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YESTERDAY'S NEWS |48
- Andreas KleinI'm a Mother Fucker
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Dollars : 2564
Messages : 73
Date d'inscription : 02/08/2018
Avatar : Marcus Hedbrandh.
Crédits : Moi-même.
Autres comptes : Aaron & Alice.
Âge du personnage : 34 ans (16/03/88).
Nationalité(s) : Anglaise & américaine.
Signe astrologique : Poisson
Mon personnage, en 5 mots : Individualiste. Entreprenant. Vantard. Sportif. Joueur.
Quartier de résidence : Central
Carrière, métier ou job : Enseignant et consultant en marketing.
Études (passées ou en cours) : Diplômé en marketing à l'UCLA.
Hobby : Le surf / le piano.
Orientation sexuelle : Bisexuel(le)
Situation sentimentale : Célibataire (par choix)
Andreas Klein
I’m gonna bang my head to the wall
‘Till I feel like nothing at all
I’m a happy idiot
To keep my mind off you
‘Till I feel like nothing at all
I’m a happy idiot
To keep my mind off you
PETITES ANECDOTES
Andreas, c'est le caméléon qui s’adapte facilement aux situations et aux personnalités. On peut se surprendre à le voir bleu un jour, puis rouge le lendemain. Il a un tempérament plutôt calme par nature, mais un rien suffit à le stimuler. Studieux et bosseur la plupart du temps par nécessité, il peut également être le trouble-fête d'un événement si l'occasion se présente. Et disons-le, il est suffisamment entreprenant et rusé pour se créer des occasions, si cela peut amuser la galerie. Andreas est en général apprécié pour son côté bon vivant et simple. Il n'a pas vraiment peur du ridicule et l'humour est une de ses qualités premières (cela comprend les blagues pourries, au grand dam de ses amis). C'est un homme qui supporte mal les échecs et chez lui, l'on peut dire que le perfectionnisme relève plutôt du défaut. Écouter davantage les conseils de ses proches pourrait l'aider mais ce n'est pas une habitude chez lui, qui préfère de loin suivre ses instincts. Certains appelleront ça un trop plein d'assurance, et pourtant, contrairement à ce que l'on pourrait croire en le voyant, Andreas manque cruellement de confiance en lui. Si par la force des choses, son adolescence l'a rendu autonome et indépendant assez rapidement, il n'en reste pas moins profondément attaché à ceux qui l'ont aidé à grandir. Il est un cœur difficile à prendre, néanmoins il s'entiche d'un rien. Il assume complètement son côté batifoleur, allant de fleur en fleur sans jamais s'attacher de peur d'en souffrir. Par ailleurs, Andreas est quelqu'un qui voit majoritairement la vie du bon côté. Souvent positif et entreprenant, il est facilement celui qui va motiver une troupe et s'affirmer en tant que leader d'un groupe. Pour finir ce portrait, il est un individu très ordonné, qui s'il se disperse, n'oubliera jamais de remettre de l'ordre dans sa vie. Parfois cela lui cause du tort, mais c'est plus fort que lui. Qu'il s'agisse de choses matérielles, de sentiments ou autres, Andreas ne supporte pas de perdre le nord. Avancer avec des objectifs, c'est son leitmotiv. Vous l'aurez compris, il est un personnage tout en nuances, parfois plein de contradictions. Car la maturité ne signifie pas que plus rien n'est à construire...
