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YESTERDAY'S NEWS |48
- InvitéInvité
lena jane abelli-rhodes
baby, i rose up from the dead, i do it all the time
Avant de commencer, nous aimerions vous poser quelques questions sur votre personnage, afin d'en savoir davantage sur les motivations qui l'animent.
L'INTERROGATOIRE
tu choisirais probablement de tout connaître de la médecine, lena. tu en sais déjà beaucoup, mais tu ne sais pas tout. tu voudrais posséder chaque détail, le faire tien, tout comprendre. tu ne veux pas que quiconque meure parce que tu aurais oublié un détail. alors tu voudrais tout savoir, tout connaître, que tout t'apparaisse clairement. tu voudrais être le docteur house des docteur house, pouvoir tout sauver, tout le monde. comprendre chaque maladie, chaque douleur, chaque mécanisme, et tous les éradiquer. mais la vraie réalité, c'est que plus globalement, tu voudrais tout savoir, tout connaître, dans tous les domaines. tu aimerais tant ne rien rater. parce qu'il y a tant à découvrir.
tu rêves par-dessus tout d'être enfin en sécurité. tu voudrais pouvoir retrouver ta vie d'avant, devenir le médecin dont tu as toujours rêvé, épouser l'homme que tu aimes toujours, mais ça t'est impossible, et tu le sais bien. alors en rêvant moins loin, en rêvant moins haut, tu aimerais voir tous les pays du monde. découvrir un moyen de traiter le cancer, peut-être. sauter le pas, et t'acheter un caravage ou un klimt, pour de vrai. tu voudrais que ta vie aies du sens. pour toi. sans que le monde n'ait besoin de le savoir. tu n'aimes pas beaucoup être au centre de l'attention. le feu des projecteurs, il a toujours été pour tessa. toi, tu aimes rester discrète. l'attention, ça te met mal à l'aise, ça te sort de ta zone de confort. plus encore, maintenant que tu règnes sur le crime de los angeles. c'est dangereux, l'attention. mais tu la gères bien, malgré tout. un joli sourire, un masque charmant. t'es devenue une véritable experte à ce jeu-là.
ta recette du bonheur, elle est si simple. un bon vieux bouquin - un jane austen, probablement. un banc du rose garden, et les fleurs illuminées par le soleil, et leur doux parfum pour embaumer tes narines. ta soeur non loin, avec son fiancé, peut-être. et ton ex à tes côtés. t'en demandes pas plus. seulement, tout ça, t'y as plus droit, maintenant. alors heureuse, tu ne l'est plus complètement, mais tu fais avec. tu récoltes chaque petit morceau de bonheur que tu peux trouver, et ça suffit. ça suffit amplement. chaque seconde avec tessa. chaque instant à travailler à l'hôpital. cuisiner, lire, passer des journées entières dans des musées. c'est bien assez.
tes ambitions, elles sont stellaires. t'as toujours visé si haut. tu voulais te marier, devenir médecin compétent, posséder ton propre hôpital, même. tu as changé. ce que tu veux, désormais, c'est te venger de ceux qui te poursuivent, et être enfin en sécurité. tu veux prendre la place de ton père et être à la hauteur du trône qu'il va te confier. tu veux renverser l'échiquier et édicter toi-même les règles. tu ne veux plus jamais obéir à quiconque, et tu ne veux plus jamais avoir peur. tu mérites de régner. tu es une gagnante, tu l'as toujours été. après tout, t'as survécu seule pendant un an, coupé de tous, coupée de toi-même, sans ressources, et t'en es fière. ta seconde plus grande réussite? avoir réussi à cuisiner un baba au rhum sans te brûler. le talent.
ta soeur est la chose la plus précieuse que tu aies. tessa avant tout. aucun diamant qui pourrait parer ton cou, aucune voiture de luxe, aucun royaume n'a autant de valeur que tessa. tessa, c'est ton sang et ton âme. tu t'arracherais le coeur pour le lui offrir, si elle avait besoin d'une greffe. tu le placerais toi-même dans sa poitrine, parce que c'est elle, ton coeur. pour elle, tu serais prête à piétiner ta morale et tes valeurs. pour elle, tu accepterais de tuer, de tirer toi-même sur la détente, et pas seulement d'en donner l'ordre. pour elle, tu serais prête à mourir.
