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YESTERDAY'S NEWS |48
- Adélaïde SullivanKingdom Come
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Dollars : 3602
Messages : 497
Date d'inscription : 12/03/2018
Avatar : Nina Agdal
Crédits : malbe (ava) • anesidora (code sign)
Autres comptes : Leaven S. Campbell & Gwyneth Barclay.
Âge du personnage : trente-deux ans (21/03/1990)
Nationalité(s) : Américo-Argentine
Signe astrologique : Bélier
Mon personnage, en 5 mots : Honnête • Charismatique • Passionnée • Joueuse • Séductrice
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : directrice générale du Ritz-Carlton de Los Angeles. (papa propriétaire de Marriott International)
Études (passées ou en cours) : Communication Marketing
Hobby : La danse. Le dessin.
Orientation sexuelle : Bisexuel(le)
Situation sentimentale : En couple
Avec : Aaron Campbell, de nouveau, après une séparation d'un an.
Adélaïde Sullivan
L'histoire est un perpétuel recommencement.
Avant de commencer, nous aimerions vous poser quelques questions sur votre personnage, afin d'en savoir davantage sur les motivations qui l'animent.
L'INTERROGATOIRE
L'histoire de l'art. Ça serait sûrement à double tranchant. C'est une passion dévorante que j'ai pour le dessin mais j'ai également le désir de le voir évoluer, d'innover et il arrive souvent que je sois frustrée de voir qu'une technique que j'ai cru inventé a déjà été faite. Avoir la connaissance absolue sur l'histoire de l'art me permettrait d'être sûre de m'engager sur de nouveaux horizons sans la crainte d'un déjà vu. Malheureusement, ça serait aussi me priver de découvertes et je suis bien trop curieuse pour être frustrée à ce niveau-là. Heureusement, il est impossible d'avoir la connaissance absolue sur tout, n'est-ce pas?
Je suis "la fille de". Je suis au centre des regards depuis que je suis gosse. C'est devenu tellement banal pour moi que je n'y fais plus vraiment attention, qu'on me regarde parce que je suis la fille Ritz-Carlton comme ils disent ou parce qu'on a reconnu ma tronche dans un magazine à scandales ou encore parce que je suis au bras de mon compagnon. Ça ne me gêne pas, j'ai l'habitude et en soi, je m'en fiche à peu. Mon rêve serait d'être reconnue dans la rue pour mes talents, qu'on me regarde parce que j'ai fait une vraie carrière et non parce que je suis la petite fille de l'Amérique déchue de son trône à cause de ses frasques. Je veux juste qu'on m'estime pour qui je suis et non ce que j'ai pu faire par le passé.
Celui qui vous as dit que l'argent ne fait pas le bonheur, il vous as craché un mensonge à la tronche. Oui, ça attire des ennuis, des envieux, ça peut même éloigner des gens qu'on aime, mais on ne peut pas dire qu'on est pas plus heureux allongé dans un king size que sur un carton dans la rue. L'argent fait partie du bonheur, c'est indéniable mais à mon regard, la vraie recette du bonheur, c'est que cet argent provienne d'un métier particulier. Celui qui, lorsqu'on l'exerce, ne sonne pas comme une obligation ni un besoin alimentaire. Faire de sa passion, son métier, c'est ça la recette du bonheur. "Choisissez un travail que vous aimez et vous n’aurez pas à travailler un seul jour de votre vie."
ta plus grande réussite à ce jour ?
Je suis un peu paumée, divisée. J'aimerai faire plaisir à mon père et le rendre fier en reprenant le flambeau de son entreprise, en faisant mûrir ses hôtels avec mon regard jeune et neuf. Ce pourrait être l'une de mes ambitions mais ne parle-t-on pas d'ambition quand il y a envie? Je n'ai pas vraiment envie de prendre sa place, d'être à la tête de tout ça, j'ai l'impression que c'est trop grand pour moi et que je ne le mérite pas vraiment. J'ai plus l'ambition de faire ma propre carrière, de me tourner dans la danse ou dans le dessin comme j'avais commencé à le faire avant que la réalité de la vie ne me rattrape. J'aimerai que mes ambitions soient des projets qui ressemblent à ma plus grande réussite : faire des choses qui me ressemblent, être moi-même.
et jusqu’où serais-tu prêt(e) à aller pour la défendre ?