Particularités
Parce qu’il est amoureux de l’Europe et tout particulièrement de l’Allemagne, il lui arrive assez souvent de retourner à ses origines anglaises (maternel) et allemandes (paternel) soit pour y travailler, soit simplement pour profiter de l’air européen... + D’ailleurs, il maîtrise parfaitement l'anglais qui est sa langue natale (il a d'ailleurs conservé son accent british), ainsi que l'allemand. On peut dire qu'il est bilingue. + Son milieu social d’origine est relativement aisé mais il aime vivre de choses simples. + Il est bisexuel et s'accepte tel quel, bien que le regard des autres le dérange encore. Pour ça, il n'est pas prêt à s'assumer devant tout le monde. Seuls ses amis très proches le savent. Sa sœur, elle, l'a deviné. + Il ne supporte pas sa mère. Il idéalise son père. + Sa mère est vétérinaire et vit à Los Angeles avec son nouveau mari, un "beauf" qu'Andreas trouve exécrable. + Son père est PDG à Berlin, en couple libre avec une artiste. + Il a une petite sœur, Lena, de 6 ans de moins que lui. Ils s'entendent plutôt bien. + Il considère sa meilleure amie Adélaïde comme sa sœur, voire même son âme sœur. Une amitié hors norme pour laquelle il braverait tous les dangers. + Andreas ne raffole pas des animaux domestiques. + Il est gaucher. Il fume, une à deux cigarettes par jour, parfois aucune pendant plusieurs jours. Cela lui arrivait de consommer des substances illicites avant, désormais presque plus. + Il a un côté légèrement... maniaque, hérité de sa très chère génitrice. + Ce n'est pas un excellent cuisinier mais il aime préparer de bons plats sains et équilibrés. + Très mauvais danseur et chanteur. + Il n'est pas très doué pour le romantisme. Les mots doux, les chocolats en cœur et les pétales de rose, ce n'est pas trop son truc. Il montrera ses sentiments de façon bien plus subtile. + Andreas est pudique ; les douches communes des gymnases ont toujours relevé d'un cauchemar. + Il aime bien prendre soin de lui et choisit ses tenues avec soin. + Il a été professeur de surf sur Santa Monica pendant plusieurs années.
Parce qu’il est amoureux de l’Europe et tout particulièrement de l’Allemagne, il lui arrive assez souvent de retourner à ses origines anglaises (maternel) et allemandes (paternel) soit pour y travailler, soit simplement pour profiter de l’air européen... + D’ailleurs, il maîtrise parfaitement l'anglais qui est sa langue natale (il a d'ailleurs conservé son accent british), ainsi que l'allemand. On peut dire qu'il est bilingue. + Son milieu social d’origine est relativement aisé mais il aime vivre de choses simples. + Il est bisexuel et s'accepte tel quel, bien que le regard des autres le dérange encore. Pour ça, il n'est pas prêt à s'assumer devant tout le monde. Seuls ses amis très proches le savent. Sa sœur, elle, l'a deviné. + Il ne supporte pas sa mère. Il idéalise son père. + Sa mère est vétérinaire et vit à Los Angeles avec son nouveau mari, un "beauf" qu'Andreas trouve exécrable. + Son père est PDG à Berlin, en couple libre avec une artiste. + Il a une petite sœur, Lena, de 6 ans de moins que lui. Ils s'entendent plutôt bien. + Il considère sa meilleure amie Adélaïde comme sa sœur, voire même son âme sœur. Une amitié hors norme pour laquelle il braverait tous les dangers. + Andreas ne raffole pas des animaux domestiques. + Il est gaucher. Il fume, une à deux cigarettes par jour, parfois aucune pendant plusieurs jours. Cela lui arrivait de consommer des substances illicites avant, désormais presque plus. + Il a un côté légèrement... maniaque, hérité de sa très chère génitrice. + Ce n'est pas un excellent cuisinier mais il aime préparer de bons plats sains et équilibrés. + Très mauvais danseur et chanteur. + Il n'est pas très doué pour le romantisme. Les mots doux, les chocolats en cœur et les pétales de rose, ce n'est pas trop son truc. Il montrera ses sentiments de façon bien plus subtile. + Andreas est pudique ; les douches communes des gymnases ont toujours relevé d'un cauchemar. + Il aime bien prendre soin de lui et choisit ses tenues avec soin. + Il a été professeur de surf sur Santa Monica pendant plusieurs années.
Les sports comme le surf, la course à pied et la natation. + Les jeux vidéos. + Les mathématiques et autres exercices de logique, si, si. + Jouer du piano. Peu le savent. + Le cinéma européen et surtout anglais.
DERRIÈRE L'ÉCRAN
Karma : [ ] It's all my fault [X] I'm a mother fucker. Prénom/pseudo : elea. Âge : 27 ans. Anniversaire : 5 juillet. Localisation : Lyon. Présence : 4/7. Personnage [X] inventé [ ] pré-lien. J'ai connu le forum : dans une brocante. Et je le trouve : aussi confortable que mon canapé. Ma plus grande peur : qu'Andreas n'arrive pas à faire son coming-out, Diana Ross si tu m'entends... Un dernier mot ? cracotte.
