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YESTERDAY'S NEWS |48
- Travis C. GaultierI'm a Mother Fucker
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Dollars : 3124
Messages : 355
Date d'inscription : 03/04/2018
Avatar : Louis Tomlinson
Crédits : jukeboxe
Âge du personnage : 24 ans
Nationalité(s) : Francoaméricaine
Signe astrologique : Capricorne
Mon personnage, en 5 mots : anorexique - simple - perfectionniste - joyeux - capricorne
Quartier de résidence : Northeast
Carrière, métier ou job : nothing
Études (passées ou en cours) : Etude commerce et mannagement qu'il n'a pas fini
Hobby : Courir encore et toujours
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
What's happen on Spring Break, Stays on Spring Break
Sarah & Travis
Rien ne m'était prédestiné à partir un jour en Amérique. Je vis dans un monde de bobo parisien modernisé aux années deux milles avec à la place du champagne Dom Perignon, un bon vin tellement vieux qu'il est difficile d'en défaire le bouchon. Je n'ai jamais compris le pourquoi de cette différence d'esprit d'une famille à l'autre, mais j'ai décidé de suivre mon propre chemin et contrairement à d'autres, j'ai la chance d'avoir une famille qui ne se soucis pas plus que cela de mon avenir, ils me savent trop peu intelligent pour rejoindre leur entrepise et tant mieux, car autant dire que cela ne m'intéresse absolument pas du temps. Les chiffres, les courbes, les belles paroles que tu dois boire à longueur de journée. Je n'envie absolument pas leur place, posé sur le bord de la piscine, une Tequila à la main.
Après des années à rêver de ce jour, me voilà enfin à mon tout premier Spring Break et comme vaut mieux être seul, que mal accompagné, je n'avais proposé à personne de venir avec moi afin de ne pas gâcher mes vacances. Boire ne fut pas l'une des meilleures idées que j'ai eu, mais cette célébration n'était-elle pas faite pour ça ? Boire à outrance, danser et coucher avec des gens que tu ne connais ni d'Adam, ni d'Eve pour au final n'avoir aucun souvenir de ta soirée et recommencer le lendemain ? Ce qui me rassurait entre autre, c'était que j'étais loin d'être le pire, mais je ne tiens vraiment pas l'alcool. Ma corpulence oblige, alors l'alcool a jeun, je vous laisse imaginer le tableau comme des grands.
Je tentais de me relever tant bien que mal, mais ma tentative tomba à l'eau au sens propre du terme. Je peux dire que j'étais bien tombé, nez à nez avec une jolie demoiselle. Oui, clairement, je m'attardais plus à son physique qu'à son cerveau pour cette aprem -car oui il n'est que trois heures de l'après-midi et tout le monde est déjà raide mort- Boire me détend, mais j'avais ce besoin d'absolument tout contrôler, alors je me jurais d'arrêter la dose d'alcool pour aujourd'hui tant que je suis encore capable de penser par moi-même.
N'étant pas plu intéressé que cela par la demoiselle en face de moi, malgré son physique avantageux, je tournais les talons pour sortir enfin de la piscine et aller m'asseoir dans une chaise tranquillement, tout en profitant de ce parfum d'ambiance.
Après des années à rêver de ce jour, me voilà enfin à mon tout premier Spring Break et comme vaut mieux être seul, que mal accompagné, je n'avais proposé à personne de venir avec moi afin de ne pas gâcher mes vacances. Boire ne fut pas l'une des meilleures idées que j'ai eu, mais cette célébration n'était-elle pas faite pour ça ? Boire à outrance, danser et coucher avec des gens que tu ne connais ni d'Adam, ni d'Eve pour au final n'avoir aucun souvenir de ta soirée et recommencer le lendemain ? Ce qui me rassurait entre autre, c'était que j'étais loin d'être le pire, mais je ne tiens vraiment pas l'alcool. Ma corpulence oblige, alors l'alcool a jeun, je vous laisse imaginer le tableau comme des grands.
Je tentais de me relever tant bien que mal, mais ma tentative tomba à l'eau au sens propre du terme. Je peux dire que j'étais bien tombé, nez à nez avec une jolie demoiselle. Oui, clairement, je m'attardais plus à son physique qu'à son cerveau pour cette aprem -car oui il n'est que trois heures de l'après-midi et tout le monde est déjà raide mort- Boire me détend, mais j'avais ce besoin d'absolument tout contrôler, alors je me jurais d'arrêter la dose d'alcool pour aujourd'hui tant que je suis encore capable de penser par moi-même.
N'étant pas plu intéressé que cela par la demoiselle en face de moi, malgré son physique avantageux, je tournais les talons pour sortir enfin de la piscine et aller m'asseoir dans une chaise tranquillement, tout en profitant de ce parfum d'ambiance.
