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YESTERDAY'S NEWS |48
- Théodora OleszekI'm a Mother Fucker
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Dollars : 2852
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Crédits : velaris (avatar)
Autres comptes : zeke & ansel
Âge du personnage : vingt quatre ans
Nationalité(s) : russe & américaine
Signe astrologique : Verseau
Mon personnage, en 5 mots : blabla
Quartier de résidence : Northeast
Carrière, métier ou job : pianiste de renom.
Études (passées ou en cours) : langues et civilisations étrangères.
Hobby : boxe, sport de combat, violon, champ de tir, danse.
Orientation sexuelle : Bisexuel(le)
Situation sentimentale : C'est ... compliqué
Avec : "the boy next door"
mischief managed
à fouiller dans un téléphone, on réveille les souvenirs.
@kai norton
@kai norton
les étoiles les avaient observées, cachées, froisser les draps dans une danse impitoyable. sensuelle. qui ne laissait que peu de place à l'imagination. les jambes emmêlées aux siennes, endormie dans la chaleur du matin. elle entend d'une oreille "douche". elle grogne un peu. grommelle un fais comme chez toi, qui doit pas ressembler à grand chose. il était bien son oreiller. pile ce qu'il faut de moelleux de de dur là où il faut. d'un mouvement souple elle se détourne pour le laisser s'échapper. les yeux qui se referment, paupières lourdes, sur le point de continuer sa nuit. de repartir dans le néant. mais non. un vibreur qui fait reconnecter le cerveau. allumer les neurones. une main qui se tend pour trouver son téléphone. non, c'était pas le tien dora. de nouveau demi-tour direction l'autre côté du lit. flemme du matin, on étire le bras le plus possible au lieu d'avancer. elle attrape le téléphone pour afficher le message. sans gène, sans hésiter. dora quoi. la russe, elle cligne plusieurs fois des yeux. pour enfin arriver à croire les trois lettres qui s'affichent à l'écran. adé ? adélaide ? sullivan ? LA sullivan ? elle relit, cinq, six fois les trois lettres. hallucination, rêve ou réalité ? elle repose le téléphone à sa place. confuse elle se glisse hors du lit. les jambes se délient. dora lance la première musique douce qu'elle trouve sur son téléphone. direction la salle de bain. c'est pas comme si elle avait quelque chose à enlever. nue depuis la soirée d'hier. presque depuis qu'il avait passé la porte. la buée avait commencer à attaquer le miroir. vapeur chaude qui la réveille doucement. son corps se glissent avec toute la douceur du monde dans son dos sans prévenir. une douche à deux. économie d'eau. réveil au paradis. une pluie brûlante s'abat sur sa chair. une agression auquel elle s'habitue avec lenteur. fouiller dans un téléphone c'est pas la plus grande gloire. mais regarder qui avait déclenché ce putain de vibreur et réveiller la belle au bois dormant. c'était purement légitime. alors dora elle enterre pas sa curiosité trop vite. « je crois que t'as un message de sullivan. enfin si c'est la même adé que je connais. » elle se laisse aller contre son dos. sa joue atterrissant entre ses omoplates alors que ses bras se referment autour de lui. « sinon je sais pas qui c'est, mais même la photo en petit paraissait sexy. »
☾ anesidora
- Kai NortonReserve Unit
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Âge du personnage : 27 (08.01)
Nationalité(s) : Américain
Signe astrologique : Capricorne
Mon personnage, en 5 mots : Farceur - Sportif - Romantique - Attachant - Bagarreur
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : Assistant management general manager Lakers
Études (passées ou en cours) : Diplômé Management + Sport Basket
Hobby : Sportif - Son fils - Ses amis - Sa vodka
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : C'est ... compliqué
Avec : une pianiste
La chaleur des draps. Il l’avait quitté quelques instants plus tôt. La présence de son corps près du sien, il s’en était éloigné sans remords. Les mots qu’il perçoit lui suffise pour faire couler le liquide chaud sur sa peau et laisser un brin de pensées s’échapper. Que faisait-il encore ici ? Natacha dans sa villa, mariage avec Alice, Arya et sa grossesse … Tout ce qu’il se passait dans sa vie devrait l’éloigner de cet appartement, de cette chambre, de cette femme. Pourtant. Son choix se porte sur le contraire même de la logique. Comme une bouffée d’air frais, comme un nouvel oxygène qu’elle lui transmet, Théodora est la seule femme aujourd’hui assez proche de lui qui est en capacité de l’aider. Il n’avait pas hésité à lui envoyer ce message et encore moins à se pointer ici, comme s’il était lui-même locataire.
