaire de Marriott International)
Études (passées ou en cours) : Communication Marketing
Hobby : La danse. Le dessin.
Orientation sexuelle : Bisexuel(le)
Situation sentimentale : En couple
Avec : Aaron Campbell, de nouveau, après une séparation d'un an.
I MISSED YOU, BRO'
Sven & Adélaïde
L'air faussement choqué sur son visage, sa façon de descendre de ses bras et ce coup porté à l'épaule du grand blond, tout laissait à croire qu'il l'avait vexé. Ça aurait pu si elle était de ces nanas à se plaindre d'être grosses quand ce n'était pas le cas. Mais Adélaïde n'était pas comme ça, d'autant plus qu'elle savait très bien que Sven ne faisait que la taquiner. En revanche, ce qu'elle a toujours aimé faire et ce que son évolution n'avait pas changé, c'était bien sa tendance à renvoyer l'ascenseur. « On en parle ou pas de ton bidon à bières? Je t'ai trouvé bien moelleux. » Ça aussi c'était faux. Par contre, Sven, de son côté, n'avait pas tout à fait tort. Adélaïde avait bien pris quelques kilos au fil des mois - rien d'alarmant en soi et rien de vraiment voyant - mais ça n'avait aucun rapport avec l'Argentine. Il paraîtrait que la science a prouvé que les couples heureux ont tendance à attraper les poignées d'amour. Aaron était probablement le seul responsable mais ça n'empêchait la blonde de se sentir bien, au contraire, et de ne pas se vexer du tout de la remarque de Kaplov et même de surenchérir dessus dans l'autodérision. « Il y a pas que les mots que je t'ai retiré de la bouche visiblement. »
Le suivant près de la piscine, elle s'installait sur la chaise longue à ses côtés, visant ses lunettes de soleil sur le nez. Les températures californiennes commençaient doucement à monter, pas encore de quoi plonger dans l'eau mais bien assez pour être gênés par les rayons de l'astre. « La même chose que toi. » Bon, habituellement elle ne buvait pas d'alcool en pleine journée mais retrouver Sven, ça se fêtait quand même un peu. « Les premiers jours, la bouffe m'a retourné l'estomac. » Elle en riait aujourd'hui mais l'histoire était véridique. Son estomac avait eu du mal à se faire à la gastronomie de là-bas et elle ne s'était pas senti très bien pendant quelques jours mais ça ne l'avait pas arrêtée pour autant. « En dehors de ça, ça s'est bien passé. C'était étrange de la retrouver et euphorisant à la fois. » Sa mère. Cette femme a qui on avait arraché Adélaïde quand elle n'avait que six ans. A présent, elle était une parfaite inconnue que la blonde apprenait à connaître doucement mais sûrement. « J'ai juste du mal avec l'idée qu'elle soit toujours là-bas. » Moins miséreuse qu'avant, certes, mais toujours prostituée pour subvenir à ses besoins. « J'aurais aimé qu'elle vienne ici mais je peux pas l'obliger non plus. »
Le suivant près de la piscine, elle s'installait sur la chaise longue à ses côtés, visant ses lunettes de soleil sur le nez. Les températures californiennes commençaient doucement à monter, pas encore de quoi plonger dans l'eau mais bien assez pour être gênés par les rayons de l'astre. « La même chose que toi. » Bon, habituellement elle ne buvait pas d'alcool en pleine journée mais retrouver Sven, ça se fêtait quand même un peu. « Les premiers jours, la bouffe m'a retourné l'estomac. » Elle en riait aujourd'hui mais l'histoire était véridique. Son estomac avait eu du mal à se faire à la gastronomie de là-bas et elle ne s'était pas senti très bien pendant quelques jours mais ça ne l'avait pas arrêtée pour autant. « En dehors de ça, ça s'est bien passé. C'était étrange de la retrouver et euphorisant à la fois. » Sa mère. Cette femme a qui on avait arraché Adélaïde quand elle n'avait que six ans. A présent, elle était une parfaite inconnue que la blonde apprenait à connaître doucement mais sûrement. « J'ai juste du mal avec l'idée qu'elle soit toujours là-bas. » Moins miséreuse qu'avant, certes, mais toujours prostituée pour subvenir à ses besoins. « J'aurais aimé qu'elle vienne ici mais je peux pas l'obliger non plus. »
- Sven KaplovI'm a Mother Fucker
-
Dollars : 2347
Messages : 204
Date d'inscription : 10/03/2018
Avatar : Scott Eastwood
Crédits : feu ardent ♥
Âge du personnage : 29 ans
Nationalité(s) : Russe, Américaine
Mon personnage, en 5 mots : charismatique, businessman, manipulateur, loyal, séducteur
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : Directeur du Legacy
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : Célibataire (par choix)
Et bim, tu l'as bien mérité celle-là Sven, au jeu du plus taquin t'as une adversaire de taille face à toi, mais t'es bon perdant et t'esquisses un léger rire, puis faut avouer que tu vas beaucoup moins à la salle qu'avant et que tu manges beaucoup plus, on dira merci au repas organisé par les grands noms de la ville et aux galas.
"Je vois que madame est trèèèèèèèès en forme !"
T'avais perdu une bataille mais pas la guerre, une jolie gueule d'ange que tu dressais sur ton visage, tu avais déjà le gout de la vengeance qui venait se poser sur tes papilles.
Un grand sourire sur tes lèvres, c'était le moment pour toi de montrer à Adé, que t'étais devenu pas mauvais en matière de cocktail, les cours que t'avais suivis dans ton propre club t'avais peut-être était bénéfique, tu l'espérais en tout cas, après tout toutes les compétences sont bonnes, surtout quand tu peux charmer quelques dames avec un shaker qui vole entre tes mains.
Tu versais le doux cocktail rouge dans un jolie verre avec quelques glaçons, répondant à la fois à ce qu'elle disait.
