YESTERDAY'S NEWS |48
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Anastasia & Santa @UCLA @Writinglessons
Les yeux dans les nuages il se cogne un peu partout. Ce matin, il éprouve un certain mal à sortir de son sommeil Santa-Ana. Hier il a ressenti le besoin de faire de la course à pied. Un peu trop longtemps d'après ce que lui murmurent ses muscles. Et oui à force de se déplacer en bus, en moto, et de ne plus faire autant de sport on s'amoindrit. Bon oui, il fait encore de l'équitation de temps à autre mais comparé à sa vie en Australie faudrait qu'il se bouge un peu plus. Néanmoins ce ne sera probablement pas aujourd'hui, puisqu'il a des projets. On lui a recommandé, son agent qui ne cesse de lui remplir la tête de fariboles, de se renseigner à l'université pour améliorer son style d'écriture. En réalité c'est lui qui le désire, son éditeur se trouve bien content du succès de Santa dans sa catégorie. Le problème c'est que l'écrivain souhaiterait en sortir, même s'il ne crache pas dans la soupe.
Il avale vite un verre de lait avant de prendre sa douche puis d'enfiler ses vêtements un peu à l'envers - sans le remarquer - avant de se jeter sur un croissant de la veille. Mais encore bien moelleux et croustillant qu'il termine tout en dévalant les escaliers.
Une fois sur sa moto Il met le moteur en marche et décampe en trombe.
L'Australien toujours prudent, dément farouchement sa réputation en conduisant comme un manche. Le corps douloureux, l'humeur sombre, il n'a pas pris la peine de sortir complètement des limbes avant de se rendre à l'université. Et là, alors qu'il tourne, une blonde sans cerveau se permet de traverser sans prendre la peine de regarder si ça circule dans les rues. Bon la moitié de ses sœurs ont une chevelure qui imite les rayons du soleil, alors oui il s'agit de mauvaise foi de sa part. Heureusement qu'il possède encore assez de réflexe pour ne pas l'envoyer dans le décor !
« Non mais va faire un tour chez l'oculiste Connasse ! »
Lui balance-t-il furieusement encore sous l'émotion d'avoir failli, éventuellement, causer la mort d'une personne. S'il ne s'estimait pas en retard, il débarquerait et lui déblatérerait clairement sa façon de penser. Heureusement, aucun témoin, chacun s'en tire à bon compte, alors Santa-Ana s'éclipse aussi vite que le vent en pétaradant.
Il va déjà perdre un temps précieux à tourner dans le parking de l'université afin de trouver un coin qu'il jugera assez sécurisé pour y abandonner son engin un petit moment. Là ou ne circule pas trop d'étudiants, les griffes, ça pointe son nez beaucoup trop facilement.
En vérité il se rendait dans ces lieux pour la première fois. Et ça ressemblait drôlement à un labyrinthe, il eut préféré se diriger droit au but sans s'attarder, mais l'Australien fut bien obligé de quémander un peu d'aide. Il s'en alla vers la droite, puis fut dirigé vers la gauche pour se retrouver au centre et emprunter quelques escaliers. Après bien des pas inutiles il arriva au "secrétariat" ou une jeune fille nerveuse l'écouta d'une oreille, avant de le diriger vers Mademoiselle Dawkins.
Ok bien. Une classe ? Un bureau ? Santa-Ana le découvrirait bientôt. Il toqua énergiquement à la porte pour annoncer sa présence. Il n'entendait aucun bruit et rapprocha on oreille pour tenter de capter du mouvement mais en vain. Tout ça semblait particulièrement bien insonorisé, ou alors il était de mise de pénétrer dans attendre qu'on vous y invite ? L'Australien posa sa main sur la poignée, la tourna doucement mais avant de l'ouvrir il asséna encore quelques coups sonores qu'on n'aille pas lui reprocher son impolitesse. Sinon il ne doutait pas une seconde qu'un de ses sœurs finirait par l'apprendre et lui en rabattrait les tympans pendant les siècles à venir ...
Il avale vite un verre de lait avant de prendre sa douche puis d'enfiler ses vêtements un peu à l'envers - sans le remarquer - avant de se jeter sur un croissant de la veille. Mais encore bien moelleux et croustillant qu'il termine tout en dévalant les escaliers.
Une fois sur sa moto Il met le moteur en marche et décampe en trombe.
