YESTERDAY'S NEWS |48
- Felix E. BlackfieldI'm a Mother Fucker
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Dollars : 2613
Messages : 700
Date d'inscription : 12/11/2017
Avatar : Dave Franco
Crédits : smmg bae
Âge du personnage : 27 ans
Nationalité(s) : Américaine.
Signe astrologique : Lion
Mon personnage, en 5 mots : connard, fêtard, dragueur, infidèle, bagarreur.
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : hacker pour le FBI et dealer pour la mafia italienne.
Études (passées ou en cours) : Diplômé en robotique.
Hobby : les grosses beuveries bien hardcore et les femmes.
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : C'est ... compliqué
Avec : Arizona et toutes les autres femmes du monde.
30 min plus tard, ou peut-être 32 min, j'étais prêt. J'avais pris une douche expresse et j'avais sauté dans les premières fringues que j'avais trouvé dans mon placard. Je n'oubliais pas de prendre un casque supplémentaire, de l'argent et quelques gramme à vendre. Et je filais directement chez June. Je roulais comme un porc pour être certain qu'elle ne parte pas sans moi en soirée. J'avais vraiment besoin de me bourrer la gueule pour oublier que ma vie était légèrement merdique en ce moment. June était l'une des meilleures personne pour faire des soirées, une fois saoul on se confiait l'un à l'autre, on se draguait ..c'était toujours assez fun. J'étais certain de passer une bonne soirée.
Une fois devant chez elle je klaxonnais comme un connard, pour qu'elle descende, je n'allais pas couper le moteur et me faire chier à garer ma moto pour monter. Je la faisais sonner sur son portable aussi, histoire de ne pas attendre 4 ans dehors.
- InvitéInvité
Elle était prête. Depuis au moins une dizaine de minutes. Et elle s'apprêtait à envoyer un énième message à Félix, lorsque la photo de celui-ci s'afficha en gros plan sur son portable, signe d'un appel manifeste. A peine eu-t-elle décroché qu'elle laissa tomber un simple son : « Enfin ». Mais elle lui en voulait pas. C'était juste tyique de leur relation. De s'envoyer piques sur piques. Et deux minutes plus tard, elle était en bas de l'immeuble où elle logeait. « Tu peux me dire en quoi c'est utile d'avoir un coloc s'il n'est jamais à la maison ?? » qu'elle laisse tomber, sans attendre une véritable réponse, juste pour mettre les mots sur sa frustration. Elle attrape le casque qu'il lui tend, pour le glisser sur sa tête. Voilà de quoi lui offrir une coiffure digne de ce nom lorsqu'il viendrait le temps de l'oter. Elle s'installe derrière lui, sans aucune gêne pour s'accrocher à sa taille. Ils avaient passé ce stade depuis belle lurette. « Joli choix de parfum, j'espère que ça m'est réservé, parce que si tu comptes me faire faux bon au milieu de la soirée pour te dégoter un belle donzelle, oublie, je compte ruiner toutes tes chances pour avoir l'exclusivité de ton intérêt. » Elle lui tape sur l'épaule. Mais comme la discussion était toujours allé bon train entre eux, et que c'était un esprit détente, et bon enfant, il n'allait pas perdre au change.
- Felix E. BlackfieldI'm a Mother Fucker
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Âge du personnage : 27 ans
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Mon personnage, en 5 mots : connard, fêtard, dragueur, infidèle, bagarreur.
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : hacker pour le FBI et dealer pour la mafia italienne.
Études (passées ou en cours) : Diplômé en robotique.
Hobby : les grosses beuveries bien hardcore et les femmes.
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : C'est ... compliqué
Avec : Arizona et toutes les autres femmes du monde.
Elle décrochait juste le temps d'un mot avant de descendre. J'avais dû réveiller tout le quartier en klaxonnant, mais ça n'avait pas d'importance. June était sublime comme toujours, elle attrapait son casque en se plaignant de son coloc. Je ne disais rien, si elle voulait un bon coloc elle avait qu'à venir s'installer chez moi, mais ça elle le savait déjà. Elle se collait contre moi et me complimentait sur mon parfum avant de me clacher un peu. Je souriais sous mon casque avant de tourner légèrement la tête pour la voir. C'est uniquement pour toi ! Ce n'était pas vrai, j'avais mis du parfum comme toujours pour attirer le plus de femmes possibles, mais je savais pertinemment que lorsque je sortais avec June je n'arrivais pas à pécho. On était bien trop proche et aucunes femmes n'osaientt me parler quand j'étais accompagné d'une bombe pareille. T'as simple présence ruine toutes mes chances, tu le sais bien ! Je tournai à nouveau la tête face à la route et je faisais ronfler le moteur. Accroche toi ! J'accélérais comme un fou en direction de la discothèque. On allait passer une sacré soirée et on allait arriver en un rien de temps.
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