- Sarah E. WhiteheadI'm a Mother Fucker
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Crédits : © bbchat
Âge du personnage : 25 ans
Nationalité(s) : Anglaise
Signe astrologique : Cancer
Mon personnage, en 5 mots : Réfléchie - Honnête - Extravertie - Sensible - Impulsive
Quartier de résidence : Northeast
Carrière, métier ou job : Sans emploi
Études (passées ou en cours) : Etudes basiques anglaises, pas d'études supérieures
Hobby : Tir à l'arme de poing
Orientation sexuelle : Pansexuel(le)
Situation sentimentale : En couple
Avec : Travis C. Gaultier
Étudiante ? Moi ? Oh non, absolument pas. Ce que je faisais dans un Spring Break rempli d'étudiants ? La fête, comme eux et autant dire que l'invitation de ma meilleure amie tombait à pic. En parlant d'elle, je ne savais pas réellement où elle se trouvait. C'était si grand et il y avait un tel monde que je ne m'y retrouvais pas. En plus de ça, l'alcool ma faisait tourner la tête alors cela n'arrangeait en rien les choses. Trouvant le temps long, j'avais décidé de sortir de la énième villa que je visitais pour aller près de la piscine. Un verre à la main, je le terminais avant de sauter dans la piscine sans me poser de questions. Je n'étais pas seule et elle avait une drôle de couleur, mais c'était terriblement amusant. La musique ne quittait plus mon cerveau et je souriais de plus belle en me laissant porter par le bruit apaisant de l'eau et ses légères vagues imposées par les autres occupants de la piscine. Je songeais à tout et rien. Ma mère qui m'avait interdit de partir, ma meilleure amie qui devait être avec un homme, l'homme qui partageait ma vie que j'avais déjà trompé je-ne-sais-combien de fois les jours passés et aujourd'hui. Oui, il était quelque chose comme trois heures de l'après-midi, mais je n'avais pas enfilé des perles ce matin. Autant remplir sa journée de la meilleure des façons : alcool, drogue et sexe. Je n'avais pas repérer la prochaine personne à qui j'allais m'accrocher, mais je savais qu'elle viendrait à moi tôt ou tard.
Apparemment, le destin m'avait entendu car je venais de sursauter en voyant une personne tomber à l'eau, avant d'en sortir. Autant dire que je ne me lassais pas de le détailler, même dans l'eau. Grand, brun, mince, les yeux azurs, j'étais à deux doigts de penser qu'il était mon idéal. Vous savez, l'homme que l'on a en fantasme, comme un prince charmant sortit tout droit d'un conte de fée. Lui aussi semblait intéressé et un fin sourire se glissait sur mes lèvres. Sauf que là, il me tournait le dos et partait. Wow, pardon ? Ah non, ce n'était pas comme ça que je voyais le truc. J'sais pas, même pas un baiser avant de s'excuser à cause de l'alcool ? Fronçant les sourcils, je le voyais sortir de la piscine avant d'aller plus loin s'asseoir. Depuis quand un garçon s'en allait alors que la fille en face de lui lui faisait de l’œil ? C'était le monde à l'envers. Forcément, mon premier réflexe fut de me demander s'il n'était pas gay. Ce serait tellement dommage, mais j'étais prête à prendre le risque d'aller lui faire du rentre dedans et de me faire rembarrer. S'il était hétéro, bi ou autres, je ne comprendrais pas trop. À moins que le chlore lui est grillé le cerveau, qui sait.
Sortant de la piscine, je prenais deux verres au passage avant de me diriger vers cet étranger qui m'avait tapé dans l'eau. Posant le verre à côté de sa chaise sur une petite table, je prenais place sur une chaise près de lui. « Tu sais, j'ai bien aimé ta technique d'approche, t'aurais pu aller jusqu'au bout » lançais-je sans honte. De toute façon, la moitié des étudiants était là pour profiter à fond de tout ce que le Spring Break offrait. Moi aussi, bien que loin d'être étudiante. Je n'aimais pas du tous les études et je me débrouillais suffisamment de mon côté pour être autonome et bientôt indépendante. « Qu'est-ce que fait un beau garçon tout seul dans un Spring Break rempli de jolies filles ? » tentais-je pour le délier un peu. J'avais envie de lui soutirer quelques informations, histoire de savoir où je mettais les pieds et surtout comment le faire craquer. Sirotant mon verre, je voyais qu'il ne touchait pas trop au sien. Déjà trop bu ? Ce serait fortement pratique, je dois avouer..
