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YESTERDAY'S NEWS |48
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kobby haën stewartson
you want chocolate ? i want another gun honey.
Avant de commencer, nous aimerions vous poser quelques questions sur votre personnage, afin d'en savoir davantage sur les motivations qui l'animent.
L'INTERROGATOIRE
Drôle de question, mais si vous voulez tant savoir, je pense que j'aimerais avoir des connaissances sur les maladies mentales. La psychiatrie est tout de même le domaine le moins exploiter du monde, alors que l'être humain est complètement fou. Savoir comment tout se créer, comme la perte de mémoire se passe, comment le cerveau gère et génère des maladies pour se protéger ou bien s'autodétruire. C'est à mes yeux le sujet le plus vaste, mais aussi le plus capitale de la vie. Et qui sait. Savoir comment tout ceci est insérer en nous peut aussi apporter la clé de sortie à tout cela.
Mes rêves les plus fous… Faudrait peut-être déjà que j'en ai. Je ne sais pas si on peut considérer cette folie comme un rêve, mais faire l'un des plus grands braquages du monde, ça serait pour moi la plus grande récompense que la vie pourrait m'offrir. Après tout, voler et falsifier, c'est comme une deuxième nature pour moi, alors autant continuer ainsi et aller jusqu'au bout. Mais sinon, je ne suis pas de ceux qui aiment forcément avoir de l'attention sur eux. Je veux qu'on me craigne, qu'on m'aime, mais être au centre de tout, ce n'est pas vraiment ce qui m'anime et me fait me lever chaque matin de mon lit si doux et harmonieux.
Une drôle de question résulte à une drôle de réponse. Navrée. La recette du bonheur, c'est une piscine de réglisse, avec sur la table de la véranda, une pizza au jambon géante, un Bulldogs français dans mes bras, quatre ou cinq hommes objet à ma disposition, et une pluie de billet donnant sur cette villa grand luxe. Vous avez demandé, n'oubliez pas. J'étais donc dans l'obligation de répondre.
ta plus grande réussite à ce jour ?
Mes ambitions sont grandes, voir même un peu trop grandes. Mais elles sont ce qui m'animent tous les jours, et qui me donnent une raison pour me battre avec la rage au ventre. Elles sont fortes, merveilleuses. Et grâce à elles, j'ai quand même réussi à avoir des réponses sur mon passé. Ma plus grande fierté, c'est d'en savoir un peu plus sur la personne que j'étais. Oui… Entre temps, j'ai appris à me défendre avec des armes, et il s'avérait que j'étais extrêmement douée, j'ai rejoint un cartel pour ne pas être seul dans mes démarches et j'ai acheté un chien, mais ça en valait la peine au final.
et jusqu’où serais-tu prêt(e) à aller pour la défendre ?
Mon chien. Jésaël. Il est devenu toute ma vie depuis que je l'ai adopté. Ce bullmastiff est définitivement l'amoureux de mes journées et de mes nuits. Je serais prête à tuer si jamais on me l'enlevait, parce qu'en plus d'être un chien, il est ma famille. Sa valeur est inestimable, et même pour des diamants je n'aimerais pas le voir disparaître. Mais bon, on va dire que c'est parce que je suis légèrement maniaque que je dis ça. Mais garde à la personne qui m'en sépare. Parce que je pense qu'elle n'aura jamais autant souffert que le jour où je la retrouverais.
qu’as-tu ressenti ?
Oh ben la, bien sûr. Mais la vraie question c'est plutôt qu'est-ce que je vais vous raconter ? ahah. Bon, plus sérieusement. J'ai déjà orchestré un vol à l'étalage avec des amis. Et tout ce que je peux dire, c'est que les déguisements il n'y a que ça de vrai. Après, ce qu'on ressent, c'est surtout du stress, de la nervosité. Enfin, je crois. Personnellement, c'était l'excitation qui régnait chez moi. Pourtant, je contrôlais chaque chose. Je veillais à ne laisser ni cheveux, ni traces de doigts, ni fil de vêtements sur la scène. Parce qu'on ne sait jamais comment les flics vont remonter jusqu'à nous. Après… Qui pourrait croire qu'une actrice, et chanteuse célèbre pourrait s'abaisser à faire du vol quand son chèque est très généreux à chaque fois.
Je ne referais rien. Le monde est parfait comme il est, dans toute son atrocité. Je ne referais rien, parce que sans les guerres, sans le mal qu'on subit chaque jour, nous ne serions pas aussi parfaits et complexes. Je trouve la vie fantastique ainsi et je n'aurais pas envie qu'elle soit autrement. Traitée moi de folle, de psychopathe ou ce que vous voulez d'autre, mais sachez que j'accepte mon monde et mes faiblesses comme ils sont et nullement, d'une autre manière.
