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YESTERDAY'S NEWS |48
- Anastasia DawkinsI'm a Mother Fucker
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Dollars : 2498
Messages : 438
Date d'inscription : 19/03/2018
Avatar : Blake Lively
Crédits : Moses. (Avatar) Beylin (signature)
Autres comptes : Evangeline C. Carstairs
Âge du personnage : 28
Nationalité(s) : Britannique
Signe astrologique : Cancer
Mon personnage, en 5 mots : to be continued very soon
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : Professeure de Lettres
Hobby : Surf
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : Célibataire (par dépit)
@Sven Kaplov & Anastasia Dawkins
Les voyages. Une grande partie de la vie d’Anastasia ces dernières années. Elle se perdait souvent dans tous ses souvenirs, regrettant parfois d’y avoir mis un terme et d’avoir été coupé dans sa lancée par l’opération forcée mais les regrets n’y changeront rien. Le jeune homme semblait boire ses paroles quand il lui demanda de choisir sa plus belle expérience, une seule et unique expérience parmi tout ce qu’elle avait pu découvrir. C’était un exercice compliqué qu’elle n’était pas sûr de réussir.
«Probablement en Nouvelle Zélande, c’est un des endroits les plus merveilleux qu’il m’ait été donné de voir, surtout de nuit. Entre les ciels étoilés beaucoup plus clair qu’ici et les aurores australes, c’est vraiment un spectacle sublime et un sentiment d’apaisement que je n’ai jamais retrouvé ailleurs. Toutes les couleurs qui semblent danser dans le ciel, c’est vraiment à voir de ses propres yeux au moins une fois dans sa vie. »
La jeune femme était réellement passionnée par ses voyages, et avait tendance à se révéler complètement lorsqu’elle en parlait, parcouru par les flots d’émotions de tout ce qu’elle avait pu traverser. La Nouvelle Zélande avait été son havre de paix dans sa vie très mouvementé de l’époque, l’un de ses derniers périples avant son retour en Angleterre pour son anniversaire et l’opération. Sven ne trouvait aucun défaut à la jeune femme, ce qui la fit sourire tout en lui donnant mal au cœur. Il n’en dirait probablement pas autant s’il savait toute la vérité, de son passé de soirée à l’excès à sa volonté de mourir à la découverte de sa maladie. Ana avait parfois du mal à voir autre chose que ses défauts, elle avait du mal à se rappeler comment elle était avant tout ça, avant le diagnostic, avant de ne pas réfléchir à quoi que ce soit. Plus le temps passait, et plus elle avait de mal à vivre avec tout ce poids sur ses épaules. Elle ironisa simplement, afin de ne pas se laisser submerger par tout ça comme elle avait tendance à le faire.
« Comme je t’ai dit, je ne dévoile jamais mon jeu. Tu auras largement le temps de découvrir mes défauts »
Lorsqu’elle aborda le travail du russe, cherchant à en savoir un peu plus, à voir si comme son père il ne trempait pas que dans l’immobilier mais aussi quelques affaires qui se passerait plus discrètement. Malheureusement elle n’obtint pas de vraie réponse à ce propos, et n’en aurait probablement pas. Anastasia eu quelques secondes de déception, de ne pas en savoir plus et passa vite à autre chose comme elle le faisait souvent quand elle n’obtenait pas les réponses qu’elle voulait. Le russe aborda ses balades nocturnes ce qui fit rêvasser à voix haute la blonde, qui se perdait dans ses pensées avant de revenir à la réalité. Visiblement il partageait sa vision des choses, malgré la mélancolie de ses réflexions.
Les sujets fusaient entre les deux jeunes gens, tantôt sérieux comme ils venaient de l’être, tantôt beaucoup plus frivole à parler simplement de leur plat favoris, les pizzas pour Anastasia. Leur choix contrastait affreusement avec le restaurant où ils se trouvaient, très distingué et probablement renommé. Cela fit sourire la jeune femme. Elle savourait son plat, qui coutait probablement bien plus cher que ce qu’il aurait été raisonnable de payer, mais elle s’en fichait.
La jolie blonde demanda alors à Sven qui savourait tout comme elle son plat de choisir entre vérité et bonheur. Elle cherchait un peu de soutient, voir des débuts de réponses dans celle de l’homme qui se tenait face à elle et qui ne savait quasiment rien d’elle. Il était donc parfaitement impartial et permettrait peut-être à Ana d’enfin se décider. Elle écouta l’avis du russe, cherchant la moindre phrase qui l’aiderait à comprendre, à peser le pour et le contre mais son avis aidait la jeune femme autant que cela la perdait. Elle se perdit dans ses réflexions et un silence s’installa alors qu’il continuait de manger. Etait-elle vraiment prête à confronter sa famille ? A apprendre ce qu’elle redoutait ?
« Oh comme ça, pour faire la conversation. » Ana fixait son assiette fuyant le regard du jeune homme, elle était bonne actrice mas piètre menteuse lorsque ça la touchait directement, bien qu’elle réussisse généralement bien à cacher ses émotions. « Est-ce que tout le monde ne cache pas des vérités ? Que ce soit aux autres ou à soit même… »
Elle se retrouvait prise au piège de sa propre question, ne sachant pas quoi répondre. Attendait-elle une réponse ou cherchait-elle à cacher certaine chose ? Elle n’en était pas vraiment sûre mais elle avait pu constater que le visage de Sven était plus tendu que quelques secondes auparavant.
« Je ne pense pas qu’il soit utile de poser des questions auxquelles on a déjà les réponses, surtout quand l’autre personne n’a pas envie de vous les donner et il en va de même pour les questions dont on n’est pas prêt à entendre les réponses » La jeune femme était persuadée qu’il ne gérait pas que de l’immobilier, on ne pouvait pas réussir aussi rapidement et aussi facilement sans se salir au moins un peu les mains, et il était compréhensible qu’il ne veuille pas en parler à une femme rencontré à peine quelques heures auparavant. Même s’il avait été prêt à le faire, ça n’aurait pas été malin de sa part car elle aurait tout aussi bien pu être flic qu’une simple surfeuse. Quant à ses propres questions, il ne pourrait pas y répondre directement, et c’était à elle seule de prendre sa décision.
Les serveurs emmenaient les assiettes vides et apportèrent par la même occasion celle des desserts. Lorsque le jeune homme lui demanda son avis, Ana acquiesça avant de se plonger dans son menu, sans vraiment voir quoi que ce soit. Beaucoup trop de chose se bousculait dans son cerveau à l’heure actuelle. Elle avait bien conscience que le pique qu’elle avait lancé à Sven n’allait pas le réjouir, mais elle s’était décidée à être honnête. Elle ne demandait pas de réponse, mais elle ne comptait pas non plus jouer les idiotes qui ne savaient pas ce que son travail pouvait impliquer.
«Probablement en Nouvelle Zélande, c’est un des endroits les plus merveilleux qu’il m’ait été donné de voir, surtout de nuit. Entre les ciels étoilés beaucoup plus clair qu’ici et les aurores australes, c’est vraiment un spectacle sublime et un sentiment d’apaisement que je n’ai jamais retrouvé ailleurs. Toutes les couleurs qui semblent danser dans le ciel, c’est vraiment à voir de ses propres yeux au moins une fois dans sa vie. »
La jeune femme était réellement passionnée par ses voyages, et avait tendance à se révéler complètement lorsqu’elle en parlait, parcouru par les flots d’émotions de tout ce qu’elle avait pu traverser. La Nouvelle Zélande avait été son havre de paix dans sa vie très mouvementé de l’époque, l’un de ses derniers périples avant son retour en Angleterre pour son anniversaire et l’opération. Sven ne trouvait aucun défaut à la jeune femme, ce qui la fit sourire tout en lui donnant mal au cœur. Il n’en dirait probablement pas autant s’il savait toute la vérité, de son passé de soirée à l’excès à sa volonté de mourir à la découverte de sa maladie. Ana avait parfois du mal à voir autre chose que ses défauts, elle avait du mal à se rappeler comment elle était avant tout ça, avant le diagnostic, avant de ne pas réfléchir à quoi que ce soit. Plus le temps passait, et plus elle avait de mal à vivre avec tout ce poids sur ses épaules. Elle ironisa simplement, afin de ne pas se laisser submerger par tout ça comme elle avait tendance à le faire.
« Comme je t’ai dit, je ne dévoile jamais mon jeu. Tu auras largement le temps de découvrir mes défauts »
Lorsqu’elle aborda le travail du russe, cherchant à en savoir un peu plus, à voir si comme son père il ne trempait pas que dans l’immobilier mais aussi quelques affaires qui se passerait plus discrètement. Malheureusement elle n’obtint pas de vraie réponse à ce propos, et n’en aurait probablement pas. Anastasia eu quelques secondes de déception, de ne pas en savoir plus et passa vite à autre chose comme elle le faisait souvent quand elle n’obtenait pas les réponses qu’elle voulait. Le russe aborda ses balades nocturnes ce qui fit rêvasser à voix haute la blonde, qui se perdait dans ses pensées avant de revenir à la réalité. Visiblement il partageait sa vision des choses, malgré la mélancolie de ses réflexions.
Les sujets fusaient entre les deux jeunes gens, tantôt sérieux comme ils venaient de l’être, tantôt beaucoup plus frivole à parler simplement de leur plat favoris, les pizzas pour Anastasia. Leur choix contrastait affreusement avec le restaurant où ils se trouvaient, très distingué et probablement renommé. Cela fit sourire la jeune femme. Elle savourait son plat, qui coutait probablement bien plus cher que ce qu’il aurait été raisonnable de payer, mais elle s’en fichait.