- Travis C. GaultierI'm a Mother Fucker
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Quelle drôle de sensation que procure cette boisson. On ne peut pas dire que j'étais moi-même. Habituellement je bois très peu, voir pas du tout, mais je me suis pris au jeu des étudiants et voilà le résultat. A présent trempé de la tête au pied, je faisais moins le malin et je serais capable d'attraper un coup de froid malgré les quarante degrés battant. Heureusement, dans mon malheur, l'alcool porte chaud, mais ce n'est pas pour autant que je continuerais sur ma lancée, d'où mon regard septique en voyant un verre se déposer sous mes yeux. Pas sûr de comprendre ce qui était en train de se passer, je fronçais les sourcils en relevant doucement la tête. Mon regard découvre au passage le visage de la demoiselle sur qui j'étais littéralement tombé nez à nez. Du tact, elle n'en avait pas apparemment. Ce n'était pour me déplaire. « Et si je n'en avais pas envie ? » demandais-je en ignorant le vers ultra sucré qui était posé sur la petite table entre nous.
Sa façon de parler me faisait doucement rire. Au final, c'est plutôt elle qui est en train de draguer que l'inverse. Une fille qui n'a pas peur de se mouiller apparemment. « C'est bien tenté » dis-je en riant légèrement. « ça t'arrive souvent d'aborder les gens se cette manière, à ta place je ferais plus dans l'originalité du style, 'je vois que t'es un garçon qu'a pas peur de se mouiller' ou y aller plus direct en mode 'je passerais bien le reste de l'aprem avec toi' » Parler, voilà ce que je pourrais faire de mon après-midi. Etre au soleil et profiter de la belle vie. « J'peux te donner des cours si tu veux » Je m'avançais légèrement vers la table en faisant malencontreusement -ou pas- tomber mon verre par terre. Ça c'est vraiment bête, mais se sont des choses qui arrivent (a)
Sa façon de parler me faisait doucement rire. Au final, c'est plutôt elle qui est en train de draguer que l'inverse. Une fille qui n'a pas peur de se mouiller apparemment. « C'est bien tenté » dis-je en riant légèrement. « ça t'arrive souvent d'aborder les gens se cette manière, à ta place je ferais plus dans l'originalité du style, 'je vois que t'es un garçon qu'a pas peur de se mouiller' ou y aller plus direct en mode 'je passerais bien le reste de l'aprem avec toi' » Parler, voilà ce que je pourrais faire de mon après-midi. Etre au soleil et profiter de la belle vie. « J'peux te donner des cours si tu veux » Je m'avançais légèrement vers la table en faisant malencontreusement -ou pas- tomber mon verre par terre. Ça c'est vraiment bête, mais se sont des choses qui arrivent (a)
- Sarah E. WhiteheadI'm a Mother Fucker
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Avec : Travis C. Gaultier
L'alcool coulait tellement à flot que si quelqu'un buvait de l'eau.. ce serait vraiment très étrange. Autant dire qu'aux yeux des autres, il paraisserait très ennuyeux. Ouais, être bourrer n'est pas une fin en soi dans la vie.. mais en même temps, c'est marrant. Aujourd'hui, apparemment grâce au « verre en trop », j'étais tombée sur un homme très séduisant et autant dire que même s'il partait, je ne comptais pas le lâcher. Son regard sur moi m'avait rendu curieuse et je ne dirais pas non à aller plus loin avec lui. Ne pas parler aux inconnus ? Je n'avais jamais suivi ce dicton et j'aurais peut-être du, vu tous les soucis que cela avait entraîné. Je n'étais pas ici pour y penser, mais pour oublier et cet homme assis sur un transat m'avait tapé dans l’œil. Dommage pour lui, j'aime avoir ce que je voulais. Allant vers lui avec deux verres, j'en posais un près de lui avant de lui adresser la parole. Il semblait surpris de ma présence. En même temps, je ne lui avais pas demandé de partir sans rien dire, hein. Son regard tombait dans le mien avant que je souris, amusée de sa remarque. Pas envie ? Mais bien sûr. Et la marmotte met le chocolat dans le papier alu', n'est-ce pas. « Tu me briserais le cœur » dis-je avec un léger rire. Concrètement, j'aurais pu répondre « bah si tu as pas envie, je vais en trouver un autre » mais le but était de le faire craquer, mais de le faire fuir. Bizarrement, il ne semblait pas vouloir boire alors que je sirotais mon énième verre tranquillement.
