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YESTERDAY'S NEWS |48
- Leaven S. CampbellKingdom Come
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Dollars : 2536
Messages : 288
Date d'inscription : 09/03/2018
Avatar : Bar Refaeli.
Crédits : monroe (ava) • TUMBLR (img sign) • ROGERS. (code sign)
Autres comptes : Adélaïde Sullivan & Gwyneth Barclay.
Âge du personnage : Trente-et-un ans. (05/07)
Nationalité(s) : Américaine.
Signe astrologique : Cancer
Mon personnage, en 5 mots : Naturelle • Débrouillarde • Aveugle • Drôle • Engagée • Maman.
Quartier de résidence : Northeast
Carrière, métier ou job : Animatrice Radio sous le pseudonyme de Swaden.
Études (passées ou en cours) : Etudes de communication puis de presse.
Hobby : Association en faveur des animaux.
Orientation sexuelle : Pansexuel(le)
Situation sentimentale : En couple
Avec : Clarence Burns depuis le 1er janvier 2014.
Where have you been?
Cash & Leaven
Leaven aimait cet endroit pour plusieurs raisons. La première était évidente: c'était rempli d'animaux. Autant dire qu'elle était comme un poisson dans l'eau ici. La particularité de cette animalerie qui lui plaisait le plus était que les animaux en vente dans cet endroit n'étaient autres que des miraculés, des sauvés de la rue ou de propriétaires en incapacité de s'en occuper. Toutes les ventes qui se faisaient ici étaient entièrement dédiées au bien-être animal, à les soigner et les rendre adoptables pour des familles. C'est ce qui poussait toujours la blonde à venir dans cet endroit, guidée par sa chienne Lady Sif. Elle savait que les dollars qu'elle mettait dans les croquettes de sa chienne ou dans ses jouets étaient bien utilisés et ne revenaient pas à une multinationale qui ne souciait que de l'argent et non du reste. Le sourire plaqué sur les lèvres, Leaven passait les portes de l'animalerie, comme à son habitude, et saluait les employés habitués à la voir d'un bonjour franc et enjoué. Lady Sif n'avait aucun mal à guider sa maîtresse au rayon des jouets - elle s'en faisait même un plaisir à vrai dire. A force de tâtonnements, elle finissait par identifier un jouet simple, une corde nouée à ses deux extrémités. « Celui-là, vous allez pouvoir jouer à deux et pas le détruire tout de suite. » Suite à quoi la chienne jappait doucement, ce qui faisait sourire Leaven. Lady Sif et son compagnon de jeu, Thor, le golden retriever de son petit-ami, avaient cette tendance à détruire aisément les jouets en plastique à coup de dents. Cette fois, l'aveugle souhaitait que ce jouet dure plus longtemps qu'à l'accoutumée.
Elle était sur le point de se diriger vers le rayonnage des aliments quand elle percevait une voix qui lui était familière et la faisait stopper dans sa démarche. Elle reconnaissait le timbre d'un vendeur dans un premier temps mais le second timbre, elle avait un peu de mal à l'identifier tout en étant persuadée de l'avoir entendu. Quelques longues secondes, probablement même une bonne minute, c'est le temps qu'il lui fallait pour se rendre compte qu'il s'agissait de Cash. Courte mais intense relation, le premier après sa relation catastrophique avec Adam. Autant dire qu'elle restait un moment figée sur place, à se persuader que c'était bien lui, à attendre d'être sûre qu'elle ne se trompait pas parce que ça n'avait rien de logique. Il avait déménagé il y a sept ans de cela, pas vrai? Alors qu'est-ce qu'il faisait dans une petite animalerie de Los Angeles? Longeant les rayons, elle se rapprochait sans difficulté des deux hommes, jusqu'à s'arrêter à distance raisonnable pour être remarquée par le vendeur. « Je peux vous aider? » lui lançait naturellement l'employé. « Pas cette fois, merci, ça ira. Par contre, lui peut m'aider. » Les yeux bleus anormalement clairs de Leaven semblaient fixer Cash, sans pour autant le regarder dans les yeux alors que son sourire ne quittait pas son visage. Il était aisé pour elle de diriger son visage vers les personnes dès lors qu'il parlait. C'était le cas de Cash, jusqu'à ce qu'il voit sa trogne visiblement. Le vendeur, lui, s'éclipsait naturellement. « Bah alors? C'est moi qui devrait être choquée de te voir là, pas l'inverse. Comment tu vas depuis le temps? De retour à L.A. finalement? » Aucune animosité parce qu'elle n'avait aucune raison d'en avoir... pour le moment en tout cas.
Elle était sur le point de se diriger vers le rayonnage des aliments quand elle percevait une voix qui lui était familière et la faisait stopper dans sa démarche. Elle reconnaissait le timbre d'un vendeur dans un premier temps mais le second timbre, elle avait un peu de mal à l'identifier tout en étant persuadée de l'avoir entendu. Quelques longues secondes, probablement même une bonne minute, c'est le temps qu'il lui fallait pour se rendre compte qu'il s'agissait de Cash. Courte mais intense relation, le premier après sa relation catastrophique avec Adam. Autant dire qu'elle restait un moment figée sur place, à se persuader que c'était bien lui, à attendre d'être sûre qu'elle ne se trompait pas parce que ça n'avait rien de logique. Il avait déménagé il y a sept ans de cela, pas vrai? Alors qu'est-ce qu'il faisait dans une petite animalerie de Los Angeles? Longeant les rayons, elle se rapprochait sans difficulté des deux hommes, jusqu'à s'arrêter à distance raisonnable pour être remarquée par le vendeur. « Je peux vous aider? » lui lançait naturellement l'employé. « Pas cette fois, merci, ça ira. Par contre, lui peut m'aider. » Les yeux bleus anormalement clairs de Leaven semblaient fixer Cash, sans pour autant le regarder dans les yeux alors que son sourire ne quittait pas son visage. Il était aisé pour elle de diriger son visage vers les personnes dès lors qu'il parlait. C'était le cas de Cash, jusqu'à ce qu'il voit sa trogne visiblement. Le vendeur, lui, s'éclipsait naturellement. « Bah alors? C'est moi qui devrait être choquée de te voir là, pas l'inverse. Comment tu vas depuis le temps? De retour à L.A. finalement? » Aucune animosité parce qu'elle n'avait aucune raison d'en avoir... pour le moment en tout cas.
- Cash Eelis HayesI'm a Mother Fucker
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Avatar : Travis Fimmel
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Âge du personnage : 32 ans
Nationalité(s) : Américaine - Finlandaise
Signe astrologique : Balance
Mon personnage, en 5 mots : voleur - manipulateur - calculateur - patient - sincère
Quartier de résidence : En dehors de Los Angeles
Carrière, métier ou job : braqueur / barman
Hobby : le jardinnage, la lecture, le VTT
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : Célibataire (par dépit)
Where have you been?