La jolie blonde demanda alors à Sven qui savourait tout comme elle son plat de choisir entre vérité et bonheur. Elle cherchait un peu de soutient, voir des débuts de réponses dans celle de l’homme qui se tenait face à elle et qui ne savait quasiment rien d’elle. Il était donc parfaitement impartial et permettrait peut-être à Ana d’enfin se décider. Elle écouta l’avis du russe, cherchant la moindre phrase qui l’aiderait à comprendre, à peser le pour et le contre mais son avis aidait la jeune femme autant que cela la perdait. Elle se perdit dans ses réflexions et un silence s’installa alors qu’il continuait de manger. Etait-elle vraiment prête à confronter sa famille ? A apprendre ce qu’elle redoutait ?
« Oh comme ça, pour faire la conversation. » Ana fixait son assiette fuyant le regard du jeune homme, elle était bonne actrice mas piètre menteuse lorsque ça la touchait directement, bien qu’elle réussisse généralement bien à cacher ses émotions. « Est-ce que tout le monde ne cache pas des vérités ? Que ce soit aux autres ou à soit même… »
Elle se retrouvait prise au piège de sa propre question, ne sachant pas quoi répondre. Attendait-elle une réponse ou cherchait-elle à cacher certaine chose ? Elle n’en était pas vraiment sûre mais elle avait pu constater que le visage de Sven était plus tendu que quelques secondes auparavant.
« Je ne pense pas qu’il soit utile de poser des questions auxquelles on a déjà les réponses, surtout quand l’autre personne n’a pas envie de vous les donner et il en va de même pour les questions dont on n’est pas prêt à entendre les réponses » La jeune femme était persuadée qu’il ne gérait pas que de l’immobilier, on ne pouvait pas réussir aussi rapidement et aussi facilement sans se salir au moins un peu les mains, et il était compréhensible qu’il ne veuille pas en parler à une femme rencontré à peine quelques heures auparavant. Même s’il avait été prêt à le faire, ça n’aurait pas été malin de sa part car elle aurait tout aussi bien pu être flic qu’une simple surfeuse. Quant à ses propres questions, il ne pourrait pas y répondre directement, et c’était à elle seule de prendre sa décision.
Les serveurs emmenaient les assiettes vides et apportèrent par la même occasion celle des desserts. Lorsque le jeune homme lui demanda son avis, Ana acquiesça avant de se plonger dans son menu, sans vraiment voir quoi que ce soit. Beaucoup trop de chose se bousculait dans son cerveau à l’heure actuelle. Elle avait bien conscience que le pique qu’elle avait lancé à Sven n’allait pas le réjouir, mais elle s’était décidée à être honnête. Elle ne demandait pas de réponse, mais elle ne comptait pas non plus jouer les idiotes qui ne savaient pas ce que son travail pouvait impliquer.
panic!attack
- Sven KaplovI'm a Mother Fucker
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Dollars : 2347
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Date d'inscription : 10/03/2018
Avatar : Scott Eastwood
Crédits : feu ardent ♥
Âge du personnage : 29 ans
Nationalité(s) : Russe, Américaine
Mon personnage, en 5 mots : charismatique, businessman, manipulateur, loyal, séducteur
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : Directeur du Legacy
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : Célibataire (par choix)
La nouvelle Zélande ? Pendant quelques instants tu t'imaginais le paysage que décrivait la belle, t'aurais bien aimé pouvoir le voir par tes propres yeux, mais en voyant les siens qui semblaient si étoilés, ça suffisait pour te convaincre que ça devait être une destination absolument magnifique, peut-être même que tu pourrais t'y rendre pour tes vieux jours, si bien sûr tu résistais aux dures épreuves de la vie qui t'attendait. Un paysage coloré, ça te parlais pas vraiment, toi la seule couleur que tu voyais en dehors du noir et blanc, c'était le rouge du sang que tu avais sur les mains.
J'avoue ne pas connaître mais le tableau que tu me décris me donne réellement envie d'aller voir ce pays, si j'en ai un jour l'occasion.
Léger rire gêné que tu n'essai pas de retenir tandis que tu replaces ton regard que tu avais porté sur l'horizon dans les yeux de la jolie blonde.
Tu souriais sans répondre, t'avais en face de toi ce qui semblait être une adversaire de taille, comme Neo qui évite les balles dans Matrix, vous sembliez tout deux tout faire pour répondre avec le moins de détails possible tentant de ne pas trop en révéler et à ce jeu t'avais été formé toute ta vie, en ce moment même tu portais ton masque de gentil citoyen honnête détenteur d'un jolie nightclub qui prospérait, ce masque qui cachait une part de démon derrière.
Et instinctivement tu te demandais ce que cachait celui d'Anastasia, elle aussi portait un masque sinon pourquoi mettrais t-elle du temps à dévoiler son jeu si ce n'est pour t'intriguer un peu plus et te forcer à te dévoiler toi aussi.
Tu remarquas avec assez d'aisance le regard fuyant de la belle, tes compétences de malfrats te semblais bien utile dans des situations comme ça, pour une fois que tu t'en servais pas pour faire le mal, tu n'allais pas te priver.
Sa question t'avais frappé par sa complexité et observant son attitude face à ta réponse, t'en conclus rapidement que ta réponse l'avait déstabilisé, tu ne préférais cependant pas partir dans un jeu d'interrogatoire, t'aurais pas aimé vraiment qu'on te questionne dans sa position alors tu respectas cela et tu répondis tout de même en donnant encore ton avis.
Je pense qu'on porte tous un masque, l'important c'est d'être conscient que c'est le cas pour ne pas en devenir dépendant et être condamné à porter ce poids toute sa vie.
Tu savais de quoi tu parlais, n'est ce pas Sven ? Toi le beau jeune homme à la gueule d'ange, business man le jour, participant à la vie active de la ville, serrant des mains et signant des contrats, prince de la nuit, terreur nocturne répondant au nom de Whistle, ce masque qui te collait un peu plus à la peau chaque seconde que tu le portais, celui-là même qui te faisais te sentir bien là, assis dans ce magnifique restaurant, face à une magnifique femme que tu dévorais du regard tandis qu'elle te contais ses aventures, qu'elle te parlait d'elle, qu'elle te demandait ton avis, t'avais l'impression de passer pour un homme innocent aujourd'hui et honnêtement ça te faisais du bien même si t'étais conscient que tu te mentais à toi même, t'embrassais ce doux mensonge.
Sourire dressé sur tes lèvres, tu continuais à croquer dans ce petit moment rien qu'à toi à plein dents, faisant ton maximum pour répondre avec le plus d'honnêteté possible.
Mais si on a déjà la réponse c'est un bon moyen de savoir si la personne qui détient la vérité est prête à la donner ou préfère livrer un jolie mensonge dressé sur un plateau d'argent, non ?
Une question en entraînant, une réponse en entraînant également une autre, tu n'avais pas vu le temps passer alors que la carte des desserts se présentait désormais à toi, là le regard rivé sur ta carte, l'air sérieux pris pour ton choix comme si ça allait changer ta vie, tu te faisais un rapide débriefing dans la tête de ce repas que vous aviez partagé, t'avais beaucoup appris sur qui était Anastasia, mais t'étais sûrement loin, bien loin de tout savoir d'elle et tu devais avouer que maintenant tu avais envie de voir ce qui se cachait derrière ce masque, derrière cette fragilité qu'elle venait de te montrer avec les questions qu'elle t'avait posé, t'avais envie d'être toi, ou plutôt l'infime partie de toi qui était encore pure, et pas rongé par le mal, tu souriais bêtement alors que tu refermais en claquant la carte des menus, tu venais croiser tes jambes, les yeux à nouveau rivés sur la belle alors que tu donnais ta commande au serveur.
Je vais vous prendre un café gourmand. Si toutefois je peux me fier à la deuxième partie du nom de cette petite merveille.
Sourire au coin, tu t'enfonçais dans ta chaise, et sans que tu ne saches vraiment pourquoi, une question ou plutôt la question, s'échappas de ta bouche, heureusement pour toi ces mots sortirent accompagné de ton petit sourire prônant l'innocence.
Dis moi Anastasia, aimes-tu vivre dangereusement, te sentir bien en vie pendant quelques minutes, quelques secondes ?
A mesure que tes paroles passaient de ta bouche à son oreille, tu réalisais qu'elle t'avais annoncé ce qui lui été arrivé, une transplantation cardiaque, était-ce là vraiment la meilleure question que t'avais à posé ? Probablement pas, mais tu ne pouvais pas défaire ce qui avait été fait à présent. Tu allais en apprendre un peu plus sur ce doux visage que tu contemplais depuis maintenant bien des minutes.
Pyphi(lia)J'avoue ne pas connaître mais le tableau que tu me décris me donne réellement envie d'aller voir ce pays, si j'en ai un jour l'occasion.
Léger rire gêné que tu n'essai pas de retenir tandis que tu replaces ton regard que tu avais porté sur l'horizon dans les yeux de la jolie blonde.
Tu souriais sans répondre, t'avais en face de toi ce qui semblait être une adversaire de taille, comme Neo qui évite les balles dans Matrix, vous sembliez tout deux tout faire pour répondre avec le moins de détails possible tentant de ne pas trop en révéler et à ce jeu t'avais été formé toute ta vie, en ce moment même tu portais ton masque de gentil citoyen honnête détenteur d'un jolie nightclub qui prospérait, ce masque qui cachait une part de démon derrière.
Et instinctivement tu te demandais ce que cachait celui d'Anastasia, elle aussi portait un masque sinon pourquoi mettrais t-elle du temps à dévoiler son jeu si ce n'est pour t'intriguer un peu plus et te forcer à te dévoiler toi aussi.
Tu remarquas avec assez d'aisance le regard fuyant de la belle, tes compétences de malfrats te semblais bien utile dans des situations comme ça, pour une fois que tu t'en servais pas pour faire le mal, tu n'allais pas te priver.
Sa question t'avais frappé par sa complexité et observant son attitude face à ta réponse, t'en conclus rapidement que ta réponse l'avait déstabilisé, tu ne préférais cependant pas partir dans un jeu d'interrogatoire, t'aurais pas aimé vraiment qu'on te questionne dans sa position alors tu respectas cela et tu répondis tout de même en donnant encore ton avis.
