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YESTERDAY'S NEWS |48
- Anastasia DawkinsI'm a Mother Fucker
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Crédits : Moses. (Avatar) Beylin (signature)
Autres comptes : Evangeline C. Carstairs
Âge du personnage : 28
Nationalité(s) : Britannique
Signe astrologique : Cancer
Mon personnage, en 5 mots : to be continued very soon
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : Professeure de Lettres
Hobby : Surf
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : Célibataire (par dépit)
Sven Kaplov & Anastasia Dawkins
6h – C’est l’heure à laquelle le réveil d’Anastasia a sonné. Comme à son habitude, la jeune femme allait surfer avant de se rendre à l’université. Elle était sûre d’être tranquille à cette heure là et de pouvoir profiter pleinement des meilleures vagues. Elle enfila son maillot de bain et sa combinaison. La jeune femme avait encore beaucoup de mal à se faire à la cicatrice qui lui barrait le torse et n’était définitivement pas prête à se confronter au regard des gens. Sa cicatrice laissait rarement indifférent, même lorsque les gens n’osaient pas directement lui en parler et lui demander d’où cela venait, elle sentait leur regard parfois insistant alors elle avait pris l’habitude de la cacher, de ne plus porter de décolleter qui laisserait entrevoir la blessure. Ana attrapa le reste de ses affaires et de parti le plus discrètement possible, le reste de la colocation n’apprécierait probablement pas d’être réveillé aussi tôt.
Anastasia aimait le bruit de l’océan et le sentiment de liberté que lui procurait le surf. Seule sur sa planche, elle seule décidait de sa vie et rien d’autre ne comptait. L’avantage de surfer aussi tôt, outre le fait de ne croiser que peu de gens était la vue. Ana n’avait jamais rien vu d’aussi beau qu’un lever de soleil depuis sa planche de surf, un véritable paysage de carte postal où tout est paisible, un des rares moment ou elle arrivait à être calme et ne pas penser sans cesse. Elle avait pris l’habitude de toujours être occuper pour ne pas avoir le temps de penser, car beaucoup de chose restait flou quant à son opération et elle n’était pas sûre d’avoir réellement envie de tout éclaircir.
La jeune femme resta quelques minutes à contempler l’horizon avant de se décider à rejoindre la plage. Elle planta sa planche dans le sable et commença à ranger ses affaires avant de s’installer dans le sable. Au loin elle voyait des joggeurs qui tout comme elle avait préféré la fraicheur et le calme du matin pour sortir. Elle reconnu particulièrement une silhouette, un homme qu’elle croisait régulièrement lorsqu’elle venait surfer, toujours dans les mêmes tranches horaires. Elle n’avait pas la moindre idée de qui il était, ni même son nom. Il faisait parti de ces visages que l’ont connait sans vraiment connaitre, à qui on sourit poliment lorsqu’on les croise, voir échanger quelques mots à la caisse du supermarché, mais rien de plus. Cet homme-là en faisait partit. Il faisait parti du paysage d’Ana lorsqu’elle surfait, et bien qu’elle ne le connaisse pas elle aurait été inquiète de ne pas le croiser comme toujours.
Anastasia aimait le bruit de l’océan et le sentiment de liberté que lui procurait le surf. Seule sur sa planche, elle seule décidait de sa vie et rien d’autre ne comptait. L’avantage de surfer aussi tôt, outre le fait de ne croiser que peu de gens était la vue. Ana n’avait jamais rien vu d’aussi beau qu’un lever de soleil depuis sa planche de surf, un véritable paysage de carte postal où tout est paisible, un des rares moment ou elle arrivait à être calme et ne pas penser sans cesse. Elle avait pris l’habitude de toujours être occuper pour ne pas avoir le temps de penser, car beaucoup de chose restait flou quant à son opération et elle n’était pas sûre d’avoir réellement envie de tout éclaircir.
La jeune femme resta quelques minutes à contempler l’horizon avant de se décider à rejoindre la plage. Elle planta sa planche dans le sable et commença à ranger ses affaires avant de s’installer dans le sable. Au loin elle voyait des joggeurs qui tout comme elle avait préféré la fraicheur et le calme du matin pour sortir. Elle reconnu particulièrement une silhouette, un homme qu’elle croisait régulièrement lorsqu’elle venait surfer, toujours dans les mêmes tranches horaires. Elle n’avait pas la moindre idée de qui il était, ni même son nom. Il faisait parti de ces visages que l’ont connait sans vraiment connaitre, à qui on sourit poliment lorsqu’on les croise, voir échanger quelques mots à la caisse du supermarché, mais rien de plus. Cet homme-là en faisait partit. Il faisait parti du paysage d’Ana lorsqu’elle surfait, et bien qu’elle ne le connaisse pas elle aurait été inquiète de ne pas le croiser comme toujours.
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- Sven KaplovI'm a Mother Fucker
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Situation sentimentale : Célibataire (par choix)
Paradis doré qui t'apportais sérénité, la plage était l'un de tes rare repères où tu pouvais venir évacuer toutes tes pensées négatives, pas de mâchoires à casser, pas de main à serrer, en somme pas de rôle à jouer, juste toi et quelques rares personnes aussi déterminer à trouver le calme sur cette grande étendue que vous vous partagiez.
C'était en jogging et débardeur que tu t'étais rendu sur cette plage qui commençait à t'être vraiment familière, tu avais entamé ta course au même endroit que d'habitude, croisé les mêmes personnes, vu les même paysages, la seule variable qui pouvait réellement différer était sûrement la présence des volatiles mais au fond de toi tu l'aimais bien cette routine, tellement bien, que chaque fois que tu t’élançais t'avais ce petit sourire aux lèvres que tu ne pouvais contenir.
