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YESTERDAY'S NEWS |48
- InvitéInvité
Joséphine Aldhouse
Here’s to the hearts that ache; here’s to the mess we make.
Avant de commencer, nous aimerions vous poser quelques questions sur votre personnage, afin d'en savoir davantage sur les motivations qui l'animent.
L'INTERROGATOIRE
jo, elle veut comprendre les autres. quand elle regarde la foule qui défile, qui s'emballe, elle voudrait savoir ce qu'ils attendent, ce qu'ils veulent. face à l'adversité, elle a aucune arme pour l'aider à se relever. avec la solitude comme seul témoin, elle essaie de saisir chaque expression, chaque sourire. sauf qu'à chaque fois, elle se retrouve au même point de départ
joséphine, perdue au milieu de la foule, elle a l'impression de ne jamais être à sa place. quand elle joue, elle oublie tout le reste. le monde s'efface, et elle n'a plus besoin d'avoir peur. terrifiée à l'idée de tomber dans l'oubli, elle a l'impression d'étouffer dans un silence de plomb. elle croyait que ce sentiment-là, il serait suffisant pour tout le reste. sauf que jo, elle rêve d'être quelqu'un d'autre, quelqu'un qui se sentirait moins perdue. quelqu'un qui saurait où aller, qui aimer.
elle ne l'a jamais vraiment trouvée. anxieuse, elle contrôle tout jusqu'au moment où elle réalise que rien ne pourra être parfait. peut-être que le bonheur, ça serait de ne plus être seule. elle regarde par la fenêtre et elle se demande ce que les autres peuvent penser, où ils peuvent être, dans quel monde est-ce qu'ils finissent par se perdre dans leurs rêves les plus lointains.
être devenue actrice, c'est sa plus grande réussite. elle en a rêvé, chaque soir, en pensant que ça serait suffisant pour la rendre heureuse, mais ça l'a jamais été. et aujourd'hui, y'a des moments où elle arrive pas à convaincre son propre reflet dans le miroir. elle a toujours ce vide qu'elle arrive pas à combler, celui qui lui répète encore et encore qu'elle ne pourra jamais être parfaite.
sa liberté. à chaque pas qu'elle fait, elle est suivie, épiée. elle voudrait disparaître, parfois, le temps d'une seconde. ne serait-ce que pour se rappeler ce que ça fait. mais les néons brillent toujours trop forts, les illusions sont toujours trop tentantes, et elle sait qu'elle ne pourra pas redevenir personne. elle sera toujours un visage plaqué sur les magasines, qu'on voit dans les bandes annonces et les publicité.
il lui est arrivé de prendre des drogues dures, pour se tenir éveillée, ou pour calmer son anxiété. personne ne le sait, bien entendu. mais pendant l'espace de quelques heures, elle a l'impression de ne plus être perdue, d'être quelqu'un d'autre. elle a l'impression d'avoir fait tous les bons choix, d'avoir pris les bonnes décisions. mais en réalité, elle se réveille toujours le lendemain avec la sensation d'avoir raté quelque chose.
elle détruirait les métros. elle déteste ces espaces confinés, être collée aux autres. bien sûr, ça ne lui est plus arrivée depuis longtemps. mais à l'époque où elle était jeune, elle rêvait de vivre sans métro, dans un endroit où la foule ne la toucherait pas. aujourd'hui, elle rêve de contact, avec n'importe qui.
elle est surdouée. c'est pour ça qu'elle a réussi si bien ses études à l'université. ça s'accompagne d'une certaine difficulté à communiquer avec les autres. elle a du mal avec tous les évènements de la vie sociale. elle se sent parfois à l’écart, comme si elle était d'un côté d'une falaise, et que les autres la regardaient tomber, encore et encore, sans jamais pouvoir la rattraper.
DERRIÈRE L'ÉCRAN
Karma : Its all my fault Prénom/pseudo : elysium alias laura (a) Âge : 21 ans déjà Anniversaire : 23 Août Localisation : Aix-En-Provence dans le sud wesh (a) Présence : normalement un petit peu tous les jours, mais surtout le week end le Personnage ... Personnage invente J'ai connu le forum : grâce à certains admins (a) Et je le trouve : non jean pierre Ma plus grande peur : les clowns :( Un dernier mot ? CEY MON DERNIER MOT
IMAGES lux aeterna & tumblr
- InvitéInvité
FAITS DIVERS
Heaven mourns, makes a beggar out of me
Des météores dans son cœur, des étoiles dans ses yeux.
Un visage qui s'écrase sur l'écran, des mains qui s'affairent sur son visage, sur ses bras, qui enlèvent et remettent.
Elle n'a qu'à fermer les yeux, même une demi-seconde, et elle peut le revoir. Son histoire qui se dessine sous la forme d'un script couvert de tâche de café et de nicotine.