Je suis adorable. Étrange mais adorable. Tellement adorable qu'on ne croirait jamais que je pourrais tirer sur quelqu'un, et pourtant ça ne me gêne aucunement. Tellement adorable que j'arrive à dormir sur mes deux oreilles sans avoir peur des répercutions. Mais je suis folle aussi. Folle du style à ne pas dormir pendant plusieurs nuits pour lier certains évènements ensemble. Folle au point de se battre sans aucune retenue pendant une minute, et celle d'après avoir un sourire et une élégance digne de sa majesté. Je suis étrange. Je suis folle. Mais je suis aussi la personne la plus fidèle qu'on ne puisse trouver, et la plus aimante. La plus douce sous ses bons jours. La petite femme parfaitement imparfaite, mais qu'on aime quand même.
DERRIÈRE L'ÉCRAN
Karma : [ ] It's all my fault [xx] I'm a mother fucker. Prénom/pseudo : margot, dirti.wave. Âge : 21 ans. Anniversaire : 27 mai. Localisation : Guadeloupe ou Québec. Présence : 7/7. Personnage ... [xx] inventé [ ] pré-lien. J'ai connu le forum : par bazzart. Et je le trouve : wonder"motherfucker"ful and perfect. Ma plus grande peur : de pas être intégré parce que je suis timide, wi wi. Un dernier mot ? licorne et papillons, .
IMAGES .CRANBERRY
- InvitéInvité
FAITS DIVERS
be ready, be flatty.
wake up bitch, I'm bad.
Qui je suis ? Quel est mon histoire ? Quelle bonne blague. Ma vie n’est qu’une mascarade. Je ne reconnais même pas mes propres parents. Je sais simplement ce qu’on m’a dit. Les histoires qu’on m’a contées. Il y a un an, j’ai perdu la mémoire. J’aurais eu un accident de voiture selon mon dossier médical. Et j’en aurais été la seule survivante. Le conducteur ne s’en est pas sorti. Et ne me demandez pas qui il était ou ce qu’il représentait pour moi. Je n’en sais absolument rien. Et ce n’est pas faute d’avoir essayée. Le dernier souvenir qu’il me reste d’avant l’accident, n’est rien d’autre qu’une odeur. Et un sentiment. Ce sentiment de bonheur et de sureté. Je ne savais pas pourquoi, je ne le retrouvais nulle part. Et encore moins en présence de ma soi-disant famille. J’avais dû réapprendre certaines choses. Mais d’autres me revenait d’elles-mêmes. Le docteur croyait que mon inconscient se réveillait petit à petit. Mais plus les jours passaient, moins je croyais en un éveil miraculeux. C’était des foutaises. De pures et simples foutaises. Je détestais les médecins, mes parents, et ce pauvre gars qui me servait de psychologue. Je détestais ma vie.
« Kobby, vous devez me parler. Je dois savoir si vous vous souvenez de quelque chose. Même la plus minime qui soit. » Je ne le regardais même pas. Lui, son stylo et sa dégaine de riche un peu précoce. J’en avais marre qu’on me mente. J’en avais marre qu’on me demande de me souvenir. J’étais prête à ce qu’on me laisse tranquille. Et je voulais juste qu’on me dise ce qui c’était réellement passé. « Docteur… Je ne me souviens de rien. Je ne sais pas comment ni pourquoi je peux vous donner les dates du règne d’Hitler, ou même les noms des participants de l’Onu et de l’ordre de leur arrivée. Je ne sais pas pourquoi je ne me souviens pas de mon enfance, mais que celle du roi Louis quatorze n’a pas de secret pour moi. Et je m’en fiche. À l’heure d’aujourd’hui, je m’en contre fout tout simplement. Je veux juste savoir les raisons du pourquoi j’étais dans cette voiture. Et l’identité de celui qui conduisait. Je veux savoir comment on a fini percuté par ce camion et s’il était sobre ou complètement bourré. Alors non, je ne veux pas parler avec vous si vous n’avez rien de plus à m’apprendre que ce que je sais déjà, à savoir que j’ai de la chance d’être en vie et que mes parents sont mes parents. » Ma voix, mon ton. Tout était froid. Et ce, pour la simple et bonne raison que j’en avais marre. Marre, qu’on m’aide avec des séances de psychanalyses. Pourtant, comme tous les autres, il ne m’avait pas répondu. Et avait même préféré se racler la gorge. Inutile. Cet homme était tout bonnement inutile. Je m’étais levé de mon siège sans demandé de reste. Et j’avais quittée la salle sans savoir qu’il serait la lumière dans tout ce brouillard qu’était mon passé.
