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YESTERDAY'S NEWS |48
- Lysander E. FosterI'm a Mother Fucker
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Dollars : 2382
Messages : 109
Date d'inscription : 10/03/2018
Avatar : Aaron Taylor-Johnson
Crédits : nine + tumblr
Autres comptes : Clarence M. Burns
Âge du personnage : 28 ans
Nationalité(s) : Anglaise
Signe astrologique : Gémeaux
Mon personnage, en 5 mots : Miroir, Fatalité, Exubérance, Fragilité,
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : Il est avant tout auteur, compositeur et interprète depuis des années. Après s'être fait connaître par le biais de son groupe On the Edge, il chante désormais en solo. Il a également monté T△LENT, son propre label de musique, pour produire d'autre talents.
Études (passées ou en cours) : Il est diplômé en musique, mais également en marketing, depuis trois années maintenant.
Orientation sexuelle : Indécis
Lysander Foster
Avant de commencer, nous aimerions vous poser quelques questions sur votre personnage, afin d'en savoir davantage sur les motivations qui l'animent.
L'INTERROGATOIRE
Pourquoi avoir besoin de connaissance quand on a déjà l'inné ? Je n'ai jamais recherché à savoir tout sur tout, non pas que j'en serais pas capable, mais quel est l'intérêt ? Déballer son savoir comme on déballe ses courses, il n'y a rien de plus hypocrite. Est-ce que la connaissance absolue nous permettrait d'améliorer le monde ou de changer les choses ? Ça se saurait. C'est triste de rechercher l'absolu théorique. Il y a tellement d'essence dans la curiosité, dans la découverte. Je connais déjà tout ce que j'ai besoin de savoir. Je suis né avec la musique, avec l'humain.
Je suis déjà en train de réaliser mes rêves les plus fous. Je me produis sur scène, on aime ma musique, j'ai même créé mon propre label. Que pourrais-je espérer de mieux ? J'ai toute l'attention dont j'ai besoin et j'en veux même encore plus. Jamais je ne m'arrête en si bon chemin. C'est peut-être ça être fou : ne jamais se contenter de ce qu'on a et toujours aller chercher plus loin, plus fort. Être au centre de tous les regards, ça fait partie de ces impératifs pour que je me sente épanoui. Celui qui dit qu'il se moque du regard des gens se ment à lui-même. Dans une société telle que la nôtre, il faut apprendre à l'accepter et à s'en servir. Je suis à l'aise au milieu de tous les regards, je me sens moi-même.
Faire ce qu'on aime, vivre comme on l'entend. Si pour certains, c'est ne rien faire, grand bien leur fasse. Si pour d'autres, c'est aux dépens de la loi, ce n'est pas moi qui vais les juger. Pour moi, c'est vivre à cent à l'heure, profiter de chaque instant. J'ai besoin d'être entouré, de faire quelque chose de mes dix doigts. J'ai besoin qu'on m'admire, qu'on reconnaisse le travail que j'ai accompli. Je ne peux pas être heureux en étant exclu de la société. Je suis un mec de la scène, un mec qui doit briller. Mon bonheur, c'est dans l'admiration des autres que je le trouve, dans la satisfaction d'un morceau terminé.
On m'a souvent dit que mes ambitions étaient surdimensionnées, que je visais trop haut sans savoir si j'en avais l'étoffe. La différence, c'est que j'en ai l'envie et que je suis fait pour. En fait, je m'embarrasse pas d'une ambition mal placée, j'accomplis juste mes objectifs. Quand j'étais gamin, je me suis toujours dit que je finirai dans la musique. J'en ai eu des détracteurs, et pourtant voyez où j'en suis ? Je ne le dois qu'à moi-même et c'est ça sans doute ma plus grande réussite. Au-delà de faire ce que je veux dans la vie, je me suis fait tout seul et je ne dois rien à personne. J'ai préservé mon intégrité et ma dignité. Ce qui n'est pas le cas de tout le monde, dans ce monde.