Les personnages entrent et sortent de la scène, les décors changent, pendant qu'elle reste au milieu, immobile. L'hémoglobine qui continue à couler entre ses doigts.
Don't go. qu'sa mère avait dit, les joues roses et humides. Ses paupières se referment. Des années plus tard, jo se dira qu'elle ne l'a jamais entendue pleurer, sa mère, quand son père a passé la porte ; un sac de l'armée sur le dos et une tenue de camouflage enfilée quelques minutes plus tôt.
Des années plus tard, elle se dira aussi qu'il n'est jamais vraiment revenu non plus.
Peut-être que c'était là, que tout a commencé à partir en couille, pour elle. Quand son paternel est parti à la guerre pour essayer d'être un héros. Pour être celui qui terrassait les dragons dans les histoires qu'il lui racontait pour qu'elle s'endorme.
Des années plus tard, elle fera comme si elle ne l'avait pas vu, à genoux sur le sol de la cuisine, à prier un Dieu qui refusait de le libérer des fantômes qu'il avait ramené de là-bas. Mais ses sanglots retentissent encore dans sa poitrine, trop fort pour qu'elle puisse les oublier.
À quinze ans, elle se dit qu'elle a rencontré le grand amour, le genre dont on parle dans les films, dans les livres. Elle se dit qu'elle a l'éternité pour réparer ce qui allait pas, chez elle. Jo, elle n'a jamais brillé aussi fort, et son cœur palpite dans sa cage thoracique, comme une comète qui s'échappe hors de la galaxie dès qu'il la prend dans ses bras.
Des années plus tard elle essaiera de se rappeler de cette sensation-là, sans jamais réussir à y trouver quelque chose de comparable.
Peut-être que c'est le genre de choses qui ne peuvent que disparaître, celles qu'on perd, et qu'on tente en vain de retenir.
Quand elle s'en va pour New-York, avec sa mère, loin de Los Angeles et de l'océan qui continue sa valse interminable; elle a le cœur au bord des lèvres. Sa mère, elle regarde par la fenêtre, un paysage qu'elle n'arrive déjà plus à reconnaître. Des milliers de fois, Jo a voulu lui demander, à quoi elle pensait. Si elle revoyait chaque souvenir, si elle entendait chaque éclat de rire ; si elle arrivait à se souvenir du visage de cet homme qu'elle a laissé partir à la guerre, quatre ans plus tôt.
Des années plus tard, elle finira par se dire que sa mère devait probablement encore entendre le bruit de la balle que son père s'était mis dans la tête. Voir son corps inanimé sur le sol. Sentir l'odeur du sac plastique dans lequel ils l'ont mis, quand l'ambulance est arrivée.
Le monde s'était arrêté de tourner ce soir-là.
Joséphine, elle repense à Alx, et à ce qu'elle n'a jamais pu faire pour le sauver, lui non plus. Quand elle était allongée, dans le noir dans sa chambre à New-York, elle se demandait si lui aussi, il voudrait revenir en arrière. Récupérer tout ce qu'ils avaient perdus. Changer le cours des choses.
Elle savait que c'était inutile, de se laisser aller à penser à ça.
La douleur s'en irait jamais vraiment.
Elle rentre à l'université, et si elle ferme les yeux assez fort, si elle arrête presque de respirer, elle peut sentir la main de son père sur son épaule.
Encore aujourd'hui, elle essaie de se convaincre qu'il lui aurait dit qu'il était fier d'elle. Mais il n'est déjà plus sur le tableau. Il a arraché toutes les photos qu'ils auraient pu faire, à sa remise de diplôme, à son dix-huitième anniversaire.
Jo, elle n'arrive pas à savoir si elle lui en veut encore.
Elle termine ses études de sciences, un peu par dépit, et elle ne sait pas vraiment ce qui la ramène à Los Angeles. Peut-être que c'était le bruit des vagues, qui retentissait même dans la plus grande obscurité, qui lui manquait. La lumière bleuté du ciel, quand le soleil disparaissait à l'horizon. Enfermée dans un laboratoire, elle est technicienne pour la police scientifique. Elle trie des indices et analyse des échantillons. Le nez sur son microscope, elle répète les mêmes gestes, encore et encore. Elle s'ennuie et elle rêve de devenir actrice, elle commence à prendre des cours. Elle désespère sans jamais trouver de rôle. Isolée parmi la foule, elle a envie de devenir quelqu'un d'autre, mais les auditions se ressemblent toutes.
Il y a toujours d'autres filles. Souvent mieux. Parfois non.
Des années plus tard, elle se demandera si elle n'aurait pas mieux fait de rester dans ce putain de labo.