tu l'as déjà fait.
tu l'as déjà fait.
l'illégalité, c'est toute ta vie. ton père est l'empereur du crime de los angeles. tu n'as jamais véritablement commis de crime toi-même. enfin, presque. un ou deux excès de vitesse, peut-être. un vol de compresses à l'hôpital, à l'occasion. mais par dessus tout, t'as simulé ta propre mort, et ça, c'en est un, de crime. tu l'as fait parce que t'y as été obligée. tu le devais, pour protéger ceux que tu aimes. tu t'y es résignée. comme tu as accepté l'idée d'ordonner meurtres et trafics, désormais. on s'y fait si vite, au côté obscur. après tout, t'as ça dans le sang. c'est devenu si facile, presque irréel. comme jouer aux échecs.
tu commencerais par remettre des dodos sur l'île maurice, parce que tu aimes bien les dodos. ensuite, tu éradiquerais les criminels de la surface de la terre. plus personne pour blesser quiconque. plus de crimes, plus de guerres, plus de conflits. une paix, partout. par la paix, tu rétablirais la stabilité, et peut-être que le monde irait mieux. ce serait tellement beau. la sécurité, enfin. la liberté, enfin. mais tu sais que ce n'est qu'une illusion, un rêve d'enfant, alors le monde, tu le remodèles toi-même, par la force.
par contre, tu ne peux pas recréer les dodos, et ça , c'est dommage.
par contre, tu ne peux pas recréer les dodos, et ça , c'est dommage.
tu aurais dû étudier le droit comme ton père le souhaitait, mais tu t'es opposée à lui, et tu as suivi ta véritable passion, la médecine. tu t'es jamais vraiment entendue avec tes parents, et ta seule a toujours été la seule de ton sang que tu aies véritablement aimée. seulement, ta vie est en danger, et les tiens sont les seuls capables de te protéger, alors tu as fini par comprendre leur vision du monde, et tu t'y es rangée, malgré tout. vous faites bon gré mal gré, désormais, et tu fais ton possible pour devenir la fille que ton père attendait.
(et aussi, tu aimes les mochaccinos plus que tout. qui a besoin d'un homme, quand on a des mochaccinos et des gâteaux?) DERRIÈRE L'ÉCRAN
Karma : Im a motherfucker Prénom/pseudo : atlantis (sarah) Âge : vingt-et-un, paie ta majorité internationale. Anniversaire : le vingt-huit juin (FAUT S'EN SOUVENIR EUKE) Localisation : AU WAKANDA BITCHES (toulouse & ardèche, en fait) Présence : sept/sept Personnage ... J'ai connu le forum : un petit mouton m'en a parlé il y a bieeeeen longtemps (ferdi tmtc ) Et je le trouve : j'aime les burritos. Ma plus grande peur : que les burritos disparaissent de la surface de la terre? Un dernier mot ? j'aime les burritos.