Apparemment, je l'amusais et il ne semblait pas vouloir que je parte. C'était déjà un bon point pour moi. Ses réponses me surprenaient. Aurais-je trouver quelqu'un qui tente de me résister ? C'est mignon. Du moment qu'il ne me fait pas faux-bond.. Ce serait dommage d'être obligée d'abuser de lui sans son consentement (a) « Je veux bien passer l'après-midi avec toi, proposé si gentiment fis-je avec un regard et un sourire espiègle. Me mordillant la lèvre inférieure, j'aimais le voir se rapprocher de la table, mais voilà qu'il met son verre par terre. Bon, tant pis pour lui. « Des cours de plongée ou.. d'autre chose ? le taquinais-je en buvant mon verre. Je ne pouvais pas nier que je zieutais ses lèvres. J'avais énormément envie de l'embrasser et je me freinais pour qu'il le fasse en premier. « C'est triste pour ton verre murmurais-je en me rapprochant légèrement de lui, portant mon verre près de ses lèvres. « Tu as de la chance, je suis du genre à partager Autant dire que je voulais mettre toutes les chances de mon côté.
Apparemment, je l'amusais et il ne semblait pas vouloir que je parte. C'était déjà un bon point pour moi. Ses réponses me surprenaient. Aurais-je trouver quelqu'un qui tente de me résister ? C'est mignon. Du moment qu'il ne me fait pas faux-bond.. Ce serait dommage d'être obligée d'abuser de lui sans son consentement (a) « Je veux bien passer l'après-midi avec toi, proposé si gentiment fis-je avec un regard et un sourire espiègle. Me mordillant la lèvre inférieure, j'aimais le voir se rapprocher de la table, mais voilà qu'il met son verre par terre. Bon, tant pis pour lui. « Des cours de plongée ou.. d'autre chose ? le taquinais-je en buvant mon verre. Je ne pouvais pas nier que je zieutais ses lèvres. J'avais énormément envie de l'embrasser et je me freinais pour qu'il le fasse en premier. « C'est triste pour ton verre murmurais-je en me rapprochant légèrement de lui, portant mon verre près de ses lèvres. « Tu as de la chance, je suis du genre à partager Autant dire que je voulais mettre toutes les chances de mon côté.
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Je n'avais pas l'habitude de jouer à ce genre de jeu, préférant rester plutôt à l'écart et dans ma bulle, mais je dois dire que sa personnalité me plaisait et je prenais plaisir à lui répondre en toute originalité. Jamais je n'aurais pensé qu'en arrivant au bord de cette piscine, je finirais par passer l'après-midi avec une demoiselle. En toute innocence, bien entendu. Mais bon, c'est bien beau de passer un après-midi avec une personne que tu connais ni d'Adam, ni d'Eve, mais faut-il encore que vous ayez des sujets de conversation ou encore des choses à faire, car autant dire que si c'est pour passer le reste de la journée à se regarder dans le blanc des yeux, cela n'en vaut même pas la peine.
"J'adore plonger dans l'inconnu" souriais-je, content à la fois de ma phrase, mais aussi de m'être débarrassé de ce verre de calories, mais aussi de no control. Je sous-estimais la personne que j'ai en face de moi, elle a plus d'un tour dans son sac. "Proposez si gentiment" Petite référence à la phrase qu'elle m'avait dite plus haut. On se renvoit un peu la balle, en quelque sorte. Prenant son verre, je bus quelques gorgées -de trop- avant de le lui redonner. J'avais l'impression que l'effet se faisait presque immédiatement. Sans doute du fait que je sois a jeun. Jje secouais la tête pour essayer de me raisonner, s'entend que je commençais plus trop à contrôler ce que je pensais. Cette sensation, je l'aime autant que je l'a déteste. Je l'aime, car le temps de quelques heures, je profite, je ne penses à rien, je vis sur une autre planète, mais je l'a déteste, car je contrôle absolument rien du tout.
"Je t'ai dit que je tiens absolument pas l'alcool ?" Disais-je en rigolant. Heureusement pour elle, j'ai l'alcool joyeux, sinon elle l'aurait vite regretté. "Et maintenant ?" Son but était-il se me forcer à boire jusqu'à ce que je ne tienne plus ? Sans doute, sans quoi, elle n'aurait jamais autant insister, mais maintenant que c'était fait, autant en profiter. "Alors, on se l'a fait cette "plongé" ?" j'accentuais bien afin qu'on ressente les guillemets dans ma phrase, tandis que je me levais un peu en titubant, de mon siège.
Je n'ai aucune idée du nombre de mètre carrés que contient cette baraque, mais c'était au-delà de mon imagination. Il y avait de quoi s'y perdre, mais j'ai un très bon sens de l'orientation. Je descendais donc au sous-sol, dans l'immense pièce ou se trouvait une gigantesque piscine. Par chance, les gens préféraient rester dehors à profiter du soleil -et ils ont bien raison- Qui à dit que plongé voulait forcément dire en mer ? "Je suis un très bon maître nageur si jamais" disais-je avec un petit sourire au coin, alors que je m'approchais d'elle, à quelques millimètres de son visage. "Tu sais, pour le bouche à bouche" Oui, je compte bien l'a faire ramer pour que mes lèvres daignent enfin toucher les siennes. Plus c'est long, plus c'est bon. Du moins, c'est ce qu'on dit.