Adélaïde ne t'avais pas vraiment beaucoup parlé de sa mère, tu connaissais les grandes lignes, et tu tentais de la réconforter comme tu le pouvais malheureusement, t'étais pas le genre de grand optimiste à prôner le "ça va s'arranger", "voit les choses du bon côté" , non toi tu pouvais pas avoir ce genre de pensées avec l'enfance que tu avais eu, avec la vie que tu menais alors tu acquiesçais de la tête et tu parlais avec honnêteté, essayant de te mettre à sa place.
"Je vais peut-être faire le philosophe mais tu devrais être patiente, vous avez besoin de vous connaître plus, laisse le temps au temps."
Tu savais pas vraiment si ce que tu disais avait du sens mais ça te paraissais bien, les histoires de famille tu connaissais pas, t'avais abandonné la tienne pour une qui n'était pas de sang mais de coeur, une sur laquelle tu pouvais compter et à laquelle tu pouvais confier ta vie, t'aurais pas été prêt à faire comme Adé, parce qu'elle vit sûrement beaucoup plus dans la lumière que toi, parce que t'as bien trop vite couper toutes les cordes qui te rattachais à ta famille, parce que pour toi la famille est une faiblesse, une faille qu'on peut exploiter pour te toucher.
Mais là face à elle, il faut que tu l'encourages alors tu portes ton masque bon gars bien optimiste et tu tentes tant bien que mal de la rassurer avec ton grand sourire et ton petit cocktail que tu lui tends.
"Tiens, bois ça tu vas voir tes mauvaises pensées vont vite s'envoler et tu vas pouvoir positiver."
C'était le moment de prendre du bon temps pour soit, il faisait beau, chaud, les oiseaux chantaient, et tu venais de retrouver Adé avec qui tu t'entendais si bien, tu ne pouvais que profiter de ce petit moment de repos dans ta vie si mouvementé.
Pyphi(lia)"Je vois que madame est trèèèèèèèès en forme !"
T'avais perdu une bataille mais pas la guerre, une jolie gueule d'ange que tu dressais sur ton visage, tu avais déjà le gout de la vengeance qui venait se poser sur tes papilles.
Un grand sourire sur tes lèvres, c'était le moment pour toi de montrer à Adé, que t'étais devenu pas mauvais en matière de cocktail, les cours que t'avais suivis dans ton propre club t'avais peut-être était bénéfique, tu l'espérais en tout cas, après tout toutes les compétences sont bonnes, surtout quand tu peux charmer quelques dames avec un shaker qui vole entre tes mains.
Tu versais le doux cocktail rouge dans un jolie verre avec quelques glaçons, répondant à la fois à ce qu'elle disait.
Adélaïde ne t'avais pas vraiment beaucoup parlé de sa mère, tu connaissais les grandes lignes, et tu tentais de la réconforter comme tu le pouvais malheureusement, t'étais pas le genre de grand optimiste à prôner le "ça va s'arranger", "voit les choses du bon côté" , non toi tu pouvais pas avoir ce genre de pensées avec l'enfance que tu avais eu, avec la vie que tu menais alors tu acquiesçais de la tête et tu parlais avec honnêteté, essayant de te mettre à sa place.
"Je vais peut-être faire le philosophe mais tu devrais être patiente, vous avez besoin de vous connaître plus, laisse le temps au temps."
Tu savais pas vraiment si ce que tu disais avait du sens mais ça te paraissais bien, les histoires de famille tu connaissais pas, t'avais abandonné la tienne pour une qui n'était pas de sang mais de coeur, une sur laquelle tu pouvais compter et à laquelle tu pouvais confier ta vie, t'aurais pas été prêt à faire comme Adé, parce qu'elle vit sûrement beaucoup plus dans la lumière que toi, parce que t'as bien trop vite couper toutes les cordes qui te rattachais à ta famille, parce que pour toi la famille est une faiblesse, une faille qu'on peut exploiter pour te toucher.
Mais là face à elle, il faut que tu l'encourages alors tu portes ton masque bon gars bien optimiste et tu tentes tant bien que mal de la rassurer avec ton grand sourire et ton petit cocktail que tu lui tends.
"Tiens, bois ça tu vas voir tes mauvaises pensées vont vite s'envoler et tu vas pouvoir positiver."
C'était le moment de prendre du bon temps pour soit, il faisait beau, chaud, les oiseaux chantaient, et tu venais de retrouver Adé avec qui tu t'entendais si bien, tu ne pouvais que profiter de ce petit moment de repos dans ta vie si mouvementé.
- Adélaïde SullivanKingdom Come
-
Dollars : 3597
Messages : 497
Date d'inscription : 12/03/2018
Avatar : Nina Agdal
Crédits : malbe (ava) • anesidora (code sign)
Autres comptes : Leaven S. Campbell & Gwyneth Barclay.
Âge du personnage : trente-deux ans (21/03/1990)
Nationalité(s) : Américo-Argentine
Signe astrologique : Bélier
Mon personnage, en 5 mots : Honnête • Charismatique • Passionnée • Joueuse • Séductrice
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : directrice générale du Ritz-Carlton de Los Angeles. (papa propriétaire de Marriott International)
Études (passées ou en cours) : Communication Marketing
Hobby : La danse. Le dessin.
Orientation sexuelle : Bisexuel(le)
Situation sentimentale : En couple
Avec : Aaron Campbell, de nouveau, après une séparation d'un an.
I MISSED YOU, BRO'
Sven & Adélaïde
« Ouh dis donc, tu me caches des talents toi. » qu'elle balançait concernant la manière qu'il avait de faire leurs cocktails. Elle ne savait pas qu'il savait faire ça mais à vrai dire, il y avait beaucoup de choses sur lui qu'elle ne connaissait pas. Il cachait un côté sombre qu'elle ignorait totalement et c'était probablement mieux ainsi. Sven était comme un frère pour elle et si elle apprenait qu'il était lié à une quelconque mafia, elle aurait beaucoup de mal à le voir d'un bon œil en dépit du fait qu'il lui avait sauvé la vie et qu'ils s'étaient fortement liés d'amitié. Elle ne pourrait pas le renier, c'était certain, il était trop cher à son cœur mais elle prendrait certainement ses distances malgré tout, l'auto-protection revenant naturellement au galop. Heureusement, aujourd'hui, elle n'avait pas à le faire. Elle se contentait de voir ses bons côtés, d'ignorer les plus sauvages et de profiter de sa présence maintenant qu'elle était de retour de voyage.