IMAGES (c) blue comet (av.), tumblr (gif&icon)
- InvitéInvité
FALLEN STAR
stars must be so proud to know their atoms created somebody like you
magdalena (f.) /maɡ.daˈlɛ.na/ — tower, ray of light, sinner. jane (f.) /dʒeɪn/ — grace of god, celestial, divine. abelli (n.) /a.bɛl.i/ — breath, inspiration, soul. rhodes (n.) /rohdz/ — were roses grow, colossal
LE DEBUT
vous êtes si belles, toutes les deux. les minois délicats, les joues roses, les yeux verts comme des pierres de jades fascinantes, les cheveux si blonds qu'on croirait qu'ils ont absorbé toute la lumière de l'astre solaire. à vous deux, vous brillez plus que n'importe quelle étoile. vous êtes une galaxie par vous seules. tu n'as jamais eu besoin de rien d'autre. tessa et lena, lena et tessa. les prénoms glissent, si facilement, indissociables. l'une ne vient pas sans l'autre, la seconde ne vient pas sans la première. tu n'es rien, sans tessa. elle est la première personne que tu aies jamais aimée. dès que tu as été composée d'assez de cellules pour aimer, tu l'as aimée. elle est ton reflet, la plus belle part de toi. deux gouttes d'eau. assorties jusque dans les jolies robes fleuries. "non, magdalena, ce n'est pas cette fourchette-là. ça, c'est la fourchette à salade. prends celle à droite. combien de fois il va falloir que je te le répète? et. pose. ce. livre." la voix tranche le calme, et toi, complètement ailleurs, tu continues à marteler ta pauvre côtelette avec ta fourchette à salade. tu es bien trop absorbée dans le monde d'harry potter. si bien que tu ne réagis qu'à peine lorsque ton père se leve brusquement. lorsqu'il t'arrache l’ouvrage des mains. lorsqu'il en déchire la moitié des pages, dans sa fureur. et toi, tes yeux flamboient de tous les mots que tu ne prononceras pas.
il y a si longtemps, tu avais appris qu'il ne servait à rien de mener une guerre ouverte contre ton père. on ne peut rien contre le roi abelli. et tu n'es pas de ceux qui se jettent à corps perdu dans toutes les batailles. c'est tessa, la guerrière. par réflexe, tu attrapes sa petite main sous la table, et tu la serres fort, pour te rassurer. tes yeux, eux, restent bloqués sur ton assiette.
et les mots sortent, malgré tout. "ne m'appelle pas magdalena. mon nom, c'est lena." après tout, le dernier à avoir commis cette erreur s'était pris ton poing dans la figure - école privée ou pas.
et seule tessa avait le privilège de pouvoir t'appeler maggie sans mourir immédiatement.
la seule et unique.
dans ta vie, dans ton coeur.
depuis toujours et pour toujours.
il y a si longtemps, tu avais appris qu'il ne servait à rien de mener une guerre ouverte contre ton père. on ne peut rien contre le roi abelli. et tu n'es pas de ceux qui se jettent à corps perdu dans toutes les batailles. c'est tessa, la guerrière. par réflexe, tu attrapes sa petite main sous la table, et tu la serres fort, pour te rassurer. tes yeux, eux, restent bloqués sur ton assiette.
et les mots sortent, malgré tout. "ne m'appelle pas magdalena. mon nom, c'est lena." après tout, le dernier à avoir commis cette erreur s'était pris ton poing dans la figure - école privée ou pas.
et seule tessa avait le privilège de pouvoir t'appeler maggie sans mourir immédiatement.
la seule et unique.
dans ta vie, dans ton coeur.
depuis toujours et pour toujours.
LE SOMMET
tu rayonnes de joie. de cette joie qui te caractérisait tant et qui éblouissait tout, dès que tu passait comme une comète. gentille, généreuse, et heureuse. tessa, c'était la supergéante bleue, l'étoile qui irradie, l'étoile qui brûle et consume. et toi, tu étais est une naine jaune. tu brilles moins, mais tu es là, et tu brilles malgré tout.
tu entres dans le penthouse que tu partages avec tessa à bel air - avec vos parents dans l'appartement juste au-dessus de vos têtes - et tu jettes ton sac à main sur le canapé, avant de te laver les mains, et de te débarrasser du stylo que, distraite, tu avais oublié dans ses cheveux. comme toujours. tu sors à peine de l'hôpital, et, malgré toute la peine que tu pouvais y voir, tu t'y sentais toujours bien. c'était là qu'était ta place. ta vie, ta passion. toi, tu avais refusé de marcher dans les pas de ton père. elle faisais ce que tu aimais. en te tenant loin des affaires familiales. en refusant d'être une abelli-rhodes.