Je pense qu'on porte tous un masque, l'important c'est d'être conscient que c'est le cas pour ne pas en devenir dépendant et être condamné à porter ce poids toute sa vie.
Tu savais de quoi tu parlais, n'est ce pas Sven ? Toi le beau jeune homme à la gueule d'ange, business man le jour, participant à la vie active de la ville, serrant des mains et signant des contrats, prince de la nuit, terreur nocturne répondant au nom de Whistle, ce masque qui te collait un peu plus à la peau chaque seconde que tu le portais, celui-là même qui te faisais te sentir bien là, assis dans ce magnifique restaurant, face à une magnifique femme que tu dévorais du regard tandis qu'elle te contais ses aventures, qu'elle te parlait d'elle, qu'elle te demandait ton avis, t'avais l'impression de passer pour un homme innocent aujourd'hui et honnêtement ça te faisais du bien même si t'étais conscient que tu te mentais à toi même, t'embrassais ce doux mensonge.
Sourire dressé sur tes lèvres, tu continuais à croquer dans ce petit moment rien qu'à toi à plein dents, faisant ton maximum pour répondre avec le plus d'honnêteté possible.
Mais si on a déjà la réponse c'est un bon moyen de savoir si la personne qui détient la vérité est prête à la donner ou préfère livrer un jolie mensonge dressé sur un plateau d'argent, non ?
Une question en entraînant, une réponse en entraînant également une autre, tu n'avais pas vu le temps passer alors que la carte des desserts se présentait désormais à toi, là le regard rivé sur ta carte, l'air sérieux pris pour ton choix comme si ça allait changer ta vie, tu te faisais un rapide débriefing dans la tête de ce repas que vous aviez partagé, t'avais beaucoup appris sur qui était Anastasia, mais t'étais sûrement loin, bien loin de tout savoir d'elle et tu devais avouer que maintenant tu avais envie de voir ce qui se cachait derrière ce masque, derrière cette fragilité qu'elle venait de te montrer avec les questions qu'elle t'avait posé, t'avais envie d'être toi, ou plutôt l'infime partie de toi qui était encore pure, et pas rongé par le mal, tu souriais bêtement alors que tu refermais en claquant la carte des menus, tu venais croiser tes jambes, les yeux à nouveau rivés sur la belle alors que tu donnais ta commande au serveur.
Je vais vous prendre un café gourmand. Si toutefois je peux me fier à la deuxième partie du nom de cette petite merveille.
Sourire au coin, tu t'enfonçais dans ta chaise, et sans que tu ne saches vraiment pourquoi, une question ou plutôt la question, s'échappas de ta bouche, heureusement pour toi ces mots sortirent accompagné de ton petit sourire prônant l'innocence.
Dis moi Anastasia, aimes-tu vivre dangereusement, te sentir bien en vie pendant quelques minutes, quelques secondes ?
A mesure que tes paroles passaient de ta bouche à son oreille, tu réalisais qu'elle t'avais annoncé ce qui lui été arrivé, une transplantation cardiaque, était-ce là vraiment la meilleure question que t'avais à posé ? Probablement pas, mais tu ne pouvais pas défaire ce qui avait été fait à présent. Tu allais en apprendre un peu plus sur ce doux visage que tu contemplais depuis maintenant bien des minutes.
- Anastasia DawkinsI'm a Mother Fucker
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Âge du personnage : 28
Nationalité(s) : Britannique
Signe astrologique : Cancer
Mon personnage, en 5 mots : to be continued very soon
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : Professeure de Lettres
Hobby : Surf
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : Célibataire (par dépit)
@Sven Kaplov & Anastasia Dawkins
Anastasia commençait à être mal à l’aise, ne savait plus vraiment où elle en était ni ce qu’elle voulait. Beaucoup de choses se bousculaient sans qu’elle ne sache vraiment quoi faire, sa question avait déclenché l’équivalent d’une véritable tornade dans sa tête. C’était comme si son esprit s’embrumait au fur et à mesure. Difficile pour elle de réfléchir. Elle s’attendait à des réponses fuyantes de la part de Sven, comme depuis le début de leur conversation où les deux prenaient un malin plaisir à répondre en restant le plus évasif possible, mais visiblement le jeu était fini. Forcée de reconnaitre que c’était un avis qu’elle partageait mais qui ne l’aidait pas forcément à choisir, la jeune femme réfléchissait encore à ce qu’il venait de lui dire. Grandir en essayant de toujours faire bonne figure, ne pas chercher à poser trop de question n’avait probablement pas aider et était peut-être même à l’origine de son émancipation et du masque qu’elle avait tendance à revêtir pour se protéger lorsqu’elle rencontrait quelqu’un pour ne pas trop s’ouvrir. Hélas face à Sven le masque se résumait à un loup en dentelle, cachant l’essentielle mais laissant tout de même apparaitre beaucoup de détails, même si elle se sentait suffisamment confiante avec lui pour se dévoiler ainsi, peut-être à tort. Il semblait lire en elle comme dans un livre ouvert.
Juste quand elle reprenait un peu de contenance, admettant à Sven qu’il ne servait à rien de poser des questions auxquels ils ne voulaient pas répondre elle fut une nouvelle fois surprise par le jeune homme. Kaplov marquait un point, il n’y avait pas meilleur moyen de savoir si quelqu’un était honnête que de poser des questions dont on connaissait déjà les réponses, alors c’était bien ce que comptait faire la blonde.
« L’immobilier n’est pas ta seule activité pas vrai ? »
Même si elle avait décidé d’être honnête, de ne pas poser de question sensible pour éviter qu’il ne fasse de même, ils étaient tous deux pris dans ce jeu qu’ils avaient débuter sans s’en rendre compte. Une sorte de valse incessante où chacun évitait soigneusement de répondre à certaine question en détournant le sujet mais après tout, la question d’Anya relevait plus de l’affirmation qu’autre chose. Ni l’un ni l’autre n’était prêt à perdre ce jeu et c’était peut-être ce qui allait y mettre un terme. On pouvait lire le défi dans les yeux d’Anastasia quelques instants avant qu’un serveur vienne les débarrasser, apportant par la même occasion la carte des desserts. Parfait moment de répit pour la jeune femme qui pouvait mettre un peu d’ordre dans ses idées. Que cherchait vraiment Sven ? Rien n’était logique, il restait évasif et tout à coup, c’était comme s’il voulait qu’Anastasia creuse plus que ce qu’il n’était prêt à révéler à une parfaite inconnue. Ses interrogations furent interrompues par Sven, qui commanda un dessert, ce qui pressa la jeune femme dans son choix. Tout semblait excellent et c’était une parfaite distraction à la discussion qui, aux yeux de la jeune femme ne faisait que se tendre un peu plus à chaque échange.
« Un soufflé léger whisky & chocolat, merci. Vous pourrez m’apporter un Darjeeling avec s’il vous plait ? »
Whisky, chocolat et thé, c’était tout ce dont elle avait besoin dans l’immédiat. En regardant autour d’elle, Anastasia pu voir que le restaurant se remplissait doucement, et entendit distinctement depuis l’arrière cuisine quelques cris auxquels elle ne porta pas plus attention que ça.
« Xavier si tu ne te dépêches pas de me préparer la commande de la 6, tu peux dire adieu à ce boulot ! Y a un truc qui crame, bouger vous un peu !»
La jeune femme se concentra à nouveau sur ce qui se passait à sa table, en l’occurrence Sven qui la fixait toujours, lui demandant droit dans les yeux si elle aimait vivre dangereusement. Zut. Une fois de plus elle devait choisir entre dire toute la vérité, rien que la vérité, ou embellir les choses et choisir uniquement les passages agréables. Un large sourire étira malgré tout le visage d’Ana. Si elle aimait vivre dangereusement ? Oh que oui, fut un temps où elle ne vivait que pour ça mais elle n’était pas prête à reconnaître que ces dernières années, qui avait été parmi les plus belle de sa vie, avait aussi été une tentative de suicide à l’adrénaline, elle n’en avait même pas vraiment conscience. Une poussée d’adrénaline l’envahi alors qu’elle se remémorait le saut à l’élastique, la tyrolienne, la plongée et toutes ces activités qu’elle avait fait, tel une junkie en quête de sensation forte. Une étincelle se rallumait dans son regard. Elle n’avait pas oublié toute ses sensations qui lui manquait terriblement.
« Tu cours vite Sven ? »
La jeune femme attrapa ses affaires et se dirigea le plus naturellement du monde vers la sortie, se mettant à courir une fois la terrasse atteinte. Le rush débutait pour le restaurant qui n’aurait probablement pas le temps de les poursuivre. Cela faisait des années qu’elle n’avait plus fait de resto-basket, le dernier remontant à ses années en France. Au fond d’elle, la jeune femme se sentait à demi-coupable seulement, car elle avait l’intention d’y retourner dans l’après-midi afin de régler l’addition mais la possibilité de se faire attraper et d’avoir des ennuies à ce moment très précis suffisait à lui donner une poussée d’adrénaline qu’elle n’avait pas ressenti depuis des mois.
Juste quand elle reprenait un peu de contenance, admettant à Sven qu’il ne servait à rien de poser des questions auxquels ils ne voulaient pas répondre elle fut une nouvelle fois surprise par le jeune homme. Kaplov marquait un point, il n’y avait pas meilleur moyen de savoir si quelqu’un était honnête que de poser des questions dont on connaissait déjà les réponses, alors c’était bien ce que comptait faire la blonde.
