Page 1 sur 2 • 1, 2
YESTERDAY'S NEWS |48
- InvitéInvité
d. aleksander volkov
tu seras ce qu'on te dit, tu discutes pas, ici-bas c'est comme ça. t'as compris le jeu petit merdeux ? c'est la roulette, tu choisis pas.
Il est temps pour vous de nous en dire plus sur votre personnage. Que ce soit à propos de ses (mauvaises) habitudes, de quelques signes particuliers en tout genre, qu'il soit question de son caractère ou de son passé... Tout est bon à prendre.
PETITES ANECDOTES
≈ Tu es en permanence neutre. Tu as seulement ton sourire qui vient illuminer ton visage. C’est seulement ton habitude, ta nature quoi. Combiné à une extrême froideur, tu peux passer pour quelqu'un d’impoli. Ce qui n’est pas le cas.
≈ Derrière ce masque de cire se cache un homme intelligent et calculateur. Tu ne pourra t'empêcher de tester tes adversaires. Souvent, tu te permettra d'intégrer ceux-ci à une expérience dont toi seul comprend le sens. Tu es aussi un excellent menteur. Combiné à ton grand charme tu ne manque pas de courtiser certaines jeunes hommes -ou femmes). Oui, tu es grand charmeur, mais chacun a une ou des manières de canaliser ses vices. Toi, c'est la drague.
≈ Quand on apprend à te connaître, on découvre que tu es une personne sérieuse et impliquée dans tes actes. Mais aussi une personne rancunière et méfiante, ce qui parfois ne fait que renforcer ta petite solitude. Tu l'aimes bien. Tu as même prit l'habitude de la surnommer ta meilleure amie.
≈ si on te demandait quelles étaient tes peurs… Tu répondrais “ perdre ma liberté. Je suis moi, je m'appartiens donc personne ne me possède. Je peux me prêter, me plier pendant un certain temps, mais je m'envolerai toujours comme l’oisillon qui part de son nid. “
≈ Tu es réputé pour ton caractère rebel, tu n'en fera qu'à ta tête et as tendance à tenir tête aux autorités supérieures. Tu es incroyablement brave (téméraire ?) et tu as tendance à affronter le danger plutôt que de le fuir, même s'il est trop puissant pour toi. Tu n'as pas peur des défis.
≈ Parfois, on peut apercevoir une douceur inattendue qui semble émaner de ton regard perdu. Mais ta fierté est bien trop forte pour laisser quelqu'un démonter ton esprit, bribes par bribes, roues par roues, jusqu'à en trouver des sentiments sibyllins, presqu'aussi glissants que la pénombre.
≈ Tu hais avoir des liens avec des gens pour plusieurs raisons, la première, pour éviter que de t'affaiblir, la seconde car, tu détestes avoir l'attention porter sur toi, alors que tu préfères rester furtif.
≈ S'il y a bien des objets auxquels tu tiens, ce sont tes armes, tu leur parles, du matin au soir, tu joues avec elles, comme le ferait un enfant avec ses peluches. Tu en prends bien soin, tu les chouchoutes et il t'en faut toujours plus, tu n'en as jamais assez.
≈ On pourrait en venir à se demander si tu es capable d'amour. Tu penses que oui, au fond de ton cœur, très profondément enfuis, subsiste une infime parcelle de bonté, que tu arrives à cacher avec brio. Oui, tu prends la vie comme elle vient. Pour toi, la vie n'est qu'un vaste jeu et ton but c'est bien sûr de le gagner!
≈ Parce qu'il n'y a aucune logique chez toi, alors autant ne pas en chercher. Tu vis simplement pour vivre, parce que de ton point de vue, une vie ce n'est pas très long, alors autant en profiter et ne pas être restreint par des règles sans valeurs. Un léger esprit rebel n'est-il pas. Ce qui n'est pas faux, tu aimes aller à l'encontre des règles, à l'encontre de ce qu'on te dis de faire, juste parce que tu n'aimes pas qu'on te donne des ordres, parce que tu as l'impression qu'on te rabaisse de cette façon. Oui, tu as tendance à avoir un caractère de cochon et très mal prendre les choses.
≈ Tu n'es pas du style à regarder en arrière. Tu avances, sans un remord. Tu assumes chacune de tes décisions et peux se montrer légèrement arrogant quand à ses opinions et son intellect. Ce qui n'aide pas forcément le reste du monde à t'apprécier.