Ce matin tout se profilait comme d'habitude, tu saluas les habitués que tu connaissais d'un signe de tête, tu portais ton regard sur les vagues qui venaient s'écraser sur la plage, tout semblait normal, jusqu'à ce que ton regard se porte sur deux joggeuses que tu n'avais jamais vu, sûrement pour un passage éphémères, il n'en fallu pas plus pour te faire courir à reculons, désireux de jouer les Apollon, jusqu'au moment où la réalité te ramena violemment à elle, tu sentis un choque au niveau de ton dos, avant de presque tombé à la renverse, tes mains que tu agitas comme un oisillons tentant de s'envoler, pour garder ton équilibre, le fracas que tu entendis derrière toi et qui te fis instantanément retourner la tête.
Là, face à toi, à ce moment précis, tu vis un visage qui t'étais familier, la jolie blonde était une surfeuse que tu voyais souvent sur les vagues, en d'autres circonstances tu lui aurai fait ton plus beau sourire, mais l’électricité dans l'air n'était pas vraiment celui d'un amour foudroyant, tu esquissas un sourire gêné avant de t'excuser avec ton accent russe.
"Je suis désolé mademoiselle..."
Tu redressas sa planche qui jonchait au sol, t'essayais de faire de ton mieux pour te faire pardonner mais tu sentais que c'était pas gagné d'avance, que ton comportement idiot allait te valoir des remontrances aujourd'hui.
Pyphi(lia)C'était en jogging et débardeur que tu t'étais rendu sur cette plage qui commençait à t'être vraiment familière, tu avais entamé ta course au même endroit que d'habitude, croisé les mêmes personnes, vu les même paysages, la seule variable qui pouvait réellement différer était sûrement la présence des volatiles mais au fond de toi tu l'aimais bien cette routine, tellement bien, que chaque fois que tu t’élançais t'avais ce petit sourire aux lèvres que tu ne pouvais contenir.
Ce matin tout se profilait comme d'habitude, tu saluas les habitués que tu connaissais d'un signe de tête, tu portais ton regard sur les vagues qui venaient s'écraser sur la plage, tout semblait normal, jusqu'à ce que ton regard se porte sur deux joggeuses que tu n'avais jamais vu, sûrement pour un passage éphémères, il n'en fallu pas plus pour te faire courir à reculons, désireux de jouer les Apollon, jusqu'au moment où la réalité te ramena violemment à elle, tu sentis un choque au niveau de ton dos, avant de presque tombé à la renverse, tes mains que tu agitas comme un oisillons tentant de s'envoler, pour garder ton équilibre, le fracas que tu entendis derrière toi et qui te fis instantanément retourner la tête.
Là, face à toi, à ce moment précis, tu vis un visage qui t'étais familier, la jolie blonde était une surfeuse que tu voyais souvent sur les vagues, en d'autres circonstances tu lui aurai fait ton plus beau sourire, mais l’électricité dans l'air n'était pas vraiment celui d'un amour foudroyant, tu esquissas un sourire gêné avant de t'excuser avec ton accent russe.
"Je suis désolé mademoiselle..."
Tu redressas sa planche qui jonchait au sol, t'essayais de faire de ton mieux pour te faire pardonner mais tu sentais que c'était pas gagné d'avance, que ton comportement idiot allait te valoir des remontrances aujourd'hui.
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@Sven Kaplov & Anastasia Dawkins
Anastasia prenait toujours quelques minutes pour faire des étirements et simplement s’installer dans le sable à contempler l’océan, à méditer. Elle était totalement perdue dans ses pensées à fixer l’horizon qu’elle en oubliait totalement ce qui l’entourait, y compris les personnes autour d’elle. Elle ne l’avait pas entendu arriver, et encore moins vu, jusqu’à ce qu’il s’écrase lamentablement contre sa planche. Elle avait tapé contre le sable, envoyant une nuée dans sa direction. Le joggeur inattentif qui avait heurté sa planche était indemne, et même dans le cas contraire ça aurait été le cadet de ses soucis, du moins tant qu’il n’y avait pas danger de mort. A cet instant précis, le seul danger de mort qu’il y avait c’était Ana, qui ne supportait pas qu’on endommage ses affaires.
« Mais c’est pas possible d’être aussi con ! » s’exclama-t-elle en français, elle avait pris l’habitude lors de ses années passés en France dans le cadre de ses études de s’exprimer en français lorsqu’elle était énervée, surtout lorsqu’elle insultait des gens. Cela déconcertait souvent les personnes en face, qui ne comprenait pas grand-chose et ça amusait beaucoup la jeune femme.
Le jeune homme, probablement la trentaine s’excusa. Il avait un accent russe, et était plutôt séduisant, mais la jolie blonde était bien trop occupée à redresser sa planche et vérifier qu’elle n’était pas endommagée pour prendre le temps de lui accorder un simple regard. « Vous pouvez être désolée oui ! Un peu plus et ma planche était cassée, si vous êtes pas foutu de courir sur le sable contenter vous des pistes cyclables. » Anastasia pouvait être charmante, mais lorsqu’elle était énervée, c’était pour la journée et le ou les responsables passait en général un sal quart d’heure.
« Mais c’est pas possible d’être aussi con ! » s’exclama-t-elle en français, elle avait pris l’habitude lors de ses années passés en France dans le cadre de ses études de s’exprimer en français lorsqu’elle était énervée, surtout lorsqu’elle insultait des gens. Cela déconcertait souvent les personnes en face, qui ne comprenait pas grand-chose et ça amusait beaucoup la jeune femme.
Le jeune homme, probablement la trentaine s’excusa. Il avait un accent russe, et était plutôt séduisant, mais la jolie blonde était bien trop occupée à redresser sa planche et vérifier qu’elle n’était pas endommagée pour prendre le temps de lui accorder un simple regard. « Vous pouvez être désolée oui ! Un peu plus et ma planche était cassée, si vous êtes pas foutu de courir sur le sable contenter vous des pistes cyclables. » Anastasia pouvait être charmante, mais lorsqu’elle était énervée, c’était pour la journée et le ou les responsables passait en général un sal quart d’heure.