Los Angeles, c’était ma maison. Le seul endroit où je me sentais en paix avec moi-même. Depuis ma perte de mémoire, me retrouver dans ce nouvel appartement me remplissait de satisfaction. Je ne savais pas pourquoi, ou comment ça se faisait, mais c’était le seul et unique endroit où je n’avais pas à me poser de questions. C’était le seul endroit où je pouvais vaquer à mes occupations sans qu’on ne prenne soin de moi. Je pouvais me blesser dans les rues de la ville, sans que personne ne se retourne sur mon passage, je pouvais boire à en avoir des trous noirs sans pour autant qu’on ne me demande le jour de ma naissance, ou encore le prénom de mon chien. En vérité, ce n'est pas que je n'aimais pas mes parents, ou que ma vie avec eux ne me comblait pas, mais lorsqu'on vous offre du travail officieusement et que c'est risqué dans tous les sens du terme, vous éloigner de votre famille est la meilleure des solutions. Parce que oui, en plus d'être chanteuse et actrice, il m'arrive de menacer quelques personnes, ou de voler certaines. Malgré que le plus excitant reste lorsque l'acier touche la paume de ma main, l'acier d'une arme si fraîche que lorsqu'on la pointe dans une direction, notre coeur bat la chamade. En me levant ce matin, j’étais de bonne humeur. Et ça n’allait pas changer de sitôt, parce qu’en ouvrant ma porte, je découvrais la réponse à mon désespoir. Un dossier médical. Ce fameux dossier. Mon dossier. Je l’ouvrais sans attendre. L’écriture du psychologue sur pratiquement toutes les pages. Deux jours allaient s’écouler avant que je ne puisse lire l’entièreté de ma vie. Et j’allais y découvrir beaucoup de choses. Comme par exemple, le fait que j’ai été adopté à mes deux ans par ces personnes qui me souriaient à chaque fin de semaine. Que ma véritable mère fût une toxico alcoolique. Que mon père était mort, sans que je ne sache comment. Et que l’homme qui était avec moi dans cette voiture était l’amour de ma vie. Dylan. Apparemment, je n’avais pas commencé mes séances suite à ma perte de mémoire, mais j’avais toujours été suivie depuis mes six ans. Ils devaient sans doute avoir peur que je ne me lance à la recherche de ma mère sans en être au courant. Et selon certaines pages, j’avais peur de mon père adoptif. Il n’aimait pas ma vie et ce que j’en faisais. Il ne cautionnait pas que je me sois lancée dans la célébrité, la chanson, la comédie. Tout cela n'avait pas de valeur pour lui, et selon les écrits, il aurait aimé que je devienne médecin. Mais j’avais toujours refusée. J’en apprenais plus sur moi grâce à ces quelques pages que par tout ce qu’on m’avait raconté depuis une année entière. Et ce n’était que le début. Maintenant que monsieur le psy voulait bien coopérer, j’espérais qu’il continu et qu’il puisse m’aider à découvrir tout ce qui restait transparent dans ma mémoire. Mais en attendant, je bloquais sur cette photo qu’il avait glissé à l’intérieur. C’était lui. L’homme avec lequel mon accident est arrivé. Ses boucles blondes, son sourire charmeur. Mes lèvres ne pouvaient pas délier le petit rictus qui se créait dans leur coin. Je ne le connaissais pas, ou plus, mais c’était comme si j’avais un espoir quand je regardais cette impression de la personne qu’il était. Prenant mon arme, la glissant dans mon jean, je me dirigeais vers la maison de ce cartel que j'aimais tant. Ma vraie famille. Eux, pourraient m'aider. J'en étais plus que persuader.
« Kobby, vous devez me parler. Je dois savoir si vous vous souvenez de quelque chose. Même la plus minime qui soit. » Je ne le regardais même pas. Lui, son stylo et sa dégaine de riche un peu précoce. J’en avais marre qu’on me mente. J’en avais marre qu’on me demande de me souvenir. J’étais prête à ce qu’on me laisse tranquille. Et je voulais juste qu’on me dise ce qui c’était réellement passé. « Docteur… Je ne me souviens de rien. Je ne sais pas comment ni pourquoi je peux vous donner les dates du règne d’Hitler, ou même les noms des participants de l’Onu et de l’ordre de leur arrivée. Je ne sais pas pourquoi je ne me souviens pas de mon enfance, mais que celle du roi Louis quatorze n’a pas de secret pour moi. Et je m’en fiche. À l’heure d’aujourd’hui, je m’en contre fout tout simplement. Je veux juste savoir les raisons du pourquoi j’étais dans cette voiture. Et l’identité de celui qui conduisait. Je veux savoir comment on a fini percuté par ce camion et s’il était sobre ou complètement bourré. Alors non, je ne veux pas parler avec vous si vous n’avez rien de plus à m’apprendre que ce que je sais déjà, à savoir que j’ai de la chance d’être en vie et que mes parents sont mes parents. » Ma voix, mon ton. Tout était froid. Et ce, pour la simple et bonne raison que j’en avais marre. Marre, qu’on m’aide avec des séances de psychanalyses. Pourtant, comme tous les autres, il ne m’avait pas répondu. Et avait même préféré se racler la gorge. Inutile. Cet homme était tout bonnement inutile. Je m’étais levé de mon siège sans demandé de reste. Et j’avais quittée la salle sans savoir qu’il serait la lumière dans tout ce brouillard qu’était mon passé.