≈ Tu as deux côtés, deux facettes. pas une double personnalité, nan se serait en faire trop. Tu as simplement des traits de caractères que tu affiches en compagnie de tes amis, du beau monde et d'autres que tu ne montres que lorsque tu es seul ou avec des gens que tu ne connais pas et ne souhaite pas connaître... Clairement beaucoup de gens pourraient te qualifier de connard et encore, tu pèses tes mots. Tu es du style -si vous êtes une fille- à promettre la lune pour coucher avec vous et à vous jeter le lendemain. Tu es aussi du style à pourrir la vie sans modération s'il ne t'aimes pas. Mais ce connard n'est pas tout le temps-là, quelques fois il s'éclipse pour laisser place à un jeune gentil, attentionné.
≈ Tu es une tête brûlée. Impulsif et têtu, le combo explosif par excellence. Si tu veux faire quelque chose, tu le feras. Si tu as quelque chose à dire, tu ne Te retiendras pas. Et tant pis pour les conséquences. Les gens disent qu’il faut réfléchir avant d’agir.. Toi, ça ne te convient pas.
≈ Intérimaire financier est ta couverture, mais marchand de la mort, trafiquant d’armes, fournisseur de flingues de tous les mafieux du coin, des gosses jusqu’aux vieillards est ta principale vocation. C’est la rage de vaincre, la joie de voir le sang de l’ennemi coulé. Seulement, l’attrait de l’or est bien fort, la corruption empoisonne tes veines, personne sait d’où ces armes viennent, mais pour un prix un peu plus fort, n’importe qui peut s’en procurer une aussi.
≈ La rage, la violence. tu as grandi avec elle. Elle t'as façonné, endurci, opprimé. Ton avenir était déjà tout tracé, tu n’avais plus qu’à suivre les pas de ton père et à la moindre incartade, au moindre signe de liberté, tu étais brusquement ramené à la réalité. La vie n’était pas un jeu, elle avait ses propres règles, ses propres lois. Et dans le regard de ton père, tu devenais un soldat. Armé de colère, de haine et de rancœur, défendant une cause, un idéal qui ne t’appartenaiens pas. Il les a gravés dans ton âme, dans ta chair et aujourd’hui, tu ne peux plus t’en débarrasser. Tu t’es perdu au fil des années, afin de devenir un autre, un étranger.
≈ Tu as fais trois ans de taule, pour meurtre involontaire. T'as juste voulu survivre, éviter que mort s'ensuivent. T'as tiré sur c'mec qui te menaçait de son arme. Tu le voulais. Quelques secondes plus tard, il était allongé sur le sol, inconscient, son sang qui se vide contre l’asphalte. Mais, un témoin t'as voulu la peine minimum. T'as eu de la chance qu'il t'es provoqué en premier. Sinon, t'aurais été bon, pour une bonne dizaine d'années.
≈ Ton ami d’enfance. Celui avec qui t’es partie de ta Russie natale. Vous aviez tout vécu ensemble. L’un comme l’autre a toujours été présent, peu importe dans quelle merde c’était fourré l’autre. Et malgré tout, aucune chicane, bagarre n’a pu les séparer depuis. Ce n’est pas la joie tous les jours entre eux, mais pour rien au monde, ils souhaiteraient que leur amitié s’égare. Ça serait comme si une partie d’eux mourraient pour de bon... Comme, si une énième partie de leur vie était partie en flambeau. Cette personne un peu difficile, un peu violente, un peu impulsive est probablement la personne en qui t’avais suffisamment confiance pour lui exposer ta vie entière, au grand jour, à quelques exceptions près... Mais vos confidences ne sont pas seulement la seule chose que vous partagiez, votre lit aussi, depuis, le jour ou votre première expérience commune s’est mise en branle. Tout était bien clair. Sexe, amitié était leur mot d’ordre. Aucun sentiment. Toutefois, après tant d’années, il est difficile de penser qu’il n’y est même pas un soupçon de sentiment entre eux...
≈ Derrière ce masque de cire se cache un homme intelligent et calculateur. Tu ne pourra t'empêcher de tester tes adversaires. Souvent, tu te permettra d'intégrer ceux-ci à une expérience dont toi seul comprend le sens. Tu es aussi un excellent menteur. Combiné à ton grand charme tu ne manque pas de courtiser certaines jeunes hommes -ou femmes). Oui, tu es grand charmeur, mais chacun a une ou des manières de canaliser ses vices. Toi, c'est la drague.