Ce n'est pas une chose, ce sont des personnes. Celles qui m'entourent, me soutiennent et ne me feront jamais défaut, j'en suis convaincue: mon père et Andreas Klein. Mon père est l'homme qui, maladroitement certes, m'a arraché à la misère et m'a élevé comme il a pu en dépit des conditions et de ma situation. Je lui dois beaucoup pour ça. Andreas, c'est mon âme sœur, c'est une relation transcendante qui ne s'explique pas et qui le met au dessus de tout et de tout le monde. Mon pilier depuis des années, il est celui qui m'a accepté comme j'étais et qui m'a aimé comme ça. Il m'a sauvé la vie et si je devais lui rendre la pareille, je le ferais sans aucune hésitation.
qu’as-tu ressenti ?
Sous le jonc de Jane, les infractions sur mon casier judiciaire se sont enchaînées mais l'argent nous sort de tout ici, pas vrai? Ivresse sur voie publique, alcool au volant, excès de vitesse, consommation de drogues douces, exhibition, exhibition sexuelle, coups et blessures sur les forces de l'ordre, coups et blessures sur des journalistes trop curieux, dégradation... finalement je n'ai eu que des travaux généraux pour les dégradations parce que j'étais jeune, en colère, qu'il s'agissait d'un hôtel de mon père et qu'il a voulu me punir en passant par la justice (tentative loupée pour me faire peur probablement). Pour le reste, l'argent a fait son taff ou le remboursement en nature, si vous voyez ce que je veux dire... Si la fierté d'être une pseudo caïd des bacs à sable me plaisait autrefois, aujourd'hui c'est plus de la honte qu'autre chose quand on m'en parle.
J'en ai aucune idée. C'est une question aussi vaste qu'elle est bateau. Beaucoup dirait qu'il faut éliminer les connards, les hypocrites, les conneries des Hommes qui ont dégradés la planète etc. En soi, ils ont pas tort, mais c'est peut-être un peu grâce/à cause d'eux qu'on est obligé de faire évoluer nos pensées et notre condition humaine. Question typique, réponse typique. Je ne sais pas ce que je ferais si je pouvais refaire le monde... La réponse prendrait des heures à étudier mais une chose est sûre: cette question à la con ne se poserait pas.
Mon arrivée en Amérique a beaucoup été médiatisée mais aujourd'hui, des années après, tout s'est heureusement tassé et mon père a payé pour faire taire cette histoire. Si bien qu'aujourd'hui, on me prend aisément pour la petite fille de riche, la princesse qui a toujours eu tout ce qu'elle voulait sans jamais avoir conscience de la valeur des choses et de l'argent. Ils ont tous oublié qu'avant d'être dans une grande villa où la nourriture et les sodas ne manquaient jamais, je suis née dans les bidonvilles de l'Argentine et j'ai cherché des années durant de la nourriture dans la plus grande décharge de la ville, une bouteille d'eau usée et polluée à la main, le petit ventre gonflée par la malnutrition et les pieds fatigués par l'absence de chaussures. C'est un passé marqué à vie dans ma mémoire mais dont je déteste parler aujourd'hui. Il faut croire que des blessures ne se referment jamais.
DERRIÈRE L'ÉCRAN
Karma : [ ] It's all my fault [x] I'm a mother fucker. Prénom/pseudo : Cocaïne. Âge : 26 ans. Anniversaire : 12 août. Localisation : derrière mon clavier. Présence : 7/7. Personnage : [x] inventé [ ] pré-lien. J'ai connu le forum : il y a bien longtemps maintenant. Et je le trouve : toujours aussi beau et aussi détaillé. Ma plus grande peur : les insectes volants et piquants. Un dernier mot ? Jane vous bz.
IMAGES Cocaïne (blend,icon) pretty little thing (avas)
- Adélaïde SullivanKingdom Come
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Date d'inscription : 12/03/2018
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Crédits : malbe (ava) • anesidora (code sign)
Autres comptes : Leaven S. Campbell & Gwyneth Barclay.
Âge du personnage : trente-deux ans (21/03/1990)
Nationalité(s) : Américo-Argentine
Signe astrologique : Bélier
Mon personnage, en 5 mots : Honnête • Charismatique • Passionnée • Joueuse • Séductrice
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : directrice générale du Ritz-Carlton de Los Angeles. (papa propriétaire de Marriott International)
Études (passées ou en cours) : Communication Marketing
Hobby : La danse. Le dessin.
Orientation sexuelle : Bisexuel(le)
Situation sentimentale : En couple
Avec : Aaron Campbell, de nouveau, après une séparation d'un an.
FAITS DIVERS
She's her own savior.
DOSSIER MEDICAL - Patient: 01 148 752 - MAJ: 01.18.
NOM : Sullivan.
PRÉNOM : Adélaïde.
SEXE : Féminin.
