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YESTERDAY'S NEWS |48
- InvitéInvité
Tu restes là à te regarder dans la glace. Tu es ÉNORME. Tu enrages parce que côté sexy on repassera. Que tu n’as pas le père dans le tableau et que, soyons réalistes, t'es pas sûre d'être prête à être mère. Tu te décides et attrapes ton téléphone. - Je suis grosse. C’est ta faute. Donc là c’est l'écho des 7 mois, tu viens avec moi et tu discutes pas. Si tu viens pas, j’envoie quelqu'un te chercher. - T'as l'air très crédible tout à coup. T’es tellement pas du genre mafia avec ses sbires. Ok t'as des amis qui seraient fichus d’aller le chercher mais t'es pas comme ça et tu as l’intuition qu'il va venir. Sinon va falloir que tu arrêtes de regarder Riverdale parce que tu vas finir par ressembler à archie. Et c’est pas positif. Tu te prépares - tu mets sox plombes - et tu sors de chez toi. T’as tout l'air d'être un hôte et qu’un affreux alien va te sortir du bide. Ca lui ferait les pieds à Kai tiens. Tu arrives sur place et on t'installes avant même que tu l'ouvres. Les baleines, ils ont l'habitude. On te fait écarter les pattes et on te fout du gel sur le bide. Tu regardes le moniteur et te dit que tant qu'il est pas né, tu as vraiment l’impression qu'il est pas humain. Tu le savais, t’aurais pas dû reprendre stargate. Non tu n’accouches pas d’un mini Thor. Pas dans Marvel hein, celui là c’est le genre grand homme blond pas petit homme gris. Il arrive enfin et tu peux pas t’empêcher de reluquer. Pfff pourrait pas devenir moche ? Ça équilibrerait. Tu dis rien mais tu le fixes d'un air de ramène ton cul c’est ton gosse dans la télé.
- Kai NortonReserve Unit
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Date d'inscription : 09/10/2017
Avatar : Adam Senn
Crédits : romanticlove
Autres comptes : Eden H. Snow & James L. Blackwell
Âge du personnage : 27 (08.01)
Nationalité(s) : Américain
Signe astrologique : Capricorne
Mon personnage, en 5 mots : Farceur - Sportif - Romantique - Attachant - Bagarreur
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : Assistant management general manager Lakers
Études (passées ou en cours) : Diplômé Management + Sport Basket
Hobby : Sportif - Son fils - Ses amis - Sa vodka
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : C'est ... compliqué
Avec : une pianiste
Il n’avait pas eu le choix. Le coup de téléphone avait été expéditif voir carrément autoritaire. Kai n’avait même pas cherché à se défendre, un vrai petit chien. Un oui, okay, et puis il a raccroché. Se demandant bien s’il allait se défiler. Des minutes de réflexion. Et la voix d’Arya qui résonne dans sa tête, pas de négociation. Il devait y aller. Pas le choix. C’était sa connerie. Il ne pouvait pas la laisser seule dans cette galère, il s’est embarqué dans le même bateau … Sans capote. Et oui. Ce bateau-là. Pas celui de l’amour, celui de la paternité qui commence par merder. Alors quand il arriva dans la salle d’attente et qu’on lui indiqua la pièce où il devait se rendre, le Norton hésita encore un instant avant d’ouvrir la porte et de la voir, les jambes écartées, la main du médecin tripatouillant il ne sait quoi sur son ventre. Un bref « Salut » car il ne sait pas quoi dire. Ouais tu vas bien, ouais moi aussi, allez vas-y embrasse-moi, non, jamais. Le regard d’Arya le dissuade rapidement de faire demi-tour et il s’approcha près d’elle. Une moue dubitative sur le visage, ne sachant pas quoi dire ni quoi faire. Et encore moins où foutre ses mains qu’il préfère fourrer dans ses poches. Au moins, là, il ne ferait pas de bêtises. Ses yeux se tournent sur le moniteur et il se mit à sourire. Sans ne savoir comment ni pourquoi. Ce qu’il voyait c’était bien son bébé. Le sien. A lui. Son enfant. Il penche la tête sur le côté. Enfin, c’est une chose qui deviendra un humain, un jour, sans aucun doute. « Ouah » Qu’il échappe simplement comme un gamin à qui on vient d’offrir un jouet trois fois plus grand que lui. Que c’est beau la paternité !