≈ Quand on apprend à te connaître, on découvre que tu es une personne sérieuse et impliquée dans tes actes. Mais aussi une personne rancunière et méfiante, ce qui parfois ne fait que renforcer ta petite solitude. Tu l'aimes bien. Tu as même prit l'habitude de la surnommer ta meilleure amie.
≈ si on te demandait quelles étaient tes peurs… Tu répondrais “ perdre ma liberté. Je suis moi, je m'appartiens donc personne ne me possède. Je peux me prêter, me plier pendant un certain temps, mais je m'envolerai toujours comme l’oisillon qui part de son nid. “
≈ Tu es réputé pour ton caractère rebel, tu n'en fera qu'à ta tête et as tendance à tenir tête aux autorités supérieures. Tu es incroyablement brave (téméraire ?) et tu as tendance à affronter le danger plutôt que de le fuir, même s'il est trop puissant pour toi. Tu n'as pas peur des défis.
≈ Parfois, on peut apercevoir une douceur inattendue qui semble émaner de ton regard perdu. Mais ta fierté est bien trop forte pour laisser quelqu'un démonter ton esprit, bribes par bribes, roues par roues, jusqu'à en trouver des sentiments sibyllins, presqu'aussi glissants que la pénombre.
≈ Tu hais avoir des liens avec des gens pour plusieurs raisons, la première, pour éviter que de t'affaiblir, la seconde car, tu détestes avoir l'attention porter sur toi, alors que tu préfères rester furtif.
≈ S'il y a bien des objets auxquels tu tiens, ce sont tes armes, tu leur parles, du matin au soir, tu joues avec elles, comme le ferait un enfant avec ses peluches. Tu en prends bien soin, tu les chouchoutes et il t'en faut toujours plus, tu n'en as jamais assez.
≈ On pourrait en venir à se demander si tu es capable d'amour. Tu penses que oui, au fond de ton cœur, très profondément enfuis, subsiste une infime parcelle de bonté, que tu arrives à cacher avec brio. Oui, tu prends la vie comme elle vient. Pour toi, la vie n'est qu'un vaste jeu et ton but c'est bien sûr de le gagner!
≈ Parce qu'il n'y a aucune logique chez toi, alors autant ne pas en chercher. Tu vis simplement pour vivre, parce que de ton point de vue, une vie ce n'est pas très long, alors autant en profiter et ne pas être restreint par des règles sans valeurs. Un léger esprit rebel n'est-il pas. Ce qui n'est pas faux, tu aimes aller à l'encontre des règles, à l'encontre de ce qu'on te dis de faire, juste parce que tu n'aimes pas qu'on te donne des ordres, parce que tu as l'impression qu'on te rabaisse de cette façon. Oui, tu as tendance à avoir un caractère de cochon et très mal prendre les choses.
≈ Tu n'es pas du style à regarder en arrière. Tu avances, sans un remord. Tu assumes chacune de tes décisions et peux se montrer légèrement arrogant quand à ses opinions et son intellect. Ce qui n'aide pas forcément le reste du monde à t'apprécier.
≈ Tu as deux côtés, deux facettes. pas une double personnalité, nan se serait en faire trop. Tu as simplement des traits de caractères que tu affiches en compagnie de tes amis, du beau monde et d'autres que tu ne montres que lorsque tu es seul ou avec des gens que tu ne connais pas et ne souhaite pas connaître... Clairement beaucoup de gens pourraient te qualifier de connard et encore, tu pèses tes mots. Tu es du style -si vous êtes une fille- à promettre la lune pour coucher avec vous et à vous jeter le lendemain. Tu es aussi du style à pourrir la vie sans modération s'il ne t'aimes pas. Mais ce connard n'est pas tout le temps-là, quelques fois il s'éclipse pour laisser place à un jeune gentil, attentionné.
≈ Tu es une tête brûlée. Impulsif et têtu, le combo explosif par excellence. Si tu veux faire quelque chose, tu le feras. Si tu as quelque chose à dire, tu ne Te retiendras pas. Et tant pis pour les conséquences. Les gens disent qu’il faut réfléchir avant d’agir.. Toi, ça ne te convient pas.