IMAGES FEU ARDENT
- Andreas KleinI'm a Mother Fucker
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Âge du personnage : 34 ans (16/03/88).
Nationalité(s) : Anglaise & américaine.
Signe astrologique : Poisson
Mon personnage, en 5 mots : Individualiste. Entreprenant. Vantard. Sportif. Joueur.
Quartier de résidence : Central
Carrière, métier ou job : Enseignant et consultant en marketing.
Études (passées ou en cours) : Diplômé en marketing à l'UCLA.
Hobby : Le surf / le piano.
Orientation sexuelle : Bisexuel(le)
Situation sentimentale : Célibataire (par choix)
RECUEIL DE TÉMOIGNAGES
Andreas Klein, lui-même.
“Le divorce a changé des choses, c’est sûr, mais il a surtout été l’aboutissement d’une période nébuleuse faite de disputes et de reproches incessants. Du jour au lendemain, mes parents ont presque cessé de se parler. Ou disons qu’ils se contentaient du strict minimum et ce strict minimum avait un nom, ou plutôt deux : le mien et celui de ma sœur. Si ce n’était pas pour discuter des gardes alternées de leurs gamins, des résultats scolaires ou bien de la pension alimentaire, alors ils préféraient se confondre dans un long et profond silence.
Alors, oui, quand on voit ses parents rompre tout contact et s’en satisfaire, forcément, on s’interroge. Se sont-ils aimés un jour, pour que cela se solde de cette façon ? De quoi sommes-nous réellement le fruit ? Et surtout, pourquoi séparer notre vie à nous, les « gosses », en deux ?
C’était en l’an 2000. Je vivais encore à Londres et j’avais 12 ans, tandis que ma sœur allait sur sa... 7e année. Déjà à l’époque, elle et moi n’étions pas si proches que ça, et pourtant nous étions tous les deux les gamins les plus heureux du monde lorsque notre mère nous envoyait à Berlin, deux week-ends par mois. Dans ce magnifique appartement que l’on pourrait aussi bien trouver dans les plus belles rues de South Kensington. Des plafonds hauts, des lustres impressionnants, un mobilier et une décoration aussi classiques que l’est mon père… Je me suis toujours senti bien, là-bas. Sans doute parce que mon père avait une présence rassurante sans être oppressante pour autant ; j’ai bien conscience désormais qu’il a eu la place « idéale » dans le couple divorcé. Celui qui ne s’occupe pas de la scolarité, ou à peine. Celui qui reçoit ses progénitures le week-end, pour les distractions. Celui dont on ne veut ni ne peut se passer puisqu’il nous permet de souffler du train-train quotidien et surtout, d’une mère psycho-rigide.
Mon père est mon idéal à moi. Pas mon héros, juste mon idéal. Celui dont je m’inspire jour après jour pour atteindre un autre idéal que lui-même a atteint : celui d’une vie faite de succès, de billets verts et de fierté.
Ma mère, à l’évidence, n’a pas eu la bonne place. Mais je crois que même si elle avait eu la bonne, cela n’aurait rien changé. Entre elle et moi, ça n’a jamais vraiment marché et ça ne marchera sans doute jamais. Elle m’a mise au monde, et ensuite… Enfin ce n’est pas comme si on pouvait commander la « bonne entente » avec quelqu’un, quand bien même nous sommes sorti de ses entrailles, si ?
Des petits détails aux grands faits, il y a tout un arc-en-ciel de choses que je ne supporte pas chez elle. C’est physique, c’est moral, c’est un peu de tout et de rien. Ses goûts vestimentaires, décoratifs. Ses passions, ses intérêts, ses désintérêts. Les bêtes poilues qui défilent dans son cabinet de véto, les mecs inintéressants qui défilent dans sa vie, et surtout le tout dernier, qui me sort littéralement par les yeux. De tout ça, j’en suis devenu allergique. Et pourtant, c’est elle qui m’a engendré, qui m’a élevé. Ce sont mes racines, celles dont je ne peux me couper et qui me rattacheront pour toujours à elle. Comme dirait un certain personnage de film, si quelqu’un lui faisait du mal, c’est sûr que je voudrais le tuer aussitôt, et en même temps, je pourrais vous nommer une centaine de personnes que j’aime plus que ma mère. L’ai-je déjà aimée ? Sans doute. Mais ce sentiment s’est étiolé avec le temps et aujourd’hui, j’ai l’impression de ne plus ressentir aucune affection à son égard, plutôt une aversion. En fait, je pense que ma mère n’était pas faite pour devenir mère. Qu’elle nous a fait Lena et moi parce que c’était ce que le monde attendait d’elle. Et pour être complètement honnête avec vous, prendre conscience de cela ne me fait ni chaud ni froid. Tout ce que je demande, c’est que l’on garde nos distances, elle et moi. Il y a plein de choses qu’elle ne sait pas sur ma personne et ce n’est pas prêt de changer.