DATE DE NAISSANCE : 21 mars 1990.
MÈRE : Fernanda Martinez.
PÈRE : Emrys Sullivan.
TELEPHONE : 213-152-7178.
ADRESSE : 1472 13th boulevard, Appartment 26, Westside, Los Angeles.
DIAGNOSTIQUE : _ Allergie(s) : aucune. _ Nymphomanie : traitée. _ Bipolarité : en cours de stabilisation. | PARCOURS MÉDICAL : _ Entrée : Décembre 2014. _ Sortie : Juin 2015. _ Evénement(s) : Fugue en mai 2015. |
HISTORIQUE NOTABLE :
0 - 6 ans
Parents proches : Mère, grand-mère maternelle. Père inconnu.
Lieu de vie : Bidonvilles ; Argentine.
Faits : Le père de la patiente fait son apparition dans sa vie. Riche homme d'affaire à l'origine de l'empire Ritz Carlton, le scandale de la naissance de la patiente (fille de courtisane) éclate aux Etats-Unis obligeant son père, à l'époque marié, à se rendre en Argentine pour aller voir cette fille illégitime. Au cours de la sixième année de la patiente, un procès se tient entre son père et sa mère. La richesse et les conditions de vie de Mr. Sullivan lui permettent de gagner la garde exclusive de sa fille.
6 ans _ Estimation du début de bipolarité.
Parents proches : Père.
Lieu de vie : Villa familiale ; Los Angeles.
Faits : La patiente est arrachée à sa mère sans préavis. L'enfant change d'identité, passant d'Adélaïde Martinez à Jane Sullivan. Un changement de comportement est notable: elle passe d'une enfant douce et discrète à une boule de nerf en quête d'attention et de vengeance à l'encontre de son paternel. Passant de la pauvreté à une richesse quasi sans fin, le choc des cultures est estimé violent. Son arrivée sur les terres américaines est couverte par les médias, obligeant son père à protéger l'enfant en la laissant enfermée quasiment H24 dans la villa familiale, embauchant des professeurs particuliers pour lui apprendre l'anglais. La patiente cache ses blessures psychologiques derrière un masque de cruauté, de caprices et de superficialité, allant jusqu'à personnifier sa maladie en laissant Jane prendre totalement le dessus. Après étude de son cas, les spécialistes estiment son début de bipolarité environ à cet âge. Néanmoins ce changement de comportement n'inquiète pas son père prenant ce dernier comme une vengeance, comme une façon d'exprimer sa frustration de ne plus fréquenter sa mère.
Note : La femme de son père demande le divorce. La patiente se sent possiblement responsable.
10 ans
Parents proches : Père, grand-mère paternelle.
Lieu de vie : Villa familiale ; Los Angeles.
Faits : La patiente apparaît dans des journaux pour ses premières véritables sorties avec son père. Sa scolarité se passe toujours entre les quatre murs de la villa familiale, ce qui, selon les spécialistes aujourd'hui, à favoriser le manque social et le développement de sa bipolarité. On note une attraction certaine pour la danse, seul héritage notable de sa mère. Objets fétiches: un chausson de danse en pendentif appartenant à sa mère et un tutu offert par sa grand-mère paternelle de qui elle se rapproche considérablement. La patiente commence également à s'intéresser au dessin. On note l'omniprésence de la couleur noir ou grise ainsi que de tâches sur des dessins à l'origine joyeux.
Note : Evolution de sa bipolarité par des crises violentes, passant d'une période relativement calme à des périodes sombres (presque de dépression). Son père n'y voit qu'une enfant en crise de pré-adolescence. // Andreas Klein, premier véritable ami, meilleur ami actuel, rencontré dans le cadre du Ritz Carlton. Il a longtemps été le seul à connaître le véritable visage d'Adélaïde.
16 ans _ Estimation du début de nymphomanie.
Parents proches : Père, grand-mère paternelle, Andreas Klein.
Lieu de vie : Villa familiale ; Los Angeles.