≈ Intérimaire financier est ta couverture, mais marchand de la mort, trafiquant d’armes, fournisseur de flingues de tous les mafieux du coin, des gosses jusqu’aux vieillards est ta principale vocation. C’est la rage de vaincre, la joie de voir le sang de l’ennemi coulé. Seulement, l’attrait de l’or est bien fort, la corruption empoisonne tes veines, personne sait d’où ces armes viennent, mais pour un prix un peu plus fort, n’importe qui peut s’en procurer une aussi.
≈ La rage, la violence. tu as grandi avec elle. Elle t'as façonné, endurci, opprimé. Ton avenir était déjà tout tracé, tu n’avais plus qu’à suivre les pas de ton père et à la moindre incartade, au moindre signe de liberté, tu étais brusquement ramené à la réalité. La vie n’était pas un jeu, elle avait ses propres règles, ses propres lois. Et dans le regard de ton père, tu devenais un soldat. Armé de colère, de haine et de rancœur, défendant une cause, un idéal qui ne t’appartenaiens pas. Il les a gravés dans ton âme, dans ta chair et aujourd’hui, tu ne peux plus t’en débarrasser. Tu t’es perdu au fil des années, afin de devenir un autre, un étranger.
≈ Tu as fais trois ans de taule, pour meurtre involontaire. T'as juste voulu survivre, éviter que mort s'ensuivent. T'as tiré sur c'mec qui te menaçait de son arme. Tu le voulais. Quelques secondes plus tard, il était allongé sur le sol, inconscient, son sang qui se vide contre l’asphalte. Mais, un témoin t'as voulu la peine minimum. T'as eu de la chance qu'il t'es provoqué en premier. Sinon, t'aurais été bon, pour une bonne dizaine d'années.
≈ Ton ami d’enfance. Celui avec qui t’es partie de ta Russie natale. Vous aviez tout vécu ensemble. L’un comme l’autre a toujours été présent, peu importe dans quelle merde c’était fourré l’autre. Et malgré tout, aucune chicane, bagarre n’a pu les séparer depuis. Ce n’est pas la joie tous les jours entre eux, mais pour rien au monde, ils souhaiteraient que leur amitié s’égare. Ça serait comme si une partie d’eux mourraient pour de bon... Comme, si une énième partie de leur vie était partie en flambeau. Cette personne un peu difficile, un peu violente, un peu impulsive est probablement la personne en qui t’avais suffisamment confiance pour lui exposer ta vie entière, au grand jour, à quelques exceptions près... Mais vos confidences ne sont pas seulement la seule chose que vous partagiez, votre lit aussi, depuis, le jour ou votre première expérience commune s’est mise en branle. Tout était bien clair. Sexe, amitié était leur mot d’ordre. Aucun sentiment. Toutefois, après tant d’années, il est difficile de penser qu’il n’y est même pas un soupçon de sentiment entre eux...
DERRIÈRE L'ÉCRAN
Karma : [ ] It's all my fault [x] I'm a mother fucker. Prénom/pseudo : Emy, plus communément. autrement le pseudo, il est en remodèlation. Âge : 24 ans Anniversaire : 25 février, sisi. le même que mon perso. ça me permet de ne pas la louper, pour la peine. Localisation : ici. Présence : aussi souvent que je le peux. donc, surement 7/7. Même si une petite adaptation sera nécessaire. Le retour dans le monde du rpg est pas toujours facile, hien. Personnage ... [x] inventé [ ] pré-lien. J'ai connu le forum : bazzart, prd, j'sais plus c'était au moment de sa construction. Et je le trouve : très joli, et innovant surtout. Ma plus grande peur : Perdre des gens au quel je tiens beaucoup Un dernier mot ? je ne fêteras plus jamais de ma vie. et se choper une amygdalite, c'est la mort assurée, hien.. Vous le jures.
IMAGES FEU ARDENT
- InvitéInvité
+1 sait-on jamais hien
FAITS DIVERS
Une citation et/ou une phrase introductive sur ton personnage.
