YESTERDAY'S NEWS |48
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ALEXEI WHEELER
Pour moi la réussite, c'est d'arriver où on veut
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MON HISTOIRE
La mort de mon père a été une des pires choses que j'ai vécu, aujourd'hui encore, parler de lui est pour moi difficile ₰ Si j'ai fini par accepter la situation et aimer cette famille recomposée, lorsque ma mère a rencontré, l'homme qui est aujourd'hui encore mon beau-père, je voyais toute cette histoire d'un mauvais œil, c'était comme si ma mère remplaçait mon père ₰ Le temps a fini par faire des Llewelyn ma vraie famille, ils sont des repères importants de ma vie, j'ai beau avoir 30 ans, cela ne m'empêche pas, d'avoir besoin des miens pour avancer ₰ Lorsque je suis mal à l'aise ou encore en colère, j'ai tendance à me rabattre sur mon côté sarcastique, c'est un automatisme ₰ Je peux être l'homme le plus responsable possible, je reste une personne impulsive, c'est un côté de moi qui avec le temps reste, ce qui parfois me fais prendre des décisions malheureusement pas toujours les meilleures ₰ J'ai pendant longtemps cru que j'étais de ses hommes qui étaient faits pour l'amour, il était hors de question que je sois un de ses hommes infidèles à collectionner les femmes. Mais le temps a fini par me donner tort, par me montrer que j'avais changé, aujourd'hui je suis allergique aux sentiments, il est hors de question de souffrir à nouveau ₰ Depuis tout petit j'ai su que je voulais devenir pompier, ce métier était ce que je voulais faire quand je serais grand, c'est pour cette raison que j'ai toujours suivie une préparation physique, afin de pouvoir réussir les tests d'entrées. Aujourd'hui encore, je ne peux pas rester sans faire de sport, la salle de la caserne, j'y mets les pieds aussi souvent que je le peux. ₰ J'ai beau jouer les gros durs, dire à qui veut l'entendre que je refuse de ressentir quoi que ce soit, mais la vérité, c'est que mon côté protecteur et toujours présent ₰ J'ai rencontré et appris à connaître Maël, le fils d'une amie, un petit garçon qui passait beaucoup de son temps à la caserne, véritable passionné des soldats du feu. ₰ Il y a quinze jours, sa mère a eu un accident de voiture, un accident dans lequel, elle y a perdu la vie, j'ai appris son décès lors d'une garde, une journée où son fils se trouvait avec moi, il a été difficile de lui annoncer la vérité et de le voir vivre son chagrin, le même que j'avais vécu par le passé. ₰ Je suis capable d’entrer dans un bâtiment en feu, sans avoir peur et sans jamais me dire que je pourrais ne pas en ressortir vivant, pourtant, la plus grande peur que j’ai, c’est de perdre un jour l’un de mes hommes en service. ₰ Je suis un passionné des vieilles voitures, enfant je me disais qu’en faisant vivre la passion de mon père, c’était un moyen de le garder avec moi et j’ai fini par réellement adorer ce milieu, ces magnifique voiture d’époque.