Son arrivée près de lui, dans la vapeur d’eau chaude, sous l’eau bouillante, ses lèvres s’étirent tendrement en sentant son contact. Peau contre peau. Liaison unique qui les caractérise. Ses mots viennent percuter le silence de ce moment intime. Un froncement de sourcils. Kai se retourne. Lentement. Surplombant de quelques centimètres la sulfureuse brune. Sa posture voutée, un baiser qui se dépose tendrement sur son front alors qu’il devient suspicieux. « Tu connais Sullivan toi ? » Sans arrières pensées, baissant son visage davantage, un baiser dans le cou de la pianiste. Une main dans ses cheveux qui viennent jouer avec alors qu’il ferme les yeux en savourant la sensation de l’eau coulant le long de son échine. « T’as été faire du repérage dans mon téléphone pour un plan à trois ? » Il sourit, intrigué par la situation. Intrigué par cet intérêt soudain qu’elle porte à sa vie. Une relation particulière qui les relie, sans jamais vouloir s’immiscer davantage dans le quotidien ou l’intimité trop profonde de l’autre. Il devient méfiant. Sa main venant caresser son visage. « Tu as trouvé ton bonheur dans mon téléphone ? J'espère au moins que tu as laissé quelques photos de toi » Demande-t-il les yeux plissés, interpellé soudain.
@Théodora Oleszek
Son arrivée près de lui, dans la vapeur d’eau chaude, sous l’eau bouillante, ses lèvres s’étirent tendrement en sentant son contact. Peau contre peau. Liaison unique qui les caractérise. Ses mots viennent percuter le silence de ce moment intime. Un froncement de sourcils. Kai se retourne. Lentement. Surplombant de quelques centimètres la sulfureuse brune. Sa posture voutée, un baiser qui se dépose tendrement sur son front alors qu’il devient suspicieux. « Tu connais Sullivan toi ? » Sans arrières pensées, baissant son visage davantage, un baiser dans le cou de la pianiste. Une main dans ses cheveux qui viennent jouer avec alors qu’il ferme les yeux en savourant la sensation de l’eau coulant le long de son échine. « T’as été faire du repérage dans mon téléphone pour un plan à trois ? » Il sourit, intrigué par la situation. Intrigué par cet intérêt soudain qu’elle porte à sa vie. Une relation particulière qui les relie, sans jamais vouloir s’immiscer davantage dans le quotidien ou l’intimité trop profonde de l’autre. Il devient méfiant. Sa main venant caresser son visage. « Tu as trouvé ton bonheur dans mon téléphone ? J'espère au moins que tu as laissé quelques photos de toi » Demande-t-il les yeux plissés, interpellé soudain.
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@kai norton
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les gouttes battent contre leurs corps sans leur laisser de répit. une pluie chaude qui réveille gentiment les muscles. les mains se desserrent, le laissent lui faire face, alors que ses doigts remontent jusqu'à sa nuque. les yeux qui se lèvent légèrement pour le regarder en face. la réalité se posent en face de ses yeux. et elle aime ce qu'elle voit. les lèvres du brun qui viennent flatter son front. elle se mord la lèvre intérieurement. le mener en bateau ou non ? il n'était certainement pas au courant de la relation entre sullivan et la russe. elle cherche ses mots, dans l'idée, elle ne savait pas ce que sullivan lui autorisait à raconter. ou ce dont norton était au courant. ses pensées filèrent à la lueur du matin trouver une solution acceptable pour tous. « hm. disons qu'elle m'a été vraiment indispensable par le passé. à quel point tu la connais bien ? » sa voix insiste, déraille sur un mot important. les souvenirs éclairs en pagaille dans les neurones, qui se dissipent vivement en sentant un baiser dans son cou. la russe laisse s'échapper un soupir de contentement, se laissant aller à la douceur offerte par son amant. haussement de sourcil. dora, enlève toi cette idée de la tête. « j'ai pas fouillé plus que ça. ce qui m'intéressait vraiment se trouvait dans cette douche alors .. » alors elle prendra le temps plus tard de fouiller si nécessaire. alors elle ne peut s'empêcher de garder ses paroles dans un coin de la tête. pas besoin de secret entre eux, mais pas besoin de se livrer entièrement. une entente tacite qui les faisait sonner l'un ou l'autre pour tout oublier le temps d'une nuit. elle s'avance jusqu'à le faire reculer contre le mur. lui griffant légèrement la nuque, la russe plaque ses lèvres contre les siennes. goûtant à ses lèvres comme pour la première fois avec douceur prenant son temps. un baiser presque chaste, qui contrastait avec leur nuit. reculant à peine de son visage pour sourire. « comme si t'avais besoin de photos. t'as juste à passer la porte pour avoir la version 3D. c'est mieux non ? » l'égo commence déjà à s'enflammer dans l'éventualité. où la réponse déplairait à ses oreilles.