L'Australien toujours prudent, dément farouchement sa réputation en conduisant comme un manche. Le corps douloureux, l'humeur sombre, il n'a pas pris la peine de sortir complètement des limbes avant de se rendre à l'université. Et là, alors qu'il tourne, une blonde sans cerveau se permet de traverser sans prendre la peine de regarder si ça circule dans les rues. Bon la moitié de ses sœurs ont une chevelure qui imite les rayons du soleil, alors oui il s'agit de mauvaise foi de sa part. Heureusement qu'il possède encore assez de réflexe pour ne pas l'envoyer dans le décor !
« Non mais va faire un tour chez l'oculiste Connasse ! »
Lui balance-t-il furieusement encore sous l'émotion d'avoir failli, éventuellement, causer la mort d'une personne. S'il ne s'estimait pas en retard, il débarquerait et lui déblatérerait clairement sa façon de penser. Heureusement, aucun témoin, chacun s'en tire à bon compte, alors Santa-Ana s'éclipse aussi vite que le vent en pétaradant.
Il va déjà perdre un temps précieux à tourner dans le parking de l'université afin de trouver un coin qu'il jugera assez sécurisé pour y abandonner son engin un petit moment. Là ou ne circule pas trop d'étudiants, les griffes, ça pointe son nez beaucoup trop facilement.
En vérité il se rendait dans ces lieux pour la première fois. Et ça ressemblait drôlement à un labyrinthe, il eut préféré se diriger droit au but sans s'attarder, mais l'Australien fut bien obligé de quémander un peu d'aide. Il s'en alla vers la droite, puis fut dirigé vers la gauche pour se retrouver au centre et emprunter quelques escaliers. Après bien des pas inutiles il arriva au "secrétariat" ou une jeune fille nerveuse l'écouta d'une oreille, avant de le diriger vers Mademoiselle Dawkins.
Ok bien. Une classe ? Un bureau ? Santa-Ana le découvrirait bientôt. Il toqua énergiquement à la porte pour annoncer sa présence. Il n'entendait aucun bruit et rapprocha on oreille pour tenter de capter du mouvement mais en vain. Tout ça semblait particulièrement bien insonorisé, ou alors il était de mise de pénétrer dans attendre qu'on vous y invite ? L'Australien posa sa main sur la poignée, la tourna doucement mais avant de l'ouvrir il asséna encore quelques coups sonores qu'on n'aille pas lui reprocher son impolitesse. Sinon il ne doutait pas une seconde qu'un de ses sœurs finirait par l'apprendre et lui en rabattrait les tympans pendant les siècles à venir ...
@Anastasia Dawkins
- Anastasia DawkinsI'm a Mother Fucker
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Dollars : 2669
Messages : 438
Date d'inscription : 19/03/2018
Avatar : Blake Lively
Crédits : Moses. (Avatar) Beylin (signature)
Autres comptes : Evangeline C. Carstairs
Âge du personnage : 28
Nationalité(s) : Britannique
Signe astrologique : Cancer
Mon personnage, en 5 mots : to be continued very soon
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : Professeure de Lettres
Hobby : Surf
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : Célibataire (par dépit)
@Santa-Ana Cannary & Anastasia Dawkins
Anastasia s’était réveillée en retard ce matin-là, elle s’était empressée de filer à la douche avant d’avaler un énorme mug de thé noir pour se réveiller. Elle avait attrapé quelques fruits qui trainaient et des muffins qu’elle avait confectionné la veille avant de remplir un thermos et faire un vague geste de la main pour saluer ses colocataires qui émergeaient doucement à l’inverse d’Ana. Elle n’avait pas le temps de prendre un petit déjeuner correct, une tonne de travail en retard l’attendait à son bureau à l’université, elle devait encore faire des recherches pour faire intervenir dans sa classe d’anciens élèves pour présenter leurs différents parcours, et si trouver d’anciens élèves ayant réussi n’était pas compliqué, réussir à les contacter était une autre paire de manche. Elle risquait d’y passer des heures.
L’avantage de vivre dans le Westside était de vivre à quelques minutes à peine de la fac, mais c’était aussi un gros désavantage, car plus vous habitiez à proximité, plus les timings étaient serrés et les chances d’être en retard augmentait. La jeune femme avait beau être ponctuelle et organiser, son emploi du temps était réglé comme du papier à musique et le moindre contre temps risquait de perturber sa journée entière.
Anastasia courait à moitié dans les rues de Los Angeles, son thermos dans une main et son sac à main dans l’autre. Elle slalomait entre les passants évitant les obstacles du mieux qu’elle le pouvait et s’apprêtait à traverser la route pour rejoindre le campus. Ce qu’elle n’avait pas prévu, c’était le motard qui arrivait à toute vitesse dans sa direction. Il pila pour l’éviter et la gratifia d’une insulte.