Cash & Leaven
J'avais décidé il y a quelques mois d'adopter un chien. J'avais mit un moment pour franchir le pas, mais j'en rêvais depuis des années. Un compagnon pour m'accompagner durant mes balades, mes sorties VTT, une boule de poil qui traînerait dans mes pattes pendant que j'étais occupé au jardin. J'en avais parlé avec la famille d’abord, parce qu'imposer un chien quand on vit à plusieurs, ça se fait pas, et l'idée avait été plutôt bien reçu. C'était le mien évidement, mais mes frères et sœurs ne manquaient pas de le couvrir de caresses. J'avais même surpris ma mère lui donner des restes du repas, discrètement, et lui confier des mots doux. Cet animal à quatre patte amenait un peu de douceur dans cet univers de brutes. C'est ici que j'avais trouvé mon bonheur il y a quelques mois. J'aimais le principe de cette animalerie, si on pouvait vraiment l'appeler ainsi. Ici tous les animaux vendu vivaient leur deuxième chances, des mal aimés, des rejetés. Il était hors de question pour moi de cautionner tout autre commerce animalier, qui n'accordait pas autant de respect à l'espèce canine. Frey n'était à l'époque qu'un grand dégingandé qui ne ressemblait à rien, avec ses pattes trop longues, ses oreilles à moitié tombante, et son regard de surexcité. J'avais tout de suite craqué pour ce chiot, un petit bâtard. Se serait un chien de grande taille, élancé, un futur sportif, plein d'affection et de malice, tout ce qui me fallait. Il vivait avec nous depuis un moment maintenant, il avait prit ses marques et grandissait à vu d’œil, il approchait de ses six mois
C'était donc pour lui acheter un paquet de croquette et probablement un petit jouet pour lui faire plaisir, que je m'étais garé devant la boutique dont j'étais devenu un habitué. Je connaissais le commerce de long en large. Cependant je n'arrivais pas à trouver ce que je cherchais. Je fis le rayon d'alimentation de long en large et fini par demander à l'un des vendeurs ou se trouvait le produit. Il m'expliqua que nous étions en rupture de stock. Je le remerciais tout de même. M’apprêtant à lui demander ce que je pourrais prendre de semblable, je le vis s'adresser à quelqu'un d'autre, une jeune femme, qui refusa son aide mais demanda la mienne... si on peut dire. Je n'eu besoin qu'un dixième de secondes pour la reconnaître, mais je restais là, comme un con, incapable de dire quoi que se soit. Leaven. Ce prénom me revint en mémoire avec tous les souvenirs qui allait avec... Et quels souvenirs. Mon cœur se serra brusquement, alors que je me remémorais notre dernière conversation, qui datait d'il y a plusieurs années maintenant. À L 'époque, je m'étais fait serré pour un cambriolage, et j'étais allé faire un séjour de quelques années derrière les barreaux. Je m'étais trouvé dans l'incapacité d'expliquer à la jeune femme ce qui se passait, secret professionnel si l'on peut dire. J'avais donc prétexté un déménagement bidon, lui expliquant que je devais quitter Los Angeles pour aller vivre chez un membre de ma famille en difficulté.
Leaven avait tout gobé, bien évidement, face à ce genre d'excuses, qui aurait pu m'en vouloir. C'est qu'on s'aimait aussi à l'époque, et dans une relation d'amour s'instaure une confiance particulière... En pensant à tout cela, j'étais empli d'un profond malaise. Elle s'adressa à moi d'un ton si naturel que je fus brusquement prit de regrets, mais surtout d'une honte démesurée, qu'allais-je bien pouvoir répondre. Je me raclais la gorge essayant d'oublier que ma bouche était brusquement devenue sèche et que ma langue semblait y prendre toute la place. - Ouais je.... Je m'attendais pas du tout à te voir ici. J'esquisse finalement un mince sourire, me passant une main dans les cheveux, je poursuis. - Je suis revenu l'année dernière. Encore un mensonge, mais pouvais-je lui avouer que je n'avais finalement jamais quitté L.A et que j'avais simplement fait un séjour de quelques années en cellule... - ça va... j'ai repris mon boulot dans le bar familial. Ça se passe pas mal. J'étais incapable de la regarder dans les yeux. Je savais qu'elle ne pouvait me voir, lire la trahison dans mon regard, mais c'était tout comme. J'aurai aimé disparaître. Je me dis alors que pour noyer le poisson il valait peut-être mieux parler d'autre chose que moi. -Et toi ? Qu'est-ce que tu deviens ? Tu as l'air en forme...
C'était donc pour lui acheter un paquet de croquette et probablement un petit jouet pour lui faire plaisir, que je m'étais garé devant la boutique dont j'étais devenu un habitué. Je connaissais le commerce de long en large. Cependant je n'arrivais pas à trouver ce que je cherchais. Je fis le rayon d'alimentation de long en large et fini par demander à l'un des vendeurs ou se trouvait le produit. Il m'expliqua que nous étions en rupture de stock. Je le remerciais tout de même. M’apprêtant à lui demander ce que je pourrais prendre de semblable, je le vis s'adresser à quelqu'un d'autre, une jeune femme, qui refusa son aide mais demanda la mienne... si on peut dire. Je n'eu besoin qu'un dixième de secondes pour la reconnaître, mais je restais là, comme un con, incapable de dire quoi que se soit. Leaven. Ce prénom me revint en mémoire avec tous les souvenirs qui allait avec... Et quels souvenirs. Mon cœur se serra brusquement, alors que je me remémorais notre dernière conversation, qui datait d'il y a plusieurs années maintenant. À L 'époque, je m'étais fait serré pour un cambriolage, et j'étais allé faire un séjour de quelques années derrière les barreaux. Je m'étais trouvé dans l'incapacité d'expliquer à la jeune femme ce qui se passait, secret professionnel si l'on peut dire. J'avais donc prétexté un déménagement bidon, lui expliquant que je devais quitter Los Angeles pour aller vivre chez un membre de ma famille en difficulté.
Leaven avait tout gobé, bien évidement, face à ce genre d'excuses, qui aurait pu m'en vouloir. C'est qu'on s'aimait aussi à l'époque, et dans une relation d'amour s'instaure une confiance particulière... En pensant à tout cela, j'étais empli d'un profond malaise. Elle s'adressa à moi d'un ton si naturel que je fus brusquement prit de regrets, mais surtout d'une honte démesurée, qu'allais-je bien pouvoir répondre. Je me raclais la gorge essayant d'oublier que ma bouche était brusquement devenue sèche et que ma langue semblait y prendre toute la place. - Ouais je.... Je m'attendais pas du tout à te voir ici. J'esquisse finalement un mince sourire, me passant une main dans les cheveux, je poursuis. - Je suis revenu l'année dernière. Encore un mensonge, mais pouvais-je lui avouer que je n'avais finalement jamais quitté L.A et que j'avais simplement fait un séjour de quelques années en cellule... - ça va... j'ai repris mon boulot dans le bar familial. Ça se passe pas mal. J'étais incapable de la regarder dans les yeux. Je savais qu'elle ne pouvait me voir, lire la trahison dans mon regard, mais c'était tout comme. J'aurai aimé disparaître. Je me dis alors que pour noyer le poisson il valait peut-être mieux parler d'autre chose que moi. -Et toi ? Qu'est-ce que tu deviens ? Tu as l'air en forme...
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Âge du personnage : Trente-et-un ans. (05/07)
Nationalité(s) : Américaine.
Signe astrologique : Cancer
Mon personnage, en 5 mots : Naturelle • Débrouillarde • Aveugle • Drôle • Engagée • Maman.
Quartier de résidence : Northeast
Carrière, métier ou job : Animatrice Radio sous le pseudonyme de Swaden.
Études (passées ou en cours) : Etudes de communication puis de presse.
Hobby : Association en faveur des animaux.
Orientation sexuelle : Pansexuel(le)
Situation sentimentale : En couple
Avec : Clarence Burns depuis le 1er janvier 2014.
Where have you been?
