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YESTERDAY'S NEWS |48
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June Walton
Il n'existe pas de bonheur, sans échec
Avant de commencer, nous aimerions vous poser quelques questions sur votre personnage, afin d'en savoir davantage sur les motivations qui l'animent.
L'INTERROGATOIRE
DERRIÈRE L'ÉCRAN
Karma : Im a motherfucker Prénom/pseudo : Promesse Âge : 21 ans, dans quelques jours (a) Anniversaire : 18.03 Localisation : France Présence : 7 jours sur 7 pour la présence, et mardi, mercredi, vendredi, et samedi pour écrire Personnage ... Scenario J'ai connu le forum : bazzart Et je le trouve : Je vous aime déjà ** Ma plus grande peur : Bonne question ! Un temps, j'aurais dis serpents, mais depuis ma formation en animalerie, c'est plus le cas x) Aujourd'hui, je sais pas ! Un dernier mot ? Kiss Kiss
IMAGES Miserunt
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FAITS DIVERS
À quoi bon se battre pour la vérité, quand votre vie n'est qu'un mensonge ?
C'est ma vie
(1.) Une histoire d’enfance banale. Une famille – presque – comme les autres. Ses premières années n’ont rien de marquante, si bien qu’elle n’en possède que de vague souvenir. Son première véritable souvenir, c’est à l’âge de quatre ans. Elle se rappelle de cette sortie, au bord de long – bonheur qui lui semble aujourd’hui lointain. Elle était si heureuse de sortir au grand air avec toute la famille. Elle n’avait de cesse de courir dans tous les sens. Malgré les remontrances et les mises en garde de ses parents, rien à faire pour la calmer. Du moins jusqu’à l’inévitable. Son pied qui se prend dans une branche d’arbre. Et le sol, elle l'a vu arriver à une allure folle. Sa tête a cogner une pierre avec une violence inouï. Et a, à peine quatre ans, elle vivait sa première expérience au bloc, pour lui recoudre l’ouverture qu'elle s’était faite. Si la peur était bien présente ce jour là, aujourd’hui, elle rit de cette mésaventure. (2.) Pas très proche de ses parents, elle l’était bien d'avantage de sa sœur, et de son frère, qui prenait pour elle, le rôle de protecteur. Des souvenirs qu’elle possède, gravé au fer rouge dans sa tête. Comme ce jour là, vers 14 ans. Son premier chagrin d’amour. C’était qu’une amourette de passage, un drôle de souvenir aujourd’hui. Mais le cœur brisé, elle s'était réfugié dans la chambre de son frère, de chaude larme qui coulait sur ses joues. Il l’avait de suite rassuré, stipulant que ce garçon ne valait pas sa tristesse. Qu’elle trouverait mieux – premier mensonge de sa vie, puisqu’elle n’a jamais trouvé mieux après. Après une bonne heure de discussion, elle s’était assoupi de fatigue dans les bras de son frère. Et elle se rappelle bien, le lendemain matin. Son arrivée à l’école. Et Bastien – son ex - qui la gorge nouée, était venu lui faire des excuses. Et si elle ne doutait pas que cela venait de son frère, ils ne l’ont jamais évoqué ensemble. C’était leur petit secret. (3.) Elle était bonne élève. Intelligente, et douée dans ce qu’elle entreprenait. L'ambiance à la maison était cool, mais ça a vite fini par se dégradé sans qu’elle comprenne pourquoi. Elle n’a pas saisi ce qui a valu un tel changement. Elle sait juste que du jour au lendemain, c’était plus pareil. Et ça a joué sur son moral. Même si elle était toujours d’aussi doué, elle ne possédait plus cette même envie de suivre la voix de ses parents. Petit à petit, c’est devenu son fardeau. Comme ça l'a été pour les autres. Et puis un jour, ça a été pire encore. Sa sœur n’est plus rentrée à la maison. Elle n’a jamais compris pourquoi. Et les explications fournis par ses parents n’ont jamais suffit à la convaincre. Ça a commencer à faire naître des doutes chez elle. Qu’elle faisait taire, grâce aux conseils avisés de John. Mais l’absence de sa sœur pesait sur elle. De plus en plus chaque jour. (4.) Et ça s’est encore dégradé. Le jour où son frère à été retrouvé mort. Ça a été le début de la fin pour sa famille. Là encore, elle n’a jamais eu de véritables explications, par ses parents. Et de manière inconsciente, elle a commencé à les détester. Les liens familiaux ont commencé à devenir houleux. Et si elle s'est acharné à poursuivre son cursus scolaire, ce n’est pas pour elle. Encore moins pour ses parents. Mais parce qu’elle pense que c’est ce qu’aurait voulu son frère. Parce qu’elle pense qu’elle le lui doit. Mais elle n’est pas faite pour ça. Elle s’en rend bien compte. Ça ne la passionne plus. En cours, elle est distraite. Elle reste l’une des meilleures, mais ça ne l’intéresse plus. Et à la maison, la façade parfaite de ses parents commencent à se fendre. Depuis l'enterrement de John, June est persuadé que quelque chose ne va pas, qu’on lui cache quelque chose de crucial. Un élément qui lui permettrait de comprendre.