J'enlevais mes fringues de toute façon, déjà mouillé, pour venir plonger dans l'eau. Je n'avais plus la même gueule une fois les cheveux mouillés, mais vous direz, ils étaient eux aussi, déjà trempé de toute à l'heure, alors un peu plus, un peu moins. On n'y voit pas grande différence.
"J'adore plonger dans l'inconnu" souriais-je, content à la fois de ma phrase, mais aussi de m'être débarrassé de ce verre de calories, mais aussi de no control. Je sous-estimais la personne que j'ai en face de moi, elle a plus d'un tour dans son sac. "Proposez si gentiment" Petite référence à la phrase qu'elle m'avait dite plus haut. On se renvoit un peu la balle, en quelque sorte. Prenant son verre, je bus quelques gorgées -de trop- avant de le lui redonner. J'avais l'impression que l'effet se faisait presque immédiatement. Sans doute du fait que je sois a jeun. Jje secouais la tête pour essayer de me raisonner, s'entend que je commençais plus trop à contrôler ce que je pensais. Cette sensation, je l'aime autant que je l'a déteste. Je l'aime, car le temps de quelques heures, je profite, je ne penses à rien, je vis sur une autre planète, mais je l'a déteste, car je contrôle absolument rien du tout.
"Je t'ai dit que je tiens absolument pas l'alcool ?" Disais-je en rigolant. Heureusement pour elle, j'ai l'alcool joyeux, sinon elle l'aurait vite regretté. "Et maintenant ?" Son but était-il se me forcer à boire jusqu'à ce que je ne tienne plus ? Sans doute, sans quoi, elle n'aurait jamais autant insister, mais maintenant que c'était fait, autant en profiter. "Alors, on se l'a fait cette "plongé" ?" j'accentuais bien afin qu'on ressente les guillemets dans ma phrase, tandis que je me levais un peu en titubant, de mon siège.
Je n'ai aucune idée du nombre de mètre carrés que contient cette baraque, mais c'était au-delà de mon imagination. Il y avait de quoi s'y perdre, mais j'ai un très bon sens de l'orientation. Je descendais donc au sous-sol, dans l'immense pièce ou se trouvait une gigantesque piscine. Par chance, les gens préféraient rester dehors à profiter du soleil -et ils ont bien raison- Qui à dit que plongé voulait forcément dire en mer ? "Je suis un très bon maître nageur si jamais" disais-je avec un petit sourire au coin, alors que je m'approchais d'elle, à quelques millimètres de son visage. "Tu sais, pour le bouche à bouche" Oui, je compte bien l'a faire ramer pour que mes lèvres daignent enfin toucher les siennes. Plus c'est long, plus c'est bon. Du moins, c'est ce qu'on dit.
J'enlevais mes fringues de toute façon, déjà mouillé, pour venir plonger dans l'eau. Je n'avais plus la même gueule une fois les cheveux mouillés, mais vous direz, ils étaient eux aussi, déjà trempé de toute à l'heure, alors un peu plus, un peu moins. On n'y voit pas grande différence.
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Avec : Travis C. Gaultier
Ce petit jeu entre nous me plaisait terriblement. Je n’avais pas froid aux yeux alors faire du charme à un inconnu me paraissait être une activité des plus intéressantes. De toute manière, j’étais toute seule vu que je ne savais pas où se trouvaient mes amis et je n’allais pas passer mon après-midi à tenter de les retrouver ou à rester près de la piscine en attendant un miracle. Je suis plutôt une femme d’action et mon interlocuteur – dont je ne connaissais toujours pas le nom, et inversement – semblait attentif à ma prise de position face à la suite des évènements. « Plonger dans l’inconnu » Cette phrase eut le don de me rendre un peu fébrile, intriguée par où il souhaitait en venir et je ne fus pas déçue qu’il accepte lui aussi de partager la suite de la journée ensemble. Qu’il vole mon verre après avoir gâcher le sien me questionnait mais je le laissais faire. Ces quelques gorgées semblaient le rendre un peu ailleurs, alors que je reprenais mon gobelet, terminant de le voir d’une traite sans ciller. Ça faisait un peu alcoolique dit ainsi, mais en même temps.. ça ne changeait rien. Un peu plus ou un peu moins, j’étais imbibée comme le reste des gens autour de nous et ça, durant quelques jours encore. « Je note cette information.. bien que je pense que ce soit trop tard » pouffais-je doucement en me débarrassant de mon verre vide. Mon but n’était pas de le saouler au point qu’il ne tienne plus depuis pour abuser de son corps. Je préférais qu’il s’en rappelle genre très longtemps et qu’il donne le meilleur de lui-même.