Un voyage qu'elle n'avait pas tardé à développer, un peu tout du moins. Elle lui parlait de sa difficulté à accepter l'absence de sa mère à leurs côtés à leurs retours d'Argentine. Aaron avait beau être là et la soutenir, elle avait cette sensation d'abandonner de nouveau sa génitrice, même si la première fois ce n'était pas de son plein gré. Horrible impression qui la ramenait des années en arrière, à l'âge de six ans, où sa bipolarité a commencé à se développer la plongeant dans de lourdes périodes de dépression. Mais Sven n'avait pas tort, peut-être qu'avec de la patience, un peu plus de temps pour apprendre à se connaître, Fernanda accepterait de suivre sa fille biologique aux Etats-Unis. « C'est tellement étrange d'avoir la sensation d'avoir besoin de quelqu'un qu'on ne connait pas à ses côtés. » Parce que sa mère et ses origines argentines étaient ancrés dans ses veines, elle avait ce besoin inéluctable de proximité avec elle sans même la connaître, sans même comprendre ce phénomène.
« Tu sais qu'Adélaïde et patience dans la même phrase, ça va pas tellement ensemble. » Parce qu'elle était habituée à une vie de princesse où elle avait accès à tout, tout de suite. Ce n'était pas le genre de princesse capricieuse - ou en tout cas, elle ne l'était plus depuis qu'elle s'était retrouvée et que Jane ne prenait plus le dessus - mais elle était tellement habituée à ne pas être contredite, à ne pas avoir de souci pour réaliser ses vœux qu'elle en était triste de ne pas avoir accès à celui-là, le plus cher à son cœur très probablement. Attrapant le verre qu'il lui tendait, elle y trempait d'abord ses lèvres. « C'est bon ce truc. » qu'elle balançait sans plus tarder à en prendre une gorgée. « Merci. Et toi alors? Raconte-moi, il s'est passé des choses en dix jours? » Le regard rivé dans le sien, le sourire malicieux aux lèvres, elle ne tardait pas à rajouter quelques mots. « Pas de gonzesse à valider? » De donzelle à inspecter sous son œil critique de sœurette de cœur?
Un voyage qu'elle n'avait pas tardé à développer, un peu tout du moins. Elle lui parlait de sa difficulté à accepter l'absence de sa mère à leurs côtés à leurs retours d'Argentine. Aaron avait beau être là et la soutenir, elle avait cette sensation d'abandonner de nouveau sa génitrice, même si la première fois ce n'était pas de son plein gré. Horrible impression qui la ramenait des années en arrière, à l'âge de six ans, où sa bipolarité a commencé à se développer la plongeant dans de lourdes périodes de dépression. Mais Sven n'avait pas tort, peut-être qu'avec de la patience, un peu plus de temps pour apprendre à se connaître, Fernanda accepterait de suivre sa fille biologique aux Etats-Unis. « C'est tellement étrange d'avoir la sensation d'avoir besoin de quelqu'un qu'on ne connait pas à ses côtés. » Parce que sa mère et ses origines argentines étaient ancrés dans ses veines, elle avait ce besoin inéluctable de proximité avec elle sans même la connaître, sans même comprendre ce phénomène.
« Tu sais qu'Adélaïde et patience dans la même phrase, ça va pas tellement ensemble. » Parce qu'elle était habituée à une vie de princesse où elle avait accès à tout, tout de suite. Ce n'était pas le genre de princesse capricieuse - ou en tout cas, elle ne l'était plus depuis qu'elle s'était retrouvée et que Jane ne prenait plus le dessus - mais elle était tellement habituée à ne pas être contredite, à ne pas avoir de souci pour réaliser ses vœux qu'elle en était triste de ne pas avoir accès à celui-là, le plus cher à son cœur très probablement. Attrapant le verre qu'il lui tendait, elle y trempait d'abord ses lèvres. « C'est bon ce truc. » qu'elle balançait sans plus tarder à en prendre une gorgée. « Merci. Et toi alors? Raconte-moi, il s'est passé des choses en dix jours? » Le regard rivé dans le sien, le sourire malicieux aux lèvres, elle ne tardait pas à rajouter quelques mots. « Pas de gonzesse à valider? » De donzelle à inspecter sous son œil critique de sœurette de cœur?
- Sven KaplovI'm a Mother Fucker
-
Dollars : 2347
Messages : 204
Date d'inscription : 10/03/2018
Avatar : Scott Eastwood
Crédits : feu ardent ♥
Âge du personnage : 29 ans
Nationalité(s) : Russe, Américaine
Mon personnage, en 5 mots : charismatique, businessman, manipulateur, loyal, séducteur
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : Directeur du Legacy
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : Célibataire (par choix)
Léger sourire que tu retenais au coin de tes lèvres, mystère que tu laissais flotter une fois de plus, des talents tu en avais beaucoup certains étaient bon à dire, d'autre étaient cocasse et puis il y'avait ceux que tu t’efforçais de cacher, pour que celle que tu considère comme ta sœur ne cesse de te regarder comme un homme avec une auréole au dessus de la tête et non pas comme un envoyé du diable.
"Ca te va bien de me dire ça, je suis sûr que j'en possède bien moins que toi ! Mais je suppose qu'il ne faut pas dévoiler toute ses cartes, n'est ce pas ?"
Clin d’œil que tu lui adresses, t'aimes bien taquiner ta petite Adé et t'aimes encore plus la voir sourire aux lèvres, ça t'apporte un peu de joie dans ton sombre monde, passer du temps avec elle c'est te sentir revivre alors maintenant qu'elle est de retour tu comptes bien ne plus la lâcher même si par sécurité tu te dois ne pas trop rester à ses côtés, elle pourrait être considéré comme ta faiblesse, et ça tu ne le permettrais jamais.