abelli-rhodes. si tout se passait ainsi que tu l'avais prévu, tu n'en serais plus une très longtemps. il t'avait téléphoné, à peine plus tôt dans la journée. alors tu fais rebondir l'écrin entre ses doigts. le troisième rendez-vous où tu ferais ta tentative. rose garden. le théâtre du début de votre histoire. cette fois-ci, t'allais pas se dégonfler. tu esquisses un sourire attendri en ouvrant la petite boîte et tu effleures l'anneau d'or du bout des doigts.
et tu sursautes en entendant la voix sérieuse de ton père dans ton dos. "il faut qu'on parle. tu as de sérieux problèmes. il faut que tu partes. définitivement."
tu entres dans le penthouse que tu partages avec tessa à bel air - avec vos parents dans l'appartement juste au-dessus de vos têtes - et tu jettes ton sac à main sur le canapé, avant de te laver les mains, et de te débarrasser du stylo que, distraite, tu avais oublié dans ses cheveux. comme toujours. tu sors à peine de l'hôpital, et, malgré toute la peine que tu pouvais y voir, tu t'y sentais toujours bien. c'était là qu'était ta place. ta vie, ta passion. toi, tu avais refusé de marcher dans les pas de ton père. elle faisais ce que tu aimais. en te tenant loin des affaires familiales. en refusant d'être une abelli-rhodes.
abelli-rhodes. si tout se passait ainsi que tu l'avais prévu, tu n'en serais plus une très longtemps. il t'avait téléphoné, à peine plus tôt dans la journée. alors tu fais rebondir l'écrin entre ses doigts. le troisième rendez-vous où tu ferais ta tentative. rose garden. le théâtre du début de votre histoire. cette fois-ci, t'allais pas se dégonfler. tu esquisses un sourire attendri en ouvrant la petite boîte et tu effleures l'anneau d'or du bout des doigts.
et tu sursautes en entendant la voix sérieuse de ton père dans ton dos. "il faut qu'on parle. tu as de sérieux problèmes. il faut que tu partes. définitivement."
LA FIN
la nouvelle est partout dans la presse. l'une des deux étoiles, l'une des héritières abelli-rhodes, fauchée par un accident de voiture, en pleine tempête, en pleine jeunesse. ta voiture qui avait d'un pont, dans la los angeles river, d'aprèsl es rumeurs. dans l'eau glaciale de janvier. on l'avait repêchée, frigorifiée, déjà à moitié morte. on n'avait pas pu la ranimer. elle s'était éteinte, une main une main dans celle de celui qu'elle avait eu l'intention de demander en mariage, l'autre dans celle de sa jumelle, et ses parents autour. c'est ce que les médias avaient dit.
c'était incroyable, les merveilles que la science était capable de faire. incroyable aussi, le pouvoir de l'argent et de menaces sur un médecin et quelques contacts bien placés - qui, étonnamment, ne tarderaient pas à disparaître dans des circonstances tout à fait naturelles.
une injection, et ton coeur avait (temporairement) cessé de battre. ça, c'était pour la face du monde, pour les médias, pour ceux qui te menaçaient - et pour lui, qui était le seul, dans la chambre, à ignorer la vérité. que tu n'étais pas vraiment morte. qu'on faisait ça pour te sauver la vie. qu'on ne cherchait pas à assassiner quelqu'un qui était déjà mort (ou alors, c'était qu'on était particulièrement stupide).
c'était la seule chose à laquelle tu étais capable de penser, en montant dans l'avion privé qui devait t'emmener en arabie saoudite. ça valait mieux pour eux tous. pour tous, qui ignoraient tout de ton véritable plan.
tu allais transformer ta vraie fausse mort en fausse vraie mort. tu recommences à zéro. si tu devais partir, alors autant que ce soit pour de bon. plus d'attache, plus de regrets. tu ne donneras pas de nouvelles. c'était fini. tu partiras ailleurs, tu quitteras l'arabie saoudite en couvrant tes traces - la nouvelle-zélande, peut-être. tu prendras un nouveau nom.