« L’immobilier n’est pas ta seule activité pas vrai ? »
Même si elle avait décidé d’être honnête, de ne pas poser de question sensible pour éviter qu’il ne fasse de même, ils étaient tous deux pris dans ce jeu qu’ils avaient débuter sans s’en rendre compte. Une sorte de valse incessante où chacun évitait soigneusement de répondre à certaine question en détournant le sujet mais après tout, la question d’Anya relevait plus de l’affirmation qu’autre chose. Ni l’un ni l’autre n’était prêt à perdre ce jeu et c’était peut-être ce qui allait y mettre un terme. On pouvait lire le défi dans les yeux d’Anastasia quelques instants avant qu’un serveur vienne les débarrasser, apportant par la même occasion la carte des desserts. Parfait moment de répit pour la jeune femme qui pouvait mettre un peu d’ordre dans ses idées. Que cherchait vraiment Sven ? Rien n’était logique, il restait évasif et tout à coup, c’était comme s’il voulait qu’Anastasia creuse plus que ce qu’il n’était prêt à révéler à une parfaite inconnue. Ses interrogations furent interrompues par Sven, qui commanda un dessert, ce qui pressa la jeune femme dans son choix. Tout semblait excellent et c’était une parfaite distraction à la discussion qui, aux yeux de la jeune femme ne faisait que se tendre un peu plus à chaque échange.
« Un soufflé léger whisky & chocolat, merci. Vous pourrez m’apporter un Darjeeling avec s’il vous plait ? »
Whisky, chocolat et thé, c’était tout ce dont elle avait besoin dans l’immédiat. En regardant autour d’elle, Anastasia pu voir que le restaurant se remplissait doucement, et entendit distinctement depuis l’arrière cuisine quelques cris auxquels elle ne porta pas plus attention que ça.
« Xavier si tu ne te dépêches pas de me préparer la commande de la 6, tu peux dire adieu à ce boulot ! Y a un truc qui crame, bouger vous un peu !»
La jeune femme se concentra à nouveau sur ce qui se passait à sa table, en l’occurrence Sven qui la fixait toujours, lui demandant droit dans les yeux si elle aimait vivre dangereusement. Zut. Une fois de plus elle devait choisir entre dire toute la vérité, rien que la vérité, ou embellir les choses et choisir uniquement les passages agréables. Un large sourire étira malgré tout le visage d’Ana. Si elle aimait vivre dangereusement ? Oh que oui, fut un temps où elle ne vivait que pour ça mais elle n’était pas prête à reconnaître que ces dernières années, qui avait été parmi les plus belle de sa vie, avait aussi été une tentative de suicide à l’adrénaline, elle n’en avait même pas vraiment conscience. Une poussée d’adrénaline l’envahi alors qu’elle se remémorait le saut à l’élastique, la tyrolienne, la plongée et toutes ces activités qu’elle avait fait, tel une junkie en quête de sensation forte. Une étincelle se rallumait dans son regard. Elle n’avait pas oublié toute ses sensations qui lui manquait terriblement.
« Tu cours vite Sven ? »
La jeune femme attrapa ses affaires et se dirigea le plus naturellement du monde vers la sortie, se mettant à courir une fois la terrasse atteinte. Le rush débutait pour le restaurant qui n’aurait probablement pas le temps de les poursuivre. Cela faisait des années qu’elle n’avait plus fait de resto-basket, le dernier remontant à ses années en France. Au fond d’elle, la jeune femme se sentait à demi-coupable seulement, car elle avait l’intention d’y retourner dans l’après-midi afin de régler l’addition mais la possibilité de se faire attraper et d’avoir des ennuies à ce moment très précis suffisait à lui donner une poussée d’adrénaline qu’elle n’avait pas ressenti depuis des mois.
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Âge du personnage : 29 ans
Nationalité(s) : Russe, Américaine
Mon personnage, en 5 mots : charismatique, businessman, manipulateur, loyal, séducteur
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : Directeur du Legacy
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : Célibataire (par choix)
T'avais pris une certaine confiance en toi Sven, tu essayais de mesurer le poids des mots que tu faisais sortir de ta bouche et ça te réussissais plutôt bien, quand t'y repensais les conseils que t'avais donné t'y croyais vraiment mais quand elle te demanda si tu avais d'autre activité que l'immobilier, tu te trouvas bien bête, cette jolie petite bouille que t'avais rencontré quelques heures auparavant se dévoilait peu à peu, et tu te rendais compte que face à toi tu avais une femme très attentive, très intelligente, une femme qui était capable de voir ce qui se cachait derrière ton petit sourire charmeur.
Tu laissais un léger sourire paraître sur ton visage, tu replaçais ta serviette sur la table, avant de revenir plonger ton regard dans les yeux de la belle, prêt à lui donner ta réponse.
Effectivement, disons que je suis un businessman et que j'ai plusieurs cordes à mon arc, j'exploite différents filons. Qu'est ce qui m'a trahis ? Si jamais on joue au poker il va falloir que je fasse très très attention, je suis sûr que t'es une adversaire redoutable.
Tu laisses échapper un léger rire, mais tu ne rigoles qu'a moitié à l'intérieur de toi, ce que tu viens de dire tu le penses vraiment, Anastasia pourrait-être bien plus dangereuse que ce que tu le crois, en quelques minutes, heures, elle a réussi à percer ta jolie petite carapace et à te faire dire ce que tu n'aurais jamais dit à d'autres personnes, est-ce que c'est à cause de son regard magnétique, de son sourire charmeur, de sa petite voix mignonne, de sa façon de manier les mots ou d'une parfaite alchimie de tous ces éléments.
Si tu te retrouves un brin fragilisé par la rapidité avec laquelle Anastasia à réussi a faire tomber une partie de ton masque, tu auras au moins le privilège de savoir comment elle a fait, après tout vous jouez cartes sur tables sur des sujets sérieux maintenant.
Tu profitais de ton dessert, dégustant chaque petite bouchée des petites friandises qui avaient été déposés à côté de ton café, tout en ayant le regard posé sur la belle qui faisaient de même, du moins tu le fis un temps, car à peine eu le temps d'entendre la question d'Ana que tu la voyais déjà prendre la direction de la sortie. T'émis un léger rire, quelques paroles s'échappèrent de ta bouche alors que tu la suivais de prêt.
Bien sûr.
Ca faisait longtemps que tu n'avais pas fait de choses de ce genre, de délit en plein jour, et même si ça pouvait te porter préjudice pour ta jolie réputation en ville, tu t'en fichais pas mal, Ana avait su faire ressortir chez toi quelque chose qui était longtemps resté enfouie, quelques chose que tu avais toi même sceller dans un coffre fort, elle semblait être la clef qui venait d'ouvrir l'inverse de la boîte de Pandore, ce n'était pas tous les maux du monde qu'elle venait de libérer, mais un savant mélange de beaux sentiments qui envahissaient peu à peu ton corps.
C'est après avoir couru quelques kilomètres que tu t'arrêtas, ton jogging quotidien semblait porter ses fruits une fois encore.
Sous ce soleil qui rayonnait, tu mourrais de chaud et tu enlevas bien vite ton t-shirt, tu te tournas vers l'océan désireux d'aller te rafraîchir avant de repartir, tu te dirigeas vers celui-ci en marche arrière, le regard fixé sur Anastasia, tu lui faisais signe de venir avec toi.
Après cette course que tu viens de lancer tu ne peux pas me refuser une petite baignade.
Tu souriais bêtement, alors que tu pénétrais doucement dans l'eau fraîche, les yeux toujours rivés sur la belle, t'avais l'impression de revivre après ce petit coup de pression même si il n'avait été qu'éphémère, au moins tu ne doutais pas une seconde de plus qu'Ana était une femme qui aimait vivre dangereusement, tu n'attendais pas une réponse aussi parlante mais, hey, tu devais bien avouer qu'elle était pleine de surprises cette femme à la gueule d'ange.
J'ai la réponse à ma question. Moi qui pensais que derrière ton visage se cachait un petit ange, je vois que tu as de multiples facettes Ana.
T'avais hâte de toutes les découvrir, de connaître chaque partie de cette femme qui t'intriguait au plus haut point, de celle avec qui tu t'étais embrouillé au point de casser sa planche, de celle qui t'avais fait te sentir coupable, de celle qui avait réussi à percer ton masque, de celle qui t'avais entraîné dans une course que tu n'attendais pas.
Anastasia, au fil du temps, elle se révélait être la femme qui manquait à ta vie, celle qui pourrait casser la routine de ta vie, une lumière divine dans ton monde obscure, tu ne la connaissais pas encore assez, ni pour savoir si tu avais de réel sentiments pour elle, ni pour savoir si c'était réciproque, mais à ce moment là de la journée, tu savais que quelque chose en elle t'attirait et tu n'étais pas prêt à te séparer de cette jolie jeune femme.
Tu te rapprochais d'elle, les cheveux mouilles, les gouttes perlant sur ton front.
Ne me dit pas qu'en plus tu es une sirène parce que je vais finir par vraiment croire que tu n'as aucun défaut Anastasia.
Là dans l'eau, t'as envie de faire ressortir ta part de petit gamin, alors tu lui envoie de l'eau gentiment sur elle, prêt à démarrer une petite bataille, après tout ce que vous venez de vivre, et après tous les états dans lesquels vous êtes passés, t'es prêt à relâcher la pression une bonne fois pour toute.
© Pyphi(lia)Tu laissais un léger sourire paraître sur ton visage, tu replaçais ta serviette sur la table, avant de revenir plonger ton regard dans les yeux de la belle, prêt à lui donner ta réponse.
Effectivement, disons que je suis un businessman et que j'ai plusieurs cordes à mon arc, j'exploite différents filons. Qu'est ce qui m'a trahis ? Si jamais on joue au poker il va falloir que je fasse très très attention, je suis sûr que t'es une adversaire redoutable.
Tu laisses échapper un léger rire, mais tu ne rigoles qu'a moitié à l'intérieur de toi, ce que tu viens de dire tu le penses vraiment, Anastasia pourrait-être bien plus dangereuse que ce que tu le crois, en quelques minutes, heures, elle a réussi à percer ta jolie petite carapace et à te faire dire ce que tu n'aurais jamais dit à d'autres personnes, est-ce que c'est à cause de son regard magnétique, de son sourire charmeur, de sa petite voix mignonne, de sa façon de manier les mots ou d'une parfaite alchimie de tous ces éléments.