Tu écoutais les paroles d'Adé avec la plus grande des attentions, tu n'avais jamais été très famille, les liens du cœur t'importaient plus que ceux du sang mais tu comprenais ce qu'elle voulait dire, elle semblait chérir cet espoir de voir un jour sa mère rester à ses côtés. Tu ne savais pas quoi dire, toi le grand dadet qui avait toujours été nul pour parler avec le coeur mais t'essayais de faire un effort parce qu'elle le méritait.
"Je suis persuadé qu'un jour prochain vous apprendrez à vous connaître autour d'un bon Starbucks, ou peut-être même autour d'un de mes cocktails qui sait, je percerai peut-être dans le milieu."
Tu ris légèrement avant de poursuivre avec un peu plus de sérieux dans tes paroles.
"Continu à nourrir ce désir et je suis sûr que tout finira par s'arranger.
Un sourire se dresse sur tes lèvres quand elle valide ton petit cocktail, t'es fier de toi pour pas grand chose mais quand même.
Aie la question fâcheuse pointait enfin le bout de son nez, sourire gêné que tu dressais sur tes lèvres, tu réponds avec hésitation.
"Il y'a bien eu peut-être une rencontre.
Tu sais que tu es en train de la teaser mais en même temps ça a toujours été dur pour toi de t'ouvrir, de parler à cœur ouvert, de parler de ce que tu considères comme être une faiblesse alors tu laisses le suspens flotter tout en sachant parfaitement que si Adé désire te faire craquer elle le fera avec beaucoup d'aisance.
Pyphi(lia)"Ca te va bien de me dire ça, je suis sûr que j'en possède bien moins que toi ! Mais je suppose qu'il ne faut pas dévoiler toute ses cartes, n'est ce pas ?"
Clin d’œil que tu lui adresses, t'aimes bien taquiner ta petite Adé et t'aimes encore plus la voir sourire aux lèvres, ça t'apporte un peu de joie dans ton sombre monde, passer du temps avec elle c'est te sentir revivre alors maintenant qu'elle est de retour tu comptes bien ne plus la lâcher même si par sécurité tu te dois ne pas trop rester à ses côtés, elle pourrait être considéré comme ta faiblesse, et ça tu ne le permettrais jamais.
Tu écoutais les paroles d'Adé avec la plus grande des attentions, tu n'avais jamais été très famille, les liens du cœur t'importaient plus que ceux du sang mais tu comprenais ce qu'elle voulait dire, elle semblait chérir cet espoir de voir un jour sa mère rester à ses côtés. Tu ne savais pas quoi dire, toi le grand dadet qui avait toujours été nul pour parler avec le coeur mais t'essayais de faire un effort parce qu'elle le méritait.
"Je suis persuadé qu'un jour prochain vous apprendrez à vous connaître autour d'un bon Starbucks, ou peut-être même autour d'un de mes cocktails qui sait, je percerai peut-être dans le milieu."
Tu ris légèrement avant de poursuivre avec un peu plus de sérieux dans tes paroles.
"Continu à nourrir ce désir et je suis sûr que tout finira par s'arranger.
Un sourire se dresse sur tes lèvres quand elle valide ton petit cocktail, t'es fier de toi pour pas grand chose mais quand même.
Aie la question fâcheuse pointait enfin le bout de son nez, sourire gêné que tu dressais sur tes lèvres, tu réponds avec hésitation.
"Il y'a bien eu peut-être une rencontre.
Tu sais que tu es en train de la teaser mais en même temps ça a toujours été dur pour toi de t'ouvrir, de parler à cœur ouvert, de parler de ce que tu considères comme être une faiblesse alors tu laisses le suspens flotter tout en sachant parfaitement que si Adé désire te faire craquer elle le fera avec beaucoup d'aisance.
- Adélaïde SullivanKingdom Come
-
Dollars : 3597
Messages : 497
Date d'inscription : 12/03/2018
Avatar : Nina Agdal
Crédits : malbe (ava) • anesidora (code sign)
Autres comptes : Leaven S. Campbell & Gwyneth Barclay.
Âge du personnage : trente-deux ans (21/03/1990)
Nationalité(s) : Américo-Argentine
Signe astrologique : Bélier
Mon personnage, en 5 mots : Honnête • Charismatique • Passionnée • Joueuse • Séductrice
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : directrice générale du Ritz-Carlton de Los Angeles. (papa propriétaire de Marriott International)
Études (passées ou en cours) : Communication Marketing
Hobby : La danse. Le dessin.
Orientation sexuelle : Bisexuel(le)
Situation sentimentale : En couple
Avec : Aaron Campbell, de nouveau, après une séparation d'un an.
I MISSED YOU, BRO'
Sven & Adélaïde
« Tu as raison. Et puis si je dévoilais toutes mes cartes, j'aurais trop peur que tu tombes amoureux de moi, ça serait pas bon pour nos affaires. Tu as déjà craqué sur tout ça, on va éviter d'en rajouter. » Qu'elle disait en se dandinant sur son transat, un rire se glissant entre eux. Tous les deux savaient que ça n'arriverait jamais mais elle aimait toujours le taquiner avec ça, faire référence à cette unique fois où il avait joint sa bouche à la sienne et où il l'avait déshabillé. Bon certes, c'était pour lui sauver la vie mais elle ne pouvait pas s'en empêcher quand même et dériver ça en rigolade. Il valait mieux en rire qu'en pleurer dorénavant, surtout quand on voyait que ça n'avait eu aucun impact psychologique ni aucun impact sur son humour bancal - malheureusement parfois.
A ses paroles, elle n'ajoutait qu'un simple sourire avant de continuer à siroter son cocktail. Il avait peut-être raison. Un jour, peut-être, sa mère viendra avec elle, passera la frontière et Adélaïde sera assez à l'aise avec l'espagnol pour discuter avec elle et renouer de vrais liens. Elle ne s'attendait pas à ce qu'elles tissent un lien de mère-fille, c'était impossible, ça se construisait avec l'enfance et surtout ça s'entretenait avec le temps. De temps, elles n'en avaient pas eu et même si elles tentaient de le rattraper, elles étaient deux adultes dorénavant et le lien ne sera jamais aussi fort qu'entre un enfant et un adulte. Adélaïde tout comme sa mère avait perdu cette opportunité mais la blonde comptait bien se lier à sa génitrice autrement.