☾ anesidora
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Le moment intime, la vapeur d’eau qui ne laisse entrevoir que quelques centimètres des deux corps qui s’entrelacent. Tendrement. Une chaleur et un écoulement liquide, parcourant sans répit leurs muscles. Cette vapeur qui les entoure, les enveloppe, les accueille dans une tendresse particulière, propre à eux-mêmes. Une relation qui reste tapie dans une pénombre, sans vouloir la cacher, sans rester silencieux de manière intentionnelle ou criminelle. Un silence qui cherche à conserver ce bout de bien-être ressenti à chaque instant partagé. Tel un instant qui n’occupe plus le temps. Qui les encercle jusqu’à arrêter les aiguilles de l’horloge et les projette dans un espace-temps qui n’existe plus. Kai écoute attentivement les quelques mots de la brune. Il embrasse sa joue tendrement avant de lui répondre. « Je la connais … » Il s’arrête pour déposer un nouveau baiser. « … Plutôt bien. » Finit-il par glisser en remontant ses lèvres jusqu’à son oreille. Il la laisse l’embrasser, lui rendant par la même occasion ce partage. Les yeux à demi clos, il savoure simplement, sourit. Finit par répondre dans une tendresse qui dénote de la relation entretenue. « C’est beaucoup mieux » Murmure. Il capture de nouveau ses lèvres une seconde. « Mais » Tout en sentant le froid du carrelage contre son dos. Ses mains trouvant les hanches de la jeune femme pour l’attirer contre lui. Dénotant la température. Le chaud. Le froid. Le mélange d’un ensemble. « Indispensable à quel point ? » Il ne lâche pas le morceau. Une curiosité piquée à vif. Il pourrait ne pas y faire attention. Il pourrait se concentrer sur ce corps qui l’appelle comme un corbeau qui guette une proie, une viande fraîche. Il pourrait être ce prédateur. Sa main droite remontant dans le dos de la brune, il en profite pour ajouter. « Tu auras tout ce que tu veux si tu me raconte tout. » Un chantage ? Un deal ? Une tentation qu’il veut rendre inaccessible pour mieux la savourer ?
@Théodora Oleszek
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Hobby : boxe, sport de combat, violon, champ de tir, danse.
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mischief managed
à fouiller dans un téléphone, on réveille les souvenirs.
@kai norton
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dora ne se ressemblait presque plus. il y avait ces yeux pleins d'étoiles qui regardaient kai, en essayant de cacher leur éclat grâce à la pluie d'eau chaude. il y avait ces pensées qui adoucissaient son cœur et la rendait perméable. le bruit des gouttes sur la vitre venait se joindre à l'arrière plan de musique. on aurait pu croire au dimanche matin typique du couple. seulement en apparence.
ses lèvres trouvent le chemin de son cou, sa joue, sa peau. touché électrique, réveillant doucement la belle. au tour de la demoiselle d'avoir la curiosité attisée. les sourcils froncés, elle attendra son tour pour poser les bonnes questions. leurs lèvres se trouvent entre les gouttes. elle pourrait passer sa vie à subir ses assauts répétés. son égo disparu élégamment dans une discrétion absolue. elle n'avait pas eu à s'enflammer.
elle faiblit un peu plus à chaque frôlement de chair, se laisser envoûter par ses cordes vocales. un chant de sirène, qu'elle suivrait volontiers dans la tempête. mais ce n'était pas elle qui comptait chanter. pas tout de suite. ses hanches happées d'un mouvement vers les siennes, à croire qu'il était impensable de les garder à distance. ses bras s'entrecroisent derrière sa nuque, s'attachant à lui avec douceur. et elle a eu raison de garder sa belle mélodie pour plus tard. elle voulait lui donner sa main, mais elle a finis par tout lui prendre jusqu'aux lèvres. les siennes remontaient dans un rictus satisfait. « tout ce que je veux ? » ce n'étais pas le genre de parole qui tombait dans l'oreille d'une sourde. elle s'imagina bien des choses. les pires comme les meilleurs. les plus agréables, les plus difficiles. à savoir ce qu'elle décidera de sortir. l'humeur en sera pour beaucoup. mais il a voulu jouer. et elle fera en sorte qu'il assume les conséquences. « j'avais pas besoin d'une telle promesse, mais si tu insistes. » si il insiste, il est entrain de faire fleurir des neurones. la russe dû se faire force pour s'écarter de lui, de son magnétisme. pouvoir jauger sa réaction, entièrement. elle prit soin de choisir ses mots, ceux avec lesquels il lui faudra un temps avant d'être sûr de ce que ses cordes vocales viennent de sortir. « indispensable en trois mots : mummy, teach me. »
ses lèvres trouvent le chemin de son cou, sa joue, sa peau. touché électrique, réveillant doucement la belle. au tour de la demoiselle d'avoir la curiosité attisée. les sourcils froncés, elle attendra son tour pour poser les bonnes questions. leurs lèvres se trouvent entre les gouttes. elle pourrait passer sa vie à subir ses assauts répétés. son égo disparu élégamment dans une discrétion absolue. elle n'avait pas eu à s'enflammer.