Tu ne sais pas s'il faisait beau le jour de ta naissance. Pleuvait-il ? Le soleil illuminait t-il la chambre d'hôpital ? Tu ne sais pas. C'est pour tous le monde un détail, mais pour toi, ça a son importance. Et tu ne sais même pas pourquoi. Sûrement car au fond, tu es un artiste, et tu aurais aimé savoir si la peau de ta mère capturait bien la lumière, ou bien si l'obscurité de l'extérieur rendait celui-ci plus terne. Ce que tu sais, c'est que tu es né, il y a 27 ans, dans cette hôpital de Moscou, et qu'aucune complication n'est apparue. Ton père était un homme particulièrement absent. Pour autant, il était ton héros. L'homme que tu voyais comme le seul homme à croire, à vénérer, à adorer. Petit, tu ne restais qu'avec ton père, mais son travail t’empêchais de le voir autant de fois que tu aurais aimé. Il était en quelques sortes très peu diplomate dans ses affaires qu'il entreprenait, et tu n'as jamais réellement su ce qu'il faisait. Ce ne fut qu'à l'âge de 8 ans que tu as compris que la Vérité est parfois loin de ce qu'on espérait. Loin de ce qu'on pensait... Ta mère, quant à elle, n'était rien d'autre qu'une femme passant par là, extrêmement belle. Mais tu n'a jamais compris ce que ton père lui trouvait. Il était heureux avec elle, mais toi tu ne l'étais pas. Quand il partait, loin, et qu'il te laissait avec elle, tu ne savais pas si tu supporterais de devoir partager cette femme avec sa drogue. Ta mère - si tant est que je puisse la nommer ainsi - était une simple junkie, mannequin ratée à la beauté époustouflante. Tu as rapidement fait ce qu'on appelle en psychologie le deuil de ta mère imaginaire. Comme chaque enfant, ça doit être douloureux. Pour toi, ta mère n'était pas la parfaite maman cuisinière et fée du logis. Par contre, ton père était bien le héros que tu imaginais. C'était le meilleur. Et toi, tu étais son petit garçon. Ta mère, tu n'as jamais vraiment pu la connaitre entièrement. Elle ne te manque pas maintenant. Tu peux la remercier d'une chose, c'est d'avoir donné naissance à ta sœur, et d'être morte après cette bénédiction, et non avant. Ta petite sœur, Nikita. Ton petit double de 3 ans ta cadette. Une petite beauté ... Et étrangement, tu as parfaitement vécu de devoir partager ton héros avec elle. Héros qui, à tes huit ans t'as involontairement avoué qu'il était ce qu'on appelait communément, un effaceur. Dans ton pays, la petite Russie, ce métier de mercenaire était très répandu, et tous avait un second métier caché. Ton père, c'était son métier à plein temps, et à huit ans, considérant que tu étais assez fort pour encaisser tout ça, il t'a expliqué pourquoi il faisait ça. Il devait te le dire, car on allait te questionner dans ce foyer où tu allais entrer. Un foyer où tous les enfants étaient des fils, des filles de tueurs. Des patriotiques conservateurs anti-américain. Vive la Guerre Froide, youhou ... Tu n'espérais qu'une chose, c'est que ton père, ta sœur et toi ne soyons jamais séparés par les affres de la vie. Ta mère partit, tu n'avais pas été atteint, mais il en irait très différemment s'il s'agissait de ton père. Alors, nous avons grandis ici, avec des femmes éducatrices, des enfants que nous ne connaissions pas, et que pourtant nous allions avoir à connaître. Notre père venait nous rendre visite, nous reprenait dans son petit appartement le temps d'une semaine avant qu'il ne reparte tuer je ne sais quel homme. Femme. Ou encore pire, famille... Mon père, mon héros, mais également le bourreau de certains, qui ne comprenait pas comment on pouvait jouer aussi facilement avec la vie.