Elle préférait mettre fin à cette conversation et la tourner vers Sven, vers ce qu'il avait pu faire pendant les quasi deux semaines où elle s'était envolée pour l'Argentine. Le blond était comme un frère pour elle et elle le connaissait assez pour savoir que sa vie pouvait prendre un tournant à 90° en seulement quelques jours. Elle s'attendait à tout et à rien et évidemment, comme toutes les gonzesses, elle ne pouvait s'empêcher de poser la question de la gente féminine. A quoi Kaplov se faisait un plaisir d'en parler sans rien dévoiler, piquant furieusement la curiosité de Sullivan, au point où elle lui mettait un petit coup sur l'épaule. « Mais parle là! Qu'est-ce que tu attends? Que je te foute à la flotte pour te faire parler? » Mouais, c'est sûr, avec sa carrure de mouche comparée à la sienne, on y croyait beaucoup à cette possibilité... Quoi qu'avec les roulettes sur le transat, tout était possible. Pas aussi musclée que lui mais ingénieuse la petite!
A ses paroles, elle n'ajoutait qu'un simple sourire avant de continuer à siroter son cocktail. Il avait peut-être raison. Un jour, peut-être, sa mère viendra avec elle, passera la frontière et Adélaïde sera assez à l'aise avec l'espagnol pour discuter avec elle et renouer de vrais liens. Elle ne s'attendait pas à ce qu'elles tissent un lien de mère-fille, c'était impossible, ça se construisait avec l'enfance et surtout ça s'entretenait avec le temps. De temps, elles n'en avaient pas eu et même si elles tentaient de le rattraper, elles étaient deux adultes dorénavant et le lien ne sera jamais aussi fort qu'entre un enfant et un adulte. Adélaïde tout comme sa mère avait perdu cette opportunité mais la blonde comptait bien se lier à sa génitrice autrement.
Elle préférait mettre fin à cette conversation et la tourner vers Sven, vers ce qu'il avait pu faire pendant les quasi deux semaines où elle s'était envolée pour l'Argentine. Le blond était comme un frère pour elle et elle le connaissait assez pour savoir que sa vie pouvait prendre un tournant à 90° en seulement quelques jours. Elle s'attendait à tout et à rien et évidemment, comme toutes les gonzesses, elle ne pouvait s'empêcher de poser la question de la gente féminine. A quoi Kaplov se faisait un plaisir d'en parler sans rien dévoiler, piquant furieusement la curiosité de Sullivan, au point où elle lui mettait un petit coup sur l'épaule. « Mais parle là! Qu'est-ce que tu attends? Que je te foute à la flotte pour te faire parler? » Mouais, c'est sûr, avec sa carrure de mouche comparée à la sienne, on y croyait beaucoup à cette possibilité... Quoi qu'avec les roulettes sur le transat, tout était possible. Pas aussi musclée que lui mais ingénieuse la petite!
- Sven KaplovI'm a Mother Fucker
-
Dollars : 2347
Messages : 204
Date d'inscription : 10/03/2018
Avatar : Scott Eastwood
Crédits : feu ardent ♥
Âge du personnage : 29 ans
Nationalité(s) : Russe, Américaine
Mon personnage, en 5 mots : charismatique, businessman, manipulateur, loyal, séducteur
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : Directeur du Legacy
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : Célibataire (par choix)
Toujours là pour te faire rire, ta précieuse Adélaïde venait de trouver une fois de plus les mots pour te rendre un plus heureux. C’était indéniable qu’elle était une femme magnifique qui était en mesure de charmer n’importe qui, mais pour toi elle était devenue bien plus que ça, elle était devenue l’une des rares, si ce n’est la seule personne à qui tu te sentais de pouvoir te confier.
« Tu me connais bien ma chère, les femmes sont bien la seule chose à laquelle je ne peux résister, le stéréotype de l’homme riche dans cette ville ! »
Léger sourire que tu esquisses, c’est bien là pourtant la vérité, tu n’as jamais su résister à un doux regard et c’est là ta plus grande faiblesse mais tu es sûr et certain d’une chose, un jour viendra où tu te sentiras de présenter la femme de ta vie à Adélaïde, ce jour-là tu seras un homme heureux qui voudra partager son bonheur avec celle que tu considères comme ta sœur.
Mais pour l’heure tu continues à errer, t’es incertain de tes sentiments parce que tu n’as jamais vraiment su aimer, tu n’as jamais voulu t’accrocher parce que la vie que tu as choisi te l’interdit, parce qu’aimer quelqu’un c’est la mettre directement en danger de mort, alors quand tu vois que ça devient sérieux, tu t’éloignes, tu prétextes, et tu t’entes d’oublier avec l’un de tes merveilleux whiskys.
Aujourd’hui cependant tu n’as pas l’air d’avoir le choix, tu soupires légèrement alors qu’Adélaïde fini de poser sa question, puis tu t’allonges bien confortablement dans ton transat, lunettes de soleil sur le nez. Tu tentes de choisir tes mots avec beaucoup d’attention, tu veux qu’elle comprenne réellement ce dont tu vas lui parler, car même si tu feins ton désintérêt, la vérité c’est que t’as envie d’avoir le point de vue la belle à côté de toi, parce qu’elle, elle s’y connaît sûrement mieux que toi dans le domaine.
« Si je te disais que mon cœur est partagé, que d’un côté j’ai les doux murmures d’une démone diablement sexy au comportement et à la démarche totalement badass et que de l’autre j’entends la douce voix d’un ange au visage fin et au cœur tendre. Si je te disais que je suis perdu dans un océan de sentiment dans lequel j’ai l’impression de me noyer, que j’ai tout envie de laisser tomber et de troquer ça pour une bonne bouteille de whisky. »
La vérité tu venais de la révéler d’un coup sans forçage de main de sa part, sans avoir pourquoi, cette fois tu n’avais pas tenu tête à la jolie blonde.