ils croiront tous à ta mort - tous. même tes parents. seule tessa connaissait la vérité. t'avais pas pu lui mentir. et elle, elle t'aimait trop pour te forcer à rester. pour te trahir. la regarder te déchirait le coeur, et lorsque tu la serres dans ses bras, la gorge serrée, incapable de la lâcher, tout ce qu'elle parvient à dire, c'est "je suis désolée."
t'es tellement égoïste.
alors tu t'arraches à son étreinte, les yeux noyés de larmes, et tu t'avances dans le jet. et, sans un regard en arrière, tu dis adieu à magdalena jane abelli-rhodes.
c'était incroyable, les merveilles que la science était capable de faire. incroyable aussi, le pouvoir de l'argent et de menaces sur un médecin et quelques contacts bien placés - qui, étonnamment, ne tarderaient pas à disparaître dans des circonstances tout à fait naturelles.
une injection, et ton coeur avait (temporairement) cessé de battre. ça, c'était pour la face du monde, pour les médias, pour ceux qui te menaçaient - et pour lui, qui était le seul, dans la chambre, à ignorer la vérité. que tu n'étais pas vraiment morte. qu'on faisait ça pour te sauver la vie. qu'on ne cherchait pas à assassiner quelqu'un qui était déjà mort (ou alors, c'était qu'on était particulièrement stupide).
c'était la seule chose à laquelle tu étais capable de penser, en montant dans l'avion privé qui devait t'emmener en arabie saoudite. ça valait mieux pour eux tous. pour tous, qui ignoraient tout de ton véritable plan.
tu allais transformer ta vraie fausse mort en fausse vraie mort. tu recommences à zéro. si tu devais partir, alors autant que ce soit pour de bon. plus d'attache, plus de regrets. tu ne donneras pas de nouvelles. c'était fini. tu partiras ailleurs, tu quitteras l'arabie saoudite en couvrant tes traces - la nouvelle-zélande, peut-être. tu prendras un nouveau nom.
ils croiront tous à ta mort - tous. même tes parents. seule tessa connaissait la vérité. t'avais pas pu lui mentir. et elle, elle t'aimait trop pour te forcer à rester. pour te trahir. la regarder te déchirait le coeur, et lorsque tu la serres dans ses bras, la gorge serrée, incapable de la lâcher, tout ce qu'elle parvient à dire, c'est "je suis désolée."
t'es tellement égoïste.
alors tu t'arraches à son étreinte, les yeux noyés de larmes, et tu t'avances dans le jet. et, sans un regard en arrière, tu dis adieu à magdalena jane abelli-rhodes.
LE RENOUVEAU
tu vas les déchirer, les médias, encore une fois. les mettre à feu et à sang. ils vont se jeter sur la nouvelle comme des hyènes sur une carcasse. mais la carcasse, ce sera pas la tienne. t'auras probablement des problèmes avec la loi, aussi, mais tu t'en moques. ton père sera là pour arranger le coup, comme toujours. il n'y a rien, dans ce monde, que l'on ne puisse acheter.
tu l'as vite compris.
ton père non plus, il va pas s'en remettre. il va probablement s'étouffer sur son café noir. et tu t'en réjouis déjà. pour une fois que c'est toi, qui a un coup d'avance sur lui. c'est toi, la pièce maîtresse de cette partie d'échecs, désormais. pour faire tomber le roi, ils ont essayé d'éliminer la reine. encore. on t'a retrouvée. ceux qui voulaient ta peau ont compris que tu étais en vie. c'était plus la peine de te cacher. ils allaient te forcer à revenir. s'en prendre à tes anciens amis, à lui. seule, t'étais trop vulnérable. parmi les tiens, dans ton royaume, tu étais invincible.
tu sais pertinemment ce que tu dois faire. quel sacrifice.
et tu l'as accepté.
tu renonces à celle que tu étais, à tes valeurs. tu acceptes ton nom et son héritage.
c'est ce que tu hurles à la face du monde en descendant du jet. en posant le pied sur ce sol américain que tu n'as pas revu depuis près d'un an. et tu la repères immédiatement, comme toujours. ton radar la localise toujours, même à ses milliers de kilomètres. son sourire fait fondre ton coeur, et tu te retiens de toutes tes forces de te précipiter dans ses bras. ton père et ta mère, à côté, ont la tête de ceux qui viennent d'être percutés par un astéroïde, et ça te plaît bien. tu sais que ton père va te faire passer un mauvais quart d'heure. ça t'est égal. tu n'es plus la même.
tu parviens à leur niveau, et tu retires ces lunettes de soleil qui dissimulent ce visage qu'ils avaient déjà reconnu. tu serres tessa dans tes bras, tu embrasses ta mère sur la joue, et ton père n'a droit qu'à un regard froid.