Los Angeles, c’était ma maison. Le seul endroit où je me sentais en paix avec moi-même. Depuis ma perte de mémoire, me retrouver dans ce nouvel appartement me remplissait de satisfaction. Je ne savais pas pourquoi, ou comment ça se faisait, mais c’était le seul et unique endroit où je n’avais pas à me poser de questions. C’était le seul endroit où je pouvais vaquer à mes occupations sans qu’on ne prenne soin de moi. Je pouvais me blesser dans les rues de la ville, sans que personne ne se retourne sur mon passage, je pouvais boire à en avoir des trous noirs sans pour autant qu’on ne me demande le jour de ma naissance, ou encore le prénom de mon chien. En vérité, ce n'est pas que je n'aimais pas mes parents, ou que ma vie avec eux ne me comblait pas, mais lorsqu'on vous offre du travail officieusement et que c'est risqué dans tous les sens du terme, vous éloigner de votre famille est la meilleure des solutions. Parce que oui, en plus d'être chanteuse et actrice, il m'arrive de menacer quelques personnes, ou de voler certaines. Malgré que le plus excitant reste lorsque l'acier touche la paume de ma main, l'acier d'une arme si fraîche que lorsqu'on la pointe dans une direction, notre coeur bat la chamade. En me levant ce matin, j’étais de bonne humeur. Et ça n’allait pas changer de sitôt, parce qu’en ouvrant ma porte, je découvrais la réponse à mon désespoir. Un dossier médical. Ce fameux dossier. Mon dossier. Je l’ouvrais sans attendre. L’écriture du psychologue sur pratiquement toutes les pages. Deux jours allaient s’écouler avant que je ne puisse lire l’entièreté de ma vie. Et j’allais y découvrir beaucoup de choses. Comme par exemple, le fait que j’ai été adopté à mes deux ans par ces personnes qui me souriaient à chaque fin de semaine. Que ma véritable mère fût une toxico alcoolique. Que mon père était mort, sans que je ne sache comment. Et que l’homme qui était avec moi dans cette voiture était l’amour de ma vie. Dylan. Apparemment, je n’avais pas commencé mes séances suite à ma perte de mémoire, mais j’avais toujours été suivie depuis mes six ans. Ils devaient sans doute avoir peur que je ne me lance à la recherche de ma mère sans en être au courant. Et selon certaines pages, j’avais peur de mon père adoptif. Il n’aimait pas ma vie et ce que j’en faisais. Il ne cautionnait pas que je me sois lancée dans la célébrité, la chanson, la comédie. Tout cela n'avait pas de valeur pour lui, et selon les écrits, il aurait aimé que je devienne médecin. Mais j’avais toujours refusée. J’en apprenais plus sur moi grâce à ces quelques pages que par tout ce qu’on m’avait raconté depuis une année entière. Et ce n’était que le début. Maintenant que monsieur le psy voulait bien coopérer, j’espérais qu’il continu et qu’il puisse m’aider à découvrir tout ce qui restait transparent dans ma mémoire. Mais en attendant, je bloquais sur cette photo qu’il avait glissé à l’intérieur. C’était lui. L’homme avec lequel mon accident est arrivé. Ses boucles blondes, son sourire charmeur. Mes lèvres ne pouvaient pas délier le petit rictus qui se créait dans leur coin. Je ne le connaissais pas, ou plus, mais c’était comme si j’avais un espoir quand je regardais cette impression de la personne qu’il était. Prenant mon arme, la glissant dans mon jean, je me dirigeais vers la maison de ce cartel que j'aimais tant. Ma vraie famille. Eux, pourraient m'aider. J'en étais plus que persuader.
IMAGES haileybaldwin-gifs
- InvitéInvité
Bienvenue par ici ma toute belle
- InvitéInvité
merci beaucoup les garçons, vous êtes adorables,
- InvitéInvité
OHH la belle Baldwin.
Bienvenue par ici
Bienvenue par ici
- InvitéInvité
Bienvenue parmi nous jolie demoiselle
- InvitéInvité
La jolie baldwin bienvenue sur it’s all my fault ! Bon courage pour la rédaction de ta fiche !
- InvitéInvité
merci à vous trois, vous êtes tous beaux et belles, j’ai tellement hâte de finir ma fiche pour vous rejoindre officiellement,
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