elle faiblit un peu plus à chaque frôlement de chair, se laisser envoûter par ses cordes vocales. un chant de sirène, qu'elle suivrait volontiers dans la tempête. mais ce n'était pas elle qui comptait chanter. pas tout de suite. ses hanches happées d'un mouvement vers les siennes, à croire qu'il était impensable de les garder à distance. ses bras s'entrecroisent derrière sa nuque, s'attachant à lui avec douceur. et elle a eu raison de garder sa belle mélodie pour plus tard. elle voulait lui donner sa main, mais elle a finis par tout lui prendre jusqu'aux lèvres. les siennes remontaient dans un rictus satisfait. « tout ce que je veux ? » ce n'étais pas le genre de parole qui tombait dans l'oreille d'une sourde. elle s'imagina bien des choses. les pires comme les meilleurs. les plus agréables, les plus difficiles. à savoir ce qu'elle décidera de sortir. l'humeur en sera pour beaucoup. mais il a voulu jouer. et elle fera en sorte qu'il assume les conséquences. « j'avais pas besoin d'une telle promesse, mais si tu insistes. » si il insiste, il est entrain de faire fleurir des neurones. la russe dû se faire force pour s'écarter de lui, de son magnétisme. pouvoir jauger sa réaction, entièrement. elle prit soin de choisir ses mots, ceux avec lesquels il lui faudra un temps avant d'être sûr de ce que ses cordes vocales viennent de sortir. « indispensable en trois mots : mummy, teach me. »
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Le froid. Pas celui du carrelage sur lequel le dos de Kai trouve un appui. Pas celui qui habite son cœur. Le froid glacial qui s’installe quand elle délivre la vérité. Trois mots. Qui suffisent à refroidir le corps de Kai. Il n’arrive à dire qu’une chose. « Quoi ? » La surprise. L’étonnement. Jamais, non, jamais ne il se serait imaginé une seule fois pouvoir entendre une telle chose, encore moins de la part de la femme avec lui, sous cette douche au travers d’une buée d’eau brûlante. D’un geste, ses mains sur les hanches de la belle brune, il la repousse tendrement. « Tu veux dire que … ? » Son imagination lui joue des tours. La vision d’Adélaïde. Avec … Théodora. Son cerveau repousse l’idée. Un air de dégout se peint littéralement sur les traits de son visage. Non. Pourquoi. Et puis. Ses envies reprenant le dessus, rapidement, en une seconde, à peine. L’image de ces deux femmes entrelacées. Il se pince les lèvres en pensant à cette idée. Il plisse les yeux. Se demandant alors pourquoi la Sullivan n’avait jamais succombé à son charme … La réponse était toute trouvée finalement, elle préférait la paire de seins nues à laquelle il aimait tant gouter, la paire de seins ici présente, sous ses yeux. « Du couuuup… » Qu’il commence, innocemment, en ramenant d’un geste les hanches de son amante contre les siennes. « Tu crois qu’on pourrait négocier pour un plan à trois ? » Autant en profiter. C’est qu’il ne dirait pas non le Kai. Son visage se baissant doucement, ses lèvres attrapant celles de la musicienne, mordillant tendrement sa proie. Dans un instant de désir et d’un mouvement adroit, il retourne la situation. Plaquant Théodora à son tour contre le mur et en prenant sa place. Sentant alors chacune des gouttes de l’eau chaude qui se déferle sur son dos. Réchauffant la partie de chair auparavant fraiche. Un baiser proche de l’oreille pour glisser quelques derniers mots. « Tu en caches des choses, qu’est-ce que je devrais savoir d’autre ? » Comme une question anodine, sa curiosité est pourtant piquée à vif. Alors que sa main rejoint la sienne dans une étreinte désireuse. Leurs lèvres se joignent à nouveau et leurs deux corps s’effleurent à chacun de leur mouvement.