Dix ans que je suis dans le métier, autant de temps que je suis pompier, toutes les interventions que j'ai pu faire par le passé n'ont pas été facile, il y avait certains appels qui étaient bien moins importants que d'autre, mais pourtant, la garde que j'étais en train de vivre aujourd'hui, était sans le moindre doute la pire de toute ma carrière professionnelle. Je me retrouvais dans cette petite pièce qui était la mienne, avec à l'intérieur un lit et un bureau, devant lequel j'étais assis, le regard perdu sur la photo que je tenais dans ma main, pendant que l'autre se frottait contre ma joue. J'avais perdu mon père à l'âge de cinq ans, je n'avais aucun vrai souvenir de lui, hors mis la peine, la tristesse, la souffrance et le manque de son décès, mais aujourd'hui, plus que jamais j'avais besoin de lui, de son soutien. Je ne savais pas quoi faire, comment gérer la situation, en même temps que je revivais mes démons du passé, ma douleur que je ne pourrais jamais panser, je sentais les larmes monter à mes yeux, alors que j'avais cette sensation de ne plus savoir comment gérer toute cette histoire. Dis-moi comment je dois dire à un enfant de dix ans, qu'il ne pourra jamais revoir sa mère ? Je savais que je n'aurais pas de réponse de sa part à cette question, mais j'avais besoin de la dire à voix haute, de ne pas la garder pour moi, comme si cela allait m'aider à trouver une solution, à savoir quoi dire à ce petit garçon. Maël était le fils de l'une de mes amies, on avait partagé beaucoup de choses tous les deux, ensemble on avait vécu les années lycée, la période de notre rencontre, ce moment où elle était une étudiante studieuse, qui ne faisait jamais de bruit, sans la moindre entrave dans son cursus scolaire. Tout le contraire de moi, qui était un véritable casse-cou, toujours présent pour faire l'idiot, mais souvent absent au moment des cours, notre amitié était improbable, mais tellement belle. D’ailleurs, si elle ne m’avait pas poussé à l’époque, je n’aurais jamais rencontré Emily, la seule femme que j'ai aimée, celle avec qui j'étais prêt à me marier, avant qu'elle ne me montre clairement que je n'étais pas ce genre d'homme à croire au grand amour, que je n'étais pas fait pour cela, mais plutôt pour la vie de célibataire à ne plus se prendre la tête. J'ai mis beaucoup de temps à accepter cette séparation, à accepter avoir été trompé, à me dire quand sans cette rumeur arrivée à mes oreilles, je me serais marié avec une femme qui ne m'aimait pas vraiment.
Et voilà comment une rupture a fini par me pousser loin des rues de Miami, pour aller découvrir cette ville qui fait rêver tant de monde : Los-Angeles. Si je garde en souvenir deux très belles années de ma vie, qui m'ont bien aidé à me sortir la tête de l'eau, il me manquait quelque chose, ce qui me permettait d'être moi : Ma famille. J'avais eu beaucoup de mal à accepter que ma mère se trouve un autre homme, qu'elle remplace aussi facilement mon père, mais au final, il avait conquis cette place de beau-père à merveille, il était la figure paternelle que je n'avais plus. Il m'apportait, en plus de ma grande sœur, un petit frère et une petite sœur, deux jumeaux avec qui le premier contact n'a pas été le plus facile, mais qui a fini par devenir un lien fort, tellement que sans eux, sans cette petite troupe, je ne suis plus moi, je ne suis plus l'homme que mon entourage connaît. Dans cette famille recomposée, je ne peux pas oublier l'enfant que ma mère a eu avec mon beau-père, sept ans d'écart et pourtant cette dernière sœur trouvait sa place sans la moindre difficulté, la seule qui vivait avec ses deux « vrais » parents. Maël, tu peux venir avec moi ? Mais voilà, cette histoire c’était ma vie, ce n’était pas celle de ce petit garçon, qui pourtant me faisait penser à moi, à celui que j’étais à son âge, aux rêves que j’allais briser d’ici quelques minutes. Son père, il ne le connaissait pas, d’ailleurs moi-même je ne savais pas qui il était, je n’avais jamais pu le rencontrer et au final ce n’était pas plus mal pour lui, préférant fuir la grossesse que de l’assumer, la seule au courant de son identité, est celle qui a perdu la vie un peu plus tôt aujourd’hui. On pourra appeler maman après ? Depuis qu’il était arrivé à la caserne, c’était sa demande et malheureusement à chaque fois j’avais trouvé une excuse pour ne pas le faire, dans un premier temps parce que je savais que sa mère se trouvait à l’hôpital, entre les mains des médecins. Sauf que maintenant les choses étaient différentes, je