Cash & Leaven
D'abord, la surprise d'entendre sa voix. Ensuite, le questionnement, l'incompréhension de le savoir là. Enfin, et surtout, les souvenirs. Nombreux et en grande majorité heureux parce qu'ils vivaient un début de relation, que tout semblait aller dans le meilleur des mondes parce que c'est toujours ainsi que les couples commencent. La découverte, les joies, les sourires collés au visage sans aucune raison valable, l'envie d'être avec l'autre le plus de temps possible et penser à la prochaine fois quand on est pas dans ses bras. C'était parce qu'ils avaient vécu un début de relation sans nuage que Leaven gardait un très bon souvenir de Cash. Il avait une place un peu spéciale dans le cœur de la blonde sans qu'il en ait vraiment conscience. Campbell était toujours discrète sur sa relation catastrophique avec Adam, son ex avant Cash qui l'avait poussé à s'enfuir vers Los Angeles pour protéger ses proches.
Si le blond gardait une place particulière pour Liv, c'est parce qu'il était l'homme qui lui avait fait comprendre que tous n'étaient pas comme Adam et qu'elle pouvait avoir confiance en lui, qu'il n'était pas malhonnête ni manipulateur mais ça, c'est parce qu'elle ignorait toute l'histoire. Elle n'avait pas connaissance des mensonges et c'est ce qui lui permettait d'avoir ce sourire en l'entendant et de s'approcher pour le prendre dans ses bras dans une accolade amicale. « Je suis contente de te croiser. » Une étreinte quelque peu resserrée pour marquer sa joie avant de le lâcher et de lui mettre un petit coup dans l'épaule, cependant pas de quoi lui faire du mal. « Ça, c'est pour ne pas avoir prévenu avant. » Bien qu'elle ne lui en voulait pas pour autant.
Curieuse de savoir ce qu'il devenait, elle lui posait naturellement la question. Le bar familial. Ça, ça n'avait pas changé et la régularité dans la vie du jeune homme la faisait sourire. Elle se souvenait de lui comme un homme sportif, certes, mais déjà posé, déjà dans une vie qu'elle croyait bien rangée et toute tracée. Une assurance dans ses gestes et dans ses mots, une stabilité qu'elle avait cherché pour avoir confiance en un homme et qu'elle avait trouvé chez lui sans connaître l'envers du décor. « La famille est toujours aussi soudée alors? Le bar fonctionne toujours aussi bien? » Evidemment, elle n'était pas étonnée que la question lui revienne. Ce qu'elle devenait... « Énormément de choses ont changé depuis que tu es parti. » Et si sa voix était teintée de regret à l'évocation de son départ, elle retrouvait immédiatement son tintement joyeux naturel dès qu'elle évoquait sa vie d'aujourd'hui.
« Je suis toujours bénévole dans différentes associations humaines et animales. Je suis devenue animatrice radio dans une petite radio locale peu de temps après. J'ai retrouvé mon frère qui habite ici maintenant et qui a fait de moi une tata épanouie depuis trois ans et j'ai moi-même un petit garçon d'un plus d'un an maintenant. » Un an et un mois plus exactement. Maman. C'était le plus grand, le plus joyeux et le plus effrayant changement de toute sa vie mais pour sûr qu'elle ne regrettait pour rien au monde d'avoir changé d'avis sur la grossesse, elle qui ne voulait pas d'enfant biologique de peur de ne pas savoir s'en occuper et surtout de lui redonner son handicap. « Ça me ferait très plaisir de te les présenter, lui et son père. » Elle était persuadée que Clarence et Cash pourraient bien s'entendre. Maintenant qu'elle l'avait en face d'elle et que les souvenirs remontaient à la surface, elle ne pouvait s'empêcher de faire des rapprochements entre son ex et son petit-ami actuel qui se ressemblaient finalement pas mal.
Si le blond gardait une place particulière pour Liv, c'est parce qu'il était l'homme qui lui avait fait comprendre que tous n'étaient pas comme Adam et qu'elle pouvait avoir confiance en lui, qu'il n'était pas malhonnête ni manipulateur mais ça, c'est parce qu'elle ignorait toute l'histoire. Elle n'avait pas connaissance des mensonges et c'est ce qui lui permettait d'avoir ce sourire en l'entendant et de s'approcher pour le prendre dans ses bras dans une accolade amicale. « Je suis contente de te croiser. » Une étreinte quelque peu resserrée pour marquer sa joie avant de le lâcher et de lui mettre un petit coup dans l'épaule, cependant pas de quoi lui faire du mal. « Ça, c'est pour ne pas avoir prévenu avant. » Bien qu'elle ne lui en voulait pas pour autant.
Curieuse de savoir ce qu'il devenait, elle lui posait naturellement la question. Le bar familial. Ça, ça n'avait pas changé et la régularité dans la vie du jeune homme la faisait sourire. Elle se souvenait de lui comme un homme sportif, certes, mais déjà posé, déjà dans une vie qu'elle croyait bien rangée et toute tracée. Une assurance dans ses gestes et dans ses mots, une stabilité qu'elle avait cherché pour avoir confiance en un homme et qu'elle avait trouvé chez lui sans connaître l'envers du décor. « La famille est toujours aussi soudée alors? Le bar fonctionne toujours aussi bien? » Evidemment, elle n'était pas étonnée que la question lui revienne. Ce qu'elle devenait... « Énormément de choses ont changé depuis que tu es parti. » Et si sa voix était teintée de regret à l'évocation de son départ, elle retrouvait immédiatement son tintement joyeux naturel dès qu'elle évoquait sa vie d'aujourd'hui.
« Je suis toujours bénévole dans différentes associations humaines et animales. Je suis devenue animatrice radio dans une petite radio locale peu de temps après. J'ai retrouvé mon frère qui habite ici maintenant et qui a fait de moi une tata épanouie depuis trois ans et j'ai moi-même un petit garçon d'un plus d'un an maintenant. » Un an et un mois plus exactement. Maman. C'était le plus grand, le plus joyeux et le plus effrayant changement de toute sa vie mais pour sûr qu'elle ne regrettait pour rien au monde d'avoir changé d'avis sur la grossesse, elle qui ne voulait pas d'enfant biologique de peur de ne pas savoir s'en occuper et surtout de lui redonner son handicap. « Ça me ferait très plaisir de te les présenter, lui et son père. » Elle était persuadée que Clarence et Cash pourraient bien s'entendre. Maintenant qu'elle l'avait en face d'elle et que les souvenirs remontaient à la surface, elle ne pouvait s'empêcher de faire des rapprochements entre son ex et son petit-ami actuel qui se ressemblaient finalement pas mal.
- Cash Eelis HayesI'm a Mother Fucker
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Âge du personnage : 32 ans
Nationalité(s) : Américaine - Finlandaise
Signe astrologique : Balance
Mon personnage, en 5 mots : voleur - manipulateur - calculateur - patient - sincère
Quartier de résidence : En dehors de Los Angeles
Carrière, métier ou job : braqueur / barman
Hobby : le jardinnage, la lecture, le VTT
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : Célibataire (par dépit)
Where have you been?