@Théodora Oleszek
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kora
mischief managed
elle avait réussi à le capturer. lui et sa curiosité. elle avait cru le perdre. avec la surprise de voir que le monde restait trop petit. que tout le monde finissait par connaître tout le monde. de vue, de loin, de nom. elle avait réussi à enterrer la sienne. comme si sullivan était connu par le plus grand nombre. surtout avant. avant quand adélaïde était jane. et que dora n'a aucun mal à tout se rappeler. ses baisers, ses mains. les frissons provoqués qui remontait dans la nuque. la couleur et la douceur de ses lèvres imprimées sur sa poitrine. ou les frêles griffures imposées dans le creux de ses reins. dora était devenu ce qu'elle était à coup de draps froissés, nuit blanche, bavure de rouge à lèvres et soupir de contentement.
dora hochait doucement la tête. attendant patiemment que kai avale l'information. la surprise passée, la partie du cerveau régissant les désirs et les envies semblant clignoter en rouge. et c'est presque ce qu'elle avait voulu. ou plutôt espéré. ses hanches viennent de nouveau rencontrer les siennes. inséparables. un fil rouge tendu entre leur corps, qui ne supportait pas la distance. et elle lui laissait volontiers reprendre le dessus et les rapprocher de nouveau.
un pas de danse de plus, et le carrelage froid vient heurter innocemment ses omoplates. comme si lui non plus n'était pas au courant du rôle qu'il jouait. instrument de plaisir et de torture. qui engageait un peu plus dora à se plaquer contre norton.« c'est pas moi qui te dirait non en tout cas. » elle assumait. elle assumait tout. elle n'était pas invulnérable. mais son nom inscrit en gros sur un bout de papier en noir et blanc lui faisait bien moins peur que laisser ses volontés au fond de sa poche. elle le voyait presque déjà s'enfuir pour appeler sullivan. à la place, elle lui laissa la place pour s'aventurer près de son oreille. « que j'ai envie de toi ? » encore une flatterie assorti d'une vérité. quelques secrets s'accumulaient. et elle n'eut pas le temps de lui dire qu'il n'avait qu'à demander. sous la douceur de la pluie chaude. à la lueur du matin, elle n'était plus certaine de pouvoir lui refuser les réponses. mais elle se perdit entre deux baisers. incapable de se détacher de sa peau, les mains liées, plaquées contre la paroi glacée. sa bouche laissa échapper un soupir involontaire. qui en disait bien plus que les mots qui pouvait franchir celle-ci.
AVENGEDINCHAINS
@kai norton
elle avait réussi à le capturer. lui et sa curiosité. elle avait cru le perdre. avec la surprise de voir que le monde restait trop petit. que tout le monde finissait par connaître tout le monde. de vue, de loin, de nom. elle avait réussi à enterrer la sienne. comme si sullivan était connu par le plus grand nombre. surtout avant. avant quand adélaïde était jane. et que dora n'a aucun mal à tout se rappeler. ses baisers, ses mains. les frissons provoqués qui remontait dans la nuque. la couleur et la douceur de ses lèvres imprimées sur sa poitrine. ou les frêles griffures imposées dans le creux de ses reins. dora était devenu ce qu'elle était à coup de draps froissés, nuit blanche, bavure de rouge à lèvres et soupir de contentement.
dora hochait doucement la tête. attendant patiemment que kai avale l'information. la surprise passée, la partie du cerveau régissant les désirs et les envies semblant clignoter en rouge. et c'est presque ce qu'elle avait voulu. ou plutôt espéré. ses hanches viennent de nouveau rencontrer les siennes. inséparables. un fil rouge tendu entre leur corps, qui ne supportait pas la distance. et elle lui laissait volontiers reprendre le dessus et les rapprocher de nouveau.
un pas de danse de plus, et le carrelage froid vient heurter innocemment ses omoplates. comme si lui non plus n'était pas au courant du rôle qu'il jouait. instrument de plaisir et de torture. qui engageait un peu plus dora à se plaquer contre norton.