(5.) Depuis ce jour là, elle n’a plus de contact avec sa sœur. Plus de message, plus d’appel, plus de rencontre. Et comme à la maison, personne n’en parle, c’est comme si elle n’avait jamais existé. Mais June elle ne supporte pas cette impression qu’on lui vole son passé, et que son avenir est en train de lui filer entre les doigts. Elle se sent étouffé, dans une vie qui n’est pas la sienne, dans une famille qu’elle connaît plus. À une place qu’elle ne veut pas. (6.) Le mensonge. Ça fait parti de sa vie. Toute sa vie est basé dessus. Aujourd'hui, elle prend conscience de cela. Et même si elle garde la fasse, face à ses parents, elle est bien décidé à prêcher le vrai du faux. De quoi faire ressortir ses rêves de devenir un jour journaliste. Et elle est prête à prendre des risques, pour ça. Quitte à déplaire à ses parents. Mais elle possède ce besoin de savoir la vérité. Sous peine de ne jamais trouver sa place. (7.) Cette histoire, ça lui monte à la tête. C'est devenu une obsession, de connaître la vérité. Y a quelques jours, une sortie banale. Elle ne se rappelle même plus pourquoi. Elle se rappelle juste qu'elle est soulagé d'avoir été seule. Parce qu'au détour d'un carrefour, sa vie c'est arrêtée. Son coeur s'est accéléré, lui. C'est comme si elle était dans un rêve. Il était là. John. De dos, à quelques mètres. Mais elle était sûre que c'était lui. Ça ne pouvait que être lui. Et ça devait être lui. Mais il s'éloignait déjà, devenait hors d'atteinte. Elle s'est mise à courir, comme une derratée. Elle voyait la distance entre eux se réduire. De sa main tendue, elle a saisi son bras.. Là désillusion a été vive, lorsqu'il s'est retourné, et que c'est un autre homme qu'elle a aperçu. Elle s'est rendu compte ce jour là, à quel point elle avait encore besoin de son frère, à quel point sa disparition avait creuser un trou néant dans sa poitrine. Et c'est pleines d'excuse que la vérité l'avait frappé. Elle ne pourrait pas tourner la page sans la vérité. Même avec elle n'était pas certaine de pouvoir. (8.) À la maison, ses parents semblent plus prudents que jamais. À chaque fois qu'elle s'acharne à lancer le sujet, son frère, sa soeur, le dîner devient électrique, expédier en moins de deux minutes. Ça n'arrange pas la rancoeur qu'elle possède envers eux. Et à plus les jours passent, a plus elle est persuadée que sa mère, plus que son père, elle ne comprend pas pourquoi, n'est pas ignorante de la vérité. Pire encore, qu'elle semble avoir un véritable lien dans cette histoire. Chaque jour est devenu une lutte pour arracher la vérité de la bouche de sa mère. Sa culpabilité. Parce que si elle n'ose relier la perte de John à sa famille, elle est pour le moins sur que sa mère n'est pas étrangere au départ de sa soeur. Et Elle ne rêve que d'une chose, June, c'est de trouvé cet indice, qui prouverait qu'elle a raison. Mais contre son plus grand malheur, elle n'est jamais seule à la maison. Et elle soupçonne ses parents de la surveiller. Pour ne pas qu'elle se mette à fouiller. Et déterre un passé qu'elle ne soupçonne même pas. Et qui la dépasserait. (9.) On sonne à la porte. Elle entend la porte s'ouvrir alors qu’elle n’a pas passé la porte de sa chambre. Elle l’entrouvre, et dans l’embrassure de la porte, elle distingue deux voix. Une voix masculine, qu’elle ne reconnaît pas. Et celle de sa mère. Elle ne distingue pas son père. Peut être