- InvitéInvité
Tu as maintenant peur que non seulement il soit aussi gris que thor mais aussi con que la version blonde. Ce gamin est franchement mal barré. Tu vois monsieur s'installer à côté et fixer ton ventre avec une drôle de tête. Tu le vois ne plus savoir quoi faire de ses deux mains. Allez hop dans les poches. Sauvez nous que tu penses alors. Le voilà qui fixe à présent le moniteur et tu te souviens qu'il a dit bonjour. Sauf que toi t’es celle qui a le gel froid sur le bide et qui a hâte de filer. Tu l’as vu récemment le p'tit alien, et tu le regardes plus autant comme la 7e merveille du monde. Voilà qu'il s’exclame et ta main vient se plaquer sur ton front. Il va te foutre la honte. Puis tu te rends compte que c'est sa première fois. Qu'il réalise enfin qu'il ya un gamin là dedans. Alors tu souris et tu lui prends la main. Allez on signe l’armistice mais faut pas pousser mémé non plus hein. C’est lz moment où ton fils joue les exhibitionniste et nous montre son p'tit tuyau. Pas de doute c’est son fils. S'il drague les infirmières à la naissance, tu sauras à quoi t’en tenir. Faudra que tu ajoutes dès le début un mode “la femme n’est pas un kleenex” pour que le ptit finisse pas comme le père. Pour lui c’est trop tard. Tu imagines déjà le foutoir. Il va nous ramener des gamines à la maison et me dire que c’est ses copines. A trois ans. Mais bon au moins à cet âge là, c’est mignon. Mon p'tit gars, toi c’est plus si charmant. Mais il est venu. Et il réalise. Alors peut être qu'il a une chance ce petit. Toute façon fallait se bouger dans deux mois il est la. Même plus tôt s'il est pressé. De téter par exemple. - Merci. - Que tu lâches finalement.
- Kai NortonReserve Unit
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Le contact de la main d’Arya sur la sienne, il ne le sent pas. Subjugué par la forme étrange, oui étrange pour lui qui ne sait pas à quoi ressemble un gamin dans le ventre de sa mère, lui, le mec qui connaît la méthode pour concevoir un enfant mais surement pas pour son évolution. En avant les spermatozoïdes ! Ses yeux s’écarquillent, il prend conscience. Bordel ! Il va être père ! Réellement. Lui. Kai. Le seul. L’unique. Un mini lui va germer de ce corps. Il guette Arya, et sa position pour le moins … Enfin, qui ne la met pas en avant voyez-vous. C’est qu’il ne sera pas dégueulasse ce gamin. D’ailleurs. Son attention se reporte sur le médecin, le docteur, le monsieur qui manie avec perfection cet engin magique, la télévision pour future maman. « C’est un garçon ou une fille ? » A l’instant même, on aperçoit l’indice frappant. Se levant comme si on venait de mettre un cactus sous son derrière, il sourit. Lève les bras dans un instant de bonheur et attrape le médecin pour le serrer contre lui. Joie extrême. « Un petit mec ! » Il vient de remporter la cagnotte américaine de plusieurs millions de dollars ? Pas du tout ! Il vient simplement de connaître le sexe de son futur enfant. Mais pour lui, qui voit sa vie bouleversée, c’est un événement sans suite. Relâchant le médecin, parce que le soulever de plusieurs centimètres sans qu’il ne touche terre et lui avouer tout son amour pour faire son travail, c’est beaucoup trop intense pour l’hétéro qu’est Kai. Il en pleurerait presque. Retournant s’asseoir aux côtés de la future maman, cette fois, c’est lui qui attrape sa main en la regardant, les yeux brillants. « Il sera magnifique » Qu’il glisse. A moitié un compliment. A moitié comme pour se rassurer. Le voilà qui prend conscience de ce qui lui arrive. Il doit être un père, un bon père. Pas le genre absent come a été le sien. Telle une promesse silencieuse.