Alors vous pouvez en tirer toutes vos conclusions psychologiques étranges, si ça vous chante. Que si je ne suis proche ni de ma mère, ni de ma sœur, c’est que je dois avoir aujourd’hui des relations conflictuelles avec les femmes. Que si aujourd’hui je ne crois plus en l’amour, c’est parce que j’ai souffert de la séparation de mes parents, sans rien y comprendre d’ailleurs. J’vous entends déjà, et c’est p’t’être vrai mais entre nous, vous ne savez pas tout, et ce qui compte, c’est le passé ou le présent ?”
Alors, oui, quand on voit ses parents rompre tout contact et s’en satisfaire, forcément, on s’interroge. Se sont-ils aimés un jour, pour que cela se solde de cette façon ? De quoi sommes-nous réellement le fruit ? Et surtout, pourquoi séparer notre vie à nous, les « gosses », en deux ?
C’était en l’an 2000. Je vivais encore à Londres et j’avais 12 ans, tandis que ma sœur allait sur sa... 7e année. Déjà à l’époque, elle et moi n’étions pas si proches que ça, et pourtant nous étions tous les deux les gamins les plus heureux du monde lorsque notre mère nous envoyait à Berlin, deux week-ends par mois. Dans ce magnifique appartement que l’on pourrait aussi bien trouver dans les plus belles rues de South Kensington. Des plafonds hauts, des lustres impressionnants, un mobilier et une décoration aussi classiques que l’est mon père… Je me suis toujours senti bien, là-bas. Sans doute parce que mon père avait une présence rassurante sans être oppressante pour autant ; j’ai bien conscience désormais qu’il a eu la place « idéale » dans le couple divorcé. Celui qui ne s’occupe pas de la scolarité, ou à peine. Celui qui reçoit ses progénitures le week-end, pour les distractions. Celui dont on ne veut ni ne peut se passer puisqu’il nous permet de souffler du train-train quotidien et surtout, d’une mère psycho-rigide.
Mon père est mon idéal à moi. Pas mon héros, juste mon idéal. Celui dont je m’inspire jour après jour pour atteindre un autre idéal que lui-même a atteint : celui d’une vie faite de succès, de billets verts et de fierté.
Ma mère, à l’évidence, n’a pas eu la bonne place. Mais je crois que même si elle avait eu la bonne, cela n’aurait rien changé. Entre elle et moi, ça n’a jamais vraiment marché et ça ne marchera sans doute jamais. Elle m’a mise au monde, et ensuite… Enfin ce n’est pas comme si on pouvait commander la « bonne entente » avec quelqu’un, quand bien même nous sommes sorti de ses entrailles, si ?
Des petits détails aux grands faits, il y a tout un arc-en-ciel de choses que je ne supporte pas chez elle. C’est physique, c’est moral, c’est un peu de tout et de rien. Ses goûts vestimentaires, décoratifs. Ses passions, ses intérêts, ses désintérêts. Les bêtes poilues qui défilent dans son cabinet de véto, les mecs inintéressants qui défilent dans sa vie, et surtout le tout dernier, qui me sort littéralement par les yeux. De tout ça, j’en suis devenu allergique. Et pourtant, c’est elle qui m’a engendré, qui m’a élevé. Ce sont mes racines, celles dont je ne peux me couper et qui me rattacheront pour toujours à elle. Comme dirait un certain personnage de film, si quelqu’un lui faisait du mal, c’est sûr que je voudrais le tuer aussitôt, et en même temps, je pourrais vous nommer une centaine de personnes que j’aime plus que ma mère. L’ai-je déjà aimée ? Sans doute. Mais ce sentiment s’est étiolé avec le temps et aujourd’hui, j’ai l’impression de ne plus ressentir aucune affection à son égard, plutôt une aversion. En fait, je pense que ma mère n’était pas faite pour devenir mère. Qu’elle nous a fait Lena et moi parce que c’était ce que le monde attendait d’elle. Et pour être complètement honnête avec vous, prendre conscience de cela ne me fait ni chaud ni froid. Tout ce que je demande, c’est que l’on garde nos distances, elle et moi. Il y a plein de choses qu’elle ne sait pas sur ma personne et ce n’est pas prêt de changer.