n'est-il pas encore rentré. Elle s’apprête à faire demi tour, les contacts de sa mère, elle s’en fiche pas mal. Elle n’a pas envie d’être mêler à ça. Mais ce qu’elle entend la pousse à changer d’avis. « Faites en sorte qu’elle reste loin d’elle. » Elle n’a aucune idée du sujet de la discussion, mais elle a comme l’impression que ce « Elle » c’est sa sœur. Et que sa mère s’efforce de la garder loin d’elle. Et June, c’est pas son choix. Peu importe ce qu’elle a fais pour avoir la désapprobation de sa mère, la brune veut se faire sa propre opinion. Elle écoute au porte, elle essaie d’en savoir plus. Mais aucune info supplémentaire ne filtre. De poli au revoir, et la porte se referme, emmenant avec elle, l’unique moyen pour June de connaître la vérité. Elle referme la porte derrière elle, des questions pleins la tête. Et ça l’encourage.. si elle possédait cette adresse, depuis quelques jours, sans oser se rendre sur place, c’est l’heure de passer le cap, et de voir pourquoi ses parents ne veulent plus de sa sœur. Il est temps qu’elles se revoient, depuis le temps. (10.) Et comme un malheur n’arrive jamais seul.. Y a cette rencontre, qu’elle a fais sur le campus. Un homme, à peine un peu plus vieux qu’elle. De quoi en rajouter à son charme. Ce n’est pas un malheur à proprement parler. Disons que ça dépend de la manière de voir les choses. Elle s’est vite retrouver envoûté. Et comme rien ne va dans sa vie, qu'il était sa seule source de bonheur, elle s’est donnée cœur et âme dans cette relation. À tord. Parce qu’elle a fini par se rendre compte qu’il n’en veut qu’à son argent, ou peut être même pire. Elle pourrait s’arrêter là. Mais comme on dit, l’amour rend aveugle. Elle est déjà trop éprise pour faire machine arrière. C’est son unique moyen de s’échapper de sa cata familiale. Mais ça lui donne des impressions que toute sa vie entière est une blague.. Est-ce qu’elle s’en sortira ? Affaire à suivre.. Mais n'ayez pas trop d’espoir. Les happy end n’existe que dans les contes de fée
.IMAGES tumblr
- InvitéInvité
MA PETITE SOEUR D'AMOUR DE MOI
J'sais même plus quoi te dire enfin tu sais à quel point je suis contente que tu sois là
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- Ezekiel EastwoodI'm a Mother Fucker
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Dollars : 2930
Messages : 544
Date d'inscription : 09/03/2018
Avatar : nicolas simoes
Crédits : ASTRA (avatar)
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Âge du personnage : vingt sept ans
Nationalité(s) : espagnole & américaine
Signe astrologique : Taureau
Mon personnage, en 5 mots : why are you holding back ?
Quartier de résidence : Eastside
Carrière, métier ou job : photographe de presse pour le L.A. Times.
Études (passées ou en cours) : deux ans de philo, puis école d'art, spécialisation photo.
Hobby : basket, photo, son chat, lire, prendre un café, explorer la ville.
Orientation sexuelle : Bisexuel(le)
Situation sentimentale : C'est ... compliqué
Avec : alice
je plussoie pour le pseudo
bienvenue !
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- InvitéInvité
SUPER BON CHOIX DE SCENARIO. les soeurs walton sont grave canons. (je te vends bien jean )
bienvenue.
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- InvitéInvité
bienvenue sur it's all my fault petit chat
bon courage pour ta fiche
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