A l'âge de tes dix-huit ans, on t'a expliqué tes droits, te répétant qu'ici, ce n'était pas une prison, et que tu pouvais désormais partir. Ta sœur Nikita n'en avait que quinze, et ça t'embêtait sincèrement de l'abandonner. Mais dans un sens, tu as enfin compris que tu ne pouvais pas resté coincé ici éternellement et encore pire, t'attacher au passé. Partir et vivre ta vie ne signifiait pas abandonner ta famille, chose qui était pour toi inconcevable. Tu as alors signé les papiers de ta liberté, les remerciant pour l'éducation populaire qu'il t'avait donné. Tu n'avais pas eu la vie rêvée, mais elle t'avait suffit. Ici, il faut savoir être reconnaissant. Tu as alors choisi l'option de tout quitter, et de tout recommencer ailleurs. C'était ta deuxième chance, et rien ne t'empêcherait de la vivre à fond. Ton père te poussait dans tes choix et avec son aide et son soutient financier, tu as pu partir pour Los Angeles, ton certificat de scolarité te permettant alors de pouvoir choisir ta voie. Tu as arpenté cette ville avec de grands yeux illuminés, tu te souviens encore, tu étais jeune et gentil à cette époque. Tu aimais rencontrer du monde. Et surtout, tu comprenais enfin le poids de ce charme que tu avais hérité de cette mère. Ton corps attirait les femmes, ta bouche les faisait rester. Durant un an, tu t'es amusé, jusqu'à ce qu'on te manipule. Jusqu'à ce qu'une femme te fasse comprendre que finalement, tu n'étais rien. Rien de pire, rien de mieux que ce qu'elle avait toujours connue. Et ce fut la seul à t'avoir vraiment interpellé... Quel choc ce fut lorsqu'elle t'annonça cela en se rhabillant après notre acte fougueux. Elle s'était donc servi de toi. Comment cela était-il possible ? Sincèrement, comment pouvais-tu être aussi naïf ? Tu ne pouvais t'autoriser à être comme toutes les autres, un simple garçon sans intérêt. Non, toi, un homme qui marque les mémoires. Un homme de caractère, qui vous blesse et vous émeut en même temps. Ton appareil photo à la main, cadeau de papa pour tes seize ans, tu arpentais alors les rues, les parcs, appuyant inconsciemment sur la touche qui rendrait ce moment fixe à tout jamais. Tu compris alors que tu devais prendre ta vie en main. Sortir , t'amuser, d'accord, mais tu devais penser à ton avenir. Tu as alors tout fait pour passer les sélections, leur montrant tes plus beaux clichés, tes plus beaux poèmes. Et ils ont du t'apprécier, car tu est désormais étudiant de cette école, et cela fait maintenant 2 ans. La vie a filé, mais comme tout le monde le sait, rien ne se passe jamais comme on veut. Et ce plan que nous avons tous en tête fini par être mis à mal, indubitablement.
Papa. Pourquoi tu es parti ? Pourquoi tu n'a pas fait attention ? Pourquoi tu n'as pas arrêté de jouer avec le feu, avant qu'il ne te brûle. Papa est mort, il y a un an. Et ta sœur est sorti du pensionnat. Notre peine fut immense, et elle l'est encore aujourd'hui. Sans héros, sans espoir que quelqu'un soit toujours la pour vous sauver, nous conseiller... Comment peut-on vivre ? Dites-le nous. Tu es perdu, et Nikita aussi. Tu as tout fait pour qu'elle te rejoigne ici, prenant un travail dans un bar, acceptant de poser pour ses minables photographes, acceptant de plus en plus de contrat d’assassinats... Et elle est venue te rejoindre. Nous vivons ensemble pour le moment, sortir d'un pensionnat de cette façon, ce n'est jamais simple. Et toi, tu continues mon bout de chemin, espérant être reconnue pour ce que tu fais. Espérant être reconnu par les grands, les vrais. Tu as évolué dans cette ville, tu grandis encore aujourd'hui, rencontrant certaines personnes qui acceptent ton caractère exécrable et légèrement trop sincère. Chacun ici a perdu la notion d'espoir, où bien celle de l'amour. Quand tu donnes, on te prend tout, sans rien te laisser. Quand tu prends, on te récupère tout sans même t'expliquer. Quand tu aimes, on finit toujours par te détester, ou alors par te quitter. T'abandonner. Ta mère. Ton père. Tu sais que Nikita partira elle aussi un jour. Et alors, que restera t-il de toi ? De ce petit qui aimait la Vie, et qui aimait les Autres ? Sans doute rien. Ou alors presque rien ...