"toi et moi, faut qu'on parle business."
et tu glisses un regard en coin à tessa, ta complice, ton sang, ton âme. "et félicitations pour la bague, chérie."
tu l'as vite compris.
ton père non plus, il va pas s'en remettre. il va probablement s'étouffer sur son café noir. et tu t'en réjouis déjà. pour une fois que c'est toi, qui a un coup d'avance sur lui. c'est toi, la pièce maîtresse de cette partie d'échecs, désormais. pour faire tomber le roi, ils ont essayé d'éliminer la reine. encore. on t'a retrouvée. ceux qui voulaient ta peau ont compris que tu étais en vie. c'était plus la peine de te cacher. ils allaient te forcer à revenir. s'en prendre à tes anciens amis, à lui. seule, t'étais trop vulnérable. parmi les tiens, dans ton royaume, tu étais invincible.
tu sais pertinemment ce que tu dois faire. quel sacrifice.
et tu l'as accepté.
tu renonces à celle que tu étais, à tes valeurs. tu acceptes ton nom et son héritage.
c'est ce que tu hurles à la face du monde en descendant du jet. en posant le pied sur ce sol américain que tu n'as pas revu depuis près d'un an. et tu la repères immédiatement, comme toujours. ton radar la localise toujours, même à ses milliers de kilomètres. son sourire fait fondre ton coeur, et tu te retiens de toutes tes forces de te précipiter dans ses bras. ton père et ta mère, à côté, ont la tête de ceux qui viennent d'être percutés par un astéroïde, et ça te plaît bien. tu sais que ton père va te faire passer un mauvais quart d'heure. ça t'est égal. tu n'es plus la même.
tu parviens à leur niveau, et tu retires ces lunettes de soleil qui dissimulent ce visage qu'ils avaient déjà reconnu. tu serres tessa dans tes bras, tu embrasses ta mère sur la joue, et ton père n'a droit qu'à un regard froid.
"toi et moi, faut qu'on parle business."
et tu glisses un regard en coin à tessa, ta complice, ton sang, ton âme. "et félicitations pour la bague, chérie."
IMAGES FEU ARDENT
- InvitéInvité
Que de beauté par ici baby baby
Bon courage pour la rédaction de ta fiche !
Bon courage pour la rédaction de ta fiche !
- InvitéInvité
@oscar luccheti et toi doooooonc, mon petit mouton
merci encore de m'avoir kidnappée
merci encore de m'avoir kidnappée
- InvitéInvité
Avec plaisir mon llama d'amour
Mon dieu mais ton titre ... Tu adores cette chanson non ?
Mon dieu mais ton titre ... Tu adores cette chanson non ?
- InvitéInvité
@oscar luccheti - llama + mouton = llamaton
pourquoi?
je te l'ai déjà sortie?
je la chante h24 sous la douche, elle
pourquoi?
je te l'ai déjà sortie?
je la chante h24 sous la douche, elle
- InvitéInvité
ton gif me fait bloquer
c'est tout pour moi.
c'est tout pour moi.
- InvitéInvité
llamaton J'adore !
Bah oui quand tu as posté dans un livre d'or une fois en mode "je vous aime" je crois #abba
Bah oui quand tu as posté dans un livre d'or une fois en mode "je vous aime" je crois #abba
- InvitéInvité
MAIS J'ADOORE.
Une criminelle en pluuuuus.
Hâte d'en lire davantage!
Une criminelle en pluuuuus.
Hâte d'en lire davantage!
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