Sa proposition me fit sourire alors que je me relevais l’air de rien. « Je ne suis pas du genre à suivre les inconnus mais.. » riais-je doucement de mes propres paroles. Ok, c’était clairement faux car j’étais complètement du genre à suivre des personnes que je ne connaissais pas – principalement des garçons, mais pas uniquement. Le suivant, je me retrouvais au sous-sol – oh, intéressant – avant de découvrir une immense piscine. Me tournant vers lui, je souriais à ses paroles, me mordant la lèvre en le voyant se rapprocher de moi. Il m’avait fait la remarque que mon approche n’avait pas été très discrète.. mais la sienne ne l’était pas du tout. Si ça ne déplaisait ? Absolument pas, car il pourrait m’embrasser immédiatement s’il le souhaitait. Apparemment, il ne semblait pas de cette avis pour le moment. « Me voilà rassurer d’être en présence d’un expert de la survie » soufflais-je, ses lèvres proches des miennes. Retirer mes vêtements aussi, je gardais évidemment mon maillot de bain pour le moment. Autant faire soft, bien que je n’étais pas certaine qu’il remarque la différence. Plongeant dans l’eau, j’étais contente de pouvoir me balader dans le bassin sans personne. Sauf lui.
Approchant de lui, je venais tranquillement à sa hauteur, admirant son corps immergé mais pas caché par l’eau chloré de la piscine. « Si tout à coup, je coule.. Tu me sauverais ? » Ce n’était pas vraiment une question, plutôt un challenge. Je n’étais pas très épaisse, lui apparemment non plus, mais est-ce qu’il me laisserait couler ou me sauverait-il ? Un peu à la Harley Quinn dans Suicide Squad face au Jocker. J’aimerais être sa Harley, mais le souhaitait-il réellement ? N’attendant pas réellement de questions, je lui offrais un sourire amusé avant de sombrer sans aucune crainte dans l’eau. Me laisser mourir était une option aussi partagé que celle de continuer à vivre. Qu’avais-je à perdre en ne remontant jamais à la surface ? Peu de choses. Une famille invisible, des amis superficiels et beaucoup d’emmerdes en moins. Alors.. ?
Sa proposition me fit sourire alors que je me relevais l’air de rien. « Je ne suis pas du genre à suivre les inconnus mais.. » riais-je doucement de mes propres paroles. Ok, c’était clairement faux car j’étais complètement du genre à suivre des personnes que je ne connaissais pas – principalement des garçons, mais pas uniquement. Le suivant, je me retrouvais au sous-sol – oh, intéressant – avant de découvrir une immense piscine. Me tournant vers lui, je souriais à ses paroles, me mordant la lèvre en le voyant se rapprocher de moi. Il m’avait fait la remarque que mon approche n’avait pas été très discrète.. mais la sienne ne l’était pas du tout. Si ça ne déplaisait ? Absolument pas, car il pourrait m’embrasser immédiatement s’il le souhaitait. Apparemment, il ne semblait pas de cette avis pour le moment. « Me voilà rassurer d’être en présence d’un expert de la survie » soufflais-je, ses lèvres proches des miennes. Retirer mes vêtements aussi, je gardais évidemment mon maillot de bain pour le moment. Autant faire soft, bien que je n’étais pas certaine qu’il remarque la différence. Plongeant dans l’eau, j’étais contente de pouvoir me balader dans le bassin sans personne. Sauf lui.
Approchant de lui, je venais tranquillement à sa hauteur, admirant son corps immergé mais pas caché par l’eau chloré de la piscine. « Si tout à coup, je coule.. Tu me sauverais ? » Ce n’était pas vraiment une question, plutôt un challenge. Je n’étais pas très épaisse, lui apparemment non plus, mais est-ce qu’il me laisserait couler ou me sauverait-il ? Un peu à la Harley Quinn dans Suicide Squad face au Jocker. J’aimerais être sa Harley, mais le souhaitait-il réellement ? N’attendant pas réellement de questions, je lui offrais un sourire amusé avant de sombrer sans aucune crainte dans l’eau. Me laisser mourir était une option aussi partagé que celle de continuer à vivre. Qu’avais-je à perdre en ne remontant jamais à la surface ? Peu de choses. Une famille invisible, des amis superficiels et beaucoup d’emmerdes en moins. Alors.. ?
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N'importe qui au monde nous dirait qu'il faut pas aller nager lorsqu'on est complètement bourré, mais les jeunes sont plutôt du genre à faire tout le contraire de ce qu'on leur dit, alors c'est les deux pieds dans l'eau que les choses sérieuses peuvent enfin commencer. Pour la seconde fois en une heure, nous nous trouvions face à face dans l'eau et pourtant, il y a seulement deux heures, nous ne nous connaissions à peine. D'ailleurs, je ne connais toujours pas son prénom. Est-ce que cette situation me gêne ? Oui et non, car j'avais un brin de curiosité qui sommeillait en moi à vouloir poser un nom sur son visage.
