YESTERDAY'S NEWS |48
- Adélaïde SullivanKingdom Come
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Âge du personnage : trente-deux ans (21/03/1990)
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Mon personnage, en 5 mots : Honnête • Charismatique • Passionnée • Joueuse • Séductrice
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : directrice générale du Ritz-Carlton de Los Angeles. (papa propriétaire de Marriott International)
Études (passées ou en cours) : Communication Marketing
Hobby : La danse. Le dessin.
Orientation sexuelle : Bisexuel(le)
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Avec : Aaron Campbell, de nouveau, après une séparation d'un an.
Ça n'avait pas été difficile d'attirer Norton chez elle. Elle lui avait sortie la bonne vieille excuse du tu m'en dois une. Elle avait fait la chambre de son fils après tout, il pouvait bien venir l'aider à poser un tableau avec la promesse d'une bière fraiche à la clé... ou pas. La réalité voulait que ses tableaux, elle les accrochait toute seule ou, au besoin, avec l'aide de sa voisine qu'elle adorait. Pourquoi le faire venir dans ce cas? Ca lui semblait tellement évident quand elle croisait le regard malicieux d'Alice, toutes les deux installées dans le canapé, une bouteille de vin déjà bien entamée posée sur la table basse et entourée de nourriture apéro en tout genre. Elle ne savait pas comment se passait la relation d'Alice et Kai à présent mais elle s'en fichait un peu à vrai dire. Son radar s'était surtout arrêté sur la relation étrange qu'il pouvait avoir avec Théodora, sa baby girl malgré tout. Elle ne savait plus comment Alice et elle en étaient arrivé à en parler mais la conclusion était claire: ça se voyait comme le nez au milieu de la figure et il fallait absolument leur faire réaliser les faits. C'est ainsi que Kai se retrouvait à sonner à l'interphone de chez Adélaïde et que cette dernière lui ouvrait la porte quelques étages à gravir plus tard. « Vas-y, entres. » Elle le laissait passer devant, pour mieux découvrir la présence d'Alice dans les lieux pendant que de son côté, elle prenait grand soin de fermer la porte à clé derrière elle pour être sûre qu'il ne s'échappe pas. « Comment tu vas? » Qu'elle demandait, fausse innocente qu'elle était.
- Kai NortonReserve Unit
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Études (passées ou en cours) : Diplômé Management + Sport Basket
Hobby : Sportif - Son fils - Ses amis - Sa vodka
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Avec : une pianiste
► los angeles
Traquenard amoureux ... Ou plan à trois ?
Il faut que le petit bras passe dans ce trou-là, voilà. Que le petit pied il se mette, non, le pied gauche à gauche. Le visage concentré, les traits de Kai s’adoucirent quand son fils frappa des mains d’excitation. « Oui bonhomme, on va voir Tata Adé ! Mais avant, arrête de bouger, papa doit bien t’attacher. » L’idée de changer de voiture commençait sérieusement à s’imprimer dans le crane de Kai à chaque nouvelle tentative pour attacher Wade dans le siège enfant. La Ford Mustang est belle, rapide, confortable, un vrai bolide, mais pour une famille, on est loin du compte. Une fois que le clic résonna, que les quelques vérifications confirmèrent au brun qu’il était bien attaché, il pria alors silencieusement qu’on ne lui annonce pas une seconde grossesse dans les semaines à venir car il devrait définitivement dire adieu à sa voiture qu’il bichonne depuis maintenant quelques années. C’est qu’il en avait chopé des nanas à l’université avec !