Cash & Leaven
En guise de retrouvaille, je reçois une accolade amicale à la quelle je ne sais trop comment réagir sur le coup, mais son odeur me renvois brusquement à une époque de ma vie plutôt douce et un élan d'affection m'envahi. Je répond donc à son geste en la serrant légèrement en retour. Je lâche un faible rire suite au léger coup que je reçois sur l'épaule, mais c'est bref, car rapidement me reviennent à l'esprits les raisons pour les quelles je ne l'avais pas prévenu. Lui mentir pour lui expliquer mon départ était une chose, mais revenir et faire comme si de rien était, s'en était une autre. C'était bien plus compliqué à assumer et je ne pouvais pas lui faire ça. J'imaginais qu'entre temps elle était passé à autre chose, elle avait certainement rencontré quelqu'un d'autre et sa vie avait continué, je n'allais pas venir tout chambouler. Je ne su rien répondre, mais par chance, elle poursuivit en me demandant des nouvelles de ma famille. J'hausse les épaules - Oui, on vit toujours entassé les uns sur les autres, si c'est ce que tu veux dire. Un brin d'humour me détendrais peut-être - Enfin, oui on bosse toujours ensembles... Les affaires se portes bien, c'est plutôt stable. Sujet délicat, dur de donner des détails.
Leaven ajouta que bien des choses avait changé depuis mon départ, le ton de sa voix changea un instant. Je me mordis la lèvre inférieur, un regard vers le sol, réflexe, j'avais la tête du coupable. Je l'écoutais me raconter sa vie avec attention, sans oser pour autant la regarder. Je savais pertinemment que ses yeux ne pouvait lire mes expressions faciales mais j'avais l'impression qu'ils pouvaient lire mon âme , et mon timbre de voix n'avait rien de naturel. Par chance, elle ne m'avait pas entendu depuis des années.
Un sourire crispé mais sincère s'étire sur mon visage quand elle me confirme qu'elle à quelqu'un dans sa vie, un homme, et un enfant. La savoir maman était à la fois émouvant et étrange, j'avais effectivement manqué bien des choses. ça devait être un bouleversement pour elle. - Je les rencontrerais avec plaisir! J'essai de prendre un ton jovial. Était-ce vrai? Avais-je envie de rencontrer cet homme? Et cet enfant? L'idée était effrayante tout de même. Comment allait-elle me présenter à sa famille? Je chassais l'idée de mon esprit. -Et tu es heureuse? à l'entendre elle semblait épanouie, mais il ne fallait jamais se fier eux apparences.
Je me racle la gorge et ajoute alors - Pour ma part je bosse toujours au bar familial, je voyage un peu... Je me suis mit au VTT, je passe des heures dans les montagnes avec mon chien, je m'éclate, je jardine un peu à la maison. Je me garde de donner les détails, beaucoup de détails. - Rien de passionnant quoi... et je n'ai personne dans ma vie... j'hésite un instant, il y avait quelques femmes, je pense à Niamh qui bossait avec moi, avec qui j'avais une relation particulière, mais rien de concret. Depuis Leaven, depuis mon séjour en prison, je prenais soin de ne plus m'attacher, de ne plus m'engager... C'était trop compliqué, ça finissait toujours par faire mal, à moi, et aux autres. Je me gardais bien de lui raconter ce que j'avais fait après mon départ, avant de revenir à Los Angeles, car j'aurais été obligé de lui mentir à nouveau, et je n'en avais pas la moindre envie.
Leaven ajouta que bien des choses avait changé depuis mon départ, le ton de sa voix changea un instant. Je me mordis la lèvre inférieur, un regard vers le sol, réflexe, j'avais la tête du coupable. Je l'écoutais me raconter sa vie avec attention, sans oser pour autant la regarder. Je savais pertinemment que ses yeux ne pouvait lire mes expressions faciales mais j'avais l'impression qu'ils pouvaient lire mon âme , et mon timbre de voix n'avait rien de naturel. Par chance, elle ne m'avait pas entendu depuis des années.
Un sourire crispé mais sincère s'étire sur mon visage quand elle me confirme qu'elle à quelqu'un dans sa vie, un homme, et un enfant. La savoir maman était à la fois émouvant et étrange, j'avais effectivement manqué bien des choses. ça devait être un bouleversement pour elle. - Je les rencontrerais avec plaisir! J'essai de prendre un ton jovial. Était-ce vrai? Avais-je envie de rencontrer cet homme? Et cet enfant? L'idée était effrayante tout de même. Comment allait-elle me présenter à sa famille? Je chassais l'idée de mon esprit. -Et tu es heureuse? à l'entendre elle semblait épanouie, mais il ne fallait jamais se fier eux apparences.
Je me racle la gorge et ajoute alors - Pour ma part je bosse toujours au bar familial, je voyage un peu... Je me suis mit au VTT, je passe des heures dans les montagnes avec mon chien, je m'éclate, je jardine un peu à la maison. Je me garde de donner les détails, beaucoup de détails. - Rien de passionnant quoi... et je n'ai personne dans ma vie... j'hésite un instant, il y avait quelques femmes, je pense à Niamh qui bossait avec moi, avec qui j'avais une relation particulière, mais rien de concret. Depuis Leaven, depuis mon séjour en prison, je prenais soin de ne plus m'attacher, de ne plus m'engager... C'était trop compliqué, ça finissait toujours par faire mal, à moi, et aux autres. Je me gardais bien de lui raconter ce que j'avais fait après mon départ, avant de revenir à Los Angeles, car j'aurais été obligé de lui mentir à nouveau, et je n'en avais pas la moindre envie.
- Leaven S. CampbellKingdom Come
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Âge du personnage : Trente-et-un ans. (05/07)
Nationalité(s) : Américaine.
Signe astrologique : Cancer
Mon personnage, en 5 mots : Naturelle • Débrouillarde • Aveugle • Drôle • Engagée • Maman.
Quartier de résidence : Northeast
Carrière, métier ou job : Animatrice Radio sous le pseudonyme de Swaden.
Études (passées ou en cours) : Etudes de communication puis de presse.
Hobby : Association en faveur des animaux.
Orientation sexuelle : Pansexuel(le)
Situation sentimentale : En couple
Avec : Clarence Burns depuis le 1er janvier 2014.
Where have you been?
Cash & Leaven
Un simple hochement de tête et un sourire, sincère. « Oui. Très. » Très heureuse parce que Clarence comblait chacun de ses besoins affectifs et bien plus encore, la poussant toujours à dépasser ses peurs et donner le meilleur d'elle-même. Quant à Liam, leur petit garçon, elle serait bien incapable de décrire tout ce qu'il déclenchait chez elle. Elle n'y croyait pas vraiment, avant, elle se disait que c'était comme l'amour d'une sœur et d'un frère, d'un enfant pour ses parents mais non, elle avait eu tort de ne pas y croire, les mères avaient raison. Cet amour pour son propre enfant est bien plus fort, indescriptible, il faut le vivre pour le comprendre. Elle ne serait pas capable d'y poser des mots et elle n'en avait pas spécialement envie non plus, elle savait juste qu'il la comblait de bonheur en dépit des frustrations qu'elle pouvait avoir à cause de son handicap. Elle ne verrait jamais Liam grandir ou marcher mais peu importait, il lui donnait de l'amour et elle constatait ses progrès d'une autre façon et ça la contentait. La jeune maman était comblée et se demandait même parfois comment elle pourrait l'être davantage donc oui, elle était très heureuse, trop peut-être pour que cela soit permis.