@kai norton
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La facilité de glisser quelques mots. La facilité de se confier. Chaque moment partagé avec la brune près de lui laissait l'opportunité à l'homme de se délivrer un peu plus. De s'aventurer dans un monde de joies continuelles ponctué par un élan de soupirs et de paroles saccadées. Son monde. Depuis déjà un certain temps. Une vie qui aurait raison de lui, plus rien ne pouvait contredire ce fait. Encore moins lorsque sa main rejoint la sienne. Que ses lèvres emprisonnent ses homologues. Et que sa langue chatouille la chair chaude et humide sous la pluie torrentielle qui ne voit plus de fin. L'envie. Nom féminin se définissant tel un sentiment de désir. Nom à la simple ponctuation qui pourrait faire basculer n'importe quel instant de partage en instant de plaisir. Rien qui n'échappe au basketteur.
Le baiser reste en suspens. Affrontant les visages en face à face. Laissant leur regard se croiser pour se perdre un instant dans l'esprit de l'autre. Une main qui se pose tendrement sur la joue de la pianiste. Un pouce qui caresse la lèvre inférieure. Et un soupir qui s'extirpe d'entre ses propres lèvres. " On va devoir arrêter " Qu'il finit par lâcher comme ce poids qu'il supporte depuis si longtemps. Il n'a jamais voulu glisser cette phrase aussi brutalement. Il n'a jamais voulu lancer un adieu à celle qui a été la meilleure de ses amantes. Et qui le sera une fois encore. Il avale sa salive. Ses yeux parcourent son visage. Décryptant chacun de ses traits. Il se souvient de de ce message qu'il a envoyé. De ce besoin qu'il a eu de rejoindre les draps blancs. De cette envie d'échapper à la vérité. D'échapper à la réalité. Il se déteste tout autant qu'il aime se retrouver dans ces lieux, cette antre qui ne laisse aucun sentiment se développer. Le clapotis de l'eau qui résonne à chaque nouvelle goutte frappant le carrelage de la douche comble le silence. Ce silence de réflexion. D'observation. Cet instant où la minute suivante basculera, résonnera bien plus encore que le liquide chaud. " Théo ... " Sans se rendre compte, ses lèvres s'emprisonnent au travers de la mâchoire. Il avait glissé le bout du prénom, comme une demande silencieuse de lui laisser une seconde. De réfléchir à la façon d'aborder le sujet. " On ne pourra plus être ainsi l'un pour l'autre. " Qu'il argumente. Difficilement. Il n'a jamais vraiment eu l'habitude de se confier. De se sentir jugé. " Je ne pourrai plus avec la responsabilité d'être père que je vais avoir d'ici peu. " Son visage vient se recueillir dans le creux d'épaule de son amante. Dissimuler son visage pourrait dissimuler sa peur par la même occasion. Ses lèvres se posent dans sa nuque. Une demande silencieuse. Unissant leurs deux âmes.
@Théodora Oleszek
Le baiser reste en suspens. Affrontant les visages en face à face. Laissant leur regard se croiser pour se perdre un instant dans l'esprit de l'autre. Une main qui se pose tendrement sur la joue de la pianiste. Un pouce qui caresse la lèvre inférieure. Et un soupir qui s'extirpe d'entre ses propres lèvres. " On va devoir arrêter " Qu'il finit par lâcher comme ce poids qu'il supporte depuis si longtemps. Il n'a jamais voulu glisser cette phrase aussi brutalement. Il n'a jamais voulu lancer un adieu à celle qui a été la meilleure de ses amantes. Et qui le sera une fois encore. Il avale sa salive. Ses yeux parcourent son visage. Décryptant chacun de ses traits. Il se souvient de de ce message qu'il a envoyé. De ce besoin qu'il a eu de rejoindre les draps blancs. De cette envie d'échapper à la vérité. D'échapper à la réalité. Il se déteste tout autant qu'il aime se retrouver dans ces lieux, cette antre qui ne laisse aucun sentiment se développer. Le clapotis de l'eau qui résonne à chaque nouvelle goutte frappant le carrelage de la douche comble le silence. Ce silence de réflexion. D'observation. Cet instant où la minute suivante basculera, résonnera bien plus encore que le liquide chaud. " Théo ... " Sans se rendre compte, ses lèvres s'emprisonnent au travers de la mâchoire. Il avait glissé le bout du prénom, comme une demande silencieuse de lui laisser une seconde. De réfléchir à la façon d'aborder le sujet. " On ne pourra plus être ainsi l'un pour l'autre. " Qu'il argumente. Difficilement. Il n'a jamais vraiment eu l'habitude de se confier. De se sentir jugé. " Je ne pourrai plus avec la responsabilité d'être père que je vais avoir d'ici peu. " Son visage vient se recueillir dans le creux d'épaule de son amante. Dissimuler son visage pourrait dissimuler sa peur par la même occasion. Ses lèvres se posent dans sa nuque. Une demande silencieuse. Unissant leurs deux âmes.
