YESTERDAY'S NEWS |48
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Notice meOwan
A poil devant un miroir. Sortis de douche. Ce moment où tu te regardes. Tu t’inspectes. Te scrutes. Savoir ce qui va pas. Quelque chose de physique ? Quelque chose d'autre ? Quelque chose qui se vois sur ton visage. Tu t'approche, regarde chaque centimètre carré de ton visage à la recherche d'une possible imperfection. Un poil qui pousse de travers dans ta barbe. Un poil blanc même. Merde en voilà un. Tu tires une moue de désespoir. Attrape la pince à épiler. Tire d'un coup sec, en faisant la grimace de douleur. Tu te trouves un peu ridicule de te donner tant de mal. Tu en fais pas autant quand tu sors pour draguer. Pourtant tu continu une fois devant ton armoire de vêtement. Même ce putain de boxer est choisi avec soin. Une attention du détail presque maladive. Tu veux être parfait, tu essaie même bien trois tenue avant de te décider. Tu vas pourtant finir dans le même état que d'habitude. Sortir quand l'un de vous est pas au mieux de sa forme, ça veut dire que tu bois pour deux. L'héritage de Papa, une vraie bonne descente. Heureusement que tu te mets plus des caisses tout les quatre matins. Tu récupères plus comme à tes vingt ans. Pourtant ça ne t’empêche en rien. Surtout quand il s'agit de passer une soirée avec Stan. Ce soir c'est célibat pour tout les deux. Les filles, les mecs, tous des cons, y a que Stan qui est parfait. Parfait pour toi hein. L'idée te traverse l'esprit, tu grimaces, encore une fois. Comme une pensée coupable, un truc qui serait horrible, amoral de penser. Tu tentes alors de te sortir l'idée de la tête, ce qui te fait encore plus fantasmer.
Il t'a bien fallu une heure pour te préparer. Tu es plus beau que jamais. Et tu es beau, ça tu le sais. Le charisme, le sourire, le corps et l'aisance. Tu as tout pour plaire, sauf que t'es un piètre petit copain si on en croit le nombre bien trop important de gens qui t'ont largué. Tu réalises alors que la seule personne avec qui tu as rompu c'était Brianna quand tes parents se sont séparés. Au lycée ! Merde alors ça remonte. Tu es donc l’éternel largué. Et Stanley est l’éternel à te ramasser. Peut-être aussi que le flic traverse un peu trop tes pensées. Hante un peu trop tes nuits. Mais ça tu veux pas vraiment te l'avouer. Lucas, c'est un con de t'avoir larguer. Et de toute façon tu allais pas annuler la soirée avec ton meilleur ami ! Il avait autant besoin que toi de réconfort. Et lui, il le trouvait en te voyant ivre, à faire des conneries. Le deal t'allait bien. Chacun sa tournée et il tournait au soft, autant dire que tu étais gagnant dans l'histoire.
Tu rentres alors dans le bar où vous avez vos habitudes de dépressifs. Pas d'apparitions assez fréquente pour que la clientèle ou le patron vous reconnaisse, mais assez pour avoir vos repaires. Tu rentres donc dans l'établissement, un jean un peu trop serré et fatigué, un simple T-shirt portant une référence à Jurrasik Park et une veste en cuir. Ni trop, ni pas assez. Stanley est pas encore arrivé, tu sors ton portable et lui envoie une photo d'un verre vide Quand tu veux, je suis déjà ivre de t'attendre. Puis tu commandes une pinte de bière brune. Un bière corsé que tu aimes beaucoup. Tu en profite pour engloutir quelques cacahuètes. Rajouter un peu dans l'estomac, histoire de pas finir ivre trop vite. Quelques minutes à attendre et tu le vois passé le pas de la porte. Il a l'air fatigué. Pourtant son visage s'illumine en te voyant. Tu souris sans même y réfléchir. Un automatisme. Il est le seul qui arriverait à te faire sourire dans un des moments les plus triste de ta vie. Tes yeux n'arrivent pas à se détacher de lui. Tu le détailles de haut en bas. Observant chacun de ses mouvements, te noyant dans ses yeux sans même le réaliser. Comme un piège qui se referme sur toi sans que tu le remarques. Tu formes alors un V avec tes doigts « Longue vie et prospérité » Avant de réaliser que ça fait vraiment très nerd comme façon de dire bonjour.
@Stanley A. Novak
- Karma's RealKingdom Come
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Date d'inscription : 17/09/2017
Avatar : L'omnivers
Autres comptes : IAMF
Âge du personnage : L'infinité
Nationalité(s) : Omninational
Mon personnage, en 5 mots : Omniscient, omniprésent, omnipotent, omniversel, omnivore.
Quartier de résidence : En dehors de Los Angeles
Carrière, métier ou job : L'omniexistence
Études (passées ou en cours) : L'omnivers
Hobby : Traumatiser des Angeliens
Orientation sexuelle : Asexuel(le)
Situation sentimentale : En situation polyamoureuse
ET MERDE, J'AI OUBLIE CA!