Faits : La patiente découvre la sexualité. D'après ses propres dires, elle n'a rien ressentie sentimentalement parlant. La scission de ses deux personnalités à présent fortement distinctes se manifeste d'autant plus dans ses ressentis. Immédiatement après le premier essai, la patiente prend les commandes et se voit d'autant plus satisfaite de cette prestation plus sauvage et animale. Raison: c'est le seul moyen pour la patiente à ce jour de faire coïncider ses deux personnalités. Elle voit dans l'acte sexuel à l'image de ses crises (violentes, sauvages et brutes) la seule façon de réunir Adélaïde et Jane, de s'exprimer pleinement, de se laisser voir sous son véritable visage de jeune fille tantôt douce, brisée, fragile tantôt animale, en colère, en recherche de contrôle permanent. Elle tombe vite accro au sexe et se voit incapable de rester fidèle à un seul homme et étend même ses préférences sexuelles aux femmes pour satisfaire pleinement ses envies sexuelles autrement dit son besoin d'être pleinement elle-même, un mélange explosif entre Jane et Adélaïde. Ses frasques sexuelles font la une à scandales, détériorant son image d'elle-même et la poussant d'autant plus à ne laisser voir que Jane, cette personnalité exubérante et je m'en foutiste.
24 ans _ Entrée en maison du trouble du comportement
Parents proches : Père. Andreas Klein. (aucun estimé par la patiente)
Lieu de vie : Maison du trouble du comportement ; Los Angeles.
Faits : Décembre 2014. La patiente est emmenée de force par son père et son meilleur ami à la maison spécialisée dans le trouble du comportement suite à une crise où la patiente a révélé vouloir s’ôter la vie. Cette dernière n'a pas parlé à ses proches pendant deux semaines (sentiment de trahison profond) et a refusé les visites pour voir un psychologue, persuadée de ne pas être malade. Ce n'est qu'après plusieurs semaines d'enfermement que Jane a craqué pour laisser Adélaïde s'exprimer. La patiente a dû être isolée des autres et toujours traitée en la présence de deux professionnels pour éviter la tentation de sa nymphomanie.
25 ans
Parents proches : Père. Andreas Klein.
Lieu de vie : Rue ; Los Angeles.
Faits : Mai 2015. La patiente fugue de la maison spécialisée après avoir pris le soin de voler son traitement (désir de le continuer mais pas dans un cadre hospitalier). Sa nymphomanie stable et traitée lui permet de ne pas craquer et de ne pas retomber dans ses travers. Après deux semaines à la rue (retrouvée par Andreas Klein) la patiente est ramenée à l'hôpital et laisse savoir son désir de se confronter au monde extérieur. Sa peur de voir le personnel hospitalier lui refuser cette demande express l'a amené à fuir. Après un mois de négociations calmes et posées, la patiente obtient ses papiers de sortie et s'installe chez Andreas Klein. En septembre 2015, elle fait sa première rentrée dans un parcours scolaire classique à UCLA en arts. Ses études lui permettent alors de se concentrer sur autre chose et de mettre ses maladies traitées ou en cours de stabilisation au second plan. (Omniprésence des maladies amoindrie.)
26 ans
Parents proches : Père. Andreas Klein.
Lieu de vie : En cohabitation avec Andreas Klein ; Los Angeles.
Faits : La patiente a développé une certaine crainte de l'aspect sexuel des relations. Elle se compare souvent à un ancien alcoolique à qui on proposerait un verre, seulement elle a bien conscience qu'il est possible de se passer d'alcool mais pas forcément de relations physiques et humaines. Cette peur est en cours de travail avec son psychologue. La patiente s'épanouit dans ses études ainsi que dans sa passion pour la danse qui ne l'a jamais quitté. Sur le plan humain, elle avoue avoir davantage de relations profondes, développées et sincères qu'à l'accoutumée bien qu'elle peine à donner sa confiance (peur d'être moquée pour son passé, qu'on s'en serve à des fins néfastes contre elle ou sa famille). Elle s'ouvre davantage aux autres.
Note : La patiente recherche sa mère depuis février 2015. (Proches dans l'ignorance de cette démarche)
27 ans _ Aujourd'hui
Parents proches : Père. Andreas Klein, Aaron Campbell.
Lieu de vie : Appartement ; Los Angeles.
Faits : La patiente a pris son propre appartement depuis quelques semaines maintenant et elle a changé de parcours scolaire. Elle a abandonné l'art (le dessin reste une grande passion dévorante pour elle, autant que la danse), la réalité du monde lui a fait prendre conscience que des études plus concrètes (économie marketing) lui permettront de reprendre le flambeau de son père. La patiente s'est confiée sur l'aspect obligation plus que réel désir de le faire. Elle ne souhaite pas décevoir son père ni voir tout son travail partir en fumée en étant confié à quelqu'un d'autre. Adélaïde se trouve divisée entre rêve et réalité de la vie. Les recherches concernant sa mère biologique ont aboutis. Plusieurs voyages en Argentine sont prévus à ce jour. La patiente appréhende les retrouvailles mais est plus pressée que stressée à cette idée. Officiellement en couple depuis plusieurs mois avec Aaron Campbell (trentenaire, père célibataire, situation stable), Adélaïde cherche un équilibre dans ses relations humaines et il semble savoir la mettre en confiance pour ça. La relation est bénéfique sur l'estime de soi de la patiente, Adélaïde s'épanouissant au fil des semaines. Une légère tension avec la fille (3 ans) de son compagnon se fait néanmoins ressentir, l'enfant ayant du mal à accepter Adélaïde auprès de son père. Situation déstabilisante pour la patiente qui reste tout de même positive.