@Théodora Oleszek
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Autres comptes : zeke & ansel
Âge du personnage : vingt quatre ans
Nationalité(s) : russe & américaine
Signe astrologique : Verseau
Mon personnage, en 5 mots : blabla
Quartier de résidence : Northeast
Carrière, métier ou job : pianiste de renom.
Études (passées ou en cours) : langues et civilisations étrangères.
Hobby : boxe, sport de combat, violon, champ de tir, danse.
Orientation sexuelle : Bisexuel(le)
Situation sentimentale : C'est ... compliqué
Avec : "the boy next door"
kora
mischief managed
y en a-t-il qui se rende compte que la manière dont se déroule les premières minutes de la journée vont probablement l'influencer ? la froideur du mur de la douche, ou la brûlure discrète des gouttes trop chaudes ? le mélange parfait des deux pour ceux qui veulent se réveiller. des lèvres qui n'ont pas besoin de se chercher longtemps se trouvent une nouvelle fois. elles connaissent le chemin. des habitudes qui ne se perdent pas. un naturel qui reprend le dessus.
arrêter ? comment ça arrêter ? sourcil froncés, avec l'espoir d'avoir mal compris.« de quoi ? » de froisser les draps ? faire vibrer les murs et leurs cordes vocales ? elle s'insurge déjà intérieurement. qui oserait venir troubler leur nuit. les gouttes battent les carreaux, alors qu'elle se rend compte d'une chose. jamais dora ne l'avais vu dans cet état. elle prend son mal en patience. avide de connaître les prochains mots qui sortiront de la bouche de norton. « père ? genre, avoir un gosse ? toi ? » un gosse. un bébé. un enfant. un norton junior. c'est irréel. incapable de prononcer un seul mot. incapable de réfléchir correctement, et encore moins de répondre.
la russe essaye de dédramatisé, avec un petit rire au fond de la voix. espérant qu'il éclate de rire dans le creux de son épaule. se moquant royalement d'elle et qu'ils reprennent là où ils s'étaient arrêtés. elle s'efforce de réaliser. de comprendre. de pas hausser le ton en lui demandant depuis combien de temps il est au courant. de se barrer de la douche et de le laisser en plan. le doute qui passe comme un éclair dans ses rétines. alors au lieu de fuir, elle soupire une dernière fois, et s'abandonne contre le corps de norton. ses doigts caressant machinalement son dos. respirant au rythme des lèvres qui frôlent son cou. et elle réfléchit, blottit contre lui, ne voulant pas se battre. mouvement souple, pour n'effrayer personne. ses mains viennent chercher le visage de son amant pour le relever vers le sien. plonger au plus profond de ses yeux, la tête la première, et nager juste sous la surface, histoire de pouvoir remonter respirer. sans se noyer.« si c'est ce que tu veux. » ça doit se voir sur son visage, un mélange entre la déception et la joie. qui se battent en duel. elle aimerait sortir des mots encourageants, mais il serait aussi maladroit que son sourire. alors elle tient ses émotions en laisse et sur la pointe des pieds, elle dépose un baiser sur le front du brun. elle s'échappe de la douche pour attraper une serviette. sécher son corps consciencieusement. avant d'arriver à retrouver la parole. « t'auras toujours le droit de passer cette porte, mais compte pas sur moi pour t'aider à changer des couches. » c'était la seule chose qu'elle avait en stock pour lui faire comprendre qu'elle acceptait. lui et sa décision.
AVENGEDINCHAINS
@kai norton
y en a-t-il qui se rende compte que la manière dont se déroule les premières minutes de la journée vont probablement l'influencer ? la froideur du mur de la douche, ou la brûlure discrète des gouttes trop chaudes ? le mélange parfait des deux pour ceux qui veulent se réveiller. des lèvres qui n'ont pas besoin de se chercher longtemps se trouvent une nouvelle fois. elles connaissent le chemin. des habitudes qui ne se perdent pas. un naturel qui reprend le dessus.
arrêter ? comment ça arrêter ? sourcil froncés, avec l'espoir d'avoir mal compris.
la russe essaye de dédramatisé, avec un petit rire au fond de la voix. espérant qu'il éclate de rire dans le creux de son épaule. se moquant royalement d'elle et qu'ils reprennent là où ils s'étaient arrêtés. elle s'efforce de réaliser. de comprendre. de pas hausser le ton en lui demandant depuis combien de temps il est au courant. de se barrer de la douche et de le laisser en plan. le doute qui passe comme un éclair dans ses rétines. alors au lieu de fuir, elle soupire une dernière fois, et s'abandonne contre le corps de norton. ses doigts caressant machinalement son dos. respirant au rythme des lèvres qui frôlent son cou. et elle réfléchit, blottit contre lui, ne voulant pas se battre. mouvement souple, pour n'effrayer personne. ses mains viennent chercher le visage de son amant pour le relever vers le sien. plonger au plus profond de ses yeux, la tête la première, et nager juste sous la surface, histoire de pouvoir remonter respirer. sans se noyer.