« Comment tu fais toi ? Peut-être que je me suis trop habitué à ma vie de débauche en loup solitaire. »
Tu fais mine d’esquisser un sourire vers Adélaïde, avant de replacer ton regard vers le ciel, gardant ton air interrogateur. T’es loin de savoir ce qu’elle va te donner comme conseil, remarque ou critique mais ce que tu sais c’est que t’obtiendras des paroles sincères de sa part, et tu l’aimes aussi pour ça ta petite Adélaïde parce que même si tu déconnes beaucoup avec elle, tu sais qu’elle aussi là pour parler de sujets sensibles.
Pyphi(lia)« Tu me connais bien ma chère, les femmes sont bien la seule chose à laquelle je ne peux résister, le stéréotype de l’homme riche dans cette ville ! »
Léger sourire que tu esquisses, c’est bien là pourtant la vérité, tu n’as jamais su résister à un doux regard et c’est là ta plus grande faiblesse mais tu es sûr et certain d’une chose, un jour viendra où tu te sentiras de présenter la femme de ta vie à Adélaïde, ce jour-là tu seras un homme heureux qui voudra partager son bonheur avec celle que tu considères comme ta sœur.
Mais pour l’heure tu continues à errer, t’es incertain de tes sentiments parce que tu n’as jamais vraiment su aimer, tu n’as jamais voulu t’accrocher parce que la vie que tu as choisi te l’interdit, parce qu’aimer quelqu’un c’est la mettre directement en danger de mort, alors quand tu vois que ça devient sérieux, tu t’éloignes, tu prétextes, et tu t’entes d’oublier avec l’un de tes merveilleux whiskys.
Aujourd’hui cependant tu n’as pas l’air d’avoir le choix, tu soupires légèrement alors qu’Adélaïde fini de poser sa question, puis tu t’allonges bien confortablement dans ton transat, lunettes de soleil sur le nez. Tu tentes de choisir tes mots avec beaucoup d’attention, tu veux qu’elle comprenne réellement ce dont tu vas lui parler, car même si tu feins ton désintérêt, la vérité c’est que t’as envie d’avoir le point de vue la belle à côté de toi, parce qu’elle, elle s’y connaît sûrement mieux que toi dans le domaine.
« Si je te disais que mon cœur est partagé, que d’un côté j’ai les doux murmures d’une démone diablement sexy au comportement et à la démarche totalement badass et que de l’autre j’entends la douce voix d’un ange au visage fin et au cœur tendre. Si je te disais que je suis perdu dans un océan de sentiment dans lequel j’ai l’impression de me noyer, que j’ai tout envie de laisser tomber et de troquer ça pour une bonne bouteille de whisky. »
La vérité tu venais de la révéler d’un coup sans forçage de main de sa part, sans avoir pourquoi, cette fois tu n’avais pas tenu tête à la jolie blonde.
« Comment tu fais toi ? Peut-être que je me suis trop habitué à ma vie de débauche en loup solitaire. »
Tu fais mine d’esquisser un sourire vers Adélaïde, avant de replacer ton regard vers le ciel, gardant ton air interrogateur. T’es loin de savoir ce qu’elle va te donner comme conseil, remarque ou critique mais ce que tu sais c’est que t’obtiendras des paroles sincères de sa part, et tu l’aimes aussi pour ça ta petite Adélaïde parce que même si tu déconnes beaucoup avec elle, tu sais qu’elle aussi là pour parler de sujets sensibles.
- Adélaïde SullivanKingdom Come
-
Dollars : 3597
Messages : 497
Date d'inscription : 12/03/2018
Avatar : Nina Agdal
Crédits : malbe (ava) • anesidora (code sign)
Autres comptes : Leaven S. Campbell & Gwyneth Barclay.
Âge du personnage : trente-deux ans (21/03/1990)
Nationalité(s) : Américo-Argentine
Signe astrologique : Bélier
Mon personnage, en 5 mots : Honnête • Charismatique • Passionnée • Joueuse • Séductrice
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : directrice générale du Ritz-Carlton de Los Angeles. (papa propriétaire de Marriott International)
Études (passées ou en cours) : Communication Marketing
Hobby : La danse. Le dessin.
Orientation sexuelle : Bisexuel(le)
Situation sentimentale : En couple
Avec : Aaron Campbell, de nouveau, après une séparation d'un an.
I MISSED YOU, BRO'
Sven & Adélaïde
Elle ne rajoutait rien de particulier mais elle ne pouvait s'empêcher de se dire qu'il n'était pas spécialement le stéréotype des hommes riches de Los Angeles... il était le stéréotype des hommes tout court. Une paire de boobs, à moins d'être homosexuel, ça les retournait tous et les femmes pouvaient en faire ce qu'elle voulait. Il suffisait d'avoir un caractère facile et solaire pour sublimer le tout et le tour était joué. Rien de compliqué pour emballer un homme... ou Adélaïde en avait trop eu l'habitude, allez savoir, c'était peut-être plus difficile pour d'autres femmes qu'une paire de seins et un franc parlé. En attendant, la conversation tournait à l'inverse. Doucement mais sûrement, elle dérivait sur les femmes qui entouraient Sven, sur celles qu'il avait réussi à charmer - et ça n'étonnait pas vraiment la blonde, il fallait pas se leurrer, Sven était bel homme et si elle n'était pas maquée et qu'elle ne le considérait pas comme un frère, elle l'aurait très certainement dragué. Le sérieux s'installait petit à petit, l'impatience de la jeune femme aussi qui ne manquait pas de le faire remarquer pour pousser son ami à parler. Elle l'écoutait, avec attention. Plus il parlait et plus ça sonnait comme une évidence pour Adélaïde mais avant même qu'elle ne puisse lui répondre, il rajoutait quelques mots qui la faisait rire. « Comment je fais? Bah c'est assez simple, je ne fais pas. » Elle riait avant de préciser sa pensée. « J'ai jamais été partagée entre deux personnes, sentimentalement parlant, alors pour ça, je peux pas te donner de solution miracle malheureusement. » Sexuellement c'était autre chose mais en terme de sentiments, son palpitant ne s'était amouraché que d'Aaron, au fil du temps et il était le premier. Jamais elle n'avait été confrontée à ce problème.