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Âge du personnage : 29 ans
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Ce magnifique temps sous lequel tu t'étais mis à entamer ta course venais d'être perturbé ce que tu croyais être un simple accident, ton erreur qui paraissait bénigne à tes yeux prit une tout autre tournure quand tu croisas le regard de la jolie blonde et qu'elle commença à ouvrir la bouche.
Tu ne comprenais pas vraiment ce qu'elle disait, sa langue t'étais inconnue mais ce ton là, tu le connaissais bien, c'était pas celui d'une doucee caresse qui t'invite à aller boire un verre, mais celui qui veut te faire passer un message de façon bien moins subtile, tu faisais mine d'être désolé et ne rétorqua rien, priant intérieurement qu'elle se calme et que tu puisses poursuivre ta route sans plus d'explication ou de blabla inutile.
T'étais prêt à repartir en constatant que la planche n'avait rien, mais ça c'était avant qu'elle ne passe encore à l'attaque te méprisant à nouveau, elle avait beau avoir une gueule d'ange, c'était sa part démoniaque qui était entrain de te parler. Tu passas ta main le long de ta bouche et de ton menton, comme pour tenter de te calmer en vain, avant de lui répondre cette fois-ci avec la plus grande des honnêteté.
"дерьмо !"* C'était à ton tour de sortir instinctivement des mots en russe.
Mais c'est quoi votre problème ?! Votre planche n'a rien et si ce n'avait pas été le cas, je vous l'aurai remboursé ! Ça arrive à tout le monde d'être maladroit non ?"
Toi aussi tu commençais à hausser le ton, ta jolie part de gentillesse et le soleil qui rayonnait en toi venaient de céder la place à ta part d'ombre et de ciel orageux, t'étais pas friand des embrouilles et c'était pour ça que t'avais tout fait pour esquiver celle-ci mais maintenant, t'allais te confronter à la jolie blonde et rester sur tes positions.
Bon vous voulez quoi pour vous calmer là ? Une nouvelle planche ? De l'argent ?
Une danse peut-être aussi non ?!
T'encrais tes pieds dans le sable chaud et croisais tes bras, bien conscient que t'étais partie pour rester là bien longtemps, les yeux rivés sur la belle, tu patientais écoutant ce qu'elle avait à te dire et surtout désireux de savoir pourquoi elle était énervée pour si peu.
*:Merde
Pyphi(lia)Tu ne comprenais pas vraiment ce qu'elle disait, sa langue t'étais inconnue mais ce ton là, tu le connaissais bien, c'était pas celui d'une doucee caresse qui t'invite à aller boire un verre, mais celui qui veut te faire passer un message de façon bien moins subtile, tu faisais mine d'être désolé et ne rétorqua rien, priant intérieurement qu'elle se calme et que tu puisses poursuivre ta route sans plus d'explication ou de blabla inutile.
T'étais prêt à repartir en constatant que la planche n'avait rien, mais ça c'était avant qu'elle ne passe encore à l'attaque te méprisant à nouveau, elle avait beau avoir une gueule d'ange, c'était sa part démoniaque qui était entrain de te parler. Tu passas ta main le long de ta bouche et de ton menton, comme pour tenter de te calmer en vain, avant de lui répondre cette fois-ci avec la plus grande des honnêteté.
"дерьмо !"* C'était à ton tour de sortir instinctivement des mots en russe.
Mais c'est quoi votre problème ?! Votre planche n'a rien et si ce n'avait pas été le cas, je vous l'aurai remboursé ! Ça arrive à tout le monde d'être maladroit non ?"
Toi aussi tu commençais à hausser le ton, ta jolie part de gentillesse et le soleil qui rayonnait en toi venaient de céder la place à ta part d'ombre et de ciel orageux, t'étais pas friand des embrouilles et c'était pour ça que t'avais tout fait pour esquiver celle-ci mais maintenant, t'allais te confronter à la jolie blonde et rester sur tes positions.
Bon vous voulez quoi pour vous calmer là ? Une nouvelle planche ? De l'argent ?
Une danse peut-être aussi non ?!
T'encrais tes pieds dans le sable chaud et croisais tes bras, bien conscient que t'étais partie pour rester là bien longtemps, les yeux rivés sur la belle, tu patientais écoutant ce qu'elle avait à te dire et surtout désireux de savoir pourquoi elle était énervée pour si peu.
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@Sven Kaplov & Anastasia Dawkins
Après avoir commencer à râler et légèrement engueuler le joggeur maladroit par la même occasion, Anastasia se rendit compte qu’elle avait peut-être un peu sur-réagit. Elle se tenait maintenant face à lui et s’apprêtait à s’excuser lorsqu’elle entendit se qui semblait être du russe, ou peut-être du polonais mais dans tous les cas, elle n’avait aucune idée de se que venait de dire l’homme face à elle. Il commençait à lui faire la morale et la blonde n’appréciait pas du tout le tour que prenait cette conversation, elle était prête à reconnaitre ses tords et à s’excuser jusqu’à ce qu’il lui demande si elle avait un problème. S’en était trop pour elle qui, même si effectivement elle avait une part de tort dans cette affaire, n’allait pas lâcher le morceau.
« Oh parce que c’est vous qui renversez les affaires des autres parce que vous n’êtes pas capable d’aligner un pied devant l’autre et c’est moi qui ait un problème ? La planche est quand même suffisamment grande, vous l’aviez pas vu peut-être ? Si c’est une technique de drague, mauvaise nouvelle, ça ne fonctionne pas du tout. Essayez d’être civilisé et de vous présenter la prochaine fois. »
Ana ne comprenait vraiment pas comme le russe avait pu la rater, il pouvait certes être maladroit, mais il n’y avait absolument aucun obstacle sur la plage, pas même un bout de bois dans le sable qui aurait pu justifier qu’il ait trébucher. Soit il la prenait pour une imbécile avec une excuse bidon, soit il avait de sérieux problèmes d’équilibre, et auquel cas courir sur la plage à proximité d’une autre personne n’était clairement pas l’idée du siècle. Elle aurait pu l’excuser en prenant sur elle s’il ne lui avait pas fait l’affront de lui proposer de l’argent en dédommagement du désagrément pour qu’elle se calme.