- InvitéInvité
Kai sous acide, ça vaut le détour, sérieusement ! Tu le regardes, morte de rire, mais tu te contiens. Le pauvre, il comprend enfin le merdier dans lequel il a mit les deux pieds. E ouais mon grand, c’est ton fils. Tu adores le fait qu’il découvre - à 7 putin de mois - le sexe. Ca fait un moment que je le sais hein. Au moins c’est bien, il sait reconnaître un zizi. On est peut être sur la bonne voie. Tu es mauvaise, mais t’y peux rien, il t’a lâché, il a merdé autant que toi et il a attendu tout ce temps. même pas sur qu’il sorte de sa bulle, mais c’est plus complètement impossible. Voilà qu’il enlace le médecin, tu lèves les yeux en l’air et te pose la main sur le front. Là c’est toi qui veut rentrer dans le déni et te prétendre la vierge marie.Si si, je vous assure, YAVAIT PAS DE PERE. Parce que celui là a l’air franchement parti loin. tu dis rien. - T’as fini de faire des câlins au médecin ? Il est pas gay. - que tu dis énervée et frustré. il attendu tout ce temps et c’est le médecin qu’il remercie… Parce que toi t’es juste la machine à bébé hein, il va juste sortir de TON vagin, tout va très bien. Vous connaissez la rengaine, les yeux revolvers ? Dans ta tête, Kai il est mort au moins 5 fois. Il revient à côté de toi et cette fois ci, te prend la main lui même et te sors une banalité affligeante. - Bien sur, s’il te ressemble pas. S’il a ton cerveau, jte garantie tu le gardes. - Merde. Tu l’as dit à haute voix. c’est pas vrai hein, tu l’aimeras, même pas très net et irresponsable. Une mère aime son gamin, peu importe ses capacité mentales. Mais t’es pas obligé d'être gentille avec le père, c’était pas écrit dans les règles pas écrites. - Quand on aura tous admiré l’alien dans mon ventre, peut être m’informer sur son état ? - Tu réveilles le médecin, probablement traumatisé par Kai. Pauvre gars. - Très bien, il se développe bien. Par contre, peut êtr en faire moins ? Vous avez l’air fatiguée.- Tu vas lui en foutre des tu es fatigué. On se demande POURQUOI hein. Tu lui jettes un regard noir, il te donne des informations et tu commences à descendre de là et tenter de te rhabiller. - Tu sais pourquoi je suis crevée ? Tu fais le lien ? - Tu le laisses deviner que t’es pas très aidé, que tu as du faire des courses etc, seule. Comme une conne et que c’est pas le rôle d’Arizona ou autre. Mais tu lui dis pas d’emblée. A croire que tu lui en veux trop pour être plus claire.
- Kai NortonReserve Unit
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Quartier de résidence : Westside
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Avec : une pianiste
Surtout ne pas la regarder. Regard fuyant, les prunelles d’Arya deviennent des armes dangereuses et Kai ne souhaite pas mourir tout de suite alors il préfère garder son attention sur le médecin, l’écran, l’image ; le médecin, l’écran, l’image et ainsi de suite, dans la même boucle, sans jamais oser un regard vers le ventre énorme ou les yeux noirs d’une femme en colère. Un chemin psychédélique qui pourrait détruire n’importe quel être humain. Question fatidique qui germe dans l’esprit du basketteur, est-elle tout le temps comme ça ou simplement pour la grossesse ? Imaginons que son humeur affreuse ne soit pas dû aux hormones, sur une échelle de 1 à 10, Kai se trouve dans quel merdier ? Réponse, 99 … Très bien, nous dépassons donc l’échelle, adieu monsieur Norton. Il le savait que les deux minutes perdues à regarder l’horoscope ce matin ne l’aideraient pas … il avait annoncé une joie et une bonne nouvelle dans la journée, le voilà qu’il se fait maltraiter à coups de regards noirs. Brrr. Froid dans le dos.