Elle le retrouve, Alx, à une fête, complètement bourrée, alors qu'elle a ving-quatre ans. Jo, elle veut devenir actrice, et elle se perd dans les méandres de tout ce qu'elle n'a jamais pu être. Mais il est là, et elle n'arrive pas à le lâcher. Il est là et elle a l'impression d'être à sa place. Il la repousse et elle revient. Ils se regardent et ils ont des constellations dans leurs yeux.
Aujourd'hui elle sait qu'elle aurait jamais dû s'en aller, encore une fois. C'était ça, leur malédiction. Elle finissait toujours par partir. Et il finirait toujours par rester.
ça dure quelques mois. Elle joue dans une pièce de théâtre, et un producteur y assiste. Elle obtient un rôle dans un film en Angleterre.
Elle s'en va à la fin de l'été.
Elle reste deux ans là-bas. Les films s'enchaînent, les médias commencent à parler d'elle. Joséphine, elle a tout ce dont elle a rêvé. Elle pensait que chacun de ses sourires serait vrai, qu'elle ne sentirait plus aucun vide à l'intérieur.
Aujourd'hui elle se disait que peut-être, jamais rien ne pourrait réparer ce qui ne pouvait pas l'être.
Son agent lui conseille de redéménager à Los Angeles. Les producteurs la demandent dans plusieurs films. Son visage est sur d'immenses pancartes le long des rues passantes. Elle a ce qu'elle a toujours voulu.
Et Jo, elle ne s'est jamais sentie aussi seule.
Des années plus tard, elle se dira qu'elle aurait peut-être dû rester à Los Angeles, dès le départ.
Un visage qui s'écrase sur l'écran, des mains qui s'affairent sur son visage, sur ses bras, qui enlèvent et remettent.
Elle n'a qu'à fermer les yeux, même une demi-seconde, et elle peut le revoir. Son histoire qui se dessine sous la forme d'un script couvert de tâche de café et de nicotine.
Les personnages entrent et sortent de la scène, les décors changent, pendant qu'elle reste au milieu, immobile. L'hémoglobine qui continue à couler entre ses doigts.
Don't go. qu'sa mère avait dit, les joues roses et humides. Ses paupières se referment. Des années plus tard, jo se dira qu'elle ne l'a jamais entendue pleurer, sa mère, quand son père a passé la porte ; un sac de l'armée sur le dos et une tenue de camouflage enfilée quelques minutes plus tôt.
Des années plus tard, elle se dira aussi qu'il n'est jamais vraiment revenu non plus.
Peut-être que c'était là, que tout a commencé à partir en couille, pour elle. Quand son paternel est parti à la guerre pour essayer d'être un héros. Pour être celui qui terrassait les dragons dans les histoires qu'il lui racontait pour qu'elle s'endorme.
Des années plus tard, elle fera comme si elle ne l'avait pas vu, à genoux sur le sol de la cuisine, à prier un Dieu qui refusait de le libérer des fantômes qu'il avait ramené de là-bas. Mais ses sanglots retentissent encore dans sa poitrine, trop fort pour qu'elle puisse les oublier.
À quinze ans, elle se dit qu'elle a rencontré le grand amour, le genre dont on parle dans les films, dans les livres. Elle se dit qu'elle a l'éternité pour réparer ce qui allait pas, chez elle. Jo, elle n'a jamais brillé aussi fort, et son cœur palpite dans sa cage thoracique, comme une comète qui s'échappe hors de la galaxie dès qu'il la prend dans ses bras.
Des années plus tard elle essaiera de se rappeler de cette sensation-là, sans jamais réussir à y trouver quelque chose de comparable.
Peut-être que c'est le genre de choses qui ne peuvent que disparaître, celles qu'on perd, et qu'on tente en vain de retenir.
Quand elle s'en va pour New-York, avec sa mère, loin de Los Angeles et de l'océan qui continue sa valse interminable; elle a le cœur au bord des lèvres. Sa mère, elle regarde par la fenêtre, un paysage qu'elle n'arrive déjà plus à reconnaître. Des milliers de fois, Jo a voulu lui demander, à quoi elle pensait. Si elle revoyait chaque souvenir, si elle entendait chaque éclat de rire ; si elle arrivait à se souvenir du visage de cet homme qu'elle a laissé partir à la guerre, quatre ans plus tôt.
Des années plus tard, elle finira par se dire que sa mère devait probablement encore entendre le bruit de la balle que son père s'était mis dans la tête. Voir son corps inanimé sur le sol. Sentir l'odeur du sac plastique dans lequel ils l'ont mis, quand l'ambulance est arrivée.
Le monde s'était arrêté de tourner ce soir-là.
Joséphine, elle repense à Alx, et à ce qu'elle n'a jamais pu faire pour le sauver, lui non plus. Quand elle était allongée, dans le noir dans sa chambre à New-York, elle se demandait si lui aussi, il voudrait revenir en arrière. Récupérer tout ce qu'ils avaient perdus. Changer le cours des choses.