« Punaise je vais finir par l’empéguer celui-là » soupira-t-elle en français. Anastasia n’était pas le genre de personne vénale, elle ne voulait pas de son argent, ni de sa pitié et elle comptait bien lui apprendre que dans la vie, tout ne pouvait pas s’acheter. Cet homme lui rappelait son père, toujours près à faire un chèque pour éviter les conflits, ne pas perdre de temps à chercher une vraie solution.
« Vous savez combien ça coute une planche de surf ? C’est pas vraiment le même budget qu’une paire de basket et une montre connecter pour frimer et draguer sur la plage. »
« Oh parce que c’est vous qui renversez les affaires des autres parce que vous n’êtes pas capable d’aligner un pied devant l’autre et c’est moi qui ait un problème ? La planche est quand même suffisamment grande, vous l’aviez pas vu peut-être ? Si c’est une technique de drague, mauvaise nouvelle, ça ne fonctionne pas du tout. Essayez d’être civilisé et de vous présenter la prochaine fois. »
Ana ne comprenait vraiment pas comme le russe avait pu la rater, il pouvait certes être maladroit, mais il n’y avait absolument aucun obstacle sur la plage, pas même un bout de bois dans le sable qui aurait pu justifier qu’il ait trébucher. Soit il la prenait pour une imbécile avec une excuse bidon, soit il avait de sérieux problèmes d’équilibre, et auquel cas courir sur la plage à proximité d’une autre personne n’était clairement pas l’idée du siècle. Elle aurait pu l’excuser en prenant sur elle s’il ne lui avait pas fait l’affront de lui proposer de l’argent en dédommagement du désagrément pour qu’elle se calme.
« Punaise je vais finir par l’empéguer celui-là » soupira-t-elle en français. Anastasia n’était pas le genre de personne vénale, elle ne voulait pas de son argent, ni de sa pitié et elle comptait bien lui apprendre que dans la vie, tout ne pouvait pas s’acheter. Cet homme lui rappelait son père, toujours près à faire un chèque pour éviter les conflits, ne pas perdre de temps à chercher une vraie solution.
« Vous savez combien ça coute une planche de surf ? C’est pas vraiment le même budget qu’une paire de basket et une montre connecter pour frimer et draguer sur la plage. »
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Plus le temps passait et plus tu sentais bouillir en toi une certaine colère, t'étais fautif certes mais t'avais l'intention de t'excuser et de régler l'affaire mais à nouveau tu te faisais réprimander par la blonde. Tu laissas échapper un long soupirement alors que la jolie gueule d'ange recommençais à te blâmer pour t'être vautré malencontreusement sur sa planche.
"Oh donc personne n'a le droit à l'erreur avec vous ? Vous êtes le genre de personne parfaite qui peut se permettre de faire des remarques à tout le monde avec un air supérieur ? Vous draguer ? Vous croyez sérieusement que j'ai que ça à faire de me prendre une planche dans les pattes et me casser la gueule pour draguer..."Puis tu enchaînas avec une révérence.
"Mille excuses gente dame, je suis bien embêté de ne pas m'être présenté plus tôt, je vous prie de m'excuser, je me prénomme Sven Kaplov et vous ma charmante demoiselle ? "Tu terminas en pouffant de rire, sûrement tes nerfs qui commençaient à lâcher.
Tu commençais à vraiment en avoir ras-le-bol de te faire rabaisser de la sorte, toi tout ce que tu voulais c'était courir et te dépenser, t'aérer l'esprit, c'était vital pour toi, alors qu'on vienne te crier dessus alors qu'il n'y avait rien de casser te mis hors de toi. Puis quand elle se mit à reparler en étranger, tu te mis à exploser de rire, c'en était trop pour toi, tes nerfs lâchés, t'avais envie de taper dans un truc,
ты меня отпустишь?!*
Juste par réflexe quand tu l'entendais parler une autre langue, tu faisais de même et tu te doutais bien que si elle préférait utiliser des mots que tu ne connaissais pas, ce n'était pas pour te lancer des fleurs.
Oh vraiment ça coûte cher ?
Tu attrapas sa planche que tu sortis du sable avant de la balancer de toute tes forces au plus loin que tu le pouvais.
Uhm, on va avoir un problème là, j'ai l'impression que maintenant elle est un peu cassée, dommage que je soit trop pauvre pour la réparer...
Arf c'est pas de chance.
Tu prenais un ton ironique alors que tu portais ton regard vers la planche plaçant une main sur ton front pour empêcher le soleil de t'éblouir.
Ca vole bien en tout cas ! Disais tu en riant légèrement.
Tu te retournais vers la belle, sourire aux lèvres, si ce que tu venais de faire n'avais sûrement pas améliorer la situation, ça avait eu le mérite de te calmer et de te faire respirer, tu étais prêt à reprendre le dialogue beaucoup plus sereinement.
Donc, comment procède t-on maintenant ? Y'a plus de problème, j'ai cassé votre planche, je vous en repaye une, et chacun repart de son côté, on est d'accord ? Parfait !
*: Tu vas me lâcher ?!
Pyphi(lia)"Oh donc personne n'a le droit à l'erreur avec vous ? Vous êtes le genre de personne parfaite qui peut se permettre de faire des remarques à tout le monde avec un air supérieur ? Vous draguer ? Vous croyez sérieusement que j'ai que ça à faire de me prendre une planche dans les pattes et me casser la gueule pour draguer..."Puis tu enchaînas avec une révérence.
"Mille excuses gente dame, je suis bien embêté de ne pas m'être présenté plus tôt, je vous prie de m'excuser, je me prénomme Sven Kaplov et vous ma charmante demoiselle ? "Tu terminas en pouffant de rire, sûrement tes nerfs qui commençaient à lâcher.