Je connais très bien la survie, mais de là à sauver quelqu'un de la mort, n'exagérons rien. Je n'ai aucun diplôme, faut être complètement fou et insensé pour confier sa vie aux bras d'un parfait inconnu. Elle coule. Ok, cette nana est juste complètement dingue et le pire dans tout ça, ça m'amusait ! Heureusement, je n'avais pas choisit l'océan et la piscine n'est pas très profonde, car sinon, je ne sais pas si j'y serais arrivé. Non pas qu'elle soit lourde, bien au contraire d'ailleurs, elle était synonyme de minceur et légèreté, mais je n'ai pas spécialement de force en soit. Néanmoins, sans réfléchir, je plongeais dans l'eau. On est expert de la survie ou on ne l'est pas. Ni une, ni deux, je l'a remontait à la surface et dans un élan -ça allait surtout très bien avec la situation- je posais mes lèvres contre les siennes, faisant passer ses jambes autour de ma taille, alors que son dos venait se caler contre l'un des rebords de la piscine. "Tu es en sécurité" Comme quoi, on peut même faire confiance à des inconnus. Mes lèvres s'étaient détachées des siennes pour pouvoir parler, alors que mes yeux bleus/gris se posèrent sur elle en toute légèreté.
Je connais très bien la survie, mais de là à sauver quelqu'un de la mort, n'exagérons rien. Je n'ai aucun diplôme, faut être complètement fou et insensé pour confier sa vie aux bras d'un parfait inconnu. Elle coule. Ok, cette nana est juste complètement dingue et le pire dans tout ça, ça m'amusait ! Heureusement, je n'avais pas choisit l'océan et la piscine n'est pas très profonde, car sinon, je ne sais pas si j'y serais arrivé. Non pas qu'elle soit lourde, bien au contraire d'ailleurs, elle était synonyme de minceur et légèreté, mais je n'ai pas spécialement de force en soit. Néanmoins, sans réfléchir, je plongeais dans l'eau. On est expert de la survie ou on ne l'est pas. Ni une, ni deux, je l'a remontait à la surface et dans un élan -ça allait surtout très bien avec la situation- je posais mes lèvres contre les siennes, faisant passer ses jambes autour de ma taille, alors que son dos venait se caler contre l'un des rebords de la piscine. "Tu es en sécurité" Comme quoi, on peut même faire confiance à des inconnus. Mes lèvres s'étaient détachées des siennes pour pouvoir parler, alors que mes yeux bleus/gris se posèrent sur elle en toute légèreté.
- Sarah E. WhiteheadI'm a Mother Fucker
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Date d'inscription : 11/03/2018
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Crédits : © bbchat
Âge du personnage : 25 ans
Nationalité(s) : Anglaise
Signe astrologique : Cancer
Mon personnage, en 5 mots : Réfléchie - Honnête - Extravertie - Sensible - Impulsive
Quartier de résidence : Northeast
Carrière, métier ou job : Sans emploi
Études (passées ou en cours) : Etudes basiques anglaises, pas d'études supérieures
Hobby : Tir à l'arme de poing
Orientation sexuelle : Pansexuel(le)
Situation sentimentale : En couple
Avec : Travis C. Gaultier
“La bêtise a deux manières d'être : elle se tait ou elle parle. La bêtise muette est supportable.” Dommage pour les gens, la plupart du temps, je ne sais pas réellement me taire. Pas du tout, même. Suis-je bête pour autant ? Non, mais ma façon de faire peut parfois être mal interprété. Comme le fait de me noyer de mon propre gré dans une piscine. Ça peut paraître stupide, mais c’est à la fois calculé – sans être manipulé, car s’il ne m’aide pas, je me noie vraiment – et cela a un sens. Après tout, qu’est-ce que la vie ? Une succession d’évènements avant d’arriver à la mort. Un constat assez tranché et binaire, mais totalement réel. Je m’étais immergée sans une once d’appréhension ou de regrets. Je ne vais sûrement pas raconter que je suis une fille avec une vie compliqué et que la mort ne m’est pas importante, loin de là. C’était la fin de toute forme de vie, quelle qu’elle soit. On la choisit, on la subie ou on l’accueille. Je préfère la choisir et l’accueillir plutôt que de la subir. Les yeux fermés, mon corps se relâchait pleinement. N’étant pas plongeur professionnelle, je savais que ma capacité à rester sous l’eau sans respirer était très mince, voire infime car je me sentais me vider de mon oxygène avec une impressionnante rapidité.