@kai norton
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Date d'inscription : 09/10/2017
Avatar : Adam Senn
Crédits : romanticlove
Autres comptes : Eden H. Snow & James L. Blackwell
Âge du personnage : 27 (08.01)
Nationalité(s) : Américain
Signe astrologique : Capricorne
Mon personnage, en 5 mots : Farceur - Sportif - Romantique - Attachant - Bagarreur
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : Assistant management general manager Lakers
Études (passées ou en cours) : Diplômé Management + Sport Basket
Hobby : Sportif - Son fils - Ses amis - Sa vodka
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : C'est ... compliqué
Avec : une pianiste
Il n’avait jamais su ce qui était bien ou mal dans ce monde. Il n’avait jamais su décrire la relation qu’il entretenait avec Théodora. Tout ce qu’il savait c’est qu’il le regrettait déjà. Les quelques mots qui l’avait dicté. La fin. Elle était son remède à ses maux, quand plus rien n’allait, dans ses bras, il avait su trouver un endroit où plus rien ne l’atteignait. Mais il savait une chose, cela ne le menait à rien. Ne les menait à rien de bien. Longtemps il avait hésité. Longtemps il avait tenté de trouver les mots. Une logique à son changement de vie. Et puis, la dure réalité était tombée comme l’eau qui tombe sur leurs corps enlacés dans la chaleur de la douche. « Ouais » Qu’il souffle à sa question. Oui, lui, père, un gosse. Comme elle le dit si bien. La surprise se fait sentir dans sa voix. Il avait réussi à se faire à l’idée. Fallait-il maintenant qu’elle s’y fasse aussi. Ils restent blottis un moment. Sans que Kai ne sache ce qu’il doit faire. Rester. Partir. Une dernière fois. Une nouvelle fois. Si elle savait. Ce qu’il voulait. Ce serait revenir des mois en arrière. Il aurait fait autrement. Il aurait agi différemment. Rien de tout cela ne pourrait se produire aujourd’hui. Mais les actes, une fois réalisés, ne peuvent plus être effacés. Et ses paroles, maintenant dictées, ne font que s’envoler en restant ancrées dans leur relation.
Alors elle s’échappe. Et il reste là. Sous l’eau. A se demander quelle connerie il est en train de faire. Un regret qui s’attache à son cœur quand ses yeux se posent sur la silhouette nue qui le quitte. Un mouvement et l’eau s’arrête. Ne laissant plus que la vapeur pour le masquer. Lui, et son envie de disparaître silencieusement. La voix de la brune résonne et il ne peut empêcher ce sourire qui se coince dans les pommettes de son visage. Et c’est à son tour de sortir du cocon de chaleur. De la rejoindre et de l’enlacer de ses bras, tendrement, tout en déposant un baiser dans son cou. « Tu ne changeras rien du tout. » Qu’il murmure, comme pour la remercier de comprendre. De ne pas le jeter. Son visage se relève, un œil vers le miroir pour les observer, ensemble. « Tu veux que je parte ? » Qu’il demande sans vraiment oser, sans vraiment vouloir entendre la réponse.
@Théodora Oleszek
Alors elle s’échappe. Et il reste là. Sous l’eau. A se demander quelle connerie il est en train de faire. Un regret qui s’attache à son cœur quand ses yeux se posent sur la silhouette nue qui le quitte. Un mouvement et l’eau s’arrête. Ne laissant plus que la vapeur pour le masquer. Lui, et son envie de disparaître silencieusement. La voix de la brune résonne et il ne peut empêcher ce sourire qui se coince dans les pommettes de son visage. Et c’est à son tour de sortir du cocon de chaleur. De la rejoindre et de l’enlacer de ses bras, tendrement, tout en déposant un baiser dans son cou. « Tu ne changeras rien du tout. » Qu’il murmure, comme pour la remercier de comprendre. De ne pas le jeter. Son visage se relève, un œil vers le miroir pour les observer, ensemble. « Tu veux que je parte ? » Qu’il demande sans vraiment oser, sans vraiment vouloir entendre la réponse.
@Théodora Oleszek
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