Tu commençais à vraiment en avoir ras-le-bol de te faire rabaisser de la sorte, toi tout ce que tu voulais c'était courir et te dépenser, t'aérer l'esprit, c'était vital pour toi, alors qu'on vienne te crier dessus alors qu'il n'y avait rien de casser te mis hors de toi. Puis quand elle se mit à reparler en étranger, tu te mis à exploser de rire, c'en était trop pour toi, tes nerfs lâchés, t'avais envie de taper dans un truc,
ты меня отпустишь?!*
Juste par réflexe quand tu l'entendais parler une autre langue, tu faisais de même et tu te doutais bien que si elle préférait utiliser des mots que tu ne connaissais pas, ce n'était pas pour te lancer des fleurs.
Oh vraiment ça coûte cher ?
Tu attrapas sa planche que tu sortis du sable avant de la balancer de toute tes forces au plus loin que tu le pouvais.
Uhm, on va avoir un problème là, j'ai l'impression que maintenant elle est un peu cassée, dommage que je soit trop pauvre pour la réparer...
Arf c'est pas de chance.
Tu prenais un ton ironique alors que tu portais ton regard vers la planche plaçant une main sur ton front pour empêcher le soleil de t'éblouir.
Ca vole bien en tout cas ! Disais tu en riant légèrement.
Tu te retournais vers la belle, sourire aux lèvres, si ce que tu venais de faire n'avais sûrement pas améliorer la situation, ça avait eu le mérite de te calmer et de te faire respirer, tu étais prêt à reprendre le dialogue beaucoup plus sereinement.
Donc, comment procède t-on maintenant ? Y'a plus de problème, j'ai cassé votre planche, je vous en repaye une, et chacun repart de son côté, on est d'accord ? Parfait !
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@Sven Kaplov & Anastasia Dawkins
Anastasia était en tort, elle le savait. Est-ce qu’elle allait le reconnaitre pour autant ? Surement pas face à cet homme certes attirant qui le savait et qui en jouait. Il marquait un point en lui reprochant sa réaction disproportionnée et elle était quelque peu à court d’arguments, mais elle n’aimait pas l’air moralisateur qu’il prenait, comme s’il cherchait à l’infantiliser. Elle n’avait plus 15 ans et ne comptait pas laisser qui que ce soit lui dire comment elle devait se comporter. Elle ne l’avait jamais fait jusqu’ici, et n’allait surement pas commencer maintenant.
Il fit une révérence et se présenta de manière chevaleresque, Anastasia était agacée par ce type, mais était aussi amusée, elle se retint de rire mais esquissa malgré tout un léger sourire.
« Anastasia Dawkins » Elle avait envie de l’étrangler tellement il l’exaspérait, il répondit à sa phrase en français par du russe, elle ne prit pas la peine de relever, c’était de bonne guerre. C’est à ce moment là que les choses ont dérapé.
Il lui proposait de l’argent pour qu’elle se calme, ce qui eu le don de l’énerver encore plus, il attrapa sa planche plantée dans le sable alors qu’elle venait de lui faire remarquer que c’était du matériel couteux, contrairement à une paire de basket. Anastasia ne pu que contempler sa planche voler, et s’écraser quelques mètres plus loin. Elle sentait son cœur battre dans ses tempes, son cœur s’emballait et elle tenta de respirer du mieux qu’elle pouvait pour se calmer. Ce n’était pas le moment de faire un malaise avec ce fou qui jetait des planches de surf. Il fanfaronnait, fière de lui. S’il y a bien une chose à laquelle la jeune femme ne s’attendait pas, c’était bien ça. Drôle de spectacle qu’une planche qui vole à 7h du matin, sur une plage de Los Angeles.
Elle se tourna légèrement et fixa quelques instants la planche, clairement fissurée et dont une des dérives était cassée et se retourna vers Sven, les larmes aux yeux.
« Je… Désolée… Je veux pas de votre argent. Cette planche, c’était le dernier souvenir que j’avais de ma mère, et maintenant elle est foutue. Aucune somme ne pourra remplacer ça. » La jeune femme était bien contente d’avoir suivi des cours de théâtre durant les camps de vacances où elle passait l’été. Elle n’avait jamais pensé que savoir pleurer presque sur demande lui servirait car au dernière nouvelle, sa mère allait parfaitement bien à part peut-être un peu de diabète dû à son amour des confiseries et la planche de surf, c’était Ana qui se l’était acheté en arrivant à LA, mais ça, lui n’en savait rien.
Il fit une révérence et se présenta de manière chevaleresque, Anastasia était agacée par ce type, mais était aussi amusée, elle se retint de rire mais esquissa malgré tout un léger sourire.
« Anastasia Dawkins » Elle avait envie de l’étrangler tellement il l’exaspérait, il répondit à sa phrase en français par du russe, elle ne prit pas la peine de relever, c’était de bonne guerre. C’est à ce moment là que les choses ont dérapé.
Il lui proposait de l’argent pour qu’elle se calme, ce qui eu le don de l’énerver encore plus, il attrapa sa planche plantée dans le sable alors qu’elle venait de lui faire remarquer que c’était du matériel couteux, contrairement à une paire de basket. Anastasia ne pu que contempler sa planche voler, et s’écraser quelques mètres plus loin. Elle sentait son cœur battre dans ses tempes, son cœur s’emballait et elle tenta de respirer du mieux qu’elle pouvait pour se calmer. Ce n’était pas le moment de faire un malaise avec ce fou qui jetait des planches de surf. Il fanfaronnait, fière de lui. S’il y a bien une chose à laquelle la jeune femme ne s’attendait pas, c’était bien ça. Drôle de spectacle qu’une planche qui vole à 7h du matin, sur une plage de Los Angeles.
Elle se tourna légèrement et fixa quelques instants la planche, clairement fissurée et dont une des dérives était cassée et se retourna vers Sven, les larmes aux yeux.