Elle écoutait la réponse qu'il donnait à sa question, attentive à cette dernière. « Tu n'as changé à ce que je vois. » Elle l'avait connu ainsi, travailleur, sportif, calme quand il le fallait. Elle ne connaissait rien de sa double vie, elle ne pouvait pas savoir que la prison l'avait peut-être changé. Elle voyait l'homme qu'elle avait aimé en face d'elle et pendant un court instant, elle se disait que s'il n'était pas partie, peu importait la raison finalement, ils auraient pu avoir une belle histoire. Elle ne pouvait s'empêcher de faire le lien entre lui et Clarence. Ils se ressemblaient énormément. Si elle vivait une belle histoire avec Clarence, elle aurait pu vivre la même chose avec Cash, elle en était quasiment persuadée. « On devrait y aller ensemble, à la montagne avec nos loulous. » et puis, elle réalisait. « Je te présente Lady Sif d'ailleurs, mon assistante. » Quand Cash avait connu Leaven, elle avait déjà une chienne guide mais se faisant vieille, Oréo était décédée cet hiver. La blonde était soudainement étonnée des dires du jeune homme qui suivait. Personne dans sa vie... étonnant, si elle était tombée amoureuse de lui, elle était persuadée qu'une femme bien pouvait le faire aussi... à condition de ne pas connaître sa double vie, certes. « Je sais que je suis exceptionnelle mais quand même, il va falloir penser à me remplacer à un moment donné. » Le sourire rieur qu'elle avait sur le visage laissait savoir qu'elle plaisantait. Elle était loin d'être parfaite et elle et Cash le savaient.
Elle écoutait la réponse qu'il donnait à sa question, attentive à cette dernière. « Tu n'as changé à ce que je vois. » Elle l'avait connu ainsi, travailleur, sportif, calme quand il le fallait. Elle ne connaissait rien de sa double vie, elle ne pouvait pas savoir que la prison l'avait peut-être changé. Elle voyait l'homme qu'elle avait aimé en face d'elle et pendant un court instant, elle se disait que s'il n'était pas partie, peu importait la raison finalement, ils auraient pu avoir une belle histoire. Elle ne pouvait s'empêcher de faire le lien entre lui et Clarence. Ils se ressemblaient énormément. Si elle vivait une belle histoire avec Clarence, elle aurait pu vivre la même chose avec Cash, elle en était quasiment persuadée. « On devrait y aller ensemble, à la montagne avec nos loulous. » et puis, elle réalisait. « Je te présente Lady Sif d'ailleurs, mon assistante. » Quand Cash avait connu Leaven, elle avait déjà une chienne guide mais se faisant vieille, Oréo était décédée cet hiver. La blonde était soudainement étonnée des dires du jeune homme qui suivait. Personne dans sa vie... étonnant, si elle était tombée amoureuse de lui, elle était persuadée qu'une femme bien pouvait le faire aussi... à condition de ne pas connaître sa double vie, certes. « Je sais que je suis exceptionnelle mais quand même, il va falloir penser à me remplacer à un moment donné. » Le sourire rieur qu'elle avait sur le visage laissait savoir qu'elle plaisantait. Elle était loin d'être parfaite et elle et Cash le savaient.
- Cash Eelis HayesI'm a Mother Fucker
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Âge du personnage : 32 ans
Nationalité(s) : Américaine - Finlandaise
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Mon personnage, en 5 mots : voleur - manipulateur - calculateur - patient - sincère
Quartier de résidence : En dehors de Los Angeles
Carrière, métier ou job : braqueur / barman
Hobby : le jardinnage, la lecture, le VTT
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : Célibataire (par dépit)
Where have you been?
Cash & Leaven
Par chance, Leaven ne posa pas plus de questions au sujet de boulot de la famille... Chaque mensonge que je lui servais devenait de plus en plus dérangeant et l'espace d'un bref instant j'eu l'impression d'être le pire des imposteurs. Elle était la, me racontais sa vie, sans se douter de quoi que se soit, et moi qui faisait comme si de rien était. Je détestais cette scène, elle n'avait rien d'authentique. L'entendre me dire qu'elle était heureuse m'arracha un sourire, c'était au moins ça, pas de dégâts irréparables, elle était passé à autre chose, avait continué son chemin et se trouvait satisfaite de sa situation... C'était tout ce que je pouvais lui souhaiter. La jeune femme constate alors que je suis toujours le même, je hausse les épaules et ris légèrement. J'aurais aimé disparaître un bref instant. Dis comme ça, non seulement rien n'avait changé, mais ça ne risquait pas de changer de si tôt. Leaven avait évolué, elle avait grandit, rencontré quelqu'un, elle avait maintenant un vie de famille... Moi j'étais toujours le pauvre rigolo, qui d'un point de vue extérieur, ne fait pas grande chose de sa vie. Je n'étais pas très inquiet du regard des gens habituellement, ils pouvaient bien penser de moi ce qu'ils voulaient, mais le dire à mon ex me fit réaliser à quel point RIEN n'avait changé de mon côté. Je fus prit d'un soudain sentiment de lassitude, et tentant de l'ignorer au mieux je poursuivai la conversation avec le plus de naturel possible.
Pour dissiper mon malaise, je tend la main vers la chienne qui me renifle légèrement avant de remuer la queue, je lui grattouille la tête avant d'ajouter - Enchanté Lady Sif. Je souris bêtement à la chienne. Je pense qu'ils pourraient bien s'entendre, mon chien est un bout en train, mais il est sympa. Frey était le type le plus sociable que je connaisse, il aimait tout le monde, sans se poser de question. Plutôt rare comme qualité chez un bipède, je l'appréciais donc chez mon compagnon canin. - Oui sortons les à la montagne un de ces quatre, ils s'éclateront. L'idée était plutôt sympa mais je n'étais pas certains d'avoir le courage de le faire. La croiser par hasard dans une animalerie, c'était quelque chose que je pouvais à peu près gérer, mais organiser quelque chose avec elle, aller balader ensembles... Je savais pas si je pouvais assumer ça.
Penser à la remplacer? Cette fois si j'éclate de rire. Je secoue légèrement la tête et pose sur elle un regard amusé et plein d'affection. Ses plaisanteries m'avaient manqué, on rigolait toujours beaucoup ensemble et cette petite pique ne manqua pas de me le rappeler. - Oui ça doit être ça le problème, je suis adresse un clin d’œil. Si je veux enfin trouver quelqu'un dans ma vie, faut peut-être que je commence à t'oublier... Je lançais ça sur le ton de la plaisanterie, mais je riais jaune, n'y avait-il pas une part de vérité au fond? Exceptionnelle, certes elle l'était. Ce qui était exceptionnel également, c'est qu'elle soit là à me parler de sa vie, sans la moindre animosité, sans le moindre ton de reproche. Elle ne semblait pas m'en vouloir, le mensonge que je lui avais servis avait été suffisant, elle l'avait cru et ne m'en avais jamais tenu rigueur. Et pour cela, pour la confiance qu'elle avait eu en moi, j'avais encore plus honte.
- Leaven S. CampbellKingdom Come
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Âge du personnage : Trente-et-un ans. (05/07)
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Mon personnage, en 5 mots : Naturelle • Débrouillarde • Aveugle • Drôle • Engagée • Maman.
Quartier de résidence : Northeast
Carrière, métier ou job : Animatrice Radio sous le pseudonyme de Swaden.
Études (passées ou en cours) : Etudes de communication puis de presse.
Hobby : Association en faveur des animaux.
Orientation sexuelle : Pansexuel(le)
Situation sentimentale : En couple
Avec : Clarence Burns depuis le 1er janvier 2014.