C'est qu'il est beau comme un camion notre Owen. Il s'est bien préparé, il a checké sa tenu. Pas trop classe, pas trop loose, parfait. T-shirt, jean, veste en cuir, un classique. Un classique qui l'est beaucoup moins quand, correctement installé et bien au chaud dans ses chaussons, on oublie de les retirer... oups, on dirait bien qu'Owen est venu jusqu'au bar en chaussons! Qui va s'en apercevoir en premier?
disclaimer - Comme vous pouvez le constater, le Karma a décidé de toquer à la porte de votre sujet. Si c'est le cas, c'est parce que vous faites partie du groupe "i'm a mother fucker" autrement dit ceux qui ont accepté son intervention. Si jamais le sujet n'est pas approprié pour une telle intervention (sujet trop important pour le personnage pour être perturbé par le Karma ou autre) n'hésitez surtout pas à le faire savoir à un administrateur en lui envoyant un petit mp. Vous annulerons cette intervention. Bon jeu à vous.
CONTENU COCAINE pour "It's All My Fault"
- Stanley A. NovakI'm a Mother Fucker
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Avatar : Sebastian Stan
Crédits : ichi
Âge du personnage : 33 ans.
Nationalité(s) : Roumain/américain
Signe astrologique : Lion
Mon personnage, en 5 mots : Policier, tenace, têtu, drôle, sportif.
Quartier de résidence : Northeast
Carrière, métier ou job : Sergent de police à la criminel.
Études (passées ou en cours) : Ecole de police (p)
Hobby : Cinéphile, accroc de la salle de sport.
Orientation sexuelle : Bisexuel(le)
Situation sentimentale : Célibataire (par dépit)
Notice Me
We think that politics is such a waste of time / We've been a wreck together since 2009 / We've seen each other naked, seen each other cry / That's so you, that's so me : that's so us.
Désabusé, Stanley l'avait été beaucoup, mais là c'était le maximum qu'il pouvait supporter. Il n'arrivait toujours pas à y croire, il avait l'impression que toute la confiance qu'il avait en lui s'était échappé au moment même où elle avait prononcé les mots, je t'ai trompé. Elle avait fait la pire chose qu'on pouvait faire, elle avait trahis sa confiance et en faisant ça, elle avait simplement piétiner sur Stanley. S'était-elle servi de lui ? N'était-il pas assez bien pour elle ? Qu'avait-il bien pu faire de mal pour la pousser à aller voir ailleurs ? Pour lui la réponse était évidente : il était trop gentil, trop compréhensif. Se remettant surement bien trop en question, il avait replongé la tête la première dans ses anciens déboires, revêtant son armure de sarcasme et d'agressivité. Evidemment, il n'y avait pas que ça. Sa carrière stagnait, il n'arrivait pas à avancer malgré les efforts qu'il faisait.
Désagréable avec tout le monde, il commençait à faire une overdose pour tout. Il avait besoin de quitter tout ça, d'oublier et de parvenir à se détendre. Debout devant son miroir, il observait son visage fatigué. Des poches s'étaient planté sous ses yeux bleues, sa peau était légèrement blafarde et sa chevelure bien trop longue, c'était la même chose pour sa barbe. Il n'avait plus l'envie de se faire beau. Il voyait Owen ce soir, c'était exactement ce qu'il avait besoin, de voir son ami et de penser à autre chose. Il avait toujours pu compter sur lui et ils avaient tous deux besoins de l'un et l'autre en ce moment. Owen était clairement la personne qui faisait changer la balance, ce serait le seul à lui faire remarquer qu'il n'était de nouveau plus lui-même. Passant son visage sous l'eau froide, il soupira bruyamment dans ses mains plaquées contre sa peau. « Allez Stan, c'est qu'une mauvaise passe... » qu'il s'aventura à se dire à lui même avant de fermer le robinet. Il attrapa une partie de ses cheveux et les attacha en un petit chignon au niveau du haut de sa nuque. Laissant sa barbe en état, il sortit de la salle de bain, attrapa les premiers vêtements confortables qu'il pouvait trouver, quittant sa tenue trop guindée du boulot. Il n'avait définitivement pas envie de porter une chemise, ni une cravate ce soir.
Son moral était tel qu'il était le partisan du moindre effort, c'est ainsi qu'il se contenta de son gros sweat bleu marine de la LAPD et d'un jean noir un peu trop serré. Stanley alla ensuite nourrir son chat qui n'avait pas trouver de mieux que de déchiqueté le rideau le jour même, mais il n'eut aucune réprimande, profitant certainement de l'absence de volonté de son maître. Il partit finalement enfin, quittant l'appartement, fermant la porte du pied, elle claqua bien fortement, il prit à peine le temps de fermer à clé. Malgré ses humeurs moroses, il voulait voir Owen, il avait hâte, comme un gosse. Ils avaient tous les deux une activité professionnelles qui prenait beaucoup de leur temps alors ils ne se voyaient pas autant qu'ils le voudraient. Les mains dans les poches, il attrapa son téléphone qui vibrait contre sa cuisse, il afficha un sourire à la vue de ses messages, il tapota alors une réponse : « J'arrive, l'ivrogne. ».