Si tu te retrouves un brin fragilisé par la rapidité avec laquelle Anastasia à réussi a faire tomber une partie de ton masque, tu auras au moins le privilège de savoir comment elle a fait, après tout vous jouez cartes sur tables sur des sujets sérieux maintenant.
Tu profitais de ton dessert, dégustant chaque petite bouchée des petites friandises qui avaient été déposés à côté de ton café, tout en ayant le regard posé sur la belle qui faisaient de même, du moins tu le fis un temps, car à peine eu le temps d'entendre la question d'Ana que tu la voyais déjà prendre la direction de la sortie. T'émis un léger rire, quelques paroles s'échappèrent de ta bouche alors que tu la suivais de prêt.
Bien sûr.
Ca faisait longtemps que tu n'avais pas fait de choses de ce genre, de délit en plein jour, et même si ça pouvait te porter préjudice pour ta jolie réputation en ville, tu t'en fichais pas mal, Ana avait su faire ressortir chez toi quelque chose qui était longtemps resté enfouie, quelques chose que tu avais toi même sceller dans un coffre fort, elle semblait être la clef qui venait d'ouvrir l'inverse de la boîte de Pandore, ce n'était pas tous les maux du monde qu'elle venait de libérer, mais un savant mélange de beaux sentiments qui envahissaient peu à peu ton corps.
C'est après avoir couru quelques kilomètres que tu t'arrêtas, ton jogging quotidien semblait porter ses fruits une fois encore.
Sous ce soleil qui rayonnait, tu mourrais de chaud et tu enlevas bien vite ton t-shirt, tu te tournas vers l'océan désireux d'aller te rafraîchir avant de repartir, tu te dirigeas vers celui-ci en marche arrière, le regard fixé sur Anastasia, tu lui faisais signe de venir avec toi.
Après cette course que tu viens de lancer tu ne peux pas me refuser une petite baignade.
Tu souriais bêtement, alors que tu pénétrais doucement dans l'eau fraîche, les yeux toujours rivés sur la belle, t'avais l'impression de revivre après ce petit coup de pression même si il n'avait été qu'éphémère, au moins tu ne doutais pas une seconde de plus qu'Ana était une femme qui aimait vivre dangereusement, tu n'attendais pas une réponse aussi parlante mais, hey, tu devais bien avouer qu'elle était pleine de surprises cette femme à la gueule d'ange.
J'ai la réponse à ma question. Moi qui pensais que derrière ton visage se cachait un petit ange, je vois que tu as de multiples facettes Ana.
T'avais hâte de toutes les découvrir, de connaître chaque partie de cette femme qui t'intriguait au plus haut point, de celle avec qui tu t'étais embrouillé au point de casser sa planche, de celle qui t'avais fait te sentir coupable, de celle qui avait réussi à percer ton masque, de celle qui t'avais entraîné dans une course que tu n'attendais pas.
Anastasia, au fil du temps, elle se révélait être la femme qui manquait à ta vie, celle qui pourrait casser la routine de ta vie, une lumière divine dans ton monde obscure, tu ne la connaissais pas encore assez, ni pour savoir si tu avais de réel sentiments pour elle, ni pour savoir si c'était réciproque, mais à ce moment là de la journée, tu savais que quelque chose en elle t'attirait et tu n'étais pas prêt à te séparer de cette jolie jeune femme.
Tu te rapprochais d'elle, les cheveux mouilles, les gouttes perlant sur ton front.
Ne me dit pas qu'en plus tu es une sirène parce que je vais finir par vraiment croire que tu n'as aucun défaut Anastasia.
Là dans l'eau, t'as envie de faire ressortir ta part de petit gamin, alors tu lui envoie de l'eau gentiment sur elle, prêt à démarrer une petite bataille, après tout ce que vous venez de vivre, et après tous les états dans lesquels vous êtes passés, t'es prêt à relâcher la pression une bonne fois pour toute.
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Mon personnage, en 5 mots : to be continued very soon
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Carrière, métier ou job : Professeure de Lettres
Hobby : Surf
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : Célibataire (par dépit)
@Sven Kaplov & Anastasia Dawkins
La question d’Anastasia avait eu l’effet d’une bombe, l’ambiance légère qui régnait jusque là venait de tomber à l’eau même si Sven ne laissait rien transparaître, il semblait calme lorsqu’il reconnu ne pas travailler que dans l’immobilier. Visiblement, les deux jeunes gens jouaient cartes sur table. Lui semblait intrigué de savoir comment elle avait pu deviner, il est vrai qu’il avait soigneusement choisis chaque mot prononcé, prenant garde à ne pas tendre de perche qui aurait pu entrainer des questions dérangeantes et le trahir, mais c’était sans compter sur Ana. Elle avait vécu dans une famille où régnait les non-dits, personne ne parlait du fait que son père se salissait régulièrement les mains, sa mère avait pris parti de faire la politique de l’autruche, choisir de ne rien voir. C’est aussi en grande partie pour ça qu’elle était partie dès l’université. Elle ne supportait plus cette hypocrisie ambiante. Comment expliquer tout ça à Sven ? Elle ne voulait pas lui mentir mais n’était pas prête à se dévoiler autant.
« Disons simplement que je sais comment fonctionne l’immobilier, on ne peut pas réussir si on ne se salit pas les mains. »
Un léger silence s’installa qui fut brisé par l’arrivé sur serveur. Elle ne savait pas trop ce qui allait arriver maintenant que les masques étaient tombés. Est-ce que tout allait s’arrêter là ? Après tout, Anastasia avait fui ses parents justement à cause de ces cachoteries et n’était pas sûr de vouloir replonger dans ça. Les desserts arrivèrent et chacun se concentra sur son assiette, jusqu’à ce que le Russe brise le silence. Anastasia n’avait pas vraiment réfléchi et avait emporté ses affaires, c’était quitte ou double. Soit il la suivait et il pourrait continuer leur conversation sur la plage, bien loin, soit il restait là et ils ne se reverraient probablement pas, puisqu’elle ne lui avait même pas laissé son numéro. La jeune femme émie un soupir de soulagement lorsqu’elle le vit la suivre et tout deux se mirent à courir. Cela dura quelques minutes jusqu’à arriver de nouveau là où tout avait commencé.
Anastasia s’arrêta de courir un peu avant Sven et pris quelques instants pour respirer. Elle ferma les yeux et tenta de se concentrer sur sa respiration. Son cœur battait beaucoup trop vite après ce pic d’adrénaline et cette course folle. Sven retira son tee-shirt, à la grande surprise d’Anastasia qui ne pue s’empêcher de se rincer l’œil par la même occasion. Il marchait doucement à reculons, l’invitant à se joindre à lui. Anastasia posa ses affaires dans le sable et retira une fois de plus ses vêtements pour n’être qu’en maillot de bain et couru plonger dans l’eau et rejoindre Sven. La jeune femme éclata de rire lorsqu’il la décrivit comme un petit ange.
« Il y a bien longtemps que mon auréole et mes ailes sont tombés, désolée de te décevoir. »
La jolie blonde était loin d’être un ange, bien qu’elle ne fût pas non plus une grande criminelle mais il est vrai que sa bouille angélique l’avait déjà sortie d’affaire à de nombreuses reprises. Alors qu’elle se laissait bercer par les vagues, qui venait se briser contre ses hanches, elle vit le jeune homme se rapprocher de plus en plus, jusqu’à ce que seul quelques centimètres les séparent. Elle pouvait presque sentir la chaleur qui émanait de son corps. Il ne manquait qu’un pas pour qu’ils se retrouvent serré l’un contre l’autre, mais aucun des deux n’osa le franchir. Ana ne savait que penser de cet homme qui se tenait face à elle. Elle se sentait très proche de lui alors qu’elle ne le connaissait que depuis quelques heures, et n’avait que rarement offert sa confiance aussi rapidement à quelqu’un. Est-ce qu’elle était amoureuse de lui pour autant ? Probablement pas. Elle ne pouvait pas nier l’attirance qu’elle ressentait, la tension avait été palpable dès le départ et sa sœur lui aurait probablement conseillé de lui sauter dessus pour vérifier ce qu’il en était. Seulement la blonde ne croyait pas au coup de foudre au premier regard, comme on le voit dans les films.
Elle fut sortie de ses réflexions par une giclé d’eau, elle n’avait pas vraiment prêté attention à ce que Sven venait de lui dire, captant que quelques bribes de la conversation et ce dernier en avait profiter pour l’éclabousser.
« Alors ça tu vas me le payer ! »
Le jeune homme, fier de lui, c’était éloigner légèrement pour admirer son œuvre quand Anastasia lui sauta dessus en riant, tentant de le faire tomber. Elle ne donnait pas cher de ses pauvres soixante kilos face à la stature de Sven, qui pourrait la soulever sans le moindre effort ni la moindre goutte de sueur, mais elle n'avait rien à perdre à essayer.
« Disons simplement que je sais comment fonctionne l’immobilier, on ne peut pas réussir si on ne se salit pas les mains. »
Un léger silence s’installa qui fut brisé par l’arrivé sur serveur. Elle ne savait pas trop ce qui allait arriver maintenant que les masques étaient tombés. Est-ce que tout allait s’arrêter là ? Après tout, Anastasia avait fui ses parents justement à cause de ces cachoteries et n’était pas sûr de vouloir replonger dans ça. Les desserts arrivèrent et chacun se concentra sur son assiette, jusqu’à ce que le Russe brise le silence. Anastasia n’avait pas vraiment réfléchi et avait emporté ses affaires, c’était quitte ou double. Soit il la suivait et il pourrait continuer leur conversation sur la plage, bien loin, soit il restait là et ils ne se reverraient probablement pas, puisqu’elle ne lui avait même pas laissé son numéro. La jeune femme émie un soupir de soulagement lorsqu’elle le vit la suivre et tout deux se mirent à courir. Cela dura quelques minutes jusqu’à arriver de nouveau là où tout avait commencé.