« Je… Désolée… Je veux pas de votre argent. Cette planche, c’était le dernier souvenir que j’avais de ma mère, et maintenant elle est foutue. Aucune somme ne pourra remplacer ça. » La jeune femme était bien contente d’avoir suivi des cours de théâtre durant les camps de vacances où elle passait l’été. Elle n’avait jamais pensé que savoir pleurer presque sur demande lui servirait car au dernière nouvelle, sa mère allait parfaitement bien à part peut-être un peu de diabète dû à son amour des confiseries et la planche de surf, c’était Ana qui se l’était acheté en arrivant à LA, mais ça, lui n’en savait rien.
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- Sven KaplovI'm a Mother Fucker
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Carrière, métier ou job : Directeur du Legacy
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : Célibataire (par choix)
Quand t’aperçus le léger sourire de celle qui venait de se présenter sous le nom d'Anastasia, tu pensas que c'était bon, que c'était le début d'une happy end, qui avait duré bien trop longtemps, mais ta colère était bien trop grande, toi quand tu démarrais tu devenais vraiment violent et d'habitude t'avais aucune raison de te calmer mais là après avoir envoyé valdinguer la planche, quand tu vis le regard larmoyant de la jolie blonde et que t'entendis de la tristesse dans ses paroles, toute ta colère laissa place au remord.
T'étais perdu, tout était parti d'une embrouille bien puérile, un sourire perdu au milieu de mots expulsés par la colère, pour finir avec un silence long, bien trop long.
Tu saisis rapidement ton téléphone appelant un de tes contacts pour qu'il en appelle un à son tour, t'avais au moins l'avantage d'avoir un grand réseau et t'espérais au fond de toi que dans le lot il y'aurait un bon réparateur de planche, assez bon pour que les larmes qui perlaient sur les joues de la blonde laisse place à un regard chaleureux.
Je suis vraiment désolé... Je vais vous la réparer, je vous le promet, laissez moi me racheter.
Tu prenais conscience de tes actes après coup, le pas lent, tu te dirigeais vers la planche que tu prenais le temps de ramasser, constatant les dégâts que tu venais de causer, tu la portas jusqu'à Anastasia, patientant que le véhicule que t'avais appelé soit là.
Un long silence se dressa entre vous, jusqu'à ce que ton téléphone sonne, tu te dirigeas vers le véhicule qui venait d'arriver, chargea la planche et retourna vers Anastasia.
T'avais comprit qu'elle ne t'aimait pas depuis longtemps mais même si essayait de te racheter sembler être une cause désespérée, tu sortis une liasse de billets de ta poche que tu lui tendis.
Je sais que ça ne remplacera pas la planche que vous possédiez mais vous pourrez vous en acheter d'autres le temps qu'elle soit réparé.
Tu l'aurais prise dans tes bras pour la consoler si tu n'avais pas été le responsable qui venait de la faire pleurer, là, debout, stoïque, tu te sentais bien bête ton regard porté sur la jolie blonde ne sachant que faire, tu ne voulais pas prendre la fuite, quitte à te faire traiter de tous les noms, t'allais rester là et encaisser comme tu l'avais souvent fait.
Pyphi(lia)T'étais perdu, tout était parti d'une embrouille bien puérile, un sourire perdu au milieu de mots expulsés par la colère, pour finir avec un silence long, bien trop long.
Tu saisis rapidement ton téléphone appelant un de tes contacts pour qu'il en appelle un à son tour, t'avais au moins l'avantage d'avoir un grand réseau et t'espérais au fond de toi que dans le lot il y'aurait un bon réparateur de planche, assez bon pour que les larmes qui perlaient sur les joues de la blonde laisse place à un regard chaleureux.
Je suis vraiment désolé... Je vais vous la réparer, je vous le promet, laissez moi me racheter.
Tu prenais conscience de tes actes après coup, le pas lent, tu te dirigeais vers la planche que tu prenais le temps de ramasser, constatant les dégâts que tu venais de causer, tu la portas jusqu'à Anastasia, patientant que le véhicule que t'avais appelé soit là.
Un long silence se dressa entre vous, jusqu'à ce que ton téléphone sonne, tu te dirigeas vers le véhicule qui venait d'arriver, chargea la planche et retourna vers Anastasia.
T'avais comprit qu'elle ne t'aimait pas depuis longtemps mais même si essayait de te racheter sembler être une cause désespérée, tu sortis une liasse de billets de ta poche que tu lui tendis.
Je sais que ça ne remplacera pas la planche que vous possédiez mais vous pourrez vous en acheter d'autres le temps qu'elle soit réparé.
Tu l'aurais prise dans tes bras pour la consoler si tu n'avais pas été le responsable qui venait de la faire pleurer, là, debout, stoïque, tu te sentais bien bête ton regard porté sur la jolie blonde ne sachant que faire, tu ne voulais pas prendre la fuite, quitte à te faire traiter de tous les noms, t'allais rester là et encaisser comme tu l'avais souvent fait.
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@Sven Kaplov & Anastasia Dawkins
La jeune femme était allée très loin, à feindre des larmes et inventer une histoire à faire pleurer dans les chaumières alors que la seule chose qui la dérangeait vraiment, c’était qu’elle devrait rapidement racheter une planche ou se contenter de la salle de sport pour continuer de muscler son coeur. Elle était bornée et n’avait plus vraiment de limite tellement le russe l’exaspérait, elle avait décidé qu’elle donnerait une leçon à cet abruti prétentieux et charmeur, qui n’hésitait probablement pas à en abuser, elle en était convaincue. Pourquoi ? Parce qu’elle n’hésitait pas à user de ses propres charmes pour obtenir ce qu’elle veut, surtout si cela lui permettait de gagner du temps.