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Cash & Leaven
« Je ramènerais le chien de mon compagnon dans ce cas, il doit être aussi énergique que le tien, ils se dépenseront ensemble. Ils dormiront comme des bébés en rentrant mais je compte sur toi pour me guider du coup. » Leaven était ce genre de femme qui aimait avoir son indépendance en dépit de son handicap qui lui posait des limites pas toujours évidentes. Elle acceptait, à de rares occasions, que sa chienne guide soit mise de côté pour laisser ses proches l'aider. C'était arrivé aussi avec Cash, il avait l'habitude de ce qu'elle attendait de lui si jamais ils allaient en balade ensemble. Rien de plus qu'un bras à accrocher, que des yeux pour lui dire de se baisser en cas de branche ou de lever le pied si une pierre conséquente se trouvait sur leur chemin. Rien de très compliqué, il n'avait probablement pas oublié. Autant qu'il ne l'avait pas oublié, elle. Dans le sens physique, bien entendu. Elle se doutait qu'il n'y avait plus de sentiments amoureux entre eux et il le confirmait par le ton de plaisanterie qu'elle entendait très bien dans sa voix. Pourtant une partie d'elle se trouvait flattée de ses mots, bien ignorante qu'après elle, il n'avait pas eu d'histoire sérieuse. Des mots qui la faisaient sourire en coin, un sourire tendre aux souvenirs de leur histoire. « C'est pas en se croisant et en ayant comme projet de se revoir que tu vas y arriver. » disait-elle pour continuer sur la plaisanterie, ne se gênant pas pour rajouter quelques mots. « T'inquiètes pas, je vais te présenter quelques copines, ça sera vite réglé. » Leaven, entremetteuse, c'était nouveau ça aussi.
« Tu as toujours mon numéro? » Une question toute en innocence parce que si lui ne se voyait pas en balade en montagne, Leaven était bien décidée à rendre cette idée réelle. « Je comprendrais que non, promis, je bouderais pas. » disait-elle dans un sourire. Sept ans sans nouvelles, ça serait presque évident qu'il ne l'ait plus son numéro de téléphone après tout. Sept ans sans nouvelles auxquels elle repensait un court instant. Pourquoi n'en avait-il pas donné? Il était parti, pour elle, s'occuper quelqu'un, était-ce suffisant pour couper entièrement les ponts? Leaven était une éponge, de ces personnes à refouler ses sentiments au profit des autres, mais là-dessus, elle l'avait fait pendant sept ans et maintenant qu'elle l'avait face à elle, ça finissait par déborder. « Pourquoi tu n'as pas donné de nouvelles? » Sans animosité, peut-être avec un peu de regrets en revanche et ça se voyait à ce sourire naturel qui s'était effacé. « Je pensais qu'on s'était quitté... enfin tu vois, en bons termes. » Assez pour lui montrer combien elle l'aimait en partageant une dernière nuit avec lui, en l'embrassant une dernière fois avant qu'il ne prenne la route. Un au revoir dont elle se souvenait encore parce qu'il lui avait arraché naturellement des larmes. Elle aurait aimé garder contact avec lui parce qu'elle l'avait aimé, sincèrement et qu'intérieurement, même si elle avait su passer à autre chose, ça faisait encore mal d'être sans réponse, ça faisait encore mal d'avoir la sensation d'avoir fait une connerie pour mériter cette absence.
« Tu as toujours mon numéro? » Une question toute en innocence parce que si lui ne se voyait pas en balade en montagne, Leaven était bien décidée à rendre cette idée réelle. « Je comprendrais que non, promis, je bouderais pas. » disait-elle dans un sourire. Sept ans sans nouvelles, ça serait presque évident qu'il ne l'ait plus son numéro de téléphone après tout. Sept ans sans nouvelles auxquels elle repensait un court instant. Pourquoi n'en avait-il pas donné? Il était parti, pour elle, s'occuper quelqu'un, était-ce suffisant pour couper entièrement les ponts? Leaven était une éponge, de ces personnes à refouler ses sentiments au profit des autres, mais là-dessus, elle l'avait fait pendant sept ans et maintenant qu'elle l'avait face à elle, ça finissait par déborder. « Pourquoi tu n'as pas donné de nouvelles? » Sans animosité, peut-être avec un peu de regrets en revanche et ça se voyait à ce sourire naturel qui s'était effacé. « Je pensais qu'on s'était quitté... enfin tu vois, en bons termes. » Assez pour lui montrer combien elle l'aimait en partageant une dernière nuit avec lui, en l'embrassant une dernière fois avant qu'il ne prenne la route. Un au revoir dont elle se souvenait encore parce qu'il lui avait arraché naturellement des larmes. Elle aurait aimé garder contact avec lui parce qu'elle l'avait aimé, sincèrement et qu'intérieurement, même si elle avait su passer à autre chose, ça faisait encore mal d'être sans réponse, ça faisait encore mal d'avoir la sensation d'avoir fait une connerie pour mériter cette absence.
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Je hoche la tête, l'idée pouvait sembler plutôt sympa, une balade tous les deux, avec nos chiens respectifs. - Bien sur que je serais ton guide. Je ris légèrement, je n'allais tout de même pas la laisser se débrouiller seule alors que je balade tranquillement à côté d'elle. Je m'étais comporté comme un enfoiré avec elle certes mais c'est pas pour autant que j'en étais un... L'idée de cette promenade avait quelque chose d'aussi tentant qu'effrayant... Plus je passais du temps avec elle plus je culpabilisais, je la voyais la si douce, si gentille, si innocente, et j'avais profité de tout ça. Une partie de moi me hurlait d'être sincère avec elle, mais je ne m'en sentais pas capable. Que pourrais-je bien lui dire, comment je pouvais lui expliquer sincèrement la situation sans la vexer, ou la blesser? Elle m'avait fait confiance après tout. On plaisantait avec tout ça, mais une partie de moi était encore terriblement mal à l'aise, mais ne pas prendre part à cette plaisanterie aurait pu sembler encore plus étrange. J'hausse les épaules et je répond, moqueur - Partant du principe ou tu as un homme et un enfant je te fais confiance. je lui adresse un clin d’œil. J' imaginais bien qu'elle ne me sauterait pas au cou... Après toutes ses années, elle n'avait plus de sentiments pour moi. - Et puis on fait ça pour les chiens! Un sourire amusé vient s'étirer sur mes lèvres.
Elle me demande alors si j'ai toujours son numéro. J'ouvre de grands yeux et réfléchis un quart de secondes. - Impossible. J'ai tellement souvent changé de téléphone... J'étais un peu embêté de le lui avouer, même si elle affirmait qu'elle ne le prendrait pas mal. Après sept ans, il était effectivement plutôt normal de ne pas l'avoir gardé. Si elle savait seulement, elle comprendrait que son numéro, je l'avais perdu le jour ou il était passé derrière les barreaux. Je sors alors mon téléphone de ma poche et commence à créer un nouveau contact. Je pose sur elle un regard interrogateur, prêt à noter son numéro. Arrive alors la question tant redoutée ; Pourquoi tu n'as pas donné de nouvelles? Je sentis mon souffle se couper, mon sang ne faire qu'un tour. J'aurais aimé que le sol s'ouvre et que la terre m'engouffre dans ses entrailles. Malheureusement, nous n'étions pas dans un film et j'étais obligé de faire face à la situation. Je soupire profondément, me passe une main sur le visage, ses mots me touchent profondément. J'ai envie de la prendre dans mes bras, lui dire à quel point je suis désolé, mais je reste complètement figé, quelque chose m'en empêche. - Je .... Je quoi? Qu'avais-je vraiment comme excuse valable? Je me sentais misérable, ridicule. Je me râcle la gorge et continue. - Je me me suis dit que se serait plus simple... Si on avait aucun contact... je me suis dit qu'on passerais plus facilement à autre chose. On était jeune, toute une vie devant nous, ça servait à rien de resté accroché à une histoire sans importance... Sans importance... je regrettais déjà que ces mots ai franchis mes lèvres.