Alors vous pouvez en tirer toutes vos conclusions psychologiques étranges, si ça vous chante. Que si je ne suis proche ni de ma mère, ni de ma sœur, c’est que je dois avoir aujourd’hui des relations conflictuelles avec les femmes. Que si aujourd’hui je ne crois plus en l’amour, c’est parce que j’ai souffert de la séparation de mes parents, sans rien y comprendre d’ailleurs. J’vous entends déjà, et c’est p’t’être vrai mais entre nous, vous ne savez pas tout, et ce qui compte, c’est le passé ou le présent ?”
Lauren Jones, la mère d'Andreas.
“Andreas et moi, c’est compliqué… Et je me demande souvent ce que j’ai fait, un jour, pour mériter autant d’acharnement de sa part.
Oh quand je suis loin, tout va bien dans le meilleur des mondes. J’entends même qu’il est un charmant jeune homme, bosseur et visiblement heureux de vivre. Mais ce n’est pas vraiment la facette que je vois de lui quand nous sommes dans la même pièce, et j’ai bien conscience qu’il m’en veut. Que je suis la fautive à ses yeux, mais de quoi… Difficile à savoir, d’autant plus qu’il préfère être odieux en ma présence plutôt que de me dire directement ce qu’il a à me reprocher. Bon, vous me direz… Je ne suis pas particulièrement bavarde non plus, je ne l’ai jamais été. Le parent accessible et chaleureux, cela a toujours été Carsten et… ça le sera toujours.
Je crois que ça me manque, parfois. Cette alchimie mère-fils dont je suis témoin en fréquentant quelques amies qui ont elles aussi un fils. Alors j’essaye d’aller vers Andreas, de m’intéresser à lui… Vraiment, j’essaye, mais chaque fois, cela se résulte en un énième échec. Quand il n’a pas envie de discuter, ce n’est pas la peine de forcer. Et je crois que je me lasserai à lui courir après, si cela doit durer des années.”
Oh quand je suis loin, tout va bien dans le meilleur des mondes. J’entends même qu’il est un charmant jeune homme, bosseur et visiblement heureux de vivre. Mais ce n’est pas vraiment la facette que je vois de lui quand nous sommes dans la même pièce, et j’ai bien conscience qu’il m’en veut. Que je suis la fautive à ses yeux, mais de quoi… Difficile à savoir, d’autant plus qu’il préfère être odieux en ma présence plutôt que de me dire directement ce qu’il a à me reprocher. Bon, vous me direz… Je ne suis pas particulièrement bavarde non plus, je ne l’ai jamais été. Le parent accessible et chaleureux, cela a toujours été Carsten et… ça le sera toujours.
Je crois que ça me manque, parfois. Cette alchimie mère-fils dont je suis témoin en fréquentant quelques amies qui ont elles aussi un fils. Alors j’essaye d’aller vers Andreas, de m’intéresser à lui… Vraiment, j’essaye, mais chaque fois, cela se résulte en un énième échec. Quand il n’a pas envie de discuter, ce n’est pas la peine de forcer. Et je crois que je me lasserai à lui courir après, si cela doit durer des années.”
Phil Williamson, son ex beau-père.
“Quel affreux garnement, ce gosse. Je me souviens particulièrement de l'époque post-adolescence. Il sortait du lycée et n’avait qu’une envie, s’émanciper de sa mère en se trouvant un appart. Son père avait sûrement d’autres chats à fouetter en Europe alors Andreas a demandé l’aide financière de Lauren. Évidemment, elle a refusé. Vouloir partir à cet âge pour des raisons aussi légères que “je ne supporte plus ton nouveau mec” - ce nouveau mec étant moi, vous l’aurez compris - n’était pas recevable pour elle. Ce jour-là, j’ai tenté d’être ferme pour l’aider, trop peut-être, et en suis venu aux mains avec Andreas car il m’a répondu impoliment. Oh cela n’a pas été la seule claque qu’il a reçu mais que voulez-vous faire d’autre avec des jeunes aussi rebelles ? Ils ne comprennent que ça, l’action.