En revanche, et ça elle ne manquait pas de lui faire remarquer à sa manière, son regard extérieur lui permettait d'avoir un point de vue radicalement différent de celui de Sven. « Ecoutes-toi parler. Si j'en crois tes mots, t'as une connasse sexy d'un côté et une gentille fille cute de l'autre. A toi de voir si tu veux baser une relation sur le physique ou sur le caractère sachant pertinemment que l'un d'eux va finir par fâner de toute façon. » Et bien entendu, elle parlait de la beauté. Il fallait être réaliste. Si les hommes ont tendance à bonifier avec le temps, ce n'était clairement pas le cas pour les femmes. Si Sven basait sa relation seulement sur le physique, ça n'allait pas tenir dans le temps, d'autant plus si la demoiselle a un mauvais caractère qui risque de vite l'énerver, c'était un risque de voir la relation d'autant plus écourtée. « Cela dit, si la fille fait le canard, ça ira pas non plus. » Pour Adélaïde, Sven était tout ce qu'il y avait de gentil mais ça n'en restait pas moins un homme avec du caractère. « Il faut qu'elle sache s'imposer face à toi sans être trop chiante non plus. » Du caractère pour ne pas se laisser bouffer et écraser par monsieur mais pas au point de l'empêcher de faire tout ce qu'il aime. « Pour commencer, à ta place, je me poserais d'abord la question de savoir si je suis dans une période où je veux être en couple ou pas. » Elle-même avait eu une période comme ça il y a longtemps maintenant. Elle était très attirée par Aaron mais le contexte de sa vie - et celle du brun aussi d'ailleurs - faisait qu'elle n'avait pas l'envie de s'engager. Sven devait d'abord se poser cette question avant d'envisager quoi que ce soit.
En revanche, et ça elle ne manquait pas de lui faire remarquer à sa manière, son regard extérieur lui permettait d'avoir un point de vue radicalement différent de celui de Sven. « Ecoutes-toi parler. Si j'en crois tes mots, t'as une connasse sexy d'un côté et une gentille fille cute de l'autre. A toi de voir si tu veux baser une relation sur le physique ou sur le caractère sachant pertinemment que l'un d'eux va finir par fâner de toute façon. » Et bien entendu, elle parlait de la beauté. Il fallait être réaliste. Si les hommes ont tendance à bonifier avec le temps, ce n'était clairement pas le cas pour les femmes. Si Sven basait sa relation seulement sur le physique, ça n'allait pas tenir dans le temps, d'autant plus si la demoiselle a un mauvais caractère qui risque de vite l'énerver, c'était un risque de voir la relation d'autant plus écourtée. « Cela dit, si la fille fait le canard, ça ira pas non plus. » Pour Adélaïde, Sven était tout ce qu'il y avait de gentil mais ça n'en restait pas moins un homme avec du caractère. « Il faut qu'elle sache s'imposer face à toi sans être trop chiante non plus. » Du caractère pour ne pas se laisser bouffer et écraser par monsieur mais pas au point de l'empêcher de faire tout ce qu'il aime. « Pour commencer, à ta place, je me poserais d'abord la question de savoir si je suis dans une période où je veux être en couple ou pas. » Elle-même avait eu une période comme ça il y a longtemps maintenant. Elle était très attirée par Aaron mais le contexte de sa vie - et celle du brun aussi d'ailleurs - faisait qu'elle n'avait pas l'envie de s'engager. Sven devait d'abord se poser cette question avant d'envisager quoi que ce soit.
- Sven KaplovI'm a Mother Fucker
-
Dollars : 2347
Messages : 204
Date d'inscription : 10/03/2018
Avatar : Scott Eastwood
Crédits : feu ardent ♥
Âge du personnage : 29 ans
Nationalité(s) : Russe, Américaine
Mon personnage, en 5 mots : charismatique, businessman, manipulateur, loyal, séducteur
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : Directeur du Legacy
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : Célibataire (par choix)
Les conversations que tu avais partagées avec Adélaïde n’avaient jamais atteint ce stade de sérieux, jamais tu n’avais réellement osé parler de tes sentiments ou de tout ce qui y touchait, t’étais pourtant pas le genre de mec à être pudique, mais sur ça t’étais loin d’être à l’aise et pourtant face à toi, t’avais cette jolie gueule d’ange qui t’écoutait avec attention, celle qui ne t’avait jamais jugé et sûrement celle en qui tu avais le plus confiance.
Plus tu l’écoutais et plus tu te rendais compte que ce qu’elle disait avait du sens, pendant longtemps, très (trop ?) longtemps, tu avais côtoyé cette femme qui avait effacé toute lumière de ta vie pour te plonger dans les ténèbres et t’orienter vers le chemin qu’elle avait choisi, ce même chemin que tu serais encore en train d’arpenter si tu n’avais pas rencontré @Anastasia Dawkins.
Cependant, Adé ne connaissait pas ta grande part d’ombre, t’aurais-t-elle quand même recommandé ce choix si elle savait ce que tu faisais quand elle n’est pas là, te pousserait-t-elle dans les bras d’un ange alors que tout ce que tu es en réalité se rapproche plus d’un monstre qu’autre chose, t’aimerais t’ouvrir réellement à elle, mais quand tu prends deux secondes pour la regarder, observer son sourire, quand tu repenses aux moments que vous avez passé ensemble, tu te dis que c’est sûrement mieux qu’elle ne connaisse que le masque que tu portes, qu’elle ne te connaisse pas vraiment.