déposais ma main sur l’épaule de ce petit garçon, tournant mon regard vers les pompiers et ambulancier présent dans notre salle commune, je les cherchais inconsciemment du regard, je cherchais à travers eux du courage. Ils étaient ma famille, celle avec qui je vivais lorsque j’étais de garde, ceux à qui je confiais ma vie lorsque je rentrais dans un immeuble en feu ou quand je sautais dans un lac pour une noyade. Si je ne connaissais pas tout d’eux, comme ils ignoraient certains détails de ma vie, il y avait une chose que je ne pouvais pas manquer à l’instant présent, c’était de voir à travers leurs regards, la peine et la tristesse de savoir qu’une fois que j’allais passer cette porte pour me rendre dans la salle de réunion, sa vie allait changer à tout jamais. Viens… Je n’avais rien de mieux à lui répondre, je ne voulais pas lui mentir, lui donner de faux espoirs que j’allais effacer d’un revers de main, ouvrant la porte, je le laissais entrer avant de le suivre, nous permettant de retrouver son oncle, une personne qu’il a dû voir au total quatre fois dans sa vie. Une dernière fois, mon regard se tournait vers mes coéquipiers, ils étaient tous là, derrière cette grande fenêtre, personne ne disait rien, tout le monde attendait ce triste moment, sur le visage de certains d’entre eux je pouvais même y voir des yeux remplis de larmes. Maël, il va falloir que tu sois fort mon grand. Je m'accroupissais, me retrouvant à son niveau, mes mains posaient sur mes jambes, mes yeux flirtant avec le sol un instant, je savais que cela allait être un moment difficile pour lui, mais je savais qu'il ne se retrouverait pas seul. Que sa vie allait continuer, son oncle et sa femme allaient le récupérer, il allait se retrouver dans leur famille, avec leurs enfants, il ne serait pas seul et c'était ce dont il allait avoir besoin. Et puis, il avait mon numéro, il savait où je travaillais, si jamais un jour, un moment il avait besoin de parler, de me voir ou même juste de pleurer, il pourrait compter sur moi, compter sur ma présence et mon soutien, au final ce qu'il vivait, je le connaissais. Toute son histoire, en une seule garde a eu raison de la mienne, de me replonger dans mon passé, sur les chemins que j'ai dû traverser, me faire revivre de grandes souffrances, comme le décès de mon père et mon histoire d'amour s'écrasant sur le sol en plein vol. Mais également me rappeler que je suis un homme chanceux, que malgré les épreuves difficiles, j'ai su trouver une vraie famille, celle que ma mère à construite avec son mari, celle qui est tellement vitale pour moi. Puis il y a aussi la famille de cœur, celle qui est formée par tous les hommes et femmes franchissant les portes de cette caserne et que je côtoie au quotidien, ceux qui sont au courant de bien des choses sur moi, ceux qui avaient été à mes côtés aujourd’hui pour réussir à gérer au mieux, cette garde complètement folle et destructrice.
Et voilà comment une rupture a fini par me pousser loin des rues de Miami, pour aller découvrir cette ville qui fait rêver tant de monde : Los-Angeles. Si je garde en souvenir deux très belles années de ma vie, qui m'ont bien aidé à me sortir la tête de l'eau, il me manquait quelque chose, ce qui me permettait d'être moi : Ma famille. J'avais eu beaucoup de mal à accepter que ma mère se trouve un autre homme, qu'elle remplace aussi facilement mon père, mais au final, il avait conquis cette place de beau-père à merveille, il était la figure paternelle que je n'avais plus. Il m'apportait, en plus de ma grande sœur, un petit frère et une petite sœur, deux jumeaux avec qui le premier contact n'a pas été le plus facile, mais qui a fini par devenir un lien fort, tellement que sans eux, sans cette petite troupe, je ne suis plus moi, je ne suis plus l'homme que mon entourage connaît. Dans cette famille recomposée, je ne peux pas oublier l'enfant que ma mère a eu avec mon beau-père, sept ans d'écart et pourtant cette dernière sœur trouvait sa place sans la moindre difficulté, la seule qui vivait avec ses deux « vrais » parents. Maël, tu peux venir avec moi ? Mais voilà, cette histoire c’était ma vie, ce n’était pas celle de ce petit garçon, qui pourtant me faisait penser à moi, à celui que j’étais à son âge, aux rêves que j’allais briser d’ici quelques minutes. Son père, il ne le connaissait pas, d’ailleurs moi-même je ne savais pas qui il était, je n’avais jamais pu le rencontrer et au final ce n’était pas plus mal pour lui, préférant fuir la grossesse que de l’assumer, la seule au