Elle savait que c'était inutile, de se laisser aller à penser à ça.
La douleur s'en irait jamais vraiment.
Elle rentre à l'université, et si elle ferme les yeux assez fort, si elle arrête presque de respirer, elle peut sentir la main de son père sur son épaule.
Encore aujourd'hui, elle essaie de se convaincre qu'il lui aurait dit qu'il était fier d'elle. Mais il n'est déjà plus sur le tableau. Il a arraché toutes les photos qu'ils auraient pu faire, à sa remise de diplôme, à son dix-huitième anniversaire.
Jo, elle n'arrive pas à savoir si elle lui en veut encore.
Elle termine ses études de sciences, un peu par dépit, et elle ne sait pas vraiment ce qui la ramène à Los Angeles. Peut-être que c'était le bruit des vagues, qui retentissait même dans la plus grande obscurité, qui lui manquait. La lumière bleuté du ciel, quand le soleil disparaissait à l'horizon. Enfermée dans un laboratoire, elle est technicienne pour la police scientifique. Elle trie des indices et analyse des échantillons. Le nez sur son microscope, elle répète les mêmes gestes, encore et encore. Elle s'ennuie et elle rêve de devenir actrice, elle commence à prendre des cours. Elle désespère sans jamais trouver de rôle. Isolée parmi la foule, elle a envie de devenir quelqu'un d'autre, mais les auditions se ressemblent toutes.
Il y a toujours d'autres filles. Souvent mieux. Parfois non.
Des années plus tard, elle se demandera si elle n'aurait pas mieux fait de rester dans ce putain de labo.
Elle le retrouve, Alx, à une fête, complètement bourrée, alors qu'elle a ving-quatre ans. Jo, elle veut devenir actrice, et elle se perd dans les méandres de tout ce qu'elle n'a jamais pu être. Mais il est là, et elle n'arrive pas à le lâcher. Il est là et elle a l'impression d'être à sa place. Il la repousse et elle revient. Ils se regardent et ils ont des constellations dans leurs yeux.
Aujourd'hui elle sait qu'elle aurait jamais dû s'en aller, encore une fois. C'était ça, leur malédiction. Elle finissait toujours par partir. Et il finirait toujours par rester.
ça dure quelques mois. Elle joue dans une pièce de théâtre, et un producteur y assiste. Elle obtient un rôle dans un film en Angleterre.
Elle s'en va à la fin de l'été.
Elle reste deux ans là-bas. Les films s'enchaînent, les médias commencent à parler d'elle. Joséphine, elle a tout ce dont elle a rêvé. Elle pensait que chacun de ses sourires serait vrai, qu'elle ne sentirait plus aucun vide à l'intérieur.
Aujourd'hui elle se disait que peut-être, jamais rien ne pourrait réparer ce qui ne pouvait pas l'être.
Son agent lui conseille de redéménager à Los Angeles. Les producteurs la demandent dans plusieurs films. Son visage est sur d'immenses pancartes le long des rues passantes. Elle a ce qu'elle a toujours voulu.
Et Jo, elle ne s'est jamais sentie aussi seule.
Des années plus tard, elle se dira qu'elle aurait peut-être dû rester à Los Angeles, dès le départ.
IMAGES FEU ARDENT
- InvitéInvité
Bienvenuuuuue.
Tu n'avais pas posté ta fiche au bon endroit, alors je l'ai déplacé dans la bonne section. n'hésite pas au moins à poster les codes. si tu as la moindre question n'hésite pas.
Tu n'avais pas posté ta fiche au bon endroit, alors je l'ai déplacé dans la bonne section. n'hésite pas au moins à poster les codes. si tu as la moindre question n'hésite pas.
- Felix E. BlackfieldI'm a Mother Fucker
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Dollars : 2613
Messages : 700
Date d'inscription : 12/11/2017
Avatar : Dave Franco
Crédits : smmg bae
Âge du personnage : 27 ans
Nationalité(s) : Américaine.
Signe astrologique : Lion
Mon personnage, en 5 mots : connard, fêtard, dragueur, infidèle, bagarreur.
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : hacker pour le FBI et dealer pour la mafia italienne.
Études (passées ou en cours) : Diplômé en robotique.
Hobby : les grosses beuveries bien hardcore et les femmes.
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : C'est ... compliqué
Avec : Arizona et toutes les autres femmes du monde.
Bienvenue parmi nous
Bon courage pour ta fiche et amuse toi bien parmi nous :l:
Bon courage pour ta fiche et amuse toi bien parmi nous :l:
- InvitéInvité
omg le boulet j'avais pas mis la fiche au bon endroit quelle honte merci beaucoup à tous, vous êtes adorables
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