« Heyyyyyyy ! » En remuant le bras du petit Wade vers Adélaïde quand la porte s’ouvre. « Bonjour Tata ! » Lui faisant la bise tout en entrant dans l’appartement. Prêt à accrocher ce fameux tableau sur un mur, comme elle avait si bien su lui demander … Enfin demander était un bien grand mot. En connaissance parfaite des lieux, Kai se dirigea de lui-même vers le salon pour poser le bambin, mais il s’arrêta au bout du deuxième pas. Interloqué. Son regard se posa sur une seconde femme, Alice. Celle qui a porté le nom de Norton avec élégance. « Coucou Tata Alice. » A demi-teinte alors que ses yeux tournoient entre la blonde et la brune à une vitesse folle, comprenant bien vite qu’il allait gêner. « Si vous aviez un truc de filles de prévu, je peux repasser pour le tableau. » A l’attention de la maîtresse des lieux. Et sans attendre de réponse il fit demi-tour pour se diriger vers la sortie, alors que la blonde est restée là, devant la porte. Bon, okay, ça sent mauvais là. Il plisse les yeux, comme pour chercher une explication, mais il ne trouva rien. Son sourire d’idiot fini par venir illuminer son visage quand il comprit. « Ah alors c’est maintenant que je vais avoir mon plan à trois ! Génial ! » Et sur cette note forte positive il posa son fils sur le canapé, frappa dans ses mains pour se donner du courage et adressa un sourire confiant à son épouse. Ou ex-femme. On ne sait plus. Ils l’avaient consommé leur mariage ? Ah non pas encore, c’est donc l’occasion.
PS : Une blonde, une brune, Kai est votre 3e Totally Spies !! Ouiiiiii !
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- Alice CollinsMEMBER OF THE MONTH
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Âge du personnage : 30 ans (12/08/1991).
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Mon personnage, en 5 mots : Passionnée. Extravertie. Franche. Joueuse. Manipulatrice.
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Carrière, métier ou job : Chorégraphe en danse contemporaine au Millenium Dance Complex.
Études (passées ou en cours) : Diplômée en danse à l'UCLA.
Hobby : Faire des folies.
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Situation sentimentale : C'est ... compliqué
Avec : Ezekiel.
Terminant de se mettre du vernis rouge pourpre sur les ongles de la main, Alice racontait en même temps les derniers potins de sa propre vie à Adélaïde en attendant que Kai fasse son apparition. Le vin coulait à flot dans leur gosier, à l’instar de leur relation qui frôlait l’évidence. Toutes les deux s’entendaient à merveille puisqu’elles avaient, outre une aventure intime passée, des valeurs, des goûts et surtout, des intérêts en commun. Celui du jour n’était autre que de faire ouvrir les yeux à Kai sur sa relation avec la belle Theodora qu’Alice avait rencontrée quelques fois et trouvé à juste titre plutôt magnétisante. Elle n’avait pas eu à plisser des yeux pour se rendre compte qu’entre et Kai aussi, ça frôlait l’évidence. Et qu’importe si elle s’obstinait à tort puisque Adélaïde était sur la même longueur d’onde qu’elle. Elles tenteraient le tout pour le tout afin de réunir ces deux-là et voir ce qu’un Kora officiel pourrait donner. Si Alice était encore l’épouse de Kai pour quelques petites journées, cela ne l’empêchait pas de lui souhaiter qu’il trouve chaussure à son pied, et quoi de mieux qu’une fille qu’elle appréciait ? C'était même la base. Les critères étaient ainsi réunis en faveur de la pianiste.
D’ailleurs, Norton apparut à la vision d’Alice quand elle terminait son second verre. Et quelle plus belle vision qu’un père avec son rejeton baveux dans les bras. Pour autant, la brunette commençait à l’apprécier... « Coucou le plus beau. » C’était bien sûr adressé à Wade, dont elle embrassa la joue avec malice. Il essaya de lui attraper la main mais elle la retira aussitôt. « Non Wade, règle numéro 1 : on ne gâche pas le beau vernis de tata Alice. » Ajouta-t-elle telle une diva avant de sourire à Kai. Ce dernier hésita à repartir en les voyant toutes les deux mais Adélaïde l’en empêcha. Bien joué.