Elle me demande alors si j'ai toujours son numéro. J'ouvre de grands yeux et réfléchis un quart de secondes. - Impossible. J'ai tellement souvent changé de téléphone... J'étais un peu embêté de le lui avouer, même si elle affirmait qu'elle ne le prendrait pas mal. Après sept ans, il était effectivement plutôt normal de ne pas l'avoir gardé. Si elle savait seulement, elle comprendrait que son numéro, je l'avais perdu le jour ou il était passé derrière les barreaux. Je sors alors mon téléphone de ma poche et commence à créer un nouveau contact. Je pose sur elle un regard interrogateur, prêt à noter son numéro. Arrive alors la question tant redoutée ; Pourquoi tu n'as pas donné de nouvelles? Je sentis mon souffle se couper, mon sang ne faire qu'un tour. J'aurais aimé que le sol s'ouvre et que la terre m'engouffre dans ses entrailles. Malheureusement, nous n'étions pas dans un film et j'étais obligé de faire face à la situation. Je soupire profondément, me passe une main sur le visage, ses mots me touchent profondément. J'ai envie de la prendre dans mes bras, lui dire à quel point je suis désolé, mais je reste complètement figé, quelque chose m'en empêche. - Je .... Je quoi? Qu'avais-je vraiment comme excuse valable? Je me sentais misérable, ridicule. Je me râcle la gorge et continue. - Je me me suis dit que se serait plus simple... Si on avait aucun contact... je me suis dit qu'on passerais plus facilement à autre chose. On était jeune, toute une vie devant nous, ça servait à rien de resté accroché à une histoire sans importance... Sans importance... je regrettais déjà que ces mots ai franchis mes lèvres.
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Âge du personnage : Trente-et-un ans. (05/07)
Nationalité(s) : Américaine.
Signe astrologique : Cancer
Mon personnage, en 5 mots : Naturelle • Débrouillarde • Aveugle • Drôle • Engagée • Maman.
Quartier de résidence : Northeast
Carrière, métier ou job : Animatrice Radio sous le pseudonyme de Swaden.
Études (passées ou en cours) : Etudes de communication puis de presse.
Hobby : Association en faveur des animaux.
Orientation sexuelle : Pansexuel(le)
Situation sentimentale : En couple
Avec : Clarence Burns depuis le 1er janvier 2014.
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Cash & Leaven
Un rire, un sourire, quelques mots. « Arrête, dis comme ça, on dirait une excuse. » Le ton qu'il employait, cette façon d'affirmer qui sonnait comme s'il tentait de se convaincre que c'était bien pour les chiens et non pour eux-mêmes. Du point de vue de Leaven, c'était un peu pour les deux à vrai dire. Elle n'attendait rien d'autre de lui qu'une balade, bien entendu, mais si ça leur permettait de rester bons amis, Leaven n'était pas contre. Elle qui avait un peu de mal à se lier avec le gente masculine à cause d'un ex et de son père, elle mettait un point d'honneur à rester amie avec ceux avec qui elle était déjà proche un jour ou l'autre. Cash en faisait partie, plus que partie même. Cet homme, elle l'avait aimé et il gardait une place toute privilégiée pour elle. Il avait su lui redonner une certaine confiance dans les hommes et pour ça, elle le portait toujours précieusement dans son cœur, d'une façon différentes qu'autrefois. « Tu as de quoi noter? » Question légitime parce qu'elle était aveugle et incapable de deviner qu'il avait sorti son téléphone pour la mettre de nouveau dans ses contacts. « Tu m'enverras un sms du coup pour que j'ai ton nouveau numéro. » Histoire de ne pas être surprise si jamais il oubliait de signer son premier sms ou qu'elle ne reconnaisse pas son numéro si jamais il l'appelait.
Puis finalement, la question passait le seuil de ses lèvres avec une certaine hésitation et une certaine appréhension. Est-ce qu'elle avait vraiment de connaître les raisons? Est-ce qu'elle ne s'infligeait pas une souffrance supplémentaire en posant cette question? Le constat de l'absence d'appel ou de message aurait du lui mettre la puce à l'oreille, aurait du lui faire comprendre que de demander concrètement risquerait de lui faire plus de mal que de bien parce qu'il s'agissait forcément d'une raison désagréable. Ses premiers mots, elle pouvait aisément les approuver. C'est vrai qu'ils étaient jeunes, c'est vrai que leur relation était récente, c'était encore plus vrai que de garder contact c'était prendre le risque d'avoir plus de mal à passer à autre chose. En revanche, et c'était tout naturel, la fin de son explication lui coupait un instant le souffle. Elle ne s'attendait pas à ça, vraiment pas. Encore moins à ce que ce soit si douloureux encore aujourd'hui. Son cœur s'était soudainement serré comme si une trahison venait de lui sauter à la tronche. « Wouah, ça, ça fait mal. »
Parce qu'elle avait toujours été sincère et que ça ne changerait pas de si tôt, s'il mettait les choses au clair, elle en faisait autant en posant ses ressentis et ses sentiments entre eux. « Ça ne l'était pas. » Sans importance. « En tout cas, pas pour moi. Visiblement, je me suis trompée. » Avait-elle trop idéalisé leur début d'histoire? Est-ce qu'il y avait eu un quelconque quiproquo entre eux concernant les sentiments qu'ils se portaient? « Je suis plus très sûre de vouloir me laisser guider par un profiteur et un menteur finalement. » N'avaient-ils pas fait l'amour avant qu'il ne parte? Ne lui avait-il pas dit qu'il l'aimait à l'époque? Comment pouvait-on prononcer ces mots quand c'était sans importance,avoir ces gestes? Étaient-ils, l'un comme l'autre, trop jeunes pour en comprendre la portée? Un premier pas permettait à sa chienne de comprendre qu'il fallait avancer et se diriger vers les caisses pour sortir d'ici. Elle n'avait plus envie d'échanger avec lui parce que c'était soudainement trop douloureux et que son cœur balançait entre la peine et la colère. Elle voulait simplement s'échapper, comme souvent quand elle faisait face aux conflits parce que son caractère n'était pas taillé pour ça, parce qu'elle prenait trop cher à chaque fois. Pourtant la colère la forçait à se retourner et laisser constater ses yeux embrumés, blessée d'avoir été manipulée, encore. « J'espère que la personne de qui tu t'es occupée s'en ai mieux sortie que moi en te fréquentant. » Est-ce qu'elle cherchait volontairement à lui faire du mal? Peut-être un peu, tout en étant inconsciente que la dite personne dont il s'était occupé, c'était probablement lui-même, coincé entre trois murs et des barreaux, forcé de faire face à qui il était.