Andreas a d’ailleurs fui le domicile familial pendant 4 jours suite à cette altercation, simplement pour montrer son mécontentement. Allez savoir qui l’a recueilli pendant ces quelques jours, mais il est finalement revenu la queue entre les jambes, face à l’évidence que la vie ne pouvait pas toujours tourner dans son sens.”
Andreas a d’ailleurs fui le domicile familial pendant 4 jours suite à cette altercation, simplement pour montrer son mécontentement. Allez savoir qui l’a recueilli pendant ces quelques jours, mais il est finalement revenu la queue entre les jambes, face à l’évidence que la vie ne pouvait pas toujours tourner dans son sens.”
Nathan Hart, ex-collègue.
“Ah lui, il a bien trouvé sa place dans le monde spécial de la pub. Gand consommateur des bonnes choses de la vie, il sait aussi être sérieux quand il le faut et les supérieurs sont toujours satisfaits de son boulot, globalement. Jamais à court d’idées, toujours motivé… Ajoutez à cela son petit accent british et sa façon de s’habiller, pas mal élégante et qui doit d’ailleurs lui venir tout droit de son pays d’origine, ça nous fait un mec avec lequel les filles aiment bien boire un café entre midi et deux, mais aussi un gars fort apprécié dans la boite.
En fait, j’ai du mal à lui trouver des défauts, de mon point de vue à moi. Il faut dire qu’il est assez irréprochable à l’agence… Mais je serais prêt à parier que ce n’est pas aussi rose dans sa vie privée. Andy est le premier à nous dire qu’il enchaîne les conquêtes mais est-ce qu’il n’en rajoute pas un peu sur les bords ? Ça serait bien son genre, à ce beau parleur. Entre nous, il a forcément des faiblesses ! Ou une fille qu’il aime, quelque part… Ce qui reviendrait au même. Je ne l’ai juste pas encore assez fréquenté à l’extérieur du bureau pour les connaître.”
En fait, j’ai du mal à lui trouver des défauts, de mon point de vue à moi. Il faut dire qu’il est assez irréprochable à l’agence… Mais je serais prêt à parier que ce n’est pas aussi rose dans sa vie privée. Andy est le premier à nous dire qu’il enchaîne les conquêtes mais est-ce qu’il n’en rajoute pas un peu sur les bords ? Ça serait bien son genre, à ce beau parleur. Entre nous, il a forcément des faiblesses ! Ou une fille qu’il aime, quelque part… Ce qui reviendrait au même. Je ne l’ai juste pas encore assez fréquenté à l’extérieur du bureau pour les connaître.”
Lena Klein, sa petite sœur.
“Il cache bien son jeu, mon frère. À jouer au plus fort toujours, et à faire croire que rien ne pourrait le toucher… Sauf que ce n’est pas le cas. Je connais le spécimen, moi. C’est un sensible qui prétend être intouchable, rien de plus ! Alors avec ses potes, ça marche, mais avec moi qui me le coltine depuis 24 ans…
Et puis, je connais son secret. Évidemment, il ne sait pas que je le sais. S’il le savait… Il aurait envie de me bâillonner pour l’éternité et de m’enfermer dans cette cave glauque avec laquelle il m’a tant de fois menacée. C’est sûr que ça ferait mal à sa réputation de tombeur de ces dames si le monde venait à savoir qu’il n’aime pas qu’elles… Mais moi, je l’ai toujours su. Ça se devine, ce genre de choses. Non pas qu’il soit super efféminé (même s’il est du genre à monopoliser la salle de bain le matin) mais… je ne sais pas comment expliquer, dans sa façon d’être, de réagir à certaines choses… je l’ai compris il y a déjà plusieurs années, bien avant de tomber sur lui et cet autre gars, dans son bar favori. Alors moi je m’en fiche, il fait bien ce qu’il veut et avec qui il veut, mais si maman venait à l’apprendre… ça aurait l’effet d’une bombe dans la famille. Plus fermée d’esprit qu’elle, vous mourrez !”