Lorsqu’il mentionna son plan à trois, Alice partagea avec Adélaïde un regard mêlant désespoir et moquerie. « J’ai dit à Wade de pas gâcher mon vernis, c’est pas pour que tu m’embarques dans un plan à trois juste après. Côté pratique, on repassera. » Non pas qu’elle aurait accepté, sans ça... Ça frôlait le n’importe quoi, mais c’était eux, tout simplement. Alice tendit un verre à Kai avant de se rasseoir sur le canapé à côté du petit qui babillait gaiement. Elle le regarda d’ailleurs un moment sans trop savoir quoi penser. Il était mignon et d’un autre côté, ça restait un bébé. Un être humain assez peu propice aux discussions ou à d’autres échanges dignes d’intérêt... De surcroît ça sentait mauvais la plupart du temps. « Tu sais Norton maintenant que t’as un bébé, va falloir que tu te poses au lieu de sauter sur tout ce qui bouge. Sinon quel exemple tu vas lui donner à ce petit... Je suis sûre qu’Adé sera d’accord avec moi. Hein ? » Dit-elle en orientant son regard de Kai à Adélaïde, sa complice du jour.
D’ailleurs, Norton apparut à la vision d’Alice quand elle terminait son second verre. Et quelle plus belle vision qu’un père avec son rejeton baveux dans les bras. Pour autant, la brunette commençait à l’apprécier... « Coucou le plus beau. » C’était bien sûr adressé à Wade, dont elle embrassa la joue avec malice. Il essaya de lui attraper la main mais elle la retira aussitôt. « Non Wade, règle numéro 1 : on ne gâche pas le beau vernis de tata Alice. » Ajouta-t-elle telle une diva avant de sourire à Kai. Ce dernier hésita à repartir en les voyant toutes les deux mais Adélaïde l’en empêcha. Bien joué.
Lorsqu’il mentionna son plan à trois, Alice partagea avec Adélaïde un regard mêlant désespoir et moquerie. « J’ai dit à Wade de pas gâcher mon vernis, c’est pas pour que tu m’embarques dans un plan à trois juste après. Côté pratique, on repassera. » Non pas qu’elle aurait accepté, sans ça... Ça frôlait le n’importe quoi, mais c’était eux, tout simplement. Alice tendit un verre à Kai avant de se rasseoir sur le canapé à côté du petit qui babillait gaiement. Elle le regarda d’ailleurs un moment sans trop savoir quoi penser. Il était mignon et d’un autre côté, ça restait un bébé. Un être humain assez peu propice aux discussions ou à d’autres échanges dignes d’intérêt... De surcroît ça sentait mauvais la plupart du temps. « Tu sais Norton maintenant que t’as un bébé, va falloir que tu te poses au lieu de sauter sur tout ce qui bouge. Sinon quel exemple tu vas lui donner à ce petit... Je suis sûre qu’Adé sera d’accord avec moi. Hein ? » Dit-elle en orientant son regard de Kai à Adélaïde, sa complice du jour.
- Adélaïde SullivanKingdom Come
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Les pupilles d'Adélaïde roulaient vers le ciel sous la réflexion de Kai. Il n'en manquait pas une celui-là. A croire qu'il était déterminé en embarquer la blonde dans un plan à trois. Notons que c'était encore avec une brune mais qui n'avait rien à voir avec Théodora cette fois. Il devait cacher un espèce de fantasme louche sur les couleurs de cheveux, elle ne voyait que ça. Elle laissait l'opportunité à Alice de lui répondre. Elle arrachait un sourire amusé d'Adélaïde... elle reconnaissait bien Alice dans cette histoire de vernis. Pendant ce temps, la blonde profitait de la discussion des deux protagonistes pour glisser discrètement la clé de chez elle entre son jean et son string. Au moins là, elle était sûre que Kai n'aurait pas l'audace d'aller la chercher... le décolleté, elle aurait été moins sûre de cette affirmation, bref. En se dirigeant vers eux, elle se tortillait un peu de la fraîcheur de la clé contre la partie de son épiderme la plus sensible. Quelle idée à la con!