On pourrait s'attendre à ce que je dise moi, et ce n'est pas tout à fait faux. Tout ce qui est une extension de moi-même m'est indéfiniment précieuse : ma carrière, ma musique, mes amis, ma famille. Je serai prêt à absolument tout. Je n'ai peur de rien quand il s'agit de défendre ce sans quoi je pourrais pas vivre. Ma cousine, Alice, est la mieux placée pour savoir que je suis le plus redoutable des adversaires et le plus forcené des hommes, s'il le faut. Aller au bout du monde, commettre l'irréparable, ruiner la vie d'autrui. Et c'est pourquoi j'attends qu'on en fasse de même en retour. Je ne supporte pas l'injustice et encore moins la déloyauté. C'est pourquoi les gens qui me sont précieux se comptent sur les doigts d'une main. Il faut me mériter.
L'illégalité me gonfle, les cadres et les catégories me gavent. On veut enfermer les gens dans des cases, trouver une raison à tout ce qu'on fait. Si faire quelque chose de mal, c'est faire quelque chose qui n'est pas autorisé par les institutions, oui, j'ai déjà péché mon père. J'ai fumé autre chose que du tabac, j'ai conduit sans permis. Puis disons que j'ai rendu un dernier hommage à mon Angleterre natale avant de partir pour les U.S. Je me suis offert un petit souvenir qui vaut une fortune et je n'ai même pas mis la main à la poche. Je sais pertinemment que ça vous choque. Pourtant à chaque fois, ça m'a fait un bien fou. C'est le principal, non ?
Je me débarrasserais de tous ceux qui veulent mettre des bâtons dans les roues à autrui. Je me débarrasserais des lois, des hiérarchies, de tout ce qui peut juguler l'épanouissement d'une âme. Je supprimerais tous les codes qui maltraitent les gens, qui gênent les corps. J'ouvrirais tout à l'inspiration, à la liberté, à l'expression. Tout sans concession, sans restriction. L'humain dans sa forme la plus pure. Je sais que ce que je vous raconte a l'air d'une utopie. Mais de toute façon, vous comptez pas me donner un tel pouvoir, hein ? Alors qu'est-ce que ça peut faire...
Si vous l'ignorez, c'est que vous n'êtes pas censés le savoir.
DERRIÈRE L'ÉCRAN
Karma : Im a motherfucker Prénom/pseudo : Dandan, always. Âge : 26 ans tout juste. Anniversaire : 21 fév. Localisation : Dans les étoiles. Présence : Présence quasi-quotidienne, RP dès que possible. Personnage inventé J'ai connu le forum : En chanson. Et je le trouve : #FLEURDELYS Ma plus grande peur : Que Lys perde sa guitare. Un dernier mot ? Préparez les mouchoirs et les Xanax, la diva débarque.
IMAGES exordium, tumblr, google
- Lysander E. FosterI'm a Mother Fucker
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Orientation sexuelle : Indécis
ÉTOILE MONTANTE
La rubrique où c'est vous qui posez les questions à la star du moment.
La rubrique où c'est vous qui posez les questions à la star du moment.
Si sa tête ne vous dit pas grand-chose, vous avez sûrement déjà entendu sa voix. Depuis quelques années, Lysander Foster nous transporte de ses mélodies pop-rock et de son accent suave tout droit venu de Liverpool. Électron libre, touche-à-tout, plus rien ne semble l'arrêter. Dans ce numéro, l'artiste répond à sa façon, c'est-à-dire sans détour, à tout ce que vous vous êtes déjà demandé.
À VOUS LE MICRO
TOMMY : Pourquoi t'être lancé en solo ? N'étais-tu pas épanoui avec ton groupe [NDLR : On The Edge, dissous fin 2017] ?
Jamais, je ne me permettrais de dire que mon groupe ne m'a pas épanoui. C'est On The Edge qui nous a permis de nous faire connaître, qui m'a permis d'avoir la visibilité nécessaire pour évoluer par la suite. On The Edge, c'était les débuts, les premières chansons, les premières scènes avec moins d'une centaine de personnes, les fans de la première heure. C'était la cohésion de plusieurs talents, de plusieurs personnalités, plusieurs originalités. Ce sont eux qui m'ont permis de me sentir chez moi dans un pays qui m'était totalement inconnu. Qui est suffisamment stupide pour cracher sur le groupe qui lui a permis d'avancer ? J'ai décidé de me lancer en solo, parce que j'avais envie de renouveau. J'ai envie de proposer quelque chose d'encore plus personnel au public et c'est évidemment plus difficile quant on est quatre. Je tourne une page, mais j'oublie pas ce chapitre de ma vie.LOÏS : Pourquoi avoir créé T△LENT, ton label ? Tu penses que l'industrie d'aujourd'hui ne t'a pas donné ta chance ?