Mon bel inconnu semblait réagir en me ramenant à la surface. Forcément, c’est agréable de savoir qu’une personne totalement étrangère à ma vie était prêt à me sauver de la noyade. Au moins il n’avait pas menti, il était prêt à m’aider. Je reprenais rapidement une bouffée d’air frais avant de sentir un contact chaud contre mes lèvres. Je faisais le lien entre cet échange et un baiser en une fraction de secondes. Mes jambes venaient naturellement s’enrouler autour de sa taille alors que je sentais derrière moi le bord de la piscine, m’emprisonnant moi-même dans cette situation. C’était tellement calme entre nous, dans cette piscine intérieure que j’en oubliais presque l’endroit où nous étions et le fait que j’avais perdu mes amis dans la foule. « Tu as dit la vérité » soufflais-je, reconnaissante de son honnêteté. Ses yeux me rendaient un peu.. perturbée. Comme s’il pouvait lire en moi, chose que je détestais complètement. Je n’avais pas envie que qui que ce soit puisse m’analyser, savoir ce que je pense et j’en passe.
Comme il m’avait offert un premier baiser bien trop court à mon goût, je revenais poser nos lèvres les unes contre les autres pour profiter d’un autre moment. Si j’étais entrain de tomber amoureuse ? Non, pas du tout. Cependant, je n’allais pas non plus dire que c’était juste une baise et basta. Probablement que nous allions simplement coucher ensemble, sans suite, mais il ne semblait pas ressembler à un malpropre qui tire son coup et se barre en t’insultant ou quoique ce soit. Mes mains glissaient dans ses cheveux durant ce nouvel échange, profitant de ce silence pour apprécier cet instant des plus.. anormal pour moi. Disons que je n’avais pas l’habitude d’échanger de longs baisers avec un homme, dans une piscine. Si je pouvais continuer et même le refaire à l’avenir, je ne dirais pas non et si nos chemins venaient à se recroiser.. Pourquoi pas ?
Mon bel inconnu semblait réagir en me ramenant à la surface. Forcément, c’est agréable de savoir qu’une personne totalement étrangère à ma vie était prêt à me sauver de la noyade. Au moins il n’avait pas menti, il était prêt à m’aider. Je reprenais rapidement une bouffée d’air frais avant de sentir un contact chaud contre mes lèvres. Je faisais le lien entre cet échange et un baiser en une fraction de secondes. Mes jambes venaient naturellement s’enrouler autour de sa taille alors que je sentais derrière moi le bord de la piscine, m’emprisonnant moi-même dans cette situation. C’était tellement calme entre nous, dans cette piscine intérieure que j’en oubliais presque l’endroit où nous étions et le fait que j’avais perdu mes amis dans la foule. « Tu as dit la vérité » soufflais-je, reconnaissante de son honnêteté. Ses yeux me rendaient un peu.. perturbée. Comme s’il pouvait lire en moi, chose que je détestais complètement. Je n’avais pas envie que qui que ce soit puisse m’analyser, savoir ce que je pense et j’en passe.
Comme il m’avait offert un premier baiser bien trop court à mon goût, je revenais poser nos lèvres les unes contre les autres pour profiter d’un autre moment. Si j’étais entrain de tomber amoureuse ? Non, pas du tout. Cependant, je n’allais pas non plus dire que c’était juste une baise et basta. Probablement que nous allions simplement coucher ensemble, sans suite, mais il ne semblait pas ressembler à un malpropre qui tire son coup et se barre en t’insultant ou quoique ce soit. Mes mains glissaient dans ses cheveux durant ce nouvel échange, profitant de ce silence pour apprécier cet instant des plus.. anormal pour moi. Disons que je n’avais pas l’habitude d’échanger de longs baisers avec un homme, dans une piscine. Si je pouvais continuer et même le refaire à l’avenir, je ne dirais pas non et si nos chemins venaient à se recroiser.. Pourquoi pas ?
- Travis C. GaultierI'm a Mother Fucker
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C'est bon, on pouvait me donner mon brevet de secouriste. Dès lors que tu arrives à sauver une personne en étant complètement bourré et donc en mettant ta propre vie en danger, on peut te faire confiance. Bon, après je ne suis pas sûr qu'en pleine mer le rendu aurait été le même. Je ne préfère même pas imaginer la une des magasines si cela avait été le cas; "deux jeunes complètements inconscient se croient à Malibu et se noient" On finira presque célèbre, mais bon paye la réputation. Je préfère avoir une mort héroïque pour que les gens se disent "lui au moins, c'est un vrai !" Enfin bref, ce n'est pas demain que nous serions à la une et entre nous, je n'en avais pas spécialement envie, à ce moment précis, j'avais d'autre priorité.
- Sarah E. WhiteheadI'm a Mother Fucker
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