Alice lançait les hostilités quand la blonde prenait naturellement Wade, le calant dans l'un de ses bras pour lui faire un bisou. Elle n'était pas très bébé en général mais pour lui, c'était différent. Elle avait plaidé sa cause du début à la fin, aussi bien après de sa mère que de Kai. Un lien tacite s'était naturellement tissé entre eux. Et puis Sullivan avait l'intime conviction que cet enfant lui serait d'une grande utilité dans quelques minutes. Sur ce visage, elle y reconnaissait quelques traits de son père et quand l'enfant lui souriait, aucun doute possible, c'est bien son fils de sourire aux jolie filles. « Tu nous prend en photo? » Qu'elle lançait à Norton, désireuse d'avoir un souvenir... et c'était une bonne excuse pour que le jeune papa sorte son téléphone de ses poches.
A la réflexion d'Alice, Adélaïde hochait simplement la tête sans quitter le bébé des yeux. « Tout à fait! ça serait malheureux que ce petit bonhomme brise bien des cœurs parce que son père a fait la même chose. » Comme celui de Théodora par exemple mais ça, elle se retenait de le dire parce que le briseur de cœur n'était pas au courant des sms qu'elles s'étaient échangés. « Et puis une figure féminine auprès de son père pour s'identifier, c'est bien aussi. Heureusement pour toi, tu as encore le temps de rectifier ça. » disait-elle en relevant enfin le regard vers eux, son regard s'arrêtant dans celui de Norton. « Je t'ai menti. J'ai pas besoin de toi pour accrocher un tableau. On voulait te parler de quelqu'un. » Ses iris dérivaient naturellement sur Alice, autorisation silencieuse d'enclencher le plan Kora.
Alice lançait les hostilités quand la blonde prenait naturellement Wade, le calant dans l'un de ses bras pour lui faire un bisou. Elle n'était pas très bébé en général mais pour lui, c'était différent. Elle avait plaidé sa cause du début à la fin, aussi bien après de sa mère que de Kai. Un lien tacite s'était naturellement tissé entre eux. Et puis Sullivan avait l'intime conviction que cet enfant lui serait d'une grande utilité dans quelques minutes. Sur ce visage, elle y reconnaissait quelques traits de son père et quand l'enfant lui souriait, aucun doute possible, c'est bien son fils de sourire aux jolie filles. « Tu nous prend en photo? » Qu'elle lançait à Norton, désireuse d'avoir un souvenir... et c'était une bonne excuse pour que le jeune papa sorte son téléphone de ses poches.
A la réflexion d'Alice, Adélaïde hochait simplement la tête sans quitter le bébé des yeux. « Tout à fait! ça serait malheureux que ce petit bonhomme brise bien des cœurs parce que son père a fait la même chose. » Comme celui de Théodora par exemple mais ça, elle se retenait de le dire parce que le briseur de cœur n'était pas au courant des sms qu'elles s'étaient échangés. « Et puis une figure féminine auprès de son père pour s'identifier, c'est bien aussi. Heureusement pour toi, tu as encore le temps de rectifier ça. » disait-elle en relevant enfin le regard vers eux, son regard s'arrêtant dans celui de Norton. « Je t'ai menti. J'ai pas besoin de toi pour accrocher un tableau. On voulait te parler de quelqu'un. » Ses iris dérivaient naturellement sur Alice, autorisation silencieuse d'enclencher le plan Kora.