Et puis, je connais son secret. Évidemment, il ne sait pas que je le sais. S’il le savait… Il aurait envie de me bâillonner pour l’éternité et de m’enfermer dans cette cave glauque avec laquelle il m’a tant de fois menacée. C’est sûr que ça ferait mal à sa réputation de tombeur de ces dames si le monde venait à savoir qu’il n’aime pas qu’elles… Mais moi, je l’ai toujours su. Ça se devine, ce genre de choses. Non pas qu’il soit super efféminé (même s’il est du genre à monopoliser la salle de bain le matin) mais… je ne sais pas comment expliquer, dans sa façon d’être, de réagir à certaines choses… je l’ai compris il y a déjà plusieurs années, bien avant de tomber sur lui et cet autre gars, dans son bar favori. Alors moi je m’en fiche, il fait bien ce qu’il veut et avec qui il veut, mais si maman venait à l’apprendre… ça aurait l’effet d’une bombe dans la famille. Plus fermée d’esprit qu’elle, vous mourrez !”
Edda Schneider, aventure d'un soir à Berlin.
“Avant de finir dans les mêmes draps, on s’était croisés plusieurs fois en soirée. Ce que je m’étais dit à son sujet ? Qu’il était certes agréable à regarder, mais qu’il m’avait tout l’air d’être un brin macho, moqueur ou encore immature. J’ai du mal à le positionner, à ce niveau. Andreas, on l’entend rire à des kilomètres et c’est le roi des blagues pourries. Pour détendre l’atmosphère, vous pouvez toujours compter sur lui, mais pour ce qui est des conversations sérieuses...
L’autre matin, je lui ai demandé s’il avait déjà aimé une fille. Vous savez, d’un amour avec un grand A. J’étais curieuse. Après un vague soupir, il m’a dit que oui mais que ça n’avait plus aucune espèce d’importance à ce jour. J’ai donc supposé une peine de cœur. Il n’avait pas l’air chaud à l’idée d’en parler, ça c’est certain, mais vous connaissez les filles, ça ne lâche pas aussi facilement le morceau. Alors je lui ai demandé à quoi elle ressemblait, cette fille, parce que ça m’intéressait de savoir. Ô quelle chose fâcheuse n’avais-je pas osé demander. Il a commencé à marmonner, s’est levé, s’est rhabillé et a fini par s’échapper, inventant une “prochaine fois” pour adoucir un tant soit peu son départ hâtif. Sacrée délicatesse, hein.
En réfléchissant, je ne sais même pas ce que je répondrais, s’il voulait me revoir. Car je sais que l’on peut perdre nos plumes avec ces hommes qui ne savent pas parler, mais d’un autre côté...”
L’autre matin, je lui ai demandé s’il avait déjà aimé une fille. Vous savez, d’un amour avec un grand A. J’étais curieuse. Après un vague soupir, il m’a dit que oui mais que ça n’avait plus aucune espèce d’importance à ce jour. J’ai donc supposé une peine de cœur. Il n’avait pas l’air chaud à l’idée d’en parler, ça c’est certain, mais vous connaissez les filles, ça ne lâche pas aussi facilement le morceau. Alors je lui ai demandé à quoi elle ressemblait, cette fille, parce que ça m’intéressait de savoir. Ô quelle chose fâcheuse n’avais-je pas osé demander. Il a commencé à marmonner, s’est levé, s’est rhabillé et a fini par s’échapper, inventant une “prochaine fois” pour adoucir un tant soit peu son départ hâtif. Sacrée délicatesse, hein.
En réfléchissant, je ne sais même pas ce que je répondrais, s’il voulait me revoir. Car je sais que l’on peut perdre nos plumes avec ces hommes qui ne savent pas parler, mais d’un autre côté...”
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@Andreas Klein Re bienvenue monsieur Je te réserve Marcus pour une semaine, le temps de faire ta fiche, n'hésites pas à embêter les admins au besoin
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Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : C'est ... compliqué
Rebienvenue parmi nous
Et arrête de prendre des avatars canons, après nous, on bave devant nos écrans
Et bon courage pour ta fiche
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