A l'âge de tes dix-huit ans, on t'a expliqué tes droits, te répétant qu'ici, ce n'était pas une prison, et que tu pouvais désormais partir. Ta sœur Nikita n'en avait que quinze, et ça t'embêtait sincèrement de l'abandonner. Mais dans un sens, tu as enfin compris que tu ne pouvais pas resté coincé ici éternellement et encore pire, t'attacher au passé. Partir et vivre ta vie ne signifiait pas abandonner ta famille, chose qui était pour toi inconcevable. Tu as alors signé les papiers de ta liberté, les remerciant pour l'éducation populaire qu'il t'avait donné. Tu n'avais pas eu la vie rêvée, mais elle t'avait suffit. Ici, il faut savoir être reconnaissant. Tu as alors choisi l'option de tout quitter, et de tout recommencer ailleurs. C'était ta deuxième chance, et rien ne t'empêcherait de la vivre à fond. Ton père te poussait dans tes choix et avec son aide et son soutient financier, tu as pu partir pour Los Angeles, ton certificat de scolarité te permettant alors de pouvoir choisir ta voie. Tu as arpenté cette ville avec de grands yeux illuminés, tu te souviens encore, tu étais jeune et gentil à cette époque. Tu aimais rencontrer du monde. Et surtout, tu comprenais enfin le poids de ce charme que tu avais hérité de cette mère. Ton corps attirait les femmes, ta bouche les faisait rester. Durant un an, tu t'es amusé, jusqu'à ce qu'on te manipule. Jusqu'à ce qu'une femme te fasse comprendre que finalement, tu n'étais rien. Rien de pire, rien de mieux que ce qu'elle avait toujours connue. Et ce fut la seul à t'avoir vraiment interpellé... Quel choc ce fut lorsqu'elle t'annonça cela en se rhabillant après notre acte fougueux. Elle s'était donc servi de toi. Comment cela était-il possible ? Sincèrement, comment pouvais-tu être aussi naïf ? Tu ne pouvais t'autoriser à être comme toutes les autres, un simple garçon sans intérêt. Non, toi, un homme qui marque les mémoires. Un homme de caractère, qui vous blesse et vous émeut en même temps. Ton appareil photo à la main, cadeau de papa pour tes seize ans, tu arpentais alors les rues, les parcs, appuyant inconsciemment sur la touche qui rendrait ce moment fixe à tout jamais. Tu compris alors que tu devais prendre ta vie en main. Sortir , t'amuser, d'accord, mais tu devais penser à ton avenir. Tu as alors tout fait pour passer les sélections, leur montrant tes plus beaux clichés, tes plus beaux poèmes. Et ils ont du t'apprécier, car tu est désormais étudiant de cette école, et cela fait maintenant 2 ans. La vie a filé, mais comme tout le monde le sait, rien ne se passe jamais comme on veut. Et ce plan que nous avons tous en tête fini par être mis à mal, indubitablement.
Papa. Pourquoi tu es parti ? Pourquoi tu n'a pas fait attention ? Pourquoi tu n'as pas arrêté de jouer avec le feu, avant qu'il ne te brûle. Papa est mort, il y a un an. Et ta sœur est sorti du pensionnat. Notre peine fut immense, et elle l'est encore aujourd'hui. Sans héros, sans espoir que quelqu'un soit toujours la pour vous sauver, nous conseiller... Comment peut-on vivre ? Dites-le nous. Tu es perdu, et Nikita aussi. Tu as tout fait pour qu'elle te rejoigne ici, prenant un travail dans un bar, acceptant de poser pour ses minables photographes, acceptant de plus en plus de contrat d’assassinats... Et elle est venue te rejoindre. Nous vivons ensemble pour le moment, sortir d'un pensionnat de cette façon, ce n'est jamais simple. Et toi, tu continues mon bout de chemin, espérant être reconnue pour ce que tu fais. Espérant être reconnu par les grands, les vrais. Tu as évolué dans cette ville, tu grandis encore aujourd'hui, rencontrant certaines personnes qui acceptent ton caractère exécrable et légèrement trop sincère. Chacun ici a perdu la notion d'espoir, où bien celle de l'amour. Quand tu donnes, on te prend tout, sans rien te laisser. Quand tu prends, on te récupère tout sans même t'expliquer. Quand tu aimes, on finit toujours par te détester, ou alors par te quitter. T'abandonner. Ta mère. Ton père. Tu sais que Nikita partira elle aussi un jour. Et alors, que restera t-il de toi ? De ce petit qui aimait la Vie, et qui aimait les Autres ? Sans doute rien. Ou alors presque rien ...