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Pas de plan à trois. La déception sur le visage de Kai. Il prit le verre qu’Alice lui tendit alors qu’il plisse les yeux, curieux. Qu’est-ce que deux belles femmes de leur envergure lui voulaient ? De l’argent, surement pas. Du sexe non plus à priori. Ses réflexions bas étage finirent par s’estompèrent rapidement. Le regard posé sur son fils qui se laisse faire quand Adélaïde le prend dans ses bras. Il semble simplement heureux de voir sa tante et sa belle-mère dans la même pièce, rien que pour lui. Ah quelle belle époque, celle de l’insouciance ! Sans lâcher son regard du mini Norton, il hocha la tête tout en posant son verre pour sortir son téléphone et en haussant les épaules dans un même geste pour répondre à Alice. « Je ne saute sur rien du tout en ce moment. » Qu’il lâche, presque attristé de sa propre annonce. Il avait pris des décisions et il s’y tenait. Mais ça, il l’avait gardé pour lui. Elles n’avaient pas besoin de connaître chaque détail de sa vie. Ce petit garnement lui prenait déjà beaucoup de temps en plus de son nouveau job, il n’avait plus cet emploi du temps d’étudiant qui lui avait permis un tableau de chasse aussi rempli. Et puis, au fond, il avait toujours ce truc qui ne laissait penser qu’une chose : toute femme l’approchant de trop près se mettait à souffrir. Le bilan était sans appel. Aussi étrange que cela puisse paraitre. Même un semblant de mariage finissait par se détruire et à faire souffrir la belle de l’histoire. Et lui, toujours le même rôle. La bête. Qui finit seul.
Une sonnerie qui annonce le cliché enregistré. Le résultat est sans appel. « Magnifique ! » Il ne savait pas s’il parlait du bambin complètement ignorant ou de la blonde fière de l’avoir dans ses bras souriant face à l’appareil photo du smartphone. S’il y avait une chose de bien qui était arrivée avec cette naissance, c’était cet esprit de famille et de bienveillance qui rassurait Norton. Il avait eu besoin de ses proches et tous avaient répondus présents. Un fait qui le poussait à être un bon père. Même si cela était loin, très loin, d’être facile. « C’est pas non plus une maladie de faire chavirer le cœur des demoiselles. » Il reprend son verre tout en étant fier de lui et de ses nombreuses conquêtes. Son sourire de crâneur sur la tronche. Il ne comprenait rien. Un seul mot se démarqua du reste. Mentir. Ce verbe. Elle avait menti. « De qui ? Arya ? » Qu’il jeta comme une bouteille à la mer pour tenter d’avoir des détails supplémentaires. « Elle sera une bonne mère, faut juste lui laisser du temps. Pas de panique, elle saura être une figure féminine » Avec un air débile sur la tronche et des guillemets dans les airs. Cette expression de figure féminine lui semblait inappropriée. Il avait vécu sans mère et alors, était-il un gamin à foutre à la poubelle ? Non, il ne pense pas. Ses traits de visage se durcirent un peu. Fixant Alice d’abord. « Laissez-lui un peu de temps … » Puis Adélaïde. « S’il vous plait. »
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L'air de rien, Alice observait Kai lorsqu'il utilisait son téléphone pour prendre sa complice et le petit en photo. Un brin déçue de ne pas apparaître sur le cliché, elle ne perdait pas de vue son objectif quitte à reléguer au second plan son narcissisme. Cela prouvait que la cause de Kai lui était chère mais ça, il ne le comprendrait qu'avec du recul, après une bonne dose de rancune.