Anastasia s’arrêta de courir un peu avant Sven et pris quelques instants pour respirer. Elle ferma les yeux et tenta de se concentrer sur sa respiration. Son cœur battait beaucoup trop vite après ce pic d’adrénaline et cette course folle. Sven retira son tee-shirt, à la grande surprise d’Anastasia qui ne pue s’empêcher de se rincer l’œil par la même occasion. Il marchait doucement à reculons, l’invitant à se joindre à lui. Anastasia posa ses affaires dans le sable et retira une fois de plus ses vêtements pour n’être qu’en maillot de bain et couru plonger dans l’eau et rejoindre Sven. La jeune femme éclata de rire lorsqu’il la décrivit comme un petit ange.
« Il y a bien longtemps que mon auréole et mes ailes sont tombés, désolée de te décevoir. »
La jolie blonde était loin d’être un ange, bien qu’elle ne fût pas non plus une grande criminelle mais il est vrai que sa bouille angélique l’avait déjà sortie d’affaire à de nombreuses reprises. Alors qu’elle se laissait bercer par les vagues, qui venait se briser contre ses hanches, elle vit le jeune homme se rapprocher de plus en plus, jusqu’à ce que seul quelques centimètres les séparent. Elle pouvait presque sentir la chaleur qui émanait de son corps. Il ne manquait qu’un pas pour qu’ils se retrouvent serré l’un contre l’autre, mais aucun des deux n’osa le franchir. Ana ne savait que penser de cet homme qui se tenait face à elle. Elle se sentait très proche de lui alors qu’elle ne le connaissait que depuis quelques heures, et n’avait que rarement offert sa confiance aussi rapidement à quelqu’un. Est-ce qu’elle était amoureuse de lui pour autant ? Probablement pas. Elle ne pouvait pas nier l’attirance qu’elle ressentait, la tension avait été palpable dès le départ et sa sœur lui aurait probablement conseillé de lui sauter dessus pour vérifier ce qu’il en était. Seulement la blonde ne croyait pas au coup de foudre au premier regard, comme on le voit dans les films.
Elle fut sortie de ses réflexions par une giclé d’eau, elle n’avait pas vraiment prêté attention à ce que Sven venait de lui dire, captant que quelques bribes de la conversation et ce dernier en avait profiter pour l’éclabousser.
« Alors ça tu vas me le payer ! »
Le jeune homme, fier de lui, c’était éloigner légèrement pour admirer son œuvre quand Anastasia lui sauta dessus en riant, tentant de le faire tomber. Elle ne donnait pas cher de ses pauvres soixante kilos face à la stature de Sven, qui pourrait la soulever sans le moindre effort ni la moindre goutte de sueur, mais elle n'avait rien à perdre à essayer.
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Âge du personnage : 29 ans
Nationalité(s) : Russe, Américaine
Mon personnage, en 5 mots : charismatique, businessman, manipulateur, loyal, séducteur
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : Directeur du Legacy
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Anastasia avait tout à fait raison, le milieu de l’immobilier ne laissait aucune place pour les états d’âmes, il fallait être un requin prêt à dévorer ses concurrents, et toi Sven c’était l’une de tes qualités, ça faisait un petit moment que t’avais déposé tes sentiments dans un désert bien perdu, tu t’étais détaché de la seule chose qui aurait pu te faire défaut dans ce monde que tu avais choisi.
Tu regardais la douce de ton regard concentré, elle semblait connaître un grand nombre de choses sur le côté obscure de la ville, tu savais également que les informations étaient une ressource extrêmement précieuse, capable de faire tomber une personne, un groupe, ou même un empire quand on savait bien utiliser ces précieuses ressources, peut-être pourrait-elle-même devenir une source d’informations pour toi.
Tes pensées se mélangeaient entre-elles, tu essayais de faire la part des choses, en face de toi tu voyais une personne que tu n’arrivais pas à cerner, peut-être était-elle m- ange, mi démon, peut-être était-elle simplement une femme qui avait eu des échos du milieu dans lequel tu opérais ou peut-être était-ce bien plus profond que cela, tu étais bientôt obnubilé par cette femme à la beauté frappante et au mystère si profond.
« Dans quel monde peut-on réussir en jouant le gentil homme ? Depuis la nuit des temps les anges se font dévorer par les démons, notre société est basée sur un système où il faut être un prédateur pour arriver en haut de cette chaîne, et l’immobilier n’y échappe pas, cependant tu parles de ça comme si tu étais du milieu, ça m’intrigue. »
Sourire en coin que tu dressais sur ton visage, réponse que tu attendais avec beaucoup d’impatience, tu ne la quittais pas des yeux.
Là dans l’eau, ton regard captivé par la jolie blonde, tu écoutais ses douces paroles parvenir jusqu’à tes oreilles, et un nouveau sourire se dressa sur ton visage quand tu l’entendis dire qu’elle n’était pas la pureté incarnée, son auréole avait-elle laissée place à de jolies petites cornes de démone, avait-elle une part d’ombre tout comme tu avais la tienne.
Etait-elle la personne, avec qui tu pourrais partager des informations sur ton royaume, était-elle la parfaite candidate pour poser un pied dans ce milieu en rejetant un peu plus loin les bonnes choses, était-elle prête à couvrir une part du soleil qui brillait au-dessus de la plupart des gens pour un monde rempli d’actions, de danger et d’adrénaline.
« Peut-être que ça m’enchante plus que ça me déçoit Anastasia. »
Là dans cet océan tu te perdais dans ce petit moment de douceur aux côtés de cette belle sirène qui captivait toute ton attention, toi qui avait frôler son corps de si près que tu aurais été tenté de saisir ses lèvres mais qui avait préféré l’asperger d’eau. Tu riais aux éclats quand elle te répondit qu’a ton tour tu allais déguster, elle sauta sur toi et tu l’attrapas, ta bonne condition physique te permettais de la soulever avec aisance, tu lui souriais quelques secondes, tes lèvres séparées des siennes uniquement par quelques dizaines de millimètres, son souffle que tu ressentais sur toi.
« T’en es sûre ? »
Tu mis fin à ce moment de tension en l’entrainant dans l’eau avec toi tombant à la renverse, vous jouiez à un jeu dangereux mais tu le faisais en toute conscience, t’étais désireux de jouer avec cette tentation.
Tu te relevais, replaçant tes cheveux en arrière, cherchant des yeux la douce qui pouvait être partout autour de toi.
Qui aurait pu croire à ce moment-là que tu étais un grand méchant loup, directeur d’une mafia russe, personne, pas même toi si tu te trouvais sur la plage en face, était-ce là le signe qui te montrait la part d’humanité qu’il restait en toi ? Peut-être.
Ou alors Anastasia était l’une des rares personnes à pouvoir te faire sentir toi-même, à pouvoir te tirer vers la lumière que tu avais quitté depuis longtemps, la flottant dans cet océan tu te languissais déjà de ne pas voir ta douce, tu l’attendais patiemment pour continuer ce que tu avais commencé et peut-être y mettre enfin fin mais tu ne pouvais savoir au fond de toi si ce que tu avais développé après cette dispute sur la plage était réciproque, tu pouvais seulement l’espérer et patienter.
Pyphi(lia)Tu regardais la douce de ton regard concentré, elle semblait connaître un grand nombre de choses sur le côté obscure de la ville, tu savais également que les informations étaient une ressource extrêmement précieuse, capable de faire tomber une personne, un groupe, ou même un empire quand on savait bien utiliser ces précieuses ressources, peut-être pourrait-elle-même devenir une source d’informations pour toi.
Tes pensées se mélangeaient entre-elles, tu essayais de faire la part des choses, en face de toi tu voyais une personne que tu n’arrivais pas à cerner, peut-être était-elle m- ange, mi démon, peut-être était-elle simplement une femme qui avait eu des échos du milieu dans lequel tu opérais ou peut-être était-ce bien plus profond que cela, tu étais bientôt obnubilé par cette femme à la beauté frappante et au mystère si profond.
« Dans quel monde peut-on réussir en jouant le gentil homme ? Depuis la nuit des temps les anges se font dévorer par les démons, notre société est basée sur un système où il faut être un prédateur pour arriver en haut de cette chaîne, et l’immobilier n’y échappe pas, cependant tu parles de ça comme si tu étais du milieu, ça m’intrigue. »
Sourire en coin que tu dressais sur ton visage, réponse que tu attendais avec beaucoup d’impatience, tu ne la quittais pas des yeux.
Là dans l’eau, ton regard captivé par la jolie blonde, tu écoutais ses douces paroles parvenir jusqu’à tes oreilles, et un nouveau sourire se dressa sur ton visage quand tu l’entendis dire qu’elle n’était pas la pureté incarnée, son auréole avait-elle laissée place à de jolies petites cornes de démone, avait-elle une part d’ombre tout comme tu avais la tienne.
Etait-elle la personne, avec qui tu pourrais partager des informations sur ton royaume, était-elle la parfaite candidate pour poser un pied dans ce milieu en rejetant un peu plus loin les bonnes choses, était-elle prête à couvrir une part du soleil qui brillait au-dessus de la plupart des gens pour un monde rempli d’actions, de danger et d’adrénaline.
« Peut-être que ça m’enchante plus que ça me déçoit Anastasia. »
Là dans cet océan tu te perdais dans ce petit moment de douceur aux côtés de cette belle sirène qui captivait toute ton attention, toi qui avait frôler son corps de si près que tu aurais été tenté de saisir ses lèvres mais qui avait préféré l’asperger d’eau. Tu riais aux éclats quand elle te répondit qu’a ton tour tu allais déguster, elle sauta sur toi et tu l’attrapas, ta bonne condition physique te permettais de la soulever avec aisance, tu lui souriais quelques secondes, tes lèvres séparées des siennes uniquement par quelques dizaines de millimètres, son souffle que tu ressentais sur toi.
« T’en es sûre ? »
Tu mis fin à ce moment de tension en l’entrainant dans l’eau avec toi tombant à la renverse, vous jouiez à un jeu dangereux mais tu le faisais en toute conscience, t’étais désireux de jouer avec cette tentation.