courant de son identité, est celle qui a perdu la vie un peu plus tôt aujourd’hui. On pourra appeler maman après ? Depuis qu’il était arrivé à la caserne, c’était sa demande et malheureusement à chaque fois j’avais trouvé une excuse pour ne pas le faire, dans un premier temps parce que je savais que sa mère se trouvait à l’hôpital, entre les mains des médecins. Sauf que maintenant les choses étaient différentes, je déposais ma main sur l’épaule de ce petit garçon, tournant mon regard vers les pompiers et ambulancier présent dans notre salle commune, je les cherchais inconsciemment du regard, je cherchais à travers eux du courage. Ils étaient ma famille, celle avec qui je vivais lorsque j’étais de garde, ceux à qui je confiais ma vie lorsque je rentrais dans un immeuble en feu ou quand je sautais dans un lac pour une noyade. Si je ne connaissais pas tout d’eux, comme ils ignoraient certains détails de ma vie, il y avait une chose que je ne pouvais pas manquer à l’instant présent, c’était de voir à travers leurs regards, la peine et la tristesse de savoir qu’une fois que j’allais passer cette porte pour me rendre dans la salle de réunion, sa vie allait changer à tout jamais. Viens… Je n’avais rien de mieux à lui répondre, je ne voulais pas lui mentir, lui donner de faux espoirs que j’allais effacer d’un revers de main, ouvrant la porte, je le laissais entrer avant de le suivre, nous permettant de retrouver son oncle, une personne qu’il a dû voir au total quatre fois dans sa vie. Une dernière fois, mon regard se tournait vers mes coéquipiers, ils étaient tous là, derrière cette grande fenêtre, personne ne disait rien, tout le monde attendait ce triste moment, sur le visage de certains d’entre eux je pouvais même y voir des yeux remplis de larmes. Maël, il va falloir que tu sois fort mon grand. Je m'accroupissais, me retrouvant à son niveau, mes mains posaient sur mes jambes, mes yeux flirtant avec le sol un instant, je savais que cela allait être un moment difficile pour lui, mais je savais qu'il ne se retrouverait pas seul. Que sa vie allait continuer, son oncle et sa femme allaient le récupérer, il allait se retrouver dans leur famille, avec leurs enfants, il ne serait pas seul et c'était ce dont il allait avoir besoin. Et puis, il avait mon numéro, il savait où je travaillais, si jamais un jour, un moment il avait besoin de parler, de me voir ou même juste de pleurer, il pourrait compter sur moi, compter sur ma présence et mon soutien, au final ce qu'il vivait, je le connaissais. Toute son histoire, en une seule garde a eu raison de la mienne, de me replonger dans mon passé, sur les chemins que j'ai dû traverser, me faire revivre de grandes souffrances, comme le décès de mon père et mon histoire d'amour s'écrasant sur le sol en plein vol. Mais également me rappeler que je suis un homme chanceux, que malgré les épreuves difficiles, j'ai su trouver une vraie famille, celle que ma mère à construite avec son mari, celle qui est tellement vitale pour moi. Puis il y a aussi la famille de cœur, celle qui est formée par tous les hommes et femmes franchissant les portes de cette caserne et que je côtoie au quotidien, ceux qui sont au courant de bien des choses sur moi, ceux qui avaient été à mes côtés aujourd’hui pour réussir à gérer au mieux, cette garde complètement folle et destructrice.
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Bon, depuis hier, je me dis qu'il faut que je poste ici, mais je voulais pas venir sans idée de base
MAIS comme ma tête est vide, me voilà quand même !
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- Jude K. MillerI'm a Mother Fucker
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Dollars : 2306
Messages : 108
Date d'inscription : 14/03/2018
Avatar : Danneel Harris
Crédits : LovelyKitty
Âge du personnage : 30 ans
Nationalité(s) : Américaine
Signe astrologique : Verseau
Mon personnage, en 5 mots : Déterminée - Sociable - Volontaire - Tête en l'air - Têtue
Quartier de résidence : Eastside
Carrière, métier ou job : Interne en médecin/Chirurgie
Études (passées ou en cours) : Médecine à Harvard
Hobby : La tequila
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : Célibataire (par choix)
Je peux ? Ton perso est pompier, le mien est interne à l'hôpital et est souvent aux urgences. On pourrait trouver quelque chose non ?
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@Alexei Wheeler Hellooo Si t'as envie d'un rp avec le meilleur pote n'hésite pas
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