Stanley ne mentit pas à ce moment là, même pas cinq minutes après, il poussa les portes du bar et apercevant son ami, il ne put retenir l'énorme sourire qui s'afficha sur ses lèvres. Le voir suffisait à lui remonter un peu le moral. Il rit doucement à son salut, il fit de même mais modifia la phrase, un peu sarcastique : « Au relation amoureuse stable... ». Puis il se rapprocha, il avait envie, de sauter dans ses bras comme un gosse le ferait mais, il se retenait, se contentant d'une grosse tape amical sur le bras. S'installant alors sur le tabouret à coté de son ami, il se tourna vers le bar man et commanda un cocktail sans alcool. « Tu penses qu'on est maudit ? » qu'il lui demanda, le regardant de ses yeux céruléens amplis de fatigue. Sa question était certainement valable, aucun d'eux n'arrivaient à trouver la bonne personne. Stanley avait fini par se résigner qu'il finirait seul toute sa vie. C'était un peu déprimant, lui qui s'était toujours imaginer comme ses parents, avoir un enfant...une famille. Cette pensée lui arracha un soupire alors que son regard finit par se plonger dans le liquide de sa boisson non alcoolisé qu'on venait de lui servir.
Désagréable avec tout le monde, il commençait à faire une overdose pour tout. Il avait besoin de quitter tout ça, d'oublier et de parvenir à se détendre. Debout devant son miroir, il observait son visage fatigué. Des poches s'étaient planté sous ses yeux bleues, sa peau était légèrement blafarde et sa chevelure bien trop longue, c'était la même chose pour sa barbe. Il n'avait plus l'envie de se faire beau. Il voyait Owen ce soir, c'était exactement ce qu'il avait besoin, de voir son ami et de penser à autre chose. Il avait toujours pu compter sur lui et ils avaient tous deux besoins de l'un et l'autre en ce moment. Owen était clairement la personne qui faisait changer la balance, ce serait le seul à lui faire remarquer qu'il n'était de nouveau plus lui-même. Passant son visage sous l'eau froide, il soupira bruyamment dans ses mains plaquées contre sa peau. « Allez Stan, c'est qu'une mauvaise passe... » qu'il s'aventura à se dire à lui même avant de fermer le robinet. Il attrapa une partie de ses cheveux et les attacha en un petit chignon au niveau du haut de sa nuque. Laissant sa barbe en état, il sortit de la salle de bain, attrapa les premiers vêtements confortables qu'il pouvait trouver, quittant sa tenue trop guindée du boulot. Il n'avait définitivement pas envie de porter une chemise, ni une cravate ce soir.
Son moral était tel qu'il était le partisan du moindre effort, c'est ainsi qu'il se contenta de son gros sweat bleu marine de la LAPD et d'un jean noir un peu trop serré. Stanley alla ensuite nourrir son chat qui n'avait pas trouver de mieux que de déchiqueté le rideau le jour même, mais il n'eut aucune réprimande, profitant certainement de l'absence de volonté de son maître. Il partit finalement enfin, quittant l'appartement, fermant la porte du pied, elle claqua bien fortement, il prit à peine le temps de fermer à clé. Malgré ses humeurs moroses, il voulait voir Owen, il avait hâte, comme un gosse. Ils avaient tous les deux une activité professionnelles qui prenait beaucoup de leur temps alors ils ne se voyaient pas autant qu'ils le voudraient. Les mains dans les poches, il attrapa son téléphone qui vibrait contre sa cuisse, il afficha un sourire à la vue de ses messages, il tapota alors une réponse : « J'arrive, l'ivrogne. ».
Stanley ne mentit pas à ce moment là, même pas cinq minutes après, il poussa les portes du bar et apercevant son ami, il ne put retenir l'énorme sourire qui s'afficha sur ses lèvres. Le voir suffisait à lui remonter un peu le moral. Il rit doucement à son salut, il fit de même mais modifia la phrase, un peu sarcastique : « Au relation amoureuse stable... ». Puis il se rapprocha, il avait envie, de sauter dans ses bras comme un gosse le ferait mais, il se retenait, se contentant d'une grosse tape amical sur le bras. S'installant alors sur le tabouret à coté de son ami, il se tourna vers le bar man et commanda un cocktail sans alcool. « Tu penses qu'on est maudit ? » qu'il lui demanda, le regardant de ses yeux céruléens amplis de fatigue. Sa question était certainement valable, aucun d'eux n'arrivaient à trouver la bonne personne. Stanley avait fini par se résigner qu'il finirait seul toute sa vie. C'était un peu déprimant, lui qui s'était toujours imaginer comme ses parents, avoir un enfant...une famille. Cette pensée lui arracha un soupire alors que son regard finit par se plonger dans le liquide de sa boisson non alcoolisé qu'on venait de lui servir.
nightgaunt
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