La jeune femme s’était tournée vers Sven en racontant son histoire larmoyante, s’attendant à de simple excuse, et probablement de nouveau une somme d’argent plus ou moins importante. Au lieu de ça, un long silence s’installa où les larmes roulaient sur les joues d’Ana. Un silence qu’il se décida à briser en sortant son téléphone. La grande classe. Il raccrocha et alla récupérer la planche et les quelques morceaux qui s’étaient détachés ou cassés et les déposa à ses côtés, lui promettant qu’il la ferait réparer. Les minutes passèrent, sans qu’aucun des deux n’osent dire quoi que ce soit, jusqu’à ce qu’une voiture arrive et qu’il dépose ta planche dedans. Anastasia était de plus en plus décontenancée, elle ne comprenait pas bien ce qu’il faisait. Il sorti une liasse de billet, plutôt conséquente pour un simple joggeur et offrit de lui acheter une autre planche en attendant les réparations de l’autre. Il avait donc bien un cœur contrairement à ce que la blonde avait pu penser jusque-là. Elle était surprise et se sentait un peu bête.
« Wahou… Désolée, mais je peux pas accepter. » Anastasia était prise de remord, elle était allé beaucoup trop loin, pensant tomber sur un abruti qui réglait tout par l’argent et qui ne s’intéressait pas aux autres. Au lieu de ça, elle découvrait un homme réellement touché qui se sentait probablement coupable. C’était à son tour d’éprouver de la culpabilité, elle ne savait pas comment s’en sortir, car lui expliquer de but en blanc ce qui s’était passé risquait de relancer le conflit, mais mentir sciemment pour des choses aussi importante n’était pas son genre, son cerveau avait tendance à ne pas filtrer les informations, et les mots sortaient avant même qu’elle en ait conscience. « Je ne peux pas accepter parce que je pensais que vous étiez qu’un connard qui se foutait de tout et qui réfléchissait pas aux conséquences, et je vois que c’est pas le cas. Je ne veux pas profiter de vous comme ça, et j’ai les moyens de payer moi-même une nouvelle planche de surf, ne vous fatiguez pas à réparer celle là. J’ai réellement besoin de cette planche pour des raisons médicales dont vous n’avez probablement rien à faire, mais elle n’a pas de valeur sentimental aussi importante, j’irais simplement en acheter une autre rapidement, après tout c’est aussi de ma faute si elle se retrouve cassée... »
La blonde avait eu du mal à l’admettre, mais elle avait un peu cherché en titillant un peu trop le russe. Ils ont beau vivre dans un pays froid, ils ont le sang chaud tout comme elle. Elle regroupa ses affaires éparpillées dans le sable, elle ouvrit légèrement sa combinaison qui la serrait de plus en plus, laissant entrevoir sa cicatrice. Elle commençait à réaliser, trop tard, qu’il avait simplement voulu être gentil avec elle en lui proposant de l’argent et elle s’était comporté comme une hystérique. Elle en avait la gorge nouée.
« On dirait que c’est à moi de me racheter, on repart de zéro si vous le voulez bien ? Anastasia Dawkins, enchantée d’enfin faire votre connaissance après vous avoir vu courir ici des dizaines de fois. »
La jeune femme s’était tournée vers Sven en racontant son histoire larmoyante, s’attendant à de simple excuse, et probablement de nouveau une somme d’argent plus ou moins importante. Au lieu de ça, un long silence s’installa où les larmes roulaient sur les joues d’Ana. Un silence qu’il se décida à briser en sortant son téléphone. La grande classe. Il raccrocha et alla récupérer la planche et les quelques morceaux qui s’étaient détachés ou cassés et les déposa à ses côtés, lui promettant qu’il la ferait réparer. Les minutes passèrent, sans qu’aucun des deux n’osent dire quoi que ce soit, jusqu’à ce qu’une voiture arrive et qu’il dépose ta planche dedans. Anastasia était de plus en plus décontenancée, elle ne comprenait pas bien ce qu’il faisait. Il sorti une liasse de billet, plutôt conséquente pour un simple joggeur et offrit de lui acheter une autre planche en attendant les réparations de l’autre. Il avait donc bien un cœur contrairement à ce que la blonde avait pu penser jusque-là. Elle était surprise et se sentait un peu bête.
« Wahou… Désolée, mais je peux pas accepter. » Anastasia était prise de remord, elle était allé beaucoup trop loin, pensant tomber sur un abruti qui réglait tout par l’argent et qui ne s’intéressait pas aux autres. Au lieu de ça, elle découvrait un homme réellement touché qui se sentait probablement coupable. C’était à son tour d’éprouver de la culpabilité, elle ne savait pas comment s’en sortir, car lui expliquer de but en blanc ce qui s’était passé risquait de relancer le conflit, mais mentir sciemment pour des choses aussi importante n’était pas son genre, son cerveau avait tendance à ne pas filtrer les informations, et les mots sortaient avant même qu’elle en ait conscience. « Je ne peux pas accepter parce que je pensais que vous étiez qu’un connard qui se foutait de tout et qui réfléchissait pas aux conséquences, et je vois que c’est pas le cas. Je ne veux pas profiter de vous comme ça, et j’ai les moyens de payer moi-même une nouvelle planche de surf, ne vous fatiguez pas à réparer celle là. J’ai réellement besoin de cette planche pour des raisons médicales dont vous n’avez probablement rien à faire, mais elle n’a pas de valeur sentimental aussi importante, j’irais simplement en acheter une autre rapidement, après tout c’est aussi de ma faute si elle se retrouve cassée... »
La blonde avait eu du mal à l’admettre, mais elle avait un peu cherché en titillant un peu trop le russe. Ils ont beau vivre dans un pays froid, ils ont le sang chaud tout comme elle. Elle regroupa ses affaires éparpillées dans le sable, elle ouvrit légèrement sa combinaison qui la serrait de plus en plus, laissant entrevoir sa cicatrice. Elle commençait à réaliser, trop tard, qu’il avait simplement voulu être gentil avec elle en lui proposant de l’argent et elle s’était comporté comme une hystérique. Elle en avait la gorge nouée.
« On dirait que c’est à moi de me racheter, on repart de zéro si vous le voulez bien ? Anastasia Dawkins, enchantée d’enfin faire votre connaissance après vous avoir vu courir ici des dizaines de fois. »
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L'incompréhension s’emparait de toi, t'avais pas vraiment l'habitude qu'on te refuse une belle liasse, encore moins quand t'y mettais de la bonne volonté et c'était le cas aujourd'hui. Bien que personne n'était au courant, ta jolie carapace d'homme d'affaires sérieux renfermait un coeur sensible que certaines personne atteignaient parfois.