Tu te relevais, replaçant tes cheveux en arrière, cherchant des yeux la douce qui pouvait être partout autour de toi.
Qui aurait pu croire à ce moment-là que tu étais un grand méchant loup, directeur d’une mafia russe, personne, pas même toi si tu te trouvais sur la plage en face, était-ce là le signe qui te montrait la part d’humanité qu’il restait en toi ? Peut-être.
Ou alors Anastasia était l’une des rares personnes à pouvoir te faire sentir toi-même, à pouvoir te tirer vers la lumière que tu avais quitté depuis longtemps, la flottant dans cet océan tu te languissais déjà de ne pas voir ta douce, tu l’attendais patiemment pour continuer ce que tu avais commencé et peut-être y mettre enfin fin mais tu ne pouvais savoir au fond de toi si ce que tu avais développé après cette dispute sur la plage était réciproque, tu pouvais seulement l’espérer et patienter.
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@Sven Kaplov & Anastasia Dawkins
Anastasia était décontenancée par le jeune homme qui se tenait face à elle. Ils pouvaient parler de tout et de rien, allant du plus sérieux au plus futile. Echangeant des banalités pour finalement partir dans des discussions sur le sens de la vie. La jeune femme ne s'attendait définitivement pas à ça en ce levant ce matin là pour aller faire sa séance de surf matinale. Si la conversation avait mal commencé avec l'échange houleux qui s'en était suivi, les choses s'étaient bien calmées, et les deux jeunes gens jouaient maintenant au chat et à la souris, dévoilant juste ce qu'il fallait d'informations pour susciter l'intérêt, sans pour autant trop en révéler. La plage était déserte, exception faite de rares passants promenant leur chien à proximité.
Dans quel monde réussir sans tricher ? Probablement pas celui-ci. Anastasia avait une nouvelle fois piqué l'intérêt de Sven avec ses questions qui, inévitablement, en amenait d'autres.
« Tout dépend de l'enrichissement recherché, quand on parle de réussite il y a certes l'argent, mais ce serait triste de limiter la réussite à ça. J'aime à croire que l'homme est plus complexe, et recherche un peu plus que l'argent à tout prix, mais je suis probablement un peu trop idéaliste. Quant à l'immobilier, j'ai un certain réseau en Angleterre, du moins mon père. Même si tout se passe sous la table, que rien ne se dit, certaine chose finisse par être évidente quand on baigne un peu trop dans le milieu. »
La jeune femme avait beau tenter de garder un côté optimiste et idéaliste, elle avait bien conscience que le monde était plus proche de la dystopie que de l'utopie. Elle avait elle aussi ses démons qui avaient troqués ses ailes d'anges pour faire pousser deux petites cornes. Ana plongea la tête sous l'eau, comme pour noyer ses idées noires et ressortie à peine quelques secondes plus tard. La blonde fut ramené de ses pensées par Sven qui l'éclaboussa en riant au éclat et elle se jeta sur lui en représailles. Leurs bouches se frôlaient et la tension aurait été palpable à des kilomètres à la ronde, mais aucun des deux ne concrétisa ce baiser et déjà Anastasia se trouvait de nouveau la tête sous l'eau dans les bras du jeune homme qui l'avait attiré avec elle en se laissant tomber à la renverse. Elle en profita pour s'éloigner de quelques brasses, sortant du champs de vision du jeune homme qui remit en place ses cheveux, Anastasia ne s'était pas sentie aussi vivante depuis bien longtemps et décida de mettre son cerveau en pause et de vivre l'instant, sans réfléchir. Elle prit une impulsion et surgit au niveau des épaules de l'Apollon qui semblait la chercher.
« Cette fois je te tiens! »
La jolie blonde était collée contre le dos de Sven, a tel point qu'elle aurait pu sentir son cœur battre, peut-être un peu trop vite, comme le sien battait à l'heure actuelle.
Dans quel monde réussir sans tricher ? Probablement pas celui-ci. Anastasia avait une nouvelle fois piqué l'intérêt de Sven avec ses questions qui, inévitablement, en amenait d'autres.
« Tout dépend de l'enrichissement recherché, quand on parle de réussite il y a certes l'argent, mais ce serait triste de limiter la réussite à ça. J'aime à croire que l'homme est plus complexe, et recherche un peu plus que l'argent à tout prix, mais je suis probablement un peu trop idéaliste. Quant à l'immobilier, j'ai un certain réseau en Angleterre, du moins mon père. Même si tout se passe sous la table, que rien ne se dit, certaine chose finisse par être évidente quand on baigne un peu trop dans le milieu. »
La jeune femme avait beau tenter de garder un côté optimiste et idéaliste, elle avait bien conscience que le monde était plus proche de la dystopie que de l'utopie. Elle avait elle aussi ses démons qui avaient troqués ses ailes d'anges pour faire pousser deux petites cornes. Ana plongea la tête sous l'eau, comme pour noyer ses idées noires et ressortie à peine quelques secondes plus tard. La blonde fut ramené de ses pensées par Sven qui l'éclaboussa en riant au éclat et elle se jeta sur lui en représailles. Leurs bouches se frôlaient et la tension aurait été palpable à des kilomètres à la ronde, mais aucun des deux ne concrétisa ce baiser et déjà Anastasia se trouvait de nouveau la tête sous l'eau dans les bras du jeune homme qui l'avait attiré avec elle en se laissant tomber à la renverse. Elle en profita pour s'éloigner de quelques brasses, sortant du champs de vision du jeune homme qui remit en place ses cheveux, Anastasia ne s'était pas sentie aussi vivante depuis bien longtemps et décida de mettre son cerveau en pause et de vivre l'instant, sans réfléchir. Elle prit une impulsion et surgit au niveau des épaules de l'Apollon qui semblait la chercher.
« Cette fois je te tiens! »
La jolie blonde était collée contre le dos de Sven, a tel point qu'elle aurait pu sentir son cœur battre, peut-être un peu trop vite, comme le sien battait à l'heure actuelle.
panic!attack
- Sven KaplovI'm a Mother Fucker
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Âge du personnage : 29 ans
Nationalité(s) : Russe, Américaine
Mon personnage, en 5 mots : charismatique, businessman, manipulateur, loyal, séducteur
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : Directeur du Legacy
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : Célibataire (par choix)
Entendre la vision qu’avait Anastasia par rapport à l’immobilier te faisais bizarre, elle semblait vraiment bien connaître le milieu, assez pour savoir que bien souvent les choses n’étaient pas net, tu ne pouvais retenir ce léger sourire malicieux que tu avais tant envie de dresser, toi aussi, tu tirais des ficelles dans l’ombre, toi aussi, tu étais le genre d’homme capable de tout faire pour gagner plus d’argent ou de pouvoir.
«Tu as une belle vision des choses que trop peu de personnes ont, moi le premier, j’aimerais pouvoir penser comme toi, mais la vie t’oblige parfois à devenir cette personne qui recherche l’argent et le pouvoir, à devenir cette personne qui range son cœur au plus profond de son être pour oublier toute compassion, toute culpabilité. »
La vérité c’est que ton passé, ton enfance, t’as poussé à devenir l’homme que tu es aujourd’hui, un homme dur qui a tout fait pour se dresser jusqu’au sommet en traversant beaucoup d’épreuves difficiles qui l’ont marqué, la vérité c’est qu’aujourd’hui t’as plus connu de moments tristes qu’autre chose, la vérité c’est que tu ne sais jamais si tu te réveilleras le lendemain parce que ta tête pourrait être mise à prix, toi tu as goûté à l’adrénaline, à l’argent et au pouvoir, et tu y as pris goût au point de ne plus pouvoir t’en passer mais quand tu vois cette gueule d’ange, cette jolie blonde qui met son cœur dans ce qu’elle te dit, celle qui semble avoir foi dans les hommes, ça te fait réfléchir différemment, tu comprends son point de vue, mais tu n’as jamais vu de travailleurs honnête dans ta profession, tu n’as vu que des caïd, des gros bras, des gens cupide, pour autant tu gardes tout ça pour toi, au fond de toi, dans un espace clos, parce que tu ne veux pas enlever ton masque et montrer ton vrai visage, parce que tu as peur de la réaction que pourrais avoir Anastasia, tu ne la connais depuis que peu de temps et pourtant tu as déjà envie de tout faire pour lui plaire, pour lui montrer que tu es un homme bien même si en réalité tu es loin de l’être, alors tu la regarde un grand sourire idiot dressé sur tes lèvres.
T’étais méconnaissable à ce moment-là de la journée, tes yeux rivés sur la belle, ton grand sourire, t’aurais perdu toute crédibilité aux yeux de tes partenaires, mais tu t’en foutais, tu profitais de l’instant présent, tu profitais de ses rires, de son sourire.
Ça faisait quelques secondes qu’elle avait disparu de ton champ de vision, tu balayais l’horizon tentant de la trouver, jusqu’à ce que finalement elle finisse accrocher à tes épaules, énième rire que tu échappais.
« Haha bien joué, je suis complétement à ta merci maintenant, comment je suis sensé me libérer de ta belle emprise ? »
Plus le temps passé, plus tu lui parlais, plus tu l’entendais rire et tu la voyais sourire et plus tu devenais accro à cette jolie blonde qui semblait être pleine de mystères, tu voulais prolonger ces moments, ces heures, tu voulais t’amuser et être sérieux avec elle parce qu’elle était unique, parce qu’elle était capable de comprendre le monde dans lequel tu vivais et évoluais parce qu’une partie de toi voulais la voir dans ton avenir tandis que l’autre te disait de tout faire pour la repousser pour son bien, pour ne pas l’exposer à cette vie dangereuse et incertaine qu’était la tienne.