Puis finalement, la question passait le seuil de ses lèvres avec une certaine hésitation et une certaine appréhension. Est-ce qu'elle avait vraiment de connaître les raisons? Est-ce qu'elle ne s'infligeait pas une souffrance supplémentaire en posant cette question? Le constat de l'absence d'appel ou de message aurait du lui mettre la puce à l'oreille, aurait du lui faire comprendre que de demander concrètement risquerait de lui faire plus de mal que de bien parce qu'il s'agissait forcément d'une raison désagréable. Ses premiers mots, elle pouvait aisément les approuver. C'est vrai qu'ils étaient jeunes, c'est vrai que leur relation était récente, c'était encore plus vrai que de garder contact c'était prendre le risque d'avoir plus de mal à passer à autre chose. En revanche, et c'était tout naturel, la fin de son explication lui coupait un instant le souffle. Elle ne s'attendait pas à ça, vraiment pas. Encore moins à ce que ce soit si douloureux encore aujourd'hui. Son cœur s'était soudainement serré comme si une trahison venait de lui sauter à la tronche. « Wouah, ça, ça fait mal. »
Parce qu'elle avait toujours été sincère et que ça ne changerait pas de si tôt, s'il mettait les choses au clair, elle en faisait autant en posant ses ressentis et ses sentiments entre eux. « Ça ne l'était pas. » Sans importance. « En tout cas, pas pour moi. Visiblement, je me suis trompée. » Avait-elle trop idéalisé leur début d'histoire? Est-ce qu'il y avait eu un quelconque quiproquo entre eux concernant les sentiments qu'ils se portaient? « Je suis plus très sûre de vouloir me laisser guider par un profiteur et un menteur finalement. » N'avaient-ils pas fait l'amour avant qu'il ne parte? Ne lui avait-il pas dit qu'il l'aimait à l'époque? Comment pouvait-on prononcer ces mots quand c'était sans importance,avoir ces gestes? Étaient-ils, l'un comme l'autre, trop jeunes pour en comprendre la portée? Un premier pas permettait à sa chienne de comprendre qu'il fallait avancer et se diriger vers les caisses pour sortir d'ici. Elle n'avait plus envie d'échanger avec lui parce que c'était soudainement trop douloureux et que son cœur balançait entre la peine et la colère. Elle voulait simplement s'échapper, comme souvent quand elle faisait face aux conflits parce que son caractère n'était pas taillé pour ça, parce qu'elle prenait trop cher à chaque fois. Pourtant la colère la forçait à se retourner et laisser constater ses yeux embrumés, blessée d'avoir été manipulée, encore. « J'espère que la personne de qui tu t'es occupée s'en ai mieux sortie que moi en te fréquentant. » Est-ce qu'elle cherchait volontairement à lui faire du mal? Peut-être un peu, tout en étant inconsciente que la dite personne dont il s'était occupé, c'était probablement lui-même, coincé entre trois murs et des barreaux, forcé de faire face à qui il était.
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Une excuse? J'hausse les épaules, oui, s'aurait pu en être une, s'en était même une sans doute... Enfin ça restait tout de même joindre l'utile à l'agréable après tout... Après toutes ses années. Quand elle me demande si j'avais de quoi noter, un rire moqueur franchi mes lèvres, plutôt adressé à moi qu'à elle, portable en main j'attendais qu'elle me dicte son numéro et évidement elle ne pouvait pas le deviner. - Oui je t'écoute. Je note rapidement le numéro, l’enregistrant au nom de Leaven, puis je pianote un bref salut, c'est Cash! sur le clavier et le lui envoi. - Voilà, c'est fait. Je remet le téléphone dans ma poche. On en vint alors à ce sujet délicat.
J'étais loin de considérer notre histoire comme sans importance. J'avais parlé sans réfléchir, à trop vouloir cacher la réelle raison de mon départ je venais de lui offrir le mensonge le plus méchant et le plus pitoyable qui soit. J'avais envie de disparaître. Terriblement mal à l'aise j'essayai de trouver les mots pour rattraper l'énorme connerie qui avait franchi mes lèvres. Comme je m'en étais douté, ces mots l'avait blessé. Ils auraient blessé n'importe qui dans une telle situation je suppose... - Ecoute c'est pas ce que je voulais dire, je... Elle exprime alors clairement qu'elle n'est plus sûre d'avoir envie que l'on aille balader ensemble. Plutôt compréhensible. J'émet un bref claquement de langue, agacé par la situation, incapable de trouver quelque chose de pertinent à ajouter. Ces derniers mots m'achevèrent... Elle me rendait la monnaie de ma pièce avec justesse. Lui avouer que je ne m'étais occupé de personne ne serait qu'un mensonge de plus. J'étais en train de me demander si je pouvais lui révéler un part de la vérité sans aller lui dire que j'avais fait de la prison, ou que j'étais un criminel... Elle n'avait pas besoin de savoir tout ça. Moins de gens étaient au courant mieux c'était... Puis une partie de moi s'imaginait égoïstement que si elle avait su, elle aurait eu peur de moi. Ce n'était même pas une question de confiance, à vrai dire je ne m'étais jamais posé la question. Aurais-je pu lui faire confiance? Je ne sais pas si elle serait allé me balancé au flic à la première occasion, mais ce que je redoutais au fond, c'était simplement qu'elle me regarde différemment, qu'elle me voit comme un monstre. Et en voulant éviter cela à tout pris, j'avais créé une situation encore plus compliqué, et si je continuais comme ça, elle finirait par me voir comme un monstre, quoi qu'il arrive.
- Leaven, c'est beaucoup plus compliqué que ça. C'était vrai, mais c'était encore un moyen de contourner la vérité. Ma voix trahissait mon manque d'assurance et cette panique envahissante. J'étais dans une belle merde et je me sentais incapable d'en sortir... La seule option restait la fuite... encore une fois.
J'étais loin de considérer notre histoire comme sans importance. J'avais parlé sans réfléchir, à trop vouloir cacher la réelle raison de mon départ je venais de lui offrir le mensonge le plus méchant et le plus pitoyable qui soit. J'avais envie de disparaître. Terriblement mal à l'aise j'essayai de trouver les mots pour rattraper l'énorme connerie qui avait franchi mes lèvres. Comme je m'en étais douté, ces mots l'avait blessé. Ils auraient blessé n'importe qui dans une telle situation je suppose... - Ecoute c'est pas ce que je voulais dire, je... Elle exprime alors clairement qu'elle n'est plus sûre d'avoir envie que l'on aille balader ensemble. Plutôt compréhensible. J'émet un bref claquement de langue, agacé par la situation, incapable de trouver quelque chose de pertinent à ajouter. Ces derniers mots m'achevèrent... Elle me rendait la monnaie de ma pièce avec justesse. Lui avouer que je ne m'étais occupé de personne ne serait qu'un mensonge de plus. J'étais en train de me demander si je pouvais lui révéler un part de la vérité sans aller lui dire que j'avais fait de la prison, ou que j'étais un criminel... Elle n'avait pas besoin de savoir tout ça. Moins de gens étaient au courant mieux c'était... Puis une partie de moi s'imaginait égoïstement que si elle avait su, elle aurait eu peur de moi. Ce n'était même pas une question de confiance, à vrai dire je ne m'étais jamais posé la question. Aurais-je pu lui faire confiance? Je ne sais pas si elle serait allé me balancé au flic à la première occasion, mais ce que je redoutais au fond, c'était simplement qu'elle me regarde différemment, qu'elle me voit comme un monstre. Et en voulant éviter cela à tout pris, j'avais créé une situation encore plus compliqué, et si je continuais comme ça, elle finirait par me voir comme un monstre, quoi qu'il arrive.
- Leaven, c'est beaucoup plus compliqué que ça. C'était vrai, mais c'était encore un moyen de contourner la vérité. Ma voix trahissait mon manque d'assurance et cette panique envahissante. J'étais dans une belle merde et je me sentais incapable d'en sortir... La seule option restait la fuite... encore une fois.
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