Et boum c’est le clash ! La comète qui s’abat sur la tronche du bonhomme. Arya 1 point, Kai … Zéro pointé ! Il ne tente même pas de se défendre, baisse le regard. On vous a déjà dit qu’il ne faut jamais répondre à une femme enceinte et énervée ? Jamais !!! Il n’y connaissait pas grand-chose, voir rien du tout, en matière de grossesse le Kai, mais il savait très bien qu’il ne fallait pas trop les embêter. Et puis, avoir deux Collins chez lui en même temps l’avait bien aidé à encaisser sans répondre, simplement sourire et secouer la tête. Voilà, exactement comme il est en train de le faire à l’instant même. S’imaginant sur une plage, après le coucher de soleil admirant un spectacle de couleurs naturelles à l’aube du crépuscule … Oui, il a besoin de beaucoup d’imagination pour rester calme, cela est vrai ! Profitant d’une minute de répit pour laissant le médecin prendre la parole, Kai ne dit pas un mot, reste silencieux comme s’il pouvait se terrer dans un trou de ver pour se faire oublier. Peine perdue. Elle n’allait pas l’oublier, oh que non ! Elle l’interroge et il réfléchit. Laissant un vide dans la discussion. Ah c’est à moi qu’on parle ? Merde alors ! « Je… » Il tente de commencer une phrase. Autant dire que son cerveau peine à réfléchir. Il serre la mâchoire, la laisse descendre et détourne les yeux pour qu’elle puisse se rhabiller. « Ecoute, si tu as besoin d’aide je suis là maintenant. » Comme un élan de maturité, une révélation. Ces derniers temps, il avait appelé à l’aide la plupart de ses amis, cherchant des conseils sur ce qu’il doit faire et comment. La conclusion qu’il avait tiré, de son propre passé … Il devait être un père, un vrai. Pas le genre absent comme le sien, à être élevé par ses grands-parents, oh non il n’a pas manqué d’amour mais ce repère masculin absent creuse tout de même un vide dans son cœur. Il ne ferait pas la même erreur. « Je vais faire préparer une chambre chez moi pour le petit et tu m’appelles dès que tu as besoin, qu’est-ce que je peux faire pour aider ? » Sa question est sérieuse, lui-même est sérieux. Et il conclue. « Je veux être un bon père, je te le promets. »
Et boum c’est le clash ! La comète qui s’abat sur la tronche du bonhomme. Arya 1 point, Kai … Zéro pointé ! Il ne tente même pas de se défendre, baisse le regard. On vous a déjà dit qu’il ne faut jamais répondre à une femme enceinte et énervée ? Jamais !!! Il n’y connaissait pas grand-chose, voir rien du tout, en matière de grossesse le Kai, mais il savait très bien qu’il ne fallait pas trop les embêter. Et puis, avoir deux Collins chez lui en même temps l’avait bien aidé à encaisser sans répondre, simplement sourire et secouer la tête. Voilà, exactement comme il est en train de le faire à l’instant même. S’imaginant sur une plage, après le coucher de soleil admirant un spectacle de couleurs naturelles à l’aube du crépuscule … Oui, il a besoin de beaucoup d’imagination pour rester calme, cela est vrai ! Profitant d’une minute de répit pour laissant le médecin prendre la parole, Kai ne dit pas un mot, reste silencieux comme s’il pouvait se terrer dans un trou de ver pour se faire oublier. Peine perdue. Elle n’allait pas l’oublier, oh que non ! Elle l’interroge et il réfléchit. Laissant un vide dans la discussion. Ah c’est à moi qu’on parle ? Merde alors ! « Je… » Il tente de commencer une phrase. Autant dire que son cerveau peine à réfléchir. Il serre la mâchoire, la laisse descendre et détourne les yeux pour qu’elle puisse se rhabiller. « Ecoute, si tu as besoin d’aide je suis là maintenant. » Comme un élan de maturité, une révélation. Ces derniers temps, il avait appelé à l’aide la plupart de ses amis, cherchant des conseils sur ce qu’il doit faire et comment. La conclusion qu’il avait tiré, de son propre passé … Il devait être un père, un vrai. Pas le genre absent comme le sien, à être élevé par ses grands-parents, oh non il n’a pas manqué d’amour mais ce repère masculin absent creuse tout de même un vide dans son cœur. Il ne ferait pas la même erreur. « Je vais faire préparer une chambre chez moi pour le petit et tu m’appelles dès que tu as besoin, qu’est-ce que je peux faire pour aider ? » Sa question est sérieuse, lui-même est sérieux. Et il conclue. « Je veux être un bon père, je te le promets. »
- InvitéInvité