« Tu as peut-être raison, mais je ne sais pas si un mec comme moi mérite plus une gentille fille, j’ai plus de points en commun avec la méchante, tu sais. »
Un léger sourire que tu laisses sur tes lèvres, au moins tu auras été honnête avec elle-même si elle ne te croira jamais, pour cette gueule d’ange, tu resteras le businessman lambda, ceci dit ça ne t’empêche pas de continuer à l’écouter, car au fond même si elle ne sait pas tout de toi, elle en connaît déjà plus que beaucoup.
Du caractère, oui, c’est nécessaire, t’as besoin de ça dans ta vie sentimentale, t’as besoin qu’on te tienne tête parfois, parce que dans ton business personne ose questionner tes choix au risque de recevoir une balle, elle est la réalité de la chose, toute ta vie, tu n’as pratiquement connu que des sbires acquiesçant à chacune de tes paroles, à chacun de tes ordres, Adé, c’est sûrement l’une des seules qui est capable aujourd’hui de te remettre à ta place comme il se doit, parce que pour elle t’es normal et c’est sûrement pour ça que tu l’apprécies aussi.
« Je suis d’accord pour le caractère, t’as raison. Mais je suis facile à vivre non ? Je t'ai pas traumatisé !»
Existait-il une réelle période pour un mafieux russe pour être en couple, au fond de toi, tu savais que la réponse sage était négative, mais tu ne pouvais pas rester seul toute ta vie, tu avais besoin d’un pilier sur lequel compte, assez fort pour ne pas s’écrouler dans les périodes sombres, une oreille qui saurait écouter sans te juger, une bouche qui pourrait te conseiller, une main qui pourrait t’apaiser, tant de choses qui pourrait changer l’homme que tu es en une version meilleure.
« Il n’y aura jamais de bonne période Adé, plus les années passe et plus je me rends compte qu’il me manque quelque chose, un vide que je tente de combler par bien des manières. »
Adé était là, elle était vraiment importante à tes yeux et tu savais qu’elle était prête à écouter tout ce que tu avais à dire, qu’elle-même était prête à te soutenir, mais tu voulais pouvoir compter aussi sur quelqu’un d’autre, quelqu’un qui pourrait connaître tout de toi, le bon comme le mauvais, la lumière comme les ténèbres, la haine comme l’amour.
Le regard posé sur la belle, tu tentais de garder ce sourire aux lèvres tentant de coller à ton image de mec riche et fun, mais la vérité, c’était que là, face à elle, t’étais vraiment sérieux et chaque mot qui sortait de ta bouche était mesuré.
Pyphi(lia)Plus tu l’écoutais et plus tu te rendais compte que ce qu’elle disait avait du sens, pendant longtemps, très (trop ?) longtemps, tu avais côtoyé cette femme qui avait effacé toute lumière de ta vie pour te plonger dans les ténèbres et t’orienter vers le chemin qu’elle avait choisi, ce même chemin que tu serais encore en train d’arpenter si tu n’avais pas rencontré @Anastasia Dawkins.
Cependant, Adé ne connaissait pas ta grande part d’ombre, t’aurais-t-elle quand même recommandé ce choix si elle savait ce que tu faisais quand elle n’est pas là, te pousserait-t-elle dans les bras d’un ange alors que tout ce que tu es en réalité se rapproche plus d’un monstre qu’autre chose, t’aimerais t’ouvrir réellement à elle, mais quand tu prends deux secondes pour la regarder, observer son sourire, quand tu repenses aux moments que vous avez passé ensemble, tu te dis que c’est sûrement mieux qu’elle ne connaisse que le masque que tu portes, qu’elle ne te connaisse pas vraiment.
« Tu as peut-être raison, mais je ne sais pas si un mec comme moi mérite plus une gentille fille, j’ai plus de points en commun avec la méchante, tu sais. »
Un léger sourire que tu laisses sur tes lèvres, au moins tu auras été honnête avec elle-même si elle ne te croira jamais, pour cette gueule d’ange, tu resteras le businessman lambda, ceci dit ça ne t’empêche pas de continuer à l’écouter, car au fond même si elle ne sait pas tout de toi, elle en connaît déjà plus que beaucoup.
Du caractère, oui, c’est nécessaire, t’as besoin de ça dans ta vie sentimentale, t’as besoin qu’on te tienne tête parfois, parce que dans ton business personne ose questionner tes choix au risque de recevoir une balle, elle est la réalité de la chose, toute ta vie, tu n’as pratiquement connu que des sbires acquiesçant à chacune de tes paroles, à chacun de tes ordres, Adé, c’est sûrement l’une des seules qui est capable aujourd’hui de te remettre à ta place comme il se doit, parce que pour elle t’es normal et c’est sûrement pour ça que tu l’apprécies aussi.
« Je suis d’accord pour le caractère, t’as raison. Mais je suis facile à vivre non ? Je t'ai pas traumatisé !»
Existait-il une réelle période pour un mafieux russe pour être en couple, au fond de toi, tu savais que la réponse sage était négative, mais tu ne pouvais pas rester seul toute ta vie, tu avais besoin d’un pilier sur lequel compte, assez fort pour ne pas s’écrouler dans les périodes sombres, une oreille qui saurait écouter sans te juger, une bouche qui pourrait te conseiller, une main qui pourrait t’apaiser, tant de choses qui pourrait changer l’homme que tu es en une version meilleure.
« Il n’y aura jamais de bonne période Adé, plus les années passe et plus je me rends compte qu’il me manque quelque chose, un vide que je tente de combler par bien des manières. »
Adé était là, elle était vraiment importante à tes yeux et tu savais qu’elle était prête à écouter tout ce que tu avais à dire, qu’elle-même était prête à te soutenir, mais tu voulais pouvoir compter aussi sur quelqu’un d’autre, quelqu’un qui pourrait connaître tout de toi, le bon comme le mauvais, la lumière comme les ténèbres, la haine comme l’amour.
Le regard posé sur la belle, tu tentais de garder ce sourire aux lèvres tentant de coller à ton image de mec riche et fun, mais la vérité, c’était que là, face à elle, t’étais vraiment sérieux et chaque mot qui sortait de ta bouche était mesuré.
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forumPage 1 sur 2 • 1, 2
|
|