Pyphi(lia)«Tu as une belle vision des choses que trop peu de personnes ont, moi le premier, j’aimerais pouvoir penser comme toi, mais la vie t’oblige parfois à devenir cette personne qui recherche l’argent et le pouvoir, à devenir cette personne qui range son cœur au plus profond de son être pour oublier toute compassion, toute culpabilité. »
La vérité c’est que ton passé, ton enfance, t’as poussé à devenir l’homme que tu es aujourd’hui, un homme dur qui a tout fait pour se dresser jusqu’au sommet en traversant beaucoup d’épreuves difficiles qui l’ont marqué, la vérité c’est qu’aujourd’hui t’as plus connu de moments tristes qu’autre chose, la vérité c’est que tu ne sais jamais si tu te réveilleras le lendemain parce que ta tête pourrait être mise à prix, toi tu as goûté à l’adrénaline, à l’argent et au pouvoir, et tu y as pris goût au point de ne plus pouvoir t’en passer mais quand tu vois cette gueule d’ange, cette jolie blonde qui met son cœur dans ce qu’elle te dit, celle qui semble avoir foi dans les hommes, ça te fait réfléchir différemment, tu comprends son point de vue, mais tu n’as jamais vu de travailleurs honnête dans ta profession, tu n’as vu que des caïd, des gros bras, des gens cupide, pour autant tu gardes tout ça pour toi, au fond de toi, dans un espace clos, parce que tu ne veux pas enlever ton masque et montrer ton vrai visage, parce que tu as peur de la réaction que pourrais avoir Anastasia, tu ne la connais depuis que peu de temps et pourtant tu as déjà envie de tout faire pour lui plaire, pour lui montrer que tu es un homme bien même si en réalité tu es loin de l’être, alors tu la regarde un grand sourire idiot dressé sur tes lèvres.
T’étais méconnaissable à ce moment-là de la journée, tes yeux rivés sur la belle, ton grand sourire, t’aurais perdu toute crédibilité aux yeux de tes partenaires, mais tu t’en foutais, tu profitais de l’instant présent, tu profitais de ses rires, de son sourire.
Ça faisait quelques secondes qu’elle avait disparu de ton champ de vision, tu balayais l’horizon tentant de la trouver, jusqu’à ce que finalement elle finisse accrocher à tes épaules, énième rire que tu échappais.
« Haha bien joué, je suis complétement à ta merci maintenant, comment je suis sensé me libérer de ta belle emprise ? »
Plus le temps passé, plus tu lui parlais, plus tu l’entendais rire et tu la voyais sourire et plus tu devenais accro à cette jolie blonde qui semblait être pleine de mystères, tu voulais prolonger ces moments, ces heures, tu voulais t’amuser et être sérieux avec elle parce qu’elle était unique, parce qu’elle était capable de comprendre le monde dans lequel tu vivais et évoluais parce qu’une partie de toi voulais la voir dans ton avenir tandis que l’autre te disait de tout faire pour la repousser pour son bien, pour ne pas l’exposer à cette vie dangereuse et incertaine qu’était la tienne.
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Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : Célibataire (par dépit)
@Sven Kaplov & Anastasia Dawkins
Un havre de paix, voilà ce qu’Anastasia avait trouvé ce jour-là sur la plage. Le temps qu’elle passait dans l’eau à surfer ou simplement nager avait toujours eu un effet apaisant sur elle, comme si elle retrouvait enfin son milieu naturel, mais cet après-midi-là, avec Sven, c’était comme si rien d’autres n’existait autour d’eux. La blonde n’avait jamais cru au coup de foudre au premier regard, elle trouvait ça stupide, comme si on pouvait tomber amoureux de quelqu’un sans même le connaitre… Elle ne pouvait toutefois pas nier l’attraction qu’elle avait pour Sven, qu’elle ne connaissait pas encore quelques heures auparavant. Si sa petite sœur avait été là, nul doute qu’elle lui aurait compté les légendes des âmes sœurs ne faisant qu’un, et Ana aurait ri aux éclats. La petite dernière avait toujours été très romantique, une « ancienne âme » comme elle disait elle-même et Anastasia l’elle avait toujours encouragée à conserver ce côté rêveur qu’elle chérissait particulièrement. C’était cette partie d’elle qu’elle avait cherchée lors de ses différents périples, cherchant l’adrénaline, l’aventure et la liberté. C’était ce côté optimiste et un peu trop idéaliste qui ressortait lorsqu’ils parlaient de réussite et d’enrichissement. Le beau brun quant à lui semblait bien plus cynique et presque fataliste.
« Cela reste un choix. Tu peux te convaincre que la vie t’y a obligé, mais ça reste ta décision, ta façon de gérer ces situations, mais est-ce qu’on peut vraiment vivre en se forçant à ne rien ressentir ? Sans éprouver ni compassion ni culpabilité ? On survit, mais je ne suis pas sûre qu’on puisse vraiment appeler ça vivre… »
Une pointe de nostalgie pointait dans la voix de la britannique. Elle avait essayé de se couper de toute émotions quand le diagnostic était tombé, elle avait voulu se barricader pour ne plus rien ressentir, échapper au désespoir qui s’emparait d’elle mais c’était peine perdue. Elle avait toujours été si vivante, si libre qu’elle ne se sentait que plus prisonnière. Alors elle avait décidé de tout envoyer valser, de partir à la recherche de ses petites choses qui aurait fait vibrer, qui l’espace d’un court instant lui aurai fait oublier la maladie et où elle aurait pu de nouveau se sentir pleinement vivante et non pas juste en sursis.
Elle laissa ses souvenirs s’éloigner avec les vagues et retrouva immédiatement le sourire alors qu’elle s’accrochait aux épaules de son russe, qui aurait facilement pu se défaire de son étreinte mais décida d’entrer dans le jeu de la demoiselle lui demandant ce qu’il lui faudrait pour le libérer.
« Tout dépend de toi. Qu’es-tu prêt à offrir pour ta liberté ? »
Elle aurait pu rester là des heures, retrouvant des émotions qu’elle n’avait plus ressenties depuis une éternité, des sentiments qu’elle s’était interdit car quand on risque de mourir demain, à quoi bon s’engager. Si on lui avait posé la question il y a quelques années, elle aurait tout sacrifié pour sa liberté et son indépendance. Aujourd’hui ? Elle en était un peu moins sûre car beaucoup de choses avaient changé, qu’elle le veuille ou non. La jeune femme était comme suspendue aux lèvres de Sven, hors du temps lorsqu’une des églises du quartier sonna et tira la jeune femme de son rêve éveillé par la même occasion. Il était déjà 14h, et la jeune femme devait donner un cours à l’UCLA à 15h. Le trafic à cette heure de la journée épouvantable et elle soupirait déjà car elle savait pertinemment qu’elle n’arriverait jamais à l’heure. Elle envisagea l’espace d’un instant de ne pas y aller, de simplement envoyer un mail pour tout annuler et prolonger un peu plus ce moment, mais la vie n’était malheureusement pas une comédie romantique où vous pouviez disparaitre pendant des heures, des jours et revenir comme une fleur sans que personne ne vous dise rien. Elle sortit de l’eau à contrecœur et rassembla ses affaires.
« Je suis terriblement en retard ! N’oublie pas que tu me dois une second rendez-vous alors tu as intérêt à m’appeler! » Elle déposa un baiser au coin des lèvres du jeune homme avant de disparaitre dans les rues de la ville.
« Cela reste un choix. Tu peux te convaincre que la vie t’y a obligé, mais ça reste ta décision, ta façon de gérer ces situations, mais est-ce qu’on peut vraiment vivre en se forçant à ne rien ressentir ? Sans éprouver ni compassion ni culpabilité ? On survit, mais je ne suis pas sûre qu’on puisse vraiment appeler ça vivre… »
Une pointe de nostalgie pointait dans la voix de la britannique. Elle avait essayé de se couper de toute émotions quand le diagnostic était tombé, elle avait voulu se barricader pour ne plus rien ressentir, échapper au désespoir qui s’emparait d’elle mais c’était peine perdue. Elle avait toujours été si vivante, si libre qu’elle ne se sentait que plus prisonnière. Alors elle avait décidé de tout envoyer valser, de partir à la recherche de ses petites choses qui aurait fait vibrer, qui l’espace d’un court instant lui aurai fait oublier la maladie et où elle aurait pu de nouveau se sentir pleinement vivante et non pas juste en sursis.
Elle laissa ses souvenirs s’éloigner avec les vagues et retrouva immédiatement le sourire alors qu’elle s’accrochait aux épaules de son russe, qui aurait facilement pu se défaire de son étreinte mais décida d’entrer dans le jeu de la demoiselle lui demandant ce qu’il lui faudrait pour le libérer.
« Tout dépend de toi. Qu’es-tu prêt à offrir pour ta liberté ? »
Elle aurait pu rester là des heures, retrouvant des émotions qu’elle n’avait plus ressenties depuis une éternité, des sentiments qu’elle s’était interdit car quand on risque de mourir demain, à quoi bon s’engager. Si on lui avait posé la question il y a quelques années, elle aurait tout sacrifié pour sa liberté et son indépendance. Aujourd’hui ? Elle en était un peu moins sûre car beaucoup de choses avaient changé, qu’elle le veuille ou non. La jeune femme était comme suspendue aux lèvres de Sven, hors du temps lorsqu’une des églises du quartier sonna et tira la jeune femme de son rêve éveillé par la même occasion. Il était déjà 14h, et la jeune femme devait donner un cours à l’UCLA à 15h. Le trafic à cette heure de la journée épouvantable et elle soupirait déjà car elle savait pertinemment qu’elle n’arriverait jamais à l’heure. Elle envisagea l’espace d’un instant de ne pas y aller, de simplement envoyer un mail pour tout annuler et prolonger un peu plus ce moment, mais la vie n’était malheureusement pas une comédie romantique où vous pouviez disparaitre pendant des heures, des jours et revenir comme une fleur sans que personne ne vous dise rien. Elle sortit de l’eau à contrecœur et rassembla ses affaires.
« Je suis terriblement en retard ! N’oublie pas que tu me dois une second rendez-vous alors tu as intérêt à m’appeler! » Elle déposa un baiser au coin des lèvres du jeune homme avant de disparaitre dans les rues de la ville.
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