Il avait l’air tout sauf à l’aise. Alors tu te décidais enfin à être moins acerbe, après tout, même la maman alien bouffe pas le père, quoique, mauvais exemple. Il semble gêné, il réalise que ta mauvaise humeur est en parti lié à ces mois seule sans aide du père. Tu te rhabilles et il détourne les yeux, tu te marres discrètement. Vous en êtes plus là, il a vu ta nudité plus d’une fois, enfin, pas celle là. - Tu es sur ? Parce que si c’est pour changer d’avis ensuite, j’aurais du mal à oublier Kai. - Oublier qu’il y a eu une lueur d’espoir que tu élèves ce ptit à deux. Surtout un ptit mec, tu auras besoin d’aide. Une fille, tu connais,, plus ou moins, mais un mec. Certes tu n’as jamais été très fifille non plus mais tu ne sais pas grand chose sur les débuts d’un garçon, quoi qu’en ait voulu ton père. Il parle d’installer des choses chez lui, pour le petit. Tu fronces les yeux, enfin prête à aller, tu attrapes la porte. - C’est gentil, je verrais ça. par contre, tu me parles de faire une chambre pour le petit, chez toi, tu as conscience qu’au début, il sera chez moi ? Je compte l’allaiter Kai. - Tu veux qu’il comprenne qu’il est pas question que tu te sépares de ton gamin dès le début, il a besoin d’être près de la mère même si Kai pourra venir quand l veut. Pas question que tu le laisses dans ses premières semaines de vie, et que tu fasses l’impasse sur l’allaitement. Tu ne veux pas cependant qu’il pense que tu vas l'empêcher de le voir pour autant. - Mais je vais surement avoir besoin de souffler parfois, donc on s’arrangera dès qu’il pourra être déplacé. On peut en discuter si tu veux, si tu as le temps. Des. Détails ? - Tu espères qu’il soit ouvert à ça, parce s’il pense te l’enlever il se trompe, tu ne vas pas laisser une autre s’occuper de ton fils. Encore moins un Kai. Maman ours est là et compte pas se défiler, même si tout va changer et que le manque de partenaire te travaille. Même si tu as Aristide prête à aider. Puis tout à coup, la douleur est forte, tu sais pas d’où ça vient mais tu pourrais dire que tu as atterri dans twilight et que ton gamin va sortir et t’arracher les entrailles. Si l’accouchement c’est ça, césarienne merci bien. Tu as pris la main de Kai spontanément, lui écrasant surement. - Appelle le médecin putain - que tu gueules plus que tu dis. Putin, tu le sens mal cette histoire, tu te plies de nouveau, tant bien que mal.
- Kai NortonReserve Unit
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« Je ne changerai pas d’avis. » Simple. Clair. Et concis. Il avait pris sa décision, il voulait être un père, un bon père, pas quelqu’un d’absent. Il voulait faire mieux que ça, mieux que ce qu’il a vécu lui. Il ne ferait pas la même erreur. Il se retourne quand il comprit qu’elle a terminée de se rhabiller pour pouvoir lui faire face. « Pas de soucis, mais tu ne l’allaiteras pas toute sa vie et tu auras besoin de prendre du temps pour toi des fois, c’est pour ça que je suis là. » Cartes sur table. « Les détails on peut en parler plus tard tu sais » Il jette un œil sur le médecin, toujours là. Non parce que c’est leur vie, pas la sienne, il n’a pas besoin de connaître les détails de leur organisation. Il doit d’ailleurs avoir comprit vu qu’il s’éclipse les laissant seuls quelques instants. « Tu sais, j’ai vraiment envie d’être là pour le petit, pour toi, je ne vais pas te laisser seule avec cette responsabi… » Il n’a pas pu finir sa phrase qu’il sentit sa main se faire broyer, laissant ses yeux s’écarquiller sous l’effet de la douleur. Okay. Médecin. Il est où ce petit con. Kai se retourne, cherche la blouse blanche du regard partout dans les environs sans l’apercevoir. « Assieds-toi. » Qu’il tente de dicter de manière la plus rassurante le plus possible. « Est-ce qu’il y a un putain de médecin qui aurait l’amabilité de se pointer ici !? » Qu’il crie à qui veut bien l’entendre avant de voir le mec revenir en courant. Ah ben il était temps ! Sans lâcher la main, il la regarde dans les yeux et tente le tout pour le tout pour lui faire penser à autre chose qu’à la douleur. « Ecoute moi. » Un temps de pause pour un regard vers le médecin et voir ce qu’il fabrique. Bon, il doit bien savoir ce qu’il fait lui. « Alors, que fait une patate qui a la diarrhée ? » Tentative de la blague la plus nulle pour détourner l’attention. Oui c’est la technique la plus minable de tout l’univers, sans aucun doute. « Elle fait de la purée, hé ouais ! » Qu’il s’exclame en souriant. Ça marche ou pas ?