De nos jours, c'est plus difficile de se faire un nom sur la scène pop-rock. Au contraire de l'Angleterre, où il y a encore cette vraie culture du rock, les États-Unis sont beaucoup plus critiques, beaucoup plus réticents. Avec le groupe, on s'est heurtés à beaucoup de portes fermées. Il y en a qui n'ont même pas voulu nous écouter, sous prétexte qu'on était pas dans l'air du temps ! Et je pourrais faire scandale avec certaines personnes qui se sentent le droit de dire qui a le droit de percer et qui n'en vaut pas la peine... J'ai créé T△LENT parce que j'ai envie d'aller moi-même à l'encontre de ces artistes qui font les scènes des bar, qui brillent dans l'ombre. J'ai envie de donner une visibilité à ceux à qui on a dit non et qui ont pourtant quelque chose en eux. Je prends des risques pour ceux qui ne peuvent plus se permettre de le faire et c'est ce qui me plaît. Et croyez-moi, je suis difficile.RACHEL : Il y a quelques années, tu avais un style très sixties. Est-ce une époque qui t'a inspiré musicalement et personnellement ?
Évidemment. Mes parents ont toujours eu des goûts musicaux assez rétros, ils ont du mal à vivre avec leur temps de ce côté-là. J'ai été élevé avec Elvis Presley et ses tubes interplanétaires. C'est impossible de ne pas s'identifier à une seule de ses chansons, tant sa voix vous prenait aux tripes. Ça a toujours été une idole, ce n'était pas seulement un musicien, c'était un vrai showman qui suscitait l'admiration jusque dans la vraie vie. Un vrai personnage, une légende dont on se souvient plus de 50 ans après, ce n'est pas rien ! Puis il y a évidemment les Beatles qui sont originaires de ma ville natale. Ils sont encore pleinement ancrés dans la culture de Liverpool, et même du pays. C'est un groupe dont les morceaux seront encore d'actualité des décennies après. C'est inoubliable. J'ai même failli m'appeler Lennon, avant que ma mère n'entende raison. Il n'y a pas que musicalement que je m'identifie à cette époque : la libération des mœurs, du corps, de l'esprit... Tout semblait possible. Mon style, c'était pas seulement un hommage, c'était une revendication, une appartenance par rapport au monde d'aujourd'hui auquel je ne m'identifie pas toujours.MIKE : Pourquoi avoir quitté l'Angleterre ?
Je vous assure que des fois, je me pose encore la question. J'aurais très bien pu me lancer là-bas, que ce soit à Liverpool ou Londres. Comme je disais, ce genre de musique, c'est dans leur culture, je sais que j'aurais bien été accueilli. Puis ça aurait été un grand hommage. Alors, je ne sais pas trop... Je dirais que c'est peut-être l'envie d'ailleurs, une envie de relever le défi de conquérir l'Amérique. Un concours de circonstances aussi, mon frère rêvait également de partir outre-Atlantique. J'imagine que ça a joué aussi. Je ne regrette pas du tout d'être ici, mais je sais qu'un jour, je repartirai chez moi.JOAN : Est-ce que tu t'adresses à quelqu'un dans ton dernier single Sweet Emotion ? Tu as quelqu'un dans ta vie ?
Je pourrais m'adresser à quelqu'un, oui... Mais j'évoque surtout ce sentiment général de possession. Quand une âme vous obsède, quand on a l'impression qu'un être est entré en vous, tant qu'il vous habite. Cette impression d'apercevoir toujours cette personne au coin de la rue, que l'inconscient cherche toujours à vous rappeler à vos émotions. C'est un sentiment léger, quelque chose qui vous transporte et qui, à la fois, peut vous faire céder sous son poids. Je tiens à n'évoquer personne en particulier, pour qu'on se raccroche à l'abstrait de l'autrui, à ses résidus qu'il peut laisser sur l'autre. Ça peut être l'empreinte d'un désir, d'une reconnaissance, d'un soulagement. Elle est là, elle ne vous quitte pas. Les mots les plus simples expliquent parfois le mieux le complexe et l'indescriptible. Quant à la seconde question, c'est de l'ordre du privé. Mais si j'avais quelqu'un, je pense que vous le sauriez déjà... Si vous voulez un prénom, c'est raté. MARY : Quelle est la chanson que tu as composée qui te parle le plus ? Et ta chanson préférée en général ?