Le grand brun tiqua à la remarque d'Adélaïde lui révélant qu'elles n'étaient finalement pas là pour le tableau. Sur ce coup, Alice lâcha un petit ricanement signifiant ni plus ni moins que « t'as été un bleu de croire qu'on te demanderait de venir juste pour accrocher un tableau ». Elles ont moins de force que lui mais malgré ça, ensemble elles auraient pu l'accrocher d'elles-mêmes. Ensuite elle l'écouta évoquer la fameuse Arya, mère du petit Wade, comme d'une femme pour laquelle le sens maternel était un tantinet perturbé. Mais qu'il viendrait, hein, qu'il fallait juste patienter. Alice eut une vague pensée pour sa propre mère qui n'avait jamais eu de déclic, pas même après la mort de son mari. Un soupir s'échappa de ses lèvres suivi d'un haussement d'épaules. Non, clairement, pour certaines femmes, ça ne vient jamais. « Qu'elle devienne une bonne mère ou pas, Wade pourra toujours compter sur son père et ses tatas. » Elle sourit au petit concerné, prise d'un élan de tendresse inexplicable. Puis ses yeux croisèrent ceux d'Adé, déviant ensuite vers Kai. Il fallait agir. « Ce n'est pas d'elle dont on voulait te parler, mais d'une autre. On sait que tu lorgnes sur quelqu'un, ne nous prends pas pour des lapins de deux semaines. » Elle vida son verre d'une traite et se leva ensuite pour exprimer son mécontentement. « Qui dit bouteille de vin finie dit ouverture d'une nouvelle bouteille. Kai tu viens m'aider ? » A ouvrir la bouteille de vin, parce que c'était le moment de se faire passer pour une incompétente. Et en se levant, Alice ne manqua pas d'adresser un regard sans équivoque à Adélaïde pour qu'elle agisse à son tour.
La main d'Alice agrippait celle de son ami qu'elle entraînait vers le coin cuisine. Là-bas, elle sortit une bouteille du frigo et la tendit vers son époux. « Allez sers-nous de nouveaux verres. Et parle-moi de Theodora. » Sans la moindre précaution elle lâchait ce prénom. Alice ne prenait pas de pincettes avec Kai de toute façon. Ses yeux sur lui pétillaient.
Le grand brun tiqua à la remarque d'Adélaïde lui révélant qu'elles n'étaient finalement pas là pour le tableau. Sur ce coup, Alice lâcha un petit ricanement signifiant ni plus ni moins que « t'as été un bleu de croire qu'on te demanderait de venir juste pour accrocher un tableau ». Elles ont moins de force que lui mais malgré ça, ensemble elles auraient pu l'accrocher d'elles-mêmes. Ensuite elle l'écouta évoquer la fameuse Arya, mère du petit Wade, comme d'une femme pour laquelle le sens maternel était un tantinet perturbé. Mais qu'il viendrait, hein, qu'il fallait juste patienter. Alice eut une vague pensée pour sa propre mère qui n'avait jamais eu de déclic, pas même après la mort de son mari. Un soupir s'échappa de ses lèvres suivi d'un haussement d'épaules. Non, clairement, pour certaines femmes, ça ne vient jamais. « Qu'elle devienne une bonne mère ou pas, Wade pourra toujours compter sur son père et ses tatas. » Elle sourit au petit concerné, prise d'un élan de tendresse inexplicable. Puis ses yeux croisèrent ceux d'Adé, déviant ensuite vers Kai. Il fallait agir. « Ce n'est pas d'elle dont on voulait te parler, mais d'une autre. On sait que tu lorgnes sur quelqu'un, ne nous prends pas pour des lapins de deux semaines. » Elle vida son verre d'une traite et se leva ensuite pour exprimer son mécontentement. « Qui dit bouteille de vin finie dit ouverture d'une nouvelle bouteille. Kai tu viens m'aider ? » A ouvrir la bouteille de vin, parce que c'était le moment de se faire passer pour une incompétente. Et en se levant, Alice ne manqua pas d'adresser un regard sans équivoque à Adélaïde pour qu'elle agisse à son tour.
La main d'Alice agrippait celle de son ami qu'elle entraînait vers le coin cuisine. Là-bas, elle sortit une bouteille du frigo et la tendit vers son époux. « Allez sers-nous de nouveaux verres. Et parle-moi de Theodora. » Sans la moindre précaution elle lâchait ce prénom. Alice ne prenait pas de pincettes avec Kai de toute façon. Ses yeux sur lui pétillaient.
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