- InvitéInvité
Il ne changera pas d’avis. tu l’espères, parce que ton monde s’est écroulé une fois, pas deux. Pas question qu'il te lâche, tu le supporterais pas là. Il te rassure, te dit qu’l sera là, quand tu auras besoin. Tu souffles doucement, c’est mieux, il te calme. L’avenir est moins flippant. Votre jeu, votre interlude dans les toilettes devient autre chose, et ça fait peur, c’est excitant aussi. Et aussi douloureux aussi. Putain, le bordel. Il te demande de t'asseoir, tu as envie de rétorquer, tu n’avais pas l’intention de faire autre chose. Il s’énerve, perd son calme, ça te rassure, il est aussi paniqué que toi. Puis merde, s’il ya le moindre problème, tu t'effondres. c’est si compliqué d'être une future mère ? Tu souffles mais ça change RIEN. Quelle connerie ce truc, c’est pour te faire croire que ça va calmer la douleur. Ca t’occupe juste c’est tout. Et tout à coup, pendant que tu es pliée en deux - enfin autant que tu peux avec ton bide qu’un alien occupe - il te sort la pire blague que t’as jamais entendu. Pourtant, Ari a un palmarès impressionnant pour ça. Tu te marres, ça fait mal, mais tu souris. Parce que c’est incongru. - Je préfèrerai avoir la diarrhée. - Un médecin arrive et le regard que tu lui portes veut tout dire, qu’il se grouille ou tu le bouffes. Il t’ausculte, tu le regardes comme si te tripoter allait l’aider à déterminer ce qui va pas hein ! Il finit par demander à des infirmiers de te mettre dans un fauteuil. Tu rales en sourdine et fais la gueule jusqu'à la chambre où on finit de t'examiner et de regarder ce qu’il se passe. Après une éternité - donc juste trente minutes - il dit revenir. Tu l’attends une autre éternité - encore trente minutes quoi - et il revient. - Madame.. - Tu le coupes - Mademoiselle - Il avale sa salive. - Mademoiselle, donc, il va falloir y aller plus doucement. Plus de voiture, plus de longue marche et du repos. - Tu le regardes, furieuse. On tue pas le messager, toi tu veux le fusiller. Du repos. autrement dit, tu vas te faire CHIER. On te dit “ tu vas voir le petit va te rendre la vie impossible dès qu’il sera né”. le tien est précoce, il commence AVANT. Si t’avait un doute, c’est bien celui de Kai. Tu regardes le médecin repartir sans demander son reste, et tu le suis du regard tout en planifiant sa mort lente. - T’es content ? Ta faute ça. jvais faire quoi, commencer le tricot ? - Que tu lui dis agacée, même si, c’est pas sa faute, c’est VOTRE faute. T’es pas d’humeur, c’est sa faute pis c’est tout. C’est pas lui qui va sortir un ballon de basket par le chas d’une serrure.