« Non mais va faire un tour chez l'oculiste Connasse ! »
« Chauffard ! »
Anastasia ne trouva rien de mieux a répliqué, tellement choquée d’avoir failli mourir, son cœur battait à deux mille à l’heure et ce n’était clairement pas conseillé, même si elle pouvait vivre normalement, l’opération restait récente et ce genre de pic émotionnelle n’était pas de tout repos. Heureusement elle était indemne et le motard reparti aussitôt, bien évidemment sans prendre le temps de s’excuser.
La jeune femme avait environ une heure avant son premier cours, ce qui lui laissa le temps de rejoindre son bureau afin de consulter ses mails, dans l’espoir d’enfin y trouver une réponse positive pour la rencontre entre étudiant et ancien élève. La secrétaire de l’accueil passa un bref coup de téléphone pour l’avertir qu’elle allait recevoir de la visite. Elle s’empressa de troquer ses baskets pour les escarpins qu’elle rangeait dans son bureau quand on frappa à la porte. Elle ne répondit pas, espérant gagner quelques secondes et ne pas apparaitre avec une basket à un pied et un escarpin à l’autre, en appuie sur son bureau. Elle eu à peine le temps d’enfiler la deuxième chaussure que la porte s’ouvrait, sur un homme dont le visage lui était familier.
« Vous ?! » La Britannique n’en croyait pas ses yeux, la personne qu’elle recevait n’était autre que l’homme qui quelques minutes auparavant avait failli la renverser « Je ne sais pas comment vous m’avez retrouvée, mais si c’est pour des excuses je les accepte mais je n’ai pas de temps à perdre. » Elle se dirigea vers l’entrée et se plaça à côté de la porte pour lui indiquer la sortie.
L’avantage de vivre dans le Westside était de vivre à quelques minutes à peine de la fac, mais c’était aussi un gros désavantage, car plus vous habitiez à proximité, plus les timings étaient serrés et les chances d’être en retard augmentait. La jeune femme avait beau être ponctuelle et organiser, son emploi du temps était réglé comme du papier à musique et le moindre contre temps risquait de perturber sa journée entière.
Anastasia courait à moitié dans les rues de Los Angeles, son thermos dans une main et son sac à main dans l’autre. Elle slalomait entre les passants évitant les obstacles du mieux qu’elle le pouvait et s’apprêtait à traverser la route pour rejoindre le campus. Ce qu’elle n’avait pas prévu, c’était le motard qui arrivait à toute vitesse dans sa direction. Il pila pour l’éviter et la gratifia d’une insulte.
« Non mais va faire un tour chez l'oculiste Connasse ! »
« Chauffard ! »
Anastasia ne trouva rien de mieux a répliqué, tellement choquée d’avoir failli mourir, son cœur battait à deux mille à l’heure et ce n’était clairement pas conseillé, même si elle pouvait vivre normalement, l’opération restait récente et ce genre de pic émotionnelle n’était pas de tout repos. Heureusement elle était indemne et le motard reparti aussitôt, bien évidemment sans prendre le temps de s’excuser.
La jeune femme avait environ une heure avant son premier cours, ce qui lui laissa le temps de rejoindre son bureau afin de consulter ses mails, dans l’espoir d’enfin y trouver une réponse positive pour la rencontre entre étudiant et ancien élève. La secrétaire de l’accueil passa un bref coup de téléphone pour l’avertir qu’elle allait recevoir de la visite. Elle s’empressa de troquer ses baskets pour les escarpins qu’elle rangeait dans son bureau quand on frappa à la porte. Elle ne répondit pas, espérant gagner quelques secondes et ne pas apparaitre avec une basket à un pied et un escarpin à l’autre, en appuie sur son bureau. Elle eu à peine le temps d’enfiler la deuxième chaussure que la porte s’ouvrait, sur un homme dont le visage lui était familier.
« Vous ?! » La Britannique n’en croyait pas ses yeux, la personne qu’elle recevait n’était autre que l’homme qui quelques minutes auparavant avait failli la renverser « Je ne sais pas comment vous m’avez retrouvée, mais si c’est pour des excuses je les accepte mais je n’ai pas de temps à perdre. » Elle se dirigea vers l’entrée et se plaça à côté de la porte pour lui indiquer la sortie.
panic!attack
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