EXTRAITS TÉMOIGNAGES PSYCHOLOGIQUES :
2014
« Je ne suis pas malade, vous vous trompez... »
« Je le déteste. »
« Je veux m'en aller. »
« Je n'ai rien à vous dire. »
« Ne me parlez plus jamais de ma mère, est-ce que c'est clair?! »
2015
« J'ai dérapé, j'ai perdu le contrôle. Il s'est rendu compte avant moi que j'avais besoin d'aide... que j'ai besoin d'aide. »
« Elle me manque... atrocement. »
« Je ne lui en veux pas. Il ne pouvait pas savoir que ça finirait comme ça. »
« C'était mon gynécologue. Je crois que c'était mon plus gros fantasme parce qu'il se refusait à moi. C'était comme un défi, comme un jeu que je devais absolument gagné... et j'ai perdu. Ca doit être le seul homme à avoir vu mon intimité de si près sans rien lui faire de sexuellement plaisant. »
« Jane ne me représente pas vraiment, je le sais. Pas entièrement en tout cas. Elle est la pire partie de moi-même, multipliée au minimum par dix. »
« Il s'appelle Peggy Jelly Bean mais on l'appelle Peg. Andreas refuse de l'admettre mais je sais qu'il l'adore et ce chien me fait du bien. »
« Je crayonne à m'en éclater les phalanges. Je dessine jusqu'à ne plus sentir la pulpe de mes doigts. Cette souffrance me fait paradoxalement du bien. »
« Je n'ai jamais connu l'amour autre que celui d'un parent ou celui que je porte à Andreas, en tout bien tout honneur bien entendu. Je ne me sens capable d'aimer ou plutôt ça me fait peur. Pour ce que j'ai pu voir chez les autres, ça me donne l'impression qu'il faut s'abandonner et je ne suis pas prête à ça. »
« Je me souviens seulement qu'elle aimait la danse, qu'elle était belle et qu'elle m'aimait comme jamais personne ne l'a fait. »
2016
« Je crois que c'est la première fois depuis longtemps que je peux dire sincèrement que je vais bien. »
« J'ai besoin d'en savoir plus, de la retrouver, de la serrer dans mes bras. C'est devenu une obsession, c'est presque vital. Je refuse seulement de le dire à mes proches parce que j'ai peur qu'ils pensent que si je la retrouve ou que j'apprend qu'elle est décédée, ça va flinguer tout le travail effectué jusque-là. J'ai pas envie de me sentir surveillée, j'ai plus envie. »
« J'ai pas changé d'avis, ça me fait toujours peur d'être proche de quelqu'un. Lui encore plus à vrai dire. J'ai l'impression que c'est physique et en même temps, tellement plus. Je me fais peut-être des illusions. J'ai peur de lui dire, même s'il a compris que je n'étais plus la même personne, que quelque chose s'est passée, j'ai la sensation que ça va casser quelque chose s'il le sait et j'ai pas envie de ça. Je me sens bien comme ça pour l'instant même s'il me perturbe énormément. »
2018
« J'aime toujours le dessin mais je ne peux pas permettre d'en faire ma vie même si j'aimerai beaucoup. »
« Je l'ai retrouvé et j'ai hâte de la voir enfin de chair et d'os. »
« Il sait trouver les mots que je n'ai pas. Il m'apporte un équilibre solide quand le mien est bancal. Il m'apaise réellement. Je l'aime. »
« Je suis pleinement Adélaïde. Jane n'existe plus et ne reviendra jamais. J'en suis persuadée. »
IMAGES Cocaïne
- InvitéInvité
AH JE ME DEMANDAIS QUAND LA NYMPHO ALLAIT ARRIVER T BONNE BELLE BB
BIENVENUE AGAIN SUR IAMF
BONNE CHANCE POUR TA PRES'
BIENVENUE AGAIN SUR IAMF
BONNE CHANCE POUR TA PRES'
- Adélaïde SullivanKingdom Come
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Merci les petits chaaaaats, vous êtes trop choux.
Babe, ancienne nympho mais si tu veux faire partie de ses anciens amants, c'est avec plaisir.
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