- Kai NortonReserve Unit
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Etonnamment, la blague semble fonctionner et l’égo de Kai se gonfle. Ben ouais, même dans un moment de panique générale il n’est pas si mauvais question humour. Même si, admettons-le, il est loin d’atteindre un score élevé dans la matière. Le pire blagueur, c’est bien lui. Kai reste impuissant, sa main toujours prise il laisse le médecin ausculter la femme en détresse. Toujours présent, comme protecteur. On ne fait pas de mal à son gamin monsieur le médecin ! Son regard noir d’inquiétude reste fixé sur l’homme à la blouse blanche. Sa main finie par relâcher celle de la future maman quand une bande d’infirmiers débarque. Il suit le groupe qui trimballe Arya dans un fauteuil. Elle doit être folle de rage, elle et ses hormones. Il ne dit plus rien et fait mine d’être transparent. Sa carrure imposante tel un fantôme observe. S’inquiète de plus belle. Et le trajet dans les couloirs de l’hôpital ne lui plaise guère, un froid dans le dos lui suffise pour être certain d’une chose, il n’aime pas cet endroit et en plus ça pue. Les seules fois où il est venu ici c’était pour sa blessure au basket et sa bagarre avec Arizona. Rien de bien positif. Heureusement aujourd’hui, c’est pour la naissance d’un petit. Un nouveau chamboulement dans sa vie. Un rôle de père qu’il est prêt à endosser.
Discret, adossé à un mur il écoute, regarde chacun des gestes des infirmiers et du médecin prêt à intervenir au moindre petit fait qui ne lui plairait pas. Mais eux, ils sont médecins, pas lui. Alors il reste muré dans son silence jusqu’à ce que la troupe de blouses s’exfiltrent et que la question assassine d’Arya le remette sur le devant de la scène. Il se redresse, se dirige vers elle en haussant les épaules. « Ça pourrait être fun que le petit ai un pull tricoté par maman » Il sourit, tente d’apaiser la situation au risque de se faire frapper, voire pire, encastré dans le béton du mur de l’hôpital. « J’ai une idée » Un doigt dans l’air en guise d’arrêt. Il fouille dans sa poche à la recherche d’une pièce de monnaie qu’il trouve enfin. « Pile, tu fais du tricot. Face c’est moi qui en fais » Il tente de s’investir au maximum dans son rôle de père, même s’il doit bien avouer que c’est la gorge serrée qu’il jette la pièce dans les airs. Ne fais pas de connerie petite monnaie. Il essaie de la rattraper, en vain, elle glisse, roule, tombe et finit sous le lit de la chambre. « On va dire que personne ne fait du tricot hein, et qu’on va trouver quelque chose pour t’occuper. » Il sourit bêtement en ajoutant, comme pour changer de sujet. « Je te ramène chez toi ? » Une envie d’ajouter qu’elle n’a plus le droit de prendre la voiture le titille mais il commence juger de l’importance de rester en vie, et cela passe par sa patience et son silence pour ne pas énerver Arya.
Discret, adossé à un mur il écoute, regarde chacun des gestes des infirmiers et du médecin prêt à intervenir au moindre petit fait qui ne lui plairait pas. Mais eux, ils sont médecins, pas lui. Alors il reste muré dans son silence jusqu’à ce que la troupe de blouses s’exfiltrent et que la question assassine d’Arya le remette sur le devant de la scène. Il se redresse, se dirige vers elle en haussant les épaules. « Ça pourrait être fun que le petit ai un pull tricoté par maman » Il sourit, tente d’apaiser la situation au risque de se faire frapper, voire pire, encastré dans le béton du mur de l’hôpital. « J’ai une idée » Un doigt dans l’air en guise d’arrêt. Il fouille dans sa poche à la recherche d’une pièce de monnaie qu’il trouve enfin. « Pile, tu fais du tricot. Face c’est moi qui en fais » Il tente de s’investir au maximum dans son rôle de père, même s’il doit bien avouer que c’est la gorge serrée qu’il jette la pièce dans les airs. Ne fais pas de connerie petite monnaie. Il essaie de la rattraper, en vain, elle glisse, roule, tombe et finit sous le lit de la chambre. « On va dire que personne ne fait du tricot hein, et qu’on va trouver quelque chose pour t’occuper. » Il sourit bêtement en ajoutant, comme pour changer de sujet. « Je te ramène chez toi ? » Une envie d’ajouter qu’elle n’a plus le droit de prendre la voiture le titille mais il commence juger de l’importance de rester en vie, et cela passe par sa patience et son silence pour ne pas énerver Arya.
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