IMAGES FEU ARDENT
- InvitéInvité
Bienvenue officiellement parmi nous Hâte d'en savoir plus
- Celeste MillsI'm a Mother Fucker
-
Dollars : 2067
Messages : 190
Date d'inscription : 05/07/2018
Avatar : Magdalena Zalejska
Crédits : cosmic light (avatar) old money (signa)
Autres comptes : Aeddan Barclay
Âge du personnage : Vingt-trois ans
Nationalité(s) : Amércaine
Signe astrologique : Taureau
Mon personnage, en 5 mots : Rebelle - Orpheline de mère - Photo - Urbex - Etudiante
Quartier de résidence : Dans la banlieue de Los Angeles
Carrière, métier ou job : Ingénieure
Études (passées ou en cours) : Ingénierie biomédicale
Hobby : L'urbex - la photo
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : C'est ... compliqué
Je sens que ce perso va envoyer du lourd
Puis cet avatar quoi Je kiffe tellement Stephen
Bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche
Puis cet avatar quoi Je kiffe tellement Stephen
Bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche
- Stanley A. NovakI'm a Mother Fucker
-
Dollars : 2409
Messages : 221
Date d'inscription : 11/05/2018
Avatar : Sebastian Stan
Crédits : ichi
Âge du personnage : 33 ans.
Nationalité(s) : Roumain/américain
Signe astrologique : Lion
Mon personnage, en 5 mots : Policier, tenace, têtu, drôle, sportif.
Quartier de résidence : Northeast
Carrière, métier ou job : Sergent de police à la criminel.
Études (passées ou en cours) : Ecole de police (p)
Hobby : Cinéphile, accroc de la salle de sport.
Orientation sexuelle : Bisexuel(le)
Situation sentimentale : Célibataire (par dépit)
Bienvenue
- Murphy J. CavendishI'm a Mother Fucker
-
Dollars : 2333
Messages : 216
Date d'inscription : 13/06/2018
Avatar : Natalia Dyer.
Crédits : eilyam (ava) | hedgekey (sign)
Âge du personnage : 23 ans (15 mai)
Nationalité(s) : Anglaise.
Signe astrologique : Taureau
Mon personnage, en 5 mots : geek ✽ impulsive ✽ bicurieuse ✽ parfois vulgaire ✽ grande enfant
Quartier de résidence : Eastside
Carrière, métier ou job : Serveuse au karaoké bar (Eastside)
Études (passées ou en cours) : A vaguement tenté des études de médecine... et a laissé tomber au bout de deux ans.
Hobby : Jeux vidéo
Orientation sexuelle : Bisexuel(le)
Situation sentimentale : Célibataire (par dépit)
bienvenue sur le forum :)
- InvitéInvité
vraisemblablement, je n'ai pas envoyé mon dernier message moi. du coup, je reprend de zéro mes remerciements.
@Arya Johnson heureuse de tomber sur une petite fan du côté russe de mon perso, pour le coup. merci de ton petit et court passage ici.
@Casey Griffith La petite Willa, elle est toute mignonne. merci à toi, de m'accueillir parmi vous, cocotte.
@Danvir Bennamar Je ne connaissais pas cette acteur, mais il est pas trop mal dans son genre pour la peine. merci de ton passage ici.
@Celeste Mills je te renvoie le compliment pour ton avatar, la petite madga, elle est magnifique. Elle et TMH, ça a toute suite été mes plus grand coup d'coeur féminin. merci ma belle de ton petit accueil.
@Stanley A. Novak merci à toi.
@Murphy J. Cavendish Tien un autre petit visage que je ne connaissais pas, très doux et jolie pour la peine. je l'aime beaucoup !
@Arya Johnson heureuse de tomber sur une petite fan du côté russe de mon perso, pour le coup. merci de ton petit et court passage ici.
@Casey Griffith La petite Willa, elle est toute mignonne. merci à toi, de m'accueillir parmi vous, cocotte.
@Danvir Bennamar Je ne connaissais pas cette acteur, mais il est pas trop mal dans son genre pour la peine. merci de ton passage ici.
@Celeste Mills je te renvoie le compliment pour ton avatar, la petite madga, elle est magnifique. Elle et TMH, ça a toute suite été mes plus grand coup d'coeur féminin. merci ma belle de ton petit accueil.
@Stanley A. Novak merci à toi.
@Murphy J. Cavendish Tien un autre petit visage que je ne connaissais pas, très doux et jolie pour la peine. je l'aime beaucoup !
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forumPage 1 sur 2 • 1, 2
|
|