T'allais d'ailleurs insister quand Anastasia te coupa dans ton action pour t'expliquer l'exacte raison de son refus, les mots te manquèrent, et une fois de plus tu laissas le silence s'installer entre vous deux, quelques secondes passèrent et tu laissa tomber la liasse de billets dans le sable, encore bouche-bée par ce qu'elle venait de dire.
Un gloussement, t’acquiesças légèrement de la tête, un sourire nerveux, tu ramassas ta liasse que tu venais de faire tomber, prêt à lui lancer au visage et à t'en aller mais là encore t'allais commettre une erreur, t'étais pas vraiment patient, mais apercevoir sa cicatrice quand elle ouvra sa combinaison eu pour effet instantané de te calmer.
Tu tentas de reprendre une respiration normale, au fond de toi tu te disais que la belle n'avait pas mauvais fond, qu'elle avait peut-être eu une dure soirée la veille, ou juste que c'était en rapport avec la marque qu'elle portait sur elle.
Tu répondis avec ta voix, posée, tu ne voulais pas recommencer à t'énervais t'étais au fond d'ailleurs prêt à t'en aller à la moindre remarque de sa part mais t'allais faire de ton mieux pour agir dans le bon sens comme elle le faisait en se présentant à nouveau.
Sven Kaplov, enchanté également mademoiselle Dawkins.
Les mots te venaient avec difficulté, ton visage était devenu inexpressif t'étais perdu et tu le savais, tu tentais cependant de paraître normal même si depuis le début votre conversation, de vos énervements, rien ne semblait l'être.
Tu faisais nerveusement tourner l'une de tes bagues, alternant ton regard vers le sien et le ciel, que dire, que faire, toi qui étais si confiant en toi d'habitude là tu étais perdu dans cet océan d'émotions que tu avais traversé, tu étais entrain de te noyer.
Des mots sortirent de ta bouche sans expression, tu n'y fais même pas réellement attention.
C'est vrai que je vous ai souvent aperçu de mon côté également, vous surfez beaucoup ?
Tu laissais la conversation suivre son cours, tentant de te sortir la tête de l'eau, t'avais envie de sourire et de ne plus t'énerver, t'avais envie de souffler, de boire un verre, et de laisser tout ça derrière toi, mais en étais-tu seulement capable après tout ça, le soleil allait-il pointer le bout de son nez maintenant que tu étais passez par tant d'orages.
Tu la regardes attentivement, tu te demandes ce qui aurait pu causer cette cicatrice, ton regard se perd sur son corps et son visage que tu parcours lentement, tu ne prends que trop peu le temps d'observer ce qui t'entoure et en l'occurrence la belle femme qui se trouvait là, juste devant toi.
Cette fois c'était différent t'allais prendre du temps pour toi, et c'est en te disant ça que tu laissais apparaître un sourire timide apparaître sur tes lèvres.
Pyphi(lia)T'allais d'ailleurs insister quand Anastasia te coupa dans ton action pour t'expliquer l'exacte raison de son refus, les mots te manquèrent, et une fois de plus tu laissas le silence s'installer entre vous deux, quelques secondes passèrent et tu laissa tomber la liasse de billets dans le sable, encore bouche-bée par ce qu'elle venait de dire.
Un gloussement, t’acquiesças légèrement de la tête, un sourire nerveux, tu ramassas ta liasse que tu venais de faire tomber, prêt à lui lancer au visage et à t'en aller mais là encore t'allais commettre une erreur, t'étais pas vraiment patient, mais apercevoir sa cicatrice quand elle ouvra sa combinaison eu pour effet instantané de te calmer.
Tu tentas de reprendre une respiration normale, au fond de toi tu te disais que la belle n'avait pas mauvais fond, qu'elle avait peut-être eu une dure soirée la veille, ou juste que c'était en rapport avec la marque qu'elle portait sur elle.
Tu répondis avec ta voix, posée, tu ne voulais pas recommencer à t'énervais t'étais au fond d'ailleurs prêt à t'en aller à la moindre remarque de sa part mais t'allais faire de ton mieux pour agir dans le bon sens comme elle le faisait en se présentant à nouveau.
Sven Kaplov, enchanté également mademoiselle Dawkins.
Les mots te venaient avec difficulté, ton visage était devenu inexpressif t'étais perdu et tu le savais, tu tentais cependant de paraître normal même si depuis le début votre conversation, de vos énervements, rien ne semblait l'être.
Tu faisais nerveusement tourner l'une de tes bagues, alternant ton regard vers le sien et le ciel, que dire, que faire, toi qui étais si confiant en toi d'habitude là tu étais perdu dans cet océan d'émotions que tu avais traversé, tu étais entrain de te noyer.
Des mots sortirent de ta bouche sans expression, tu n'y fais même pas réellement attention.
C'est vrai que je vous ai souvent aperçu de mon côté également, vous surfez beaucoup ?
Tu laissais la conversation suivre son cours, tentant de te sortir la tête de l'eau, t'avais envie de sourire et de ne plus t'énerver, t'avais envie de souffler, de boire un verre, et de laisser tout ça derrière toi, mais en étais-tu seulement capable après tout ça, le soleil allait-il pointer le bout de son nez maintenant que tu étais passez par tant d'orages.
Tu la regardes attentivement, tu te demandes ce qui aurait pu causer cette cicatrice, ton regard se perd sur son corps et son visage que tu parcours lentement, tu ne prends que trop peu le temps d'observer ce qui t'entoure et en l'occurrence la belle femme qui se trouvait là, juste devant toi.
Cette fois c'était différent t'allais prendre du temps pour toi, et c'est en te disant ça que tu laissais apparaître un sourire timide apparaître sur tes lèvres.
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