J'ai pas envie de faire le mec qui dit qu'il adore absolument tout ce qu'il a fait, mais c'est vrai. Je ne regrette aucune note, aucune parole. Toutes ces chansons ont, à un moment précis, été représentatives d'une émotion, d'une époque, d'un événement. Elles ont évolué avec l'artiste que je suis, alors pourquoi j'en renierai une ? Au-delà de ça, je dois dire qu'il y en a une qui a été à la fois la plus limpide et la plus difficile à mettre en place. Seaside. Je vous laisse en imaginer les raisons, je n'ai pas envie de m'étaler et d'influencer votre ressenti sur ce morceau. Mais c'est la chanson qui a encore le plus de saveur pour moi, quand je l'interprète. Sinon, parmi les chansons du monde entier, Can't Help Falling in Love d'Elvis peut me faire traverser tous les états et me donner toujours ce même frisson.SHEILA : Que conseillerais-tu aux jeunes qui veulent se lancer dans la musique ?
Battez-vous. Ne vous oubliez pas. Restez vous-mêmes. Se lancer dans la musique, c'est facile. Faites ce que vous aimez. Ce qui est difficile, c'est percer. Et dans un monde aussi impitoyable que l'industrie de la musique, on a vite fait de devenir quelqu'un d'autre pour vendre des disques. Ne vendez pas votre âme, ne renoncez pas à votre inspiration pour des chiffres. Ça finira toujours par payer. Si les portes se ferment, cherchez la fenêtre qui sera ouverte. Rien ne sert d'avoir un grand nom, si on se ment au fond de soi-même. Aimez, aimez, aimez et n'ayez peur de rien, c'est la plus belle des inspirations.IMAGES Tumblr
- InvitéInvité
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I missed you baby
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- Kai NortonReserve Unit
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Âge du personnage : 27 (08.01)
Nationalité(s) : Américain
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Mon personnage, en 5 mots : Farceur - Sportif - Romantique - Attachant - Bagarreur
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Carrière, métier ou job : Assistant management general manager Lakers
Études (passées ou en cours) : Diplômé Management + Sport Basket
Hobby : Sportif - Son fils - Ses amis - Sa vodka
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : C'est ... compliqué
Avec : une pianiste
Hey coucou toi
- InvitéInvité
SONIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIA (jsuis original comme mec, deux fois la même chose :P)
- InvitéInvité
Bon, sur LAPD je voulais te mettre le grappin dessus, j'ai pas eu le temps !
La crois moi que je vais pas te laisser partir, je vais être accrochée comme une moule à son rocher, je vais attraper tes jambes et m'y accrocher et plus te laisser seule. Voilà. T'es prévenue
Rebienvenue à la maison en tout cas
La crois moi que je vais pas te laisser partir, je vais être accrochée comme une moule à son rocher, je vais attraper tes jambes et m'y accrocher et plus te laisser seule. Voilà. T'es prévenue
Rebienvenue à la maison en tout cas
- InvitéInvité
Coucou ! Bienvenue parmi nous !
Faudra qu'on se décide à se trouver un lien puisque théoriquement on est cousin germain
Faudra qu'on se décide à se trouver un lien puisque théoriquement on est cousin germain
- InvitéInvité
Le chieur est de retour.
Bienvenue dans ton nouveau chez toi honey
Bienvenue dans ton nouveau chez toi honey
- InvitéInvité
LYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYS
JOTEM, BB !
Bienvenue ici !!!
JOTEM, BB !
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- IVY KANE HAMILTON ¶ l'épine même est agréable quand on y voit une rose.
- Le cœur au bord des lèvres (Adalia)
- LOLA C. SANDSTROM¶ Ce qui ne peut danser au bord des lèvres, s'en va hurler au fond de